Les directeurs d'écoles sont tenus de libérer sans délai de leurs postes, tous les agents administratifs et enseignants admis à faire valoir leurs droits à une pension de retraite et qui continuent d'exercer leurs fonctions en violation des textes en vigueur. C'est ce qu'a ordonné le directeur départemental des enseignements maternel et Primaire de l'Atlantique, Comlan Médard Zangronio, dans une lettre en date du jeudi 04 octobre 2018. Cette décision fait suite à la mise en demeure faite par le ministre des enseignements maternel et Primaire Salimane Karimou à toutes les autorités dudit secteur.
En effet, il est parvenu au ministre Salimane Karimou que certains agents admis à faire valoir leurs droits à une pension de retraite se seraient maintenus à leurs postes. Ce qui viole les textes en vigueur.
Suite à l'injonction du ministre, et en application de la loi n 2015-19 modifiant et complétant la loi n 86-014 du 26 septembre 1986 portant code des pensions civiles et militaires de retraite en République du Bénin, le directeur départemental des enseignements maternel et Primaire de l'Atlantique, demande aux directeurs d' écoles « de vouloir bien libérer sans délai de leurs postes, tous les agents (administratifs et enseignants) admis à faire valoir leurs droits à une pension de retraite et qui continuent d'exercer leurs fonctions en violation des textes en vigueur ».
Par ailleurs, renseigne la lettre, un compte rendu diligent, liste à l'appui de tous les agents concernés est attendu au Service de l'Administration et des finances de la Direction pour transmission à l'autorité hiérarchique au plus tard le mercredi 10 octobre 2018 à 12 heures précises.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
L’un gynécologue, l’autre victime, Denis Mukwege et Nadia Murad incarnent une cause planétaire qui dépasse le cadre des seuls conflits, comme en témoigne le raz-de-marée planétaire #MeToo déclenché il y a un an par des révélations de la presse.
Travailler sans relâche et ne jamais se résigner à l’horreur. Le Dr Denis Mukwege, qui a reçu vendredi le prix Nobel de la Paix, « répare » depuis des années les femmes violées victimes des guerres oubliées dans l’est de la République démocratique du Congo.
A deux mois et demi d’élections cruciales en RDC, les jurés du prix Nobel ont aussi récompensé une voix parmi les plus sévères envers le régime du président Joseph Kabila, davantage entendue à l’étranger qu’au pays.
« L’homme cesse d’être homme lorsqu’il ne sait plus donner l’amour et ne sait plus donner l’espoir aux autres », déclarait-il en 2015 au personnel de l’hôpital de Panzi qu’il dirige à Bukavu, capitale de la province du Sud-Kivu.
Âgé de 63 ans, marié et père de cinq enfants, le Dr Mukwege aurait pu rester en France après ses études à Angers (centre-ouest). Il a fait le choix de retourner dans son pays, et d’y rester aux heures les plus sombres.
A 25 ans, Nadia Murad a survécu aux pires heures traversées par son peuple, les Yazidis d’Irak, jusqu’à en devenir une porte-parole respectée et à décrocher le Nobel de la paix.Cette jeune fille au visage fin et pâle encadré par de longs cheveux bruns aurait pu couler des jours tranquilles dans son village de Kosho, près du bastion yazidi de Sinjar, une zone montagneuse coincée aux confins de l’Irak et de la Syrie.
Mais la percée fulgurante des jihadistes du groupe Etat islamique (EI) en 2014 en a décidé autrement.
Un jour d’août, sur des pick-up surmontés de leur drapeau noir, ils ont fait irruption, tué des hommes, transformé en enfants-soldats les plus jeunes et condamné des milliers de femmes aux travaux forcés et à l’esclavagisme sexuel.
Aujourd’hui encore, Nadia Murad, comme son amie Lamia Haji Bachar, avec laquelle elle obtenait en 2016 le prix Sakharov du Parlement européen– n’a de cesse de répéter que plus de 3.000 Yazidies sont toujours portées disparues, probablement encore captives.
La médecine a ouvert le bal des Nobel 2018 lundi avec le sacre d’un duo de chercheurs nippo-américain, James Allison et Tasuku Honjo, honorés pour leurs travaux sur la capacité du corps à se défendre contre les cancers virulents comme le cancer du poumon et le mélanome.
Le prix de physique est allé mardi au Français Gérard Mourou et à son étudiante canadienne Donna Strickland, ainsi qu’à l’Américain Arthur Ashkin, pour avoir révolutionné la technique des lasers, utilisés notamment aujourd’hui dans l’étude de l’infiniment petit et la chirurgie de l’oeil.
