L’Académie algérienne de la langue amazighe n’est pas près de voir le jour. Trois années après l’avoir introduite dans la Constitution, cette institution qui devra prendre en charge tamazight sur le plan scientifique et linguistique n’est toujours pas mise sur pied. Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, à qui la mission échoit, tergiverse. Ainsi, après l’épisode du recueil des CV d’universitaires, le département de Tahar Hadjar n’a pas donné de suite. Selon des informations, toutes les universités du pays sollicitées pour faire leur proposition sur la composante de cette académie ont répondu, mais le MESRS hésite à faire le tri des CV reçus. Il est, certes, difficile pour un département de “désigner” la composante d’une telle académie sans connaître au préalable les pressentis à sa présidence. Le choix du premier responsable ne peut être que politique, d’où cette tergiversation.
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Le ministre de l'agriculture, de l'élevage et de la pêche, Gaston Dossouhoui, était au contact des pêcheurs des communes de Kpomassè et de Bopa, ce vendredi 12 octobre 2018. L'objectif de cette visite est de discuter avec les pêcheurs qui exploitent les eaux du chenal Ahô et du lac Ahémé et leur préciser la nécessité de l'opération d'assainissemnt de ces eaux. Une opération qui fera accroître, à terme, positivement l'activité de pêche et impacter les revenus des pêcheurs. Selon le ministre, il s'agira de débarrasser les plans d'eau des engins prohibés installés et de draguer certaines parties. « Nous aurions pu laisser l'agence chargée d'exécuter cette opération, commencer les travaux sans que nous ne venions au préalable vers vous. Mais il est important de venir vous dire que ce n'est pas pour vous chasser des plans d'eau. On ne peut faire le bonheur de quelqu'un sans l'associer », a expliqué Gaston Dossouhoui. Ma démarche, poursuit-il, « est que vous compreniez que cet assainissement est nécessaire ». Il a rassuré qu'une fois l'opération terminée, les pêcheurs auront plus de poissons à pêcher. « Si on ne le fait pas, vous manquerez un jour de poisson à pêcher. Alors, nos générations futures nous en voudront de ne pas avoir pris des mesures pour l'éviter », a-t-il souligné. Selon le ministre, de nouvelles activités et de nouvelles formes de pêche seront introduites dans les activités. Gaston Dossouhoui a demandé aux pêcheurs d'être compréhensifs et d'apporter leur soutien à la réussite de l'opération qui selon lui, est imminente.
Les pêcheurs, dans leurs interventions, tous consentants, ont fait des propositions qui, pour eux, participeront de la réussite de l'opération.
Outre les pêcheurs de Kpomassè et de Bopa, le ministre chargé de la pêche a également visité des villages aquacoles d'Ifangni, de Sèmè-Podji et l'écloserie moderne de la Fondation Tonon à Ouèdo, dans la commune d'Abomey-Calavi. A Pahou, l'autorité ministérielle a tenu une séance de travail avec les membres de l'Association des acteurs piscicoles de la lagune de Toho.
Ces déplacements du ministre visent à apporter le soutien du gouvernement aux promoteurs et s'assurer que les Béninois pourront manger du poisson produit au Bénin lors des fêtes de fin d'année.
Antoine Kakalaka, fermier à Sèmè, a promis 15 tonnes alors que la Fondation Tonon a déjà garanti des commandes de 450 tonnes au moins.
Le besoin annuel en termes de consommation nationale de poissons, est de 200.000 tonnes. La pêche traditionnelle en fournit 50.000 tonnes au plus. Les acteurs piscicoles y participent pour environ 6.000 tonnes et le reste est importé.
La politique du gouvernement selon le ministre chargé de la pêche, vise à porter la production piscicole à au moins 20.000 tonnes d'ici à 2021.
F. A. A.
Le ministre des Affaires étrangères et de la coopération, Aurélien Agbénonci, a pris part du samedi 6 au dimanche 7 octobre dernier à la réunion ministérielle préparatoire de la 7ème Conférence internationale de Tokyo pour le développement de l'Afrique (Ticad VII). Occasion pour lui d'appeler les investisseurs à investir au Bénin.
Prévue pour se tenir à Yokohama, au Japon, en 2019, la 7ème Conférence internationale de Tokyo pour le développement de l'Afrique (Ticad VII) a fait objet d'une rencontre interministérielle où a participé le ministre Aurélien Agbénonci. Ce dernier a notamment participé à l'une des plénières du dimanche 7 octobre qui portait sur le thème : « Renforcer la connectivité en Afrique et au-delà ››. M. Agbénonci a profité de l'occasion pour appeler les Japonais à investir au Bénin. Le ministre a montré la volonté du chef de l'État notamment à travers ce thème qui est inscrit dans l'Agenda 2063 de l'Union africaine et intégré au Programme d'actions du gouvernement (Pag) 2016-2021 du Bénin.
Dans son adresse, il estime que l'Afrique devrait prendre le leadership dans la mise en œuvre de la connectivité en Afrique sous ses quatre dimensions. Ce programme relatif à la connectivité doit être inscrit dans le cadre du partenariat public-privé. Avec son homologue japonais, Taro Kono, le ministre Aurélien Agbénonci a discuté de la coopération entre les deux pays. Plusieurs rencontres ont permis au ministre des Affaires étrangères de nouer divers partenariats avec le Japon.
