« Nidec-PSA emotors », la nouvelle coentreprise de Nidec Leroy-Somer et du Groupe PSA dédiée à la conception, au développement, à la fabrication et à la vente de moteurs de traction électriques, été officialisée.
Quarante ingénieurs ont déjà été recrutés et ont rejoint le siège de la joint-venture à Carrières-sous-Poissy, près de Paris. À la fin de l’été, une trentaine d’ingénieurs supplémentaires devraient rejoindre ce site sur une zone de R&D dédiée. Ils vont concevoir de nouveaux moteurs de traction électriques qui seront produits à l’usine de Trémery, en Moselle, pour être ensuite intégrés dans des véhicules mild-hybrides (MHEV), hybrides rechargeables (PHEV) et des véhicules électriques (EV).
Convaincus de l’importance stratégique du moteur de traction haute performance pour les véhicules électriques, les deux groupes investiront 220 millions d’euros dans la mise en place de cette joint-venture. Cet investissement soutient l’offensive du Groupe PSA vers l’électrification, qui proposera une version électrifiée de tous les modèles de ses marques d’ici 2025.
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«Super Dickmann's» postete zur Royal-Wedding einen Schokokuss im Hochzeitskleid. Internet-Nutzer sahen darin eine rassistische Anspielung auf Meghans Hautfarbe.
Mit diesem Facebook-Post griff Super Dickmann’s dick daneben. Zur Hochzeit von Meghan Markle (36) und Prinz Harry (33) veröffentlichte der Süsswarenhersteller ein Bild von einem braunen Schokokuss im weissen Brautkleid.
«Armselige Kampagne»Social-Media-User sahen darin eine rassistische Anspielung auf Meghans Hautfarbe – und die frühere deutsche Bezeichnung «Negerkuss». Es hagelte negative Kommentare auf Facebook und Twitter. «Armselige Kampagne (...). Ich hoffe, das hat für euch wirtschaftliche Konsequenzen», schreibt ein Twitter-User.
Andere Nutzer empfinden den Schaumkuss im Brautkleid als nicht ganz so schlimm. «Ich glaube, wir leben in einer Welt, in der die Leute nur noch Social Media nutzen, damit sie etwas finden, worüber sie sich aufregen und empören können.»
Super Dickmann’s postete daraufhin eine Entschuldigung – die es der Süssigkeit in den Mund gelegt hatte: «Das diskutierte Bild zeigt mich selbst und es ging mir um meinen Traum in Weiss. Es tut mir sehr leid, wenn ich andere Assoziationen damit ausgelöst habe. Eine dicke Entschuldigung.» Den Ursprungs-Post hat Super Dickmann’s mittlerweile gelöscht