Mercredi, ce sont deux Américains, Frances Arnold et George Smith, et un Britannique, Gregory Winter, qui ont remporté le Nobel de chimie pour avoir modifié les propriétés des enzymes à des fins thérapeutiques et industrielles en s’inspirant des principes de l’évolution et de la sélection naturelle.
Les récipiendaires des Nobel recevront leur prix (une médaille d’or, un diplôme et un chèque de 9 millions de couronnes suédoises, soit environ environ 865 000 euros) à Oslo et Stockholm le 10 décembre prochain, date-anniversaire de la mort de leur fondateur Alfred Nobel (1833-1896).
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Les éléments de la PJ de la Sûreté de wilaya de M’sila a saisi, mardi, à M’sila-ville, un drone équipé d’une caméra. Un jeune homme a mis en vente sur la toile un drone. Les recherches ont permis de découvrir que l’engin contient une caméra numérique de surveillance. Faute d’autorisation, le propriétaire, un jeune, a été arrêté, après consultation du ministère public, fait savoir une source locale. Au domicile du suspect, un ordinateur et des CD ont été saisis. L’enquête est toujours en cours.
CHabane BOUARISSA
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Pas moins de 7 000 quintaux de graines sont prévus pour l’entame de la campagne labours-semailles à Boumerdès, a-t-on appris, hier, de sources locales. Selon les mêmes sources, on prévoit seulement 4 400 hectares aux grandes cultures agricoles qui devraient être plantés cette année en raison de l’expansion de la branche du vignoble. La réduction des surfaces des grandes cultures et l’expansion de la superficie des vignobles inquiète à plus d’un titre les paysans de Boumerdès, d’autant plus que cette réduction a touché mêmes les autres branches, entre autres les légumes. Les agriculteurs qui ont tiré la sonnette d’alarme concernant cette situation inquiétante interpellent la tutelle pour protéger la diversité de la production conformément aux conditions préalables incluses dans le cahier des charges du droit de concession. Pour réussir cette campagne labours-semailles, les services agricoles n’ont ménagé aucun effort. Ils ont mis tous les moyens nécessaires entre autres la disponibilité des engrais ainsi que les équipements nécessaires pour entamer cette compagne sous de bons auspices, a-t-on indiqué. Concernant les variétés de céréales implantées cette année l’on signale qu’environ 40% (4 400 ha) de la superficie implantée cette année a été consacrée au blé dur, blé tendre, orge et l’avoine et environ 7 000 quintaux de céréales sont destinées à couvrir les besoins en graines de semence. Il est à rappeler que la wilaya de Boumerdès a réalisé durant la dernière campagne 2017/2018 une quantité qui a atteint 114 000 quintaux de céréales, soit 26 quintaux/hectare de blé dur, 25 quintaux/hectare de blé tendre, 16 quintaux/ hectare pour l’orge et 12 quintaux/hectare d’avoine.
D’autre part la wilaya de Boumerdès n’a pas enregistré de grandes pertes puisque l’on affirme l’enregistrement de seulement 30 hectares de pertes, ce qui a permis à la wilaya de stocker 66 000 quintaux de céréales cultivés soit un taux de 66% de la production total au niveau de la Coopérative de céréales et de légumes secs (CCLS) de Draâ Ben Khedda, a-t-on ajouté.
Nasser Zerrouki
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À Beggas, les élèves arrivent quotidiennement en retard à l’école et leurs parents ne savent plus à quel responsable s’adresser. En effet, ce petit hameau ne dispose pratiquement pas de bus pour assurer le ramassage scolaire.
Pas moins de 102 millions de dinars ont été réservés au transport scolaire pour les différentes communes de la wilaya, et 40 millions de dinars supplémentaires pour l’entretien des bus de ramassage scolaire à Bouira. En dépit de cette cagnotte, le transport scolaire demeure défaillant, voire inexistant dans certaines localités de Bouira. Ainsi, plusieurs centaines d’écoliers de nombreuses localités de la wilaya de Bouira, notamment celles situées dans les zones montagneuses, arrivent en retard aux cours ou, dans certains cas, sont obligés de rater le premier cours de la journée à cause du manque criant du transport scolaire. Aussi bien à Kadiria, Mâala, Z’barbar qu’à Ath Mansour et autres localités enclavées, la colère des parents est plus que palpable. À Beggas, une localité montagneuse de la commune de Kadiria (ouest de Bouira), les d’élèves arrivent quotidiennement en retard à l’école, et leurs parents ne savent plus à quel responsable s’adresser. En effet, ce petit hameau, situé sur les hauteurs de ladite municipalité, ne dispose pratiquement pas de bus pour assurer le ramassage scolaire, au grand dam des écoliers et de leurs parents. Ainsi, selon plusieurs témoignages, les élèves sont obligés de parcourir plus de 4 km à pied afin de regagner l’établissement scolaire le plus proche. “Depuis plusieurs années, on n’a cessé de réclamer des bus pour nos enfants, mais chaque fois les autorités concernées font la sourde oreille !”, explique un père de famille. Et d’ajouter pour exprimer son inquiétude : “Je suis obligé de quitter mon travail, afin d’aller accompagner mes enfants à l’école. Les écoliers courent un réel danger en parcourant cette route jonchée de crevasses et autres ravins.” Dans la commune d’Ath Mansour, le manque de transport scolaire a gâché cette rentrée.