Avec le président de l'Ong Rba international, Nobuhiro Kume, il a été question du projet d'accord de partenariat pour des bourses de formation au Japon de jeunes Béninois. Aussi, a-t-il eu des échanges de travail avec l'honorable Natsuo Yamaguchi, membre de la Chambre des conseillers du parlement japonais et président du parti « Nouveau Komeito » de la coalition au pouvoir, l'honorable Ichiro Aisawa, président de la Ligue d'amitié Japon-Afrique, le gouverneur de la ville d'Osaka accompagné respectivement de Sakakibara Sadayuki, président du comité de candidature de la ville d'Osaka pour l'Exposition universelle 2025, et Kounoike Kazusue, membre de la Chambre de commerce et d'industrie d'Osaka.
Invitant les Japonais à investir au Bénin, Aurélien Agbénonci a rassuré ces derniers sur le climat favorable des affaires au Bénin.
G. A.
Invités pour éclairer les auditeurs sur les réformes dans l'enseignement supérieur, Bienvenu Koudjo, Directeur de cabinet du ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique et Epiphane Azon, président de l'Association des parents d'élèves et d'étudiants, ont apporté leurs contributions aux débats actuels sur les universités notamment les universités publiques. C'était sur l'émission 90 mn au Bénin de la radio nationale (Ortb).
Le Directeur de cabinet du ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique souligne que les réformes en cours dans les universités permettent une meilleure gestion des flux et la bonne orientation des étudiants. Selon lui, le nombre d'étudiants cette année dans les universités tourne autour de 33 000. Bienvenu Koudjo indique que « 33.747 bacheliers vont faire objet de l'attention des responsables pour leur rentrée pré-universitaire ».
« Généralement, les universités publiques auront autour de 22.000 mais nous ne pouvons prendre que 20 000 environ à cause des redoublants qui doivent s'y ajouter », précise-t-il.
Pour Epiphane Azon, président de l'association des parents d'élèves et d'étudiants, « Ce sont les universités publiques qui sont concernées par le redéploiement des nouveaux bacheliers. C'est après cela que les privées reçoivent le reste ». Par ailleurs, il souligne que « Ce qui se passe est que les enfants ayant entre 17 et 18 ans, refusent d'aller sur le campus du fait de l'encadrement insuffisant et surtout de l'insécurité avec les menaces quotidiennes de leurs aînés ».
Le Directeur de cabinet du ministre signale qu'on a rationalisé le système universitaire. « Les enfants qui luttaient pour l'abrogation du dernier décret n'ont pas compris le bien fondé de la chose. Ils se basaient sur la moyenne qu'avaient leurs frères pour bénéficier des allocations », explique M. Koudjo. Il indique que la formation aujourd'hui n'est plus la même puisque le système n'est plus la même. « Aujourd'hui, c'est la semestrialisation. Avec le système LMD, on a la bourse dès la première année », indique-t-il.
« Les anciens au fur et à mesure qu'ils avancent, leur bourse est reconvertie sur la nouvelle base », précise-t-il.
La gestion des étudiants dans les écoles se fait sur dépôt de dossier. « Pour les boursiers qui ont obtenu leur baccalauréat, on classe selon la moyenne pondérée. Lorsque la commission des bourses se réunit, elle se base sur les nombres de demandeurs et le quota dont à besoin l'école. Et le nombre demandé par les filières ou l'institution d'accueil, on classe selon qu'il y a des boursiers non payant, des partiellement payants puis enfin les entièrement payants. Le choix entièrement payants doit être en concordance avec le premier choix de l'étudiant », explique-t-il en détail pour montrer comment se fait l'admission dans les écoles contrairement à ce qui se passait avant. « Avant même les choix, on est passé dans les établissements pour montrer les débouchées de choix et les carrières », informé le directeur de cabinet.
Sans oublier qu'il y a eu un guide d'orientation pour les aider. Pour Epiphane Azon, « Le problème c'est en cours d'année que les fiches sont envoyées et les enfants font leur choix au hasard ». Ceci ne facilite pas une bonne réflexion des enfants pour respecter le choix judicieux.
Cette année selon le directeur de cabinet, en ce qui concerne les allocations, « L'État a mis plus de moyens pour soutenir ceux qui sont inscrits. Les ressources engagées par l'État tournaient autour de 7 et 8 milliards FCFA. Cette année, cela tourne autour de 18 milliards FCFA. Il y a eu 14 milliards FCFA pour apurer les arriérés », martèle-t-il. Mais Epiphane Azon souligne que « les étudiants n'ont pas eu les bourses pendant des années et c'est ce qui doit être apuré d'abord.
Les autorités d'alors n'ont pas eu les sous aussi pour régler ce problème. Nous avons tapé plusieurs fois sans suite ». Du coup ce sont les parents qui assurent tous les frais alors qu'avec les allocations, les enfants pourront s'en servir pour leurs études.
La question d'admission dans les universités avec les réformes a été également abordée.
« Dans les facultés classiques, le problème ne se pose pas. Jusque-là, il n'y a pas encore un tri. Dans les écoles vous êtes soit boursiers ou non. Si vous n'êtes pas boursiers, il faut payer et il est important que les parents soient fixés plus tôt pour prendre les dispositions idoines notamment avec les réformes », confie le président de l'association des parents d'élèves et étudiants. Selon Bienvenu Koudjo, « Les réformes en cours visent à maîtriser le flux. Il y avait dans les reformes, l'aspect de récupération totale des frais. Les rectorats ont demandé le retour de payement. Après étude, le gros lot se trouve dans les facultés », dira-t-il. Mais il ajoute que « Le chef de l'État a demandé si on maîtrise tout pour comprendre le pour et le contre de la réforme. Il a demandé qu'on garde le statut quo pour confier les études au conseil national de l'éducation afin d'y voir clair. Le chef de l'État a vu que la grande masse bénéficiait de la prise en charge. Les parents n'étaient pas aussi suffisamment sensibilisés. Ce constat fait, le chef de l'État a estimé qu'il faut laisser la réflexion au Conseil national de l'éducation et continuer avec ce qui se faisait ».
Pour les reformes notamment celle relative à l'ajustement des frais de scolarité qui avait entre temps circulé comme rumeur, Epiphane Azon signale que « Nous ne sommes pas associés. Nous nous sommes rapprochés des responsables du ministère. Mais lorsque le ministre est passé pour parler de statut quo cela a tout embrouillé ». Pour Bienvenu Koudjo, « Les réflexions se sont basées aussi sur les accords communautaires. Pourquoi cela ne concernerait pas par exemple l'Ivoirien alors qu'on est dans un même espace communautaire. Les dispositions communautaires veulent qu'on harmonisent les frais ». Il ajoute que « Quand on aura pris les dispositions et mieux informer les populations notamment les parents d'élèves, cela pourra facilement passer ». Il n'a pas manqué d'aborder la question de recrutement et l'organisation en cours au ministère dans ce cadre.
Pour le recrutement d'enseignants, il dira que « L'autorisation d'enseignement n'est demandée qu'aux enseignants des établissements privés d'enseignement supérieur ». Il ajoute aussi en ce qui concerne la situation dans le secteur privé, notamment leur reconnaissance, « qu'avant que les établissements ne soient homologués, il faut s'assurer que les conditions soient remplies ».
« Au terme de l'échéance s'ils remplissent les conditions, ils continuent au cas contraire ils vont fermer. L'étude de fait filière par filière », indique-t-il.
Pour le président de l'association des parents d'élèves et d'étudiants, « Il faut assainir pour que les établissements d'enseignement supérieur réunissent les conditions exigées avant de former ». Bienvenu Koudjo explique que les travaux sont en cours et seront bientôt finalisés pour qu'on ait une idée sur les universités régulièrement autorisés et les différentes formations.
Giscard AMOUSSOU
La multinationale QNET célèbre cette année son 20e anniversaire en tant que société de vente directe de premier plan en Asie.
1998 fut une année riche en événements; L’Europe s’est mise d’accord sur une monnaie unique: l’euro, Microsoft est devenu officiellement la plus grande entreprise du monde et Google a été fondé. Aux Philippines, une autre étape importante a été franchie: la naissance de QNET, l’une des principales entreprises de vente directe en Asie.
20 ans plus tard, QNET est devenu un acteur de premier plan dans le secteur de la vente directe, un pionnier dans le domaine du e-commerce et l’une des rares entreprises asiatiques à développer une présence mondiale à croissance rapide, notamment sur les marchés émergents qui ont récemment découvert la vente directe. Ainsi, QNET est passée d’une compagnie vendant un seul produit dans ses débuts à une entreprise proposant un large éventail de produits axés sur la santé, le bien-être et une vie holistique, avec des millions de clients satisfaits dans plus de 100 pays.
«Nous avons commencé avec un seul produit en 1998 et nous proposons aujourd’hui plus de 100 produits dans les catégories de santé, de bien-être, de maison et de vie, des soins personnels, des montres et bijoux, de formation en ligne et des vacances. Nous avons des clients de la Côte d’Ivoire à l’Indonésie, du Caire à Kolkata, du Maroc à Moscou qui ont non seulement bénéficié de nos produits, mais également de notre opportunité commerciale.
À la fin des années 90, au plus fort de la crise du secteur point-com, nos fondateurs avaient la vision de fusionner le concept de vente directe vieux de plusieurs décennies avec la popularité croissante du commerce électronique, permettant ainsi à cette entreprise d’être véritablement mondiale et accessible à tous. Cette stratégie a porté ses fruits et deux décennies plus tard, nous pouvons dire avec fierté que QNet a touché des vies dans le monde entier », a déclaré le PDG, Trevor Kuna.
La vente directe est une industrie mondiale florissante qui a généré 189,6 milliards USD en 2017 et implique plus de 116 millions de personnes dans le monde. La plate-forme de commerce électronique de QNET a permis à l’entreprise de se développer rapidement au-delà des frontières internationales et le modèle commercial de base a permis de créer des centaines de milliers de micro-entrepreneurs, notamment dans les économies émergentes où les opportunités de revenus classiques sont rares.
QNET propose une très large gamme de produits, dans des catégories telles que : Santé et bien-être, Beauté et soins personnels, Montres et bijoux, Éducation, Vacances et Technologie. L’entreprise prévoit également d’introduire une série de nouveaux produits dans le domaine de la nutrition et des biens de consommation durables pour marquer son 20e anniversaire.
Bien que le siège mondial de QNET est situé à Hong Kong, l’entreprise est présente dans près de 30 pays à travers le monde par l’intermédiaire de bureaux de représentation, des franchisés et des agences partenaires. QNET est présent au Moyen-Orient depuis 2008. Avec son bureau régional basé à Dubaï – UAE -, l’entreprise est présente sur les marchés du Maroc, de l’Algérie et de l’Égypte, ainsi que des agents au Moyen-Orient et en Afrique du Nord.