En effet, depuis le premier jour de la rentrée, nombre de chérubins n’ont pas pu arriver à l’heure et effectuer leur rentrée sous de bons auspices, notamment à Tihamamine. Ainsi, les écoliers de cette bourgade enclavée, laquelle est distante de six kilomètres d’Ath Bouali où se situe leur école primaire, sont contraints d’user leurs souliers chaque matin, sous un soleil de plomb ou des pluies diluviennes. Dans la commune de Mâala, plus précisément dans les localités de Aïn El-Beïda et Laghoul, les écoliers ont dû faire l’impasse sur le premier jour de la rentrée, faute de transport. Les services communaux auxquels est dévolue la tâche d’assurer le transport des écoliers ont depuis la rentrée “brillé” par leur absence, souvent par manque de moyens, laissant ainsi les gamins et leurs parents dans l’expectative. Devant cet état de fait, les élus locaux, du moins ceux interrogés, interpellent les pouvoirs publics sur l’impérieuse nécessité d’accorder plus de subventions aux collectivités locales, afin d’assurer le transport des écoliers. “Une APC comme Mâala ne peut s’offrir le luxe de louer des bus pendant toute une année scolaire et encore moins en acquérir un ou deux”, indiquera un élu de ladite commune. Pour d’autres élus, notamment des communes de Kadiria ou Ath Mansour, la wilaya doit assumer son rôle en octroyant des aides financières dédiées à l’acquisition de bus scolaires. “Il est démagogique de prétendre que l’APC peut à elle seule prendre en charge le transport des écoliers. C’est malheureux à dire, mais nous n’en avons pas les moyens !”, déplore le maire de Kadiria.
RAMDANE BOURAHLA
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Les efforts continuent afin de procéder à l’enlèvement des ordures qui enlaidissent les agglomérations de la wilaya d’El-Tarf. En effet, la direction de l’environnement a mis tous les moyens en sa possession pour que ce phénomène qui envenime le quotidien des habitants soit éradiqué dans les plus brefs délais. Lors de ses rencontres et de ses nombreuses visites effectuées dans les communes les plus reculées de la wilaya, Belkateb Mohamed, le premier responsable de cette wilaya, a conseillé aux citoyens de prendre en charge l’enlèvement des ordures ménagères et toutes formes de détritus vecteurs de maladies. La direction de l’environnement a renforcé ses services et ceux des APC de moyens de travail en mettant des bacs à la disposition des citoyens pour collecter les ordures. Selon les responsables, plus de sept cents tonnes ont été collectées uniquement sur les plages. Par ailleurs, les présidents des municipalités en collaboration avec la direction de l’environnement dont le siège se trouve à El-Tarf ont mis en place un programme de volontariat qui sera organisé en collaboration avec les directions de la DTP, les forêts, les maisons de jeunes et plusieurs autres organismes ayant manifesté leur désir de participer. Certaines communes, à l’image d’Oum Teboul, de Asfour, de Bouhadjar, ont déjà mis en exécution ce programme qui a permis aussi de se débarrasser de quatre cents tonnes. Les citoyens ont été invités sur les réseaux sociaux à prendre part à ces campagnes qui visent à rendre les villes et les campagnes propres. “La salubrité publique est une affaire qui concerne tous les citoyens”, a indiqué le wali. “La lutte contre les ordures à l’origine de maladies doit être menée sur tous les fronts”, selon les responsables du secteur. Notons au passage que les deux CET dont dispose la wilaya sont submergés par les ordures collectées chaque jour qui dépassent les trois cents tonnes. Malgré le renforcement en moyens matériels, les responsables n’arrivent pas à traiter toutes les ordures collectées des vingt communes de la wilaya. Une opération d’envergure est menée par les habitants de plusieurs localités afin de nettoyer l’environnement, les cités, les cimetières, etc. Le programme prévu sera exécuté dit-on tous les samedis en mobilisant responsables et citoyens et en intensifiant les opérations de sensibilisation.