Ils disposent également d’un centre de contact primé, offrant une assistance à la clientèle multilingue dans plus de 12 langues principales et dialectes différents de centres de contact primés, ainsi que des plateformes logistiques en Malaisie, aux Emirats Arabes Unis, en Russie, en Turquie, en Inde et en Afrique.
«Nous sommes également sur le point d’entrer sur de nouveaux marchés en Asie du Sud-Est et sur le continent africain, alors que de plus en plus de pays reconnaissent le potentiel du secteur de la vente directe et introduisent des lois ou des lignes directrices pour le réglementer. Nous estimons que nous sommes les pionniers sur de bon nombre de ces nouveaux marchés et aspirons à fixer des normes professionnelles élevées pour le secteur, dans la mesure de s’autoréguler, sur des marchés où la réglementation n’existe pas actuellement », déclare Kuna.
QNET est membre de l’Association de vente directe de Malaisie, de Singapour, des Philippines, d’Indonésie et des Emirats Arabes Unis, et participe activement au sponsoring sportif dans le monde entier. Parmi les partenariats les plus importants incluent ceci : partenaire de vente directe du club de football de Manchester City et du club de football féminin de Manchester City, ainsi que les compétitions interclubs de la Confédération Africaine de Football (CAF).
QNET est également activement impliqué dans la construction de communautés à travers le monde, via sa fondation. Sa mission est de promouvoir le développement stratégique et durable des communautés dans le besoin par le biais d’investissements sociaux, de collectes de fonds et de subventions, dans trois domaines prioritaires: les enfants ayant des besoins spéciaux, le développement et le bien-être communautaire. Parmi leurs initiatives récentes en matière de RSE citons le don des produits d’alimentation pendant le mois de Ramadan, dans plus de 25 pays du monde, le don du système de filtration d’eau HomePure aux communautés démunies en Afrique et en Asie du Sud-Est et l’introduction du programme de lecture électronique Worldreader aux communautés rurales du Ghana.
Pour plus de détails, veuillez visiter : www.qnet.net
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Plus de 3.000 établissements scolaires sont plongés dans une anarchie, managériale et pélagique incroyable. Plus surprenant, est la raison qui explique cette situation : ils n’ont pas été dotés de directeurs pour les gérer !
Ainsi, plusieurs directeurs, ayant réussi l’examen d’accès au poste, ont bénéficié de promotion à la catégorie 16. Toutefois, rapporte le site EnnaharOnline, ils n’ont tout simplement pas reçu leurs affectations. Ces responsables(sur papier), ne savent donc pas vers quel établissement ils ont été affectés.
Et comme leurs postes ont été attribués à d’autres, ils ne sont ni directeur, ni professeurs. Ils ont donc réussi un concours, pour se retrouver sans poste. La situation est d’autant incroyable, que des professeurs se sont vus obligés d’assurer la gestion pédagogique de ces établissements.Leurs postes d’enseignant est dès lors,inoccupé. Et ce sont les élèves qui se retrouvent sans professeur !
Pour l’heure,les directions de l’Education accusent la Fonction publique. Cette dernière, selon le département de Benghabrit, a fait traîner les dossiers d’affectation, pour se lancer dans des procédures de vérifications interminables et les dossiers des admis. Ce qui est à l’origine de cette situation incroyable de 3.000 établissements scolaires sans directeurs !
Par : R. N.
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A quelques jours de la commémoration du massacre des Algériens, le 17 octobre 1961 à Paris, associations, syndicats et partis politiques français, montent au créneau pour demander au président Français,Emmanuel Macron, de reconnaître la responsabilité de l’Etat français.
« Le 17 octobre 1961, des dizaines de milliers d’Algériens manifestaient pacifiquement à Paris, contre le couvre-feu discriminatoire qui leur avait été imposé par le gouvernement de l’époque, dont le Premier ministre,Michel Debré, était hostile à l’Indépendance de l’Algérie, et le préfet de police Maurice Papon, sous ses ordres. Ils défendaient leur droit à l’égalité, leur droit à l’Indépendance et le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes », ont-ils rappelé dans une pétition rendue publique hier,ajoutant que ce jour-là, et les jours qui suivirent, »des milliers de ces manifestants furent arrêtés, emprisonnés, torturés notamment par la +force de police auxiliaire+ – ou, pour nombre d’entre eux,refoulés en Algérie. Des centaines perdirent la vie, victimes d’une violence et d’une brutalité extrêmes des forces de police ».
Pour ces associations, dont l’Association Maurice-Audin, et partis politiques, dont le Parti communiste français (PCF) et Europe Ecologie les Verts(EELV), « 57 ans après, la vérité est partiellement en marche », déplorant que la France n’ait toujours pas reconnu « sa responsabilité dans les guerres coloniales qu’elle a menées, – en particulier la Guerre d’Algérie–non plus que dans le cortège des drames et d’horreurs qu’elles ont entraînés,comme ce crime d’Etat que constitue le 17 octobre 1961 ».
« Nous demandons une parole claire aux autorités de la République, au moment où certains osent encore aujourd’hui, continuer à parler des +bienfaits de la colonisation+, à célébrer le putsch des généraux à Alger contre la République, à +honorer+ les criminels de l’OAS », ont-ils déclaré,exigeant également la reconnaissance par l’Etat français, de sa responsabilité dans l’internement « arbitraire » pendant la d’Algérie, d’Algériens dans des camps, la liberté d’accès aux archives pour tous, historiens et citoyens et l’encouragement de la recherche historique sur ces questions dans un cadre franco-algérien, international et indépendant.
A cet effet, ils demandent la création d’un lieu de mémoire « voué à cet événement « ,demandée dans la résolution votée par le Sénat en octobre 2012, « soit rapidement mise en oeuvre par les autorités de l’Etat, de la Ville de Paris et la Région Ile-de- France, et la vérité sur l’organisation criminelle de l’OAS que « certains, comme au sein de la Droite et l’Extrême droite politique veulent la réhabiliter « .
« Que le président de la République, au nom de la France, confirme, par un geste symbolique, la reconnaissance et la condamnation de ce crime d’Etat. Comme il vient de le faire pour l’assassinat de Maurice Audin par l’Armée française et pour l’existence d’un système de torture,généralisé », ont-ils écrit, soulignant que « ce n’est qu’à ce prix que pourra disparaître la séquelle la plus grave de la guerre d’Algérie, à savoir le racisme et l’islamophobie dont sont victimes aujourd’hui nombre de citoyennes et citoyens, ressortissants d’origine maghrébine ou des anciennes colonies, y compris sous la forme de violences policières récurrentes, parfois meurtrières ».
Par : LAKHDARI BRAHIM
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La 6e édition du prix littéraire Mohamed Dib a été marquée, jeudi soir, par une cérémonie en l’honneur des trois lauréats en langues arabe, amazighe et française au palais de la culture Abdelkrim-Dali de Tlemcen.
Les romans «Moul El hira» en langue arabe d’Ismaïl Ibrir, «Enza» de Sami Messaoudene en tamazight et «la défaite» de Mohamed Saâdoune en langue française ont été primés. Ces trois œuvres ont été choisies parmi une liste de neuf participants à ce concours organisé par l’association de wilaya «La grande maison» et les lauréats ont reçu un montant de 1 million DA financé par l’Office national des droits d’auteurs et droits voisins (ONDA), ont indiqué les organisateurs.
La sélection de ces œuvres a été effectuée par un jury composé de 22 membres, dont des écrivains, des critiques et des universitaires.
Le représentant du ministère de la Culture, Hakim Miloud a souligné, à cette occasion, que le prix Mohamed Dib a été officialisé au titre des activités parrainés par le ministère de tutelle au même titre que d’autres prix, dont ceux d’Assia Djebbar et de Tahar Ouattar pour encourager les créateurs et les romanciers.
L’année 2020 verra la commémoration du centenaire de la naissance de Mohamed Dib, un des grands romanciers algériens ayant dénoncé les pratiques coloniales françaises et contribué à la sauvegarde de la mémoire nationale, a-t-il ajouté.
La cérémonie de remise du prix a été également mise à profit pour honorer les participants à cette édition par des prix symboliques et la présentation de la pièce théâtrale «Batima» (immeuble) écrite par des jeunes adhérents à l’atelier du théâtre de l’association «La grande maison» dont les faits tournent autour de différences sur le mode de vie de personnes à l’intérieur et à l’extérieur de leurs maisons.
Les organisateurs ont prévu le deuxième jour de cette manifestation culturelle vendredi une rencontre de préparation du centenaire de la mort de Mohamed Dib et un exposé du projet «la grande maison de la photo» , ainsi qu’une soirée andalouse sur le patrimoine et la continuité animée par Idriss Zahmani qualifié à la finale de l’émission «Alhan oua Chabab», Leila Borsali et cheikh Toufik Benghabrit, a fait savoir la présidente de l’association, Benmansour Sabeha.
Elle a souligné que la création du prix littéraire portant le nom du romancier algérien Mohamed Dib (1920-2003) est une opportunité pour primer des écrivains algériens jeunes créateurs dans trois langues (arabe, tamazight et français), signalant que l’association «la Grande Maison» recense, depuis sa création en 2001, quelque 250 adhérents répartis sur des activités du théâtre, dessin, photographie et écriture.
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Une production de 10 à 11 millions de litres d’huile d’olive est attendue cette année dans la wilaya de Tizi-Ouzou, en baisse par rapport à l’année précédente, selon les prévisions de la direction locale des services agricoles (DSA), annoncées jeudi par son directeur Laib Makhlouf.
S’exprimant lors d’une journée sur l’oléiculture organisée par la DSA au Centre de loisirs scientifiques (CLS) à l’occasion du lancement officiel de la campagne oléicole 2018/2019, ce même responsable a expliqué cette légère baisse prévisionnelle, comparé à la production réalisée la saison dernière qui était de 13,540 millions de litres, suite aux pluies tardives enregistrées jusqu’au mois de juin dernier et qui ont fait tomber les fleurs. A cela s’ajoute une attaque de mouche de l’olivier signalée dans certaines régions ces derniers jours, même si elle n’a touché que 5% du verger oléicole de la wilaya, d’où l’urgence pour les oléiculteurs d’entamer la récolte.
M.Laib a fait savoir que la récolte se fera sur un verger oléicole d’une superficie totale pour toute la wilaya, d’environ 39 000 ha et sera prise en charge par 450 huileries dont 109 modernes, 57 semi- automatiques et 284 traditionnelles. Un rendement de 15 à 16 litres par quintal est attendu cette année, a-t-il estimé.