Tahar BOUDJEMAA
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La route de Zemmoura, reliant cette bourgade à la RN23 et au chef-lieu de Kenanda, se trouve dans état de dégradation très avancé. Lors de notre passage, on a pu constater de visu l’ampleur de la situation qui prend des proportions alarmantes. Des monticules de détritus et de nids-de-poule jonchent les lieux. “Cet axe avait bénéficié, il y a trois ans, d’une opération de revêtement en béton bitumineux. Mais, maintenant, il est en nette dégradation”, nous a dit un habitant de cette localité. En plus de cette détérioration déplorée, à maintes reprises, par les usagers de cette route, plusieurs affaissements très dangereux ont été, également, signalés. Les ralentisseurs qui parsèment ce chemin viennent compliquer davantage la situation aux automobilistes. “On compte une dizaine de dos d’âne sur une distance d’à peu près 2 000 mètres. Ce qui engendre des accidents surtout pour ceux qui empruntent ce chemin pour la première fois”, fulmine un automobiliste. Ce tronçon devient impraticable et se dégrade du jour en jour sans que les responsables concernés prennent en considération cet état de fait. Les habitants de cette bourgade à vocation agricole interpellent les services concernés afin de trancher la situation pour lancer dans l’immédiat des travaux de réhabilitation et d’aménagement et mettre, ainsi, fin à leur calvaire qui n’a que trop duré. En définitive, ce tronçon est appelé à être refait car les habitants se préparent déjà à porter cette revendication à la nouvelle assemblée.
E. Yacine
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La Direction des œuvres universitaires de Mostaganem (DOU), à l’orée de la nouvelle rentrée, poursuit le traitement des dossiers des nouveaux étudiants titulaires du baccalauréat, en particulier de ceux qui ont confirmé leur inscription sur le site spécial correspondant, à savoir 1 611 étudiants dont 1 176 filles et 435 garçons sur les 2 000 inscrits. Il convient de noter que la Direction des œuvres universitaires de Mostaganem compte sept cités U, parmi elles 4 réservés aux filles et 3 aux garçons, avec 3 354 nouveaux lits réservés à de nouveaux étudiants, répartis entre 2 230 filles et 1 334 garçons, à l’exception de la cité universitaire des 2 000 lits de Kharrouba pour filles, qui sera inaugurée cette semaine après l’achèvement des travaux de réhabilitation. Toutes les résidences universitaires ont commencé à accueillir les étudiants et à fournir leurs services de restauration, d’hébergement et de transport début septembre et l’accueil des nouveaux et anciens étudiants, avant que les dossiers de subvention ne soient placés au niveau de la section des bourses située dans les deux premiers services. En ce qui concerne la nouvelle année après l’inclusion du service de bourses au niveau du site web Progress, il a également été accordé une autorisation aux non-résidents d’utiliser également les lignes de transport urbain, qui transportent les étudiants de l’université ou à l’institut, et cela a été étudié cette année au niveau de la commission de wilaya créée en juin, comme chaque année, se prépare pour l’entrée à l’université avec le décompte du nombre de lits vacants et assure le suivi des travaux de restauration de toutes les résidences universitaires, en particulier de la résidence universitaire de Kharrouba toujours fermée et non encore opérationnelle.
M. Salah
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Les personnes âgées de la wilaya de Aïn Témouchent ont célébré leur journée mondiale à l’instar du reste de la planète. À cette occasion, la Direction de l’action sociale a concocté un riche programme culturel et artistique dont la cérémonie s’est déroulée au complexe culturel avec une exposition de toutes les activités de cette catégorie effectuée au niveau de la maison des personnes âgées de haï Moulay Mustapha. Ce fut aussi une occasion pour rendre hommage et honorer certaines d’entre elles. La couverture sanitaire et sociale de cette catégorie vulnérable de la société a été au cœur des discussions lors de cet évènement. À cette occasion, le directeur de l’action sociale de la wilaya de Aïn Témouchent, M. Mohamed Bouzada, a révélé que son secteur accorde une pension annuelle de 3 000 DA au profit de 7 610 personnes âgées recensées au niveau de la wilaya pour un montant annuel estimé à 30 milliards. Il a indiqué que l’intérêt accordé par l’État à cette catégorie de la société a été concrétisé par la promulgation de la loi 10-12 en date du 29 décembre 2010 relative à la protection des personnes âgées qui s’est traduite sur le terrain à travers les programmes qui assurent la couverture médicale et sociale considérée à la faveur d’une politique d’une prise en charge exemplaire au profit de cette catégorie. Rappelons que le nombre de retraités dans la wilaya de Aïn Témouchent avoisine les 49 800 retraités pour lesquels une enveloppe financière de 128 milliards de DA par an leur est consacrée.
M. LARADJ
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