Lors de cette journée qui a regroupé des représentants d’instituts de formation, des professionnels, des organismes assureurs, les intervenants ont rappelé les bonnes pratiques à observer afin d’augmenter la production d’huile au niveau local et d’améliorer la qualité de ce produit en réduisant son taux d’acidité. Il s’agit entre autres, de la préparation du sol, de la réalisation de cuvettes, de l’apport d’engrais biologiques, de l’utilisation des caisses pour le stockage et du transport du fruit .
Intervenant devant l’assistance, le président du Conseil national oléicole, Mhamed Belasla, a insisté sur l’importance d’améliorer la qualité de l’huile d’olive algérienne, pour produire une huile aux normes internationales (vierge ou extra-vierge) qui aura sa place sur le marché international. Il a estimé que d’autres marchés, en dehors de l’Europe, peuvent être ciblés dont l’Afrique, l’Asie et le Moyen-Orient.
Le directeur de l’Institut de technologie moyen agricole spécialisé en agriculture de montagne (Itmas) de Boukhalfa, Tamene Said, a rappelé le rôle de cet établissement et son implication dans la dynamique de développement de la filière oléicole par l’élaboration de programmes de formation au profit des producteurs transformateurs, pour améliorer leurs pratiques.
Une série de thématiques a été arrêtée pour cette année, par l’Itmas en collaboration avec ses partenaires et porteront entre autres sur la conduite d’une oliveraie, la taille, la transformation, les bonnes pratiques pour la production d’une huile d’olive de qualité et la valorisation des sous-produits oléicole, a-t-il indiqué.
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La route principale reliant plusieurs villages au chef -lieu de la commune est coupée à la circulation suite à un glissement de terrain qui date de plus de 04 ans. En dépit des actions de protestation initiées par les villageois, les autorités locales ont fait la sourde oreille.
Aux appels lancés par les villageois pour effectuer les travaux d’aménagement indispensables, les autorités locales se sont contentées de travaux de bricolage qui étaient loin de regler définitivement le problème.
Après une longue attente, la wilaya a enfin lancé le projet dont les travaux ont commencé il y a quelques jours, mais la cadence est très lente selon les villageois. Les dernières pluies qui se sont abattues dernièrement ont causé un glissement de terrain qui a engendré la fermeture totale de cet important axe routier. Cette situation n’est pas sans conséquences sur les villageois, notamment les lycéens et les travailleurs qui sont contraints de faire de longs détours pour rejoindre leur destination.
Le retard et l’absence de suivi du projet a exacerbé les villageois qui pointent du doigt la négligence et l’incompétence de l’APC, dont la gestion est menée par le parti du FFS et cela depuis 03 mandats sans que l’amélioration du cadre de vie des citoyens ne soit effective comme rapportée dans un communiqué du conseil communal du RCD rendu public au juillet dernier, dénonçant la gestion opaque des affaires de la municipalité où la prise en charge des doléances des citoyens et le développement local sont les derniers soucis des élus locaux .
D’un coût estimé à plus 1,600 milliard de centimes, le projet risque de ne pas être réalisé dans les délais, à cause des faibles moyens de l’entreprise désignée et de la lenteur des travaux, chose qui a contribué au glissement total du terrain envahissant toute la chaussée dénoncent les citoyens. Ils lancent un appel au wali pour la prise en charge de ce problème qui pénalise des dizaines de villages dont les citoyens empruntent quotidiennement cet important axe routier ». En attendant, les habitants des villages et les lycéens sont contraints de faire plusieurs kilomètres de détour pour rejoindre le chef-lieu communal.
B. Khider
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Sur instruction de la ministre de l’Éducation nationale, la Commission nationale des œuvres sociales du secteur de l’éducation devra présenter son bilan moral et financier demain devant les syndicats au niveau du lycée des mathématiques à Kouba.
Ladite commission, dont le mandat a été prolongé d’une année supplémentaire, n’a pas présenté son bilan tout au long de son mandat qui a duré trois ans (2015-2018). Chose qui a suscité l’ire des syndicats qui ont dénoncé la décision « unilatérale » de Nouria Benghebrit de prolonger le mandat de la commission jusqu’à 2019.
Néanmoins, à travers cette mesure d’obliger la commission à présenter son bilan, la ministre de l’Éducation nationale veut gagner la bataille avec les syndicats qui ont menacé de recourir à des actions de contestation pour dénoncer le mode de gestion de ces œuvres. Mais c’est loin d’être gagné, puisque ces derniers appréhendent, d’ores et déjà, cette présentation qui a tardé à voir le jour. C’est le cas notamment du secrétaire général du Satef (Syndicat autonome des travailleurs de l’éducation et de la formation), Boualem Amoura qui a affirmé que la «commission présentera un bilan qui concerne trois longues années de gestion ». Par conséquent, il a indiqué qu’il sera compliqué d’analyser les chiffres d’une période aussi longue. Autrement, il a accusé les autorités de vouloir
«noyer le poisson».
Tout en rappelant la gestion « opaque » de ces fonds, le syndicaliste a tenu à préciser que la commission doit, selon les textes règlementaires, rendre ses bilans annuels, mais cela n’a pas été fait à temps. Pour sa part, le Conseil des lycées d’Algérie (Cla) a dénoncé récemment, la décision de la ministre de l’Éducation nationale de prolonger le mandat de la commission. Le CLA a, d’ailleurs, annoncé une journée de protestation pour le 23 octobre prochain.
Parmi ses revendications, le gel de l’activité de l’actuelle commission en attendant l’organisation d’un référendum. Pour Idir Achour, secrétaire général du Cla «la présentation du bilan n’est guère suffisante». Et pour cause, il dira que la commission se «contentera de dévoiler des chiffres quant au montant des dépenses sans pour autant faire une lecture de ces chiffres». Idem pour le coordinateur du Syndicat national autonome des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (Snapest), Meziane Meriane qui a fait savoir que la présentation du bilan sera une simple « réunion d’information». «Nous ne pourrons pas savoir où est-ce que l’argent des travailleurs a été dépensé au juste», a-t-il déploré, appelant à limiter les prérogatives de la commission.
Pour expliquer sa décision de prolonger le mandat de la commission, la ministre de l’Éducation avait expliqué que les syndicats ne sont pas encore arrivés à se mettre d’accord sur le nouveau mode de gestion. Elle avait précisé, cependant, qu’elle ne voit pas d’inconvénient d’aller vers un deuxième référendum à partir du mois de mai ou de juin prochain. Chose qui a été dénoncée par les syndicats.
C’est donc dans le but de calmer les esprits que Nouria Benghebrit a sommé la commission de dévoiler un rapport détaillé sur les années 2015 à 2018. Rappelons que le Fonds des œuvres sociales est financé par une contribution annuelle de l’État qui octroie une aide supplémentaire à hauteur de 3% des salaires des fonctionnaires.
Lamia Boufassa
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Messaoud Boudiba, responsable de la communication du Cnapeste, a déclaré vendredi, à la veille du séminaire national sur la sécurité et protection sociale en Algérie, auquel participent des parlementaires, des syndicats autonomes, des experts, que la rencontre « sera l’occasion d’envoyer un message au Premier ministre s’agissant du recul des acquis sociaux et de l’état social en Algérie ».
Messaoud Boudiba n’est pas allé avec le dos de la cuillère pour adresser de vives critiques à l’adresse du gouvernement estimant que « la politique des transferts sociaux adoptée au terme des lois de finances, ne profite plus aux travailleurs, mais aux patrons» et d’avertir, quant au risque d’une explosion, compte tenu de l’accumulation des tensions sociales.
Pour le responsable du CNAPESTE et au vu de la situation actuelle du marché, un salaire de 50 000 DA paraît être « le minimum de la dignité» lançant un appel aux travailleurs « pour se mobiliser et faire face à toute éventualité ».
Il importe de préciser que le calcul du pouvoir d’achat réel est intimement lié au processus inflationniste interne et aux performances de l’économie algérienne qui reste tributaire de l’évolution des cours des hydrocarbures. Dans les conditions qui ponctuent l’actualité algérienne, il faudrait au minimum un revenu net de 50 000/60 000 DA par mois pour vivre très humblement et dignement.
L’analyse du pouvoir d’achat réel des Algériens devrait, en réalité, intégrer outre les prix des produits alimentaires, l’élévation exorbitante des factures d’électricité, de l’eau, du loyer ou de la maintenance de l’appartement ou de la maison, et les frais de scolarisation des enfants.
Le pouvoir d’achat du citoyen est calculé en fonction du taux d’inflation et de son modèle de consommation. Concrètement, les produits de première nécessité, leurs prix ont fortement augmenté : les fruits, tomate, poivron, haricot, salade, et même la pomme de terre. Quant aux viandes, le prix du poulet a grimpé ainsi que celui de la viande de mouton variant entre 1500/1800 dinars le kg selon les marchés et la nature de la viande.
Pour ce qui est des produits importés et vu le dérapage du dinar qui est passé officiellement de 115 dinars pour un euro à près de 140 dinars pour un euro, une augmentation de près de 210 dinars est notée sur le marché parallèle, quant aux biens non subventionnés, l’accroissement des prix varie de 30% à 50% en une année. Il est plus que jamais nécessaire d’admettre que le processus inflationniste qui gangrène la sphère de l’économie nationale invite à l’urgence d’une nouvelle gouvernance.
Zacharie S Loutari
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L’association des distributeurs algériens par abréviation ADPHA est fière de constater la mobilisation de ses adhérents pour leur contribution à la réussite de la campagne de vaccination anti grippale 201
Comme chaque année les répartiteurs nationaux, grâce à leur engagement et leur abnégation ont fait parvenir le vaccin antigrippal au même moment et dans des conditions rigoureuses de respect de la chaîne de froid aux quatre coins de notre vaste territoire national. L’ADPHA tient aussi à remercier les pharmaciens d’officine pour leur mobilisation sans faille pour la réussite de cette campagne.
Le réseau de distribution que nos adhérents ont réussi à mettre sur pied à travers notre immense territoire, est l’un des principaux vecteurs auquel est adossée la mise en œuvre de la politique nationale de santé.
Hassiba BOULMERKA. Présidente de l’ADPHA
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L’homme de théâtre et comédien, Mahieddine Bouzid dit «Mahiou» a été inhumé vendredi après-midi, au cimetière de Bouzourane (wilaya de Batna), et ce, en présence du ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, des autorités locales, d’artistes, de personnalités et des proches du défunt.
Une foule nombreuse composée de citoyens, d’amis artistes et hommes de théâtre venus de différentes régions du pays, dont certains connaissaient le défunt et d’autres avaient interprété des rôles à ses côtés que ce soit sur les planches du théâtre, à la télévision ou au cinéma, a assisté à l’inhumation du défunt, décédé jeudi soir, à l’âge de 56 ans, des suites d’une longue maladie.
Après l’enterrement, le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, accompagné du wali de Batna, Abdelkhalek Sayouda, a présenté ses condoléances à sa famille dans sa demeure, où il a évoqué les qualités de «Mahiou», l’artiste et l’homme qui est entré, dit-il, dans le coeur des Algériennes et des Algériennes à travers «l’interprétation de rôles qui étaient faits pour lui».
Dans une déclaration à l’APS, Mihoubi a affirmé qu’avec la mort de Mahieddine Bouzid «Mahiou», «nous avons perdu un authentique artiste algérien qui a su, avec sa spontanéité et sa sincérité, conquérir l’amour des gens», ajoutant que le défunt était «un artiste modeste qui ne parlait pas beaucoup, mais qui a consacré son talent, son potentiel artistique et son amour pour les planches à présenter des oeuvres ayant marqué la scène artistique d’une empreinte particulière.
Il est à noter que le dramaturge Mahieddine Bouzid a été transféré au centre hospitalo-universitaire de Batna, il y a environ 10 jours, après que sa santé s’est détériorée le plongeant dans le coma, mercredi dernier, avant de décéder, jeudi soir, au service des soins intensifs.
Le regretté Mahieddine Bouzid, qui a laissé trois filles âgées entre 18 et 24 ans, est né le 3 janvier 1962 et s’est épris des planches depuis qu’il étudiait en cycle secondaire.
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Présentés ce matin devant le tribunal militaire, cinq Généraux Majors ont été placés en détention provisoire dans une affaire de biens mal acquis et de corruption.
Les généraux concernés sont l’ex-Commandant de la Gendarmerie nationale Menad Nouba, l’ex-Commandant de la 1ère Région militaire Habib Chentouf, l’ex-Commandant de la 2e RM Saïd Bey, l’ex-Commandant de la 4e RM Abderrazak Chérif et l’ex-Directeur des finances au MDN Boudjemaâ Boudouaour.
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«Balade musicale à trois», un concert de musique classique, a été animé jeudi soir à Alger, par Djamel Ghazi à la flûte traversière et les pianistes Kheira Mokrane et Nadia Mécheri, devant un public recueilli, dans des atmosphères empreintes de solennité. A la Basilique Notre-Dame d`Afrique, où le concert a élu domicile.
L’espace, constituant une parfaite caisse de résonance, a permis au public d’apprécier le rendu des musiciens qui, près de 90 mn durant, ont traversé les siècles, restituant, en deux parties, de grandes oeuvres des époques, baroque, classique et post- romantique.
Djamel Ghazi et Kheira Mokrane, respectivement, flûtiste-soliste et pianiste à l’Orchestre symphonique national (actuellement Orchestre de l’opéra d’Alger), animant un premier duo, ont brillamment restitué, le génie créatif de Johann Sébastian Bach (1685-1750), et Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791), à travers deux sonates, en «Sol mineur» et en «Si bémol majeur», des époques, baroque et classique du XVIIe et XVIII siècles, rendues chacune en trois mouvements.
Intervenant ensuite dans la partie post-romantique marquant le XIXe et le début du XXe siècle, Nadia Mécheri a orné le silence religieux de la basilique avec une dizaine de pièces de grands compositeurs, dont les premières, courtes en durées, ont été hautement appréciées par le public, à l’instar de «Gnossiennes No 2 et 4» d’Eric Satie (1886-1925), «Berceuse de la suite Dolly» de Gabriel Fauré (1845-1924), «Mouvement perpétuel No 1 «de Francis Poulenc (1899-1963) et «2ème mouvement de la sonatine» de Maurice Ravel (1875-1937).
De retour sur scène, Djamel Ghazi, récidivera avec Nadia Mécheri, cette fois-ci, constituant avec elle le deuxième duo de la soirée qui entonnera d’autres grandes oeuvres de la musique classique, à l’instar de «Beau soir» de Claude Debussy (1862-1918) et «Sicilienne» de Gabriel Fauré, au plaisir d’un public conquis.
Appréciant la virtuosité et le professionnalisme des artistes faisant montre de toute l’étendue de leurs talents respectifs, et la pureté des sonorités qui a orné le silence sacral des lieux, l’assistance a savouré chaque moment du spectacle dans l’allégresse et la volupté.
Dans un programme savamment préparé qui a réuni, pas moins de onze grands compositeurs, l’époque très fertile couvrant la période allant du XVIIe au XXe siècle a, en partie, été restituée, dans la douceur et la sérénité de L’instant. Diplômés des grandes Ecoles de musique en Algérie et à l’étranger, où ils ont été distingués de plusieurs prix après de longues années d’études, Djamel Ghazi, Kheira Mokrane et Nadia Mécheri assurent actuellement les fonctions de maître-assistant au département de musique de l’Ecole normale supérieure de Kouba, et professeures, de piano à l’Institut national de musique d’Alger, ainsi qu’à l’Institut national supérieur de musique, respectivement.
Le concert pour flûte et piano, animé par Djamel Ghazi, Kheira Mokrane et Nadia Mécheri, entre, selon le recteur de la basilique Notre-Dame d’Afrique, père Michael P. OÆSullivan, dans le cadre du «programme régulier, initié par l’église».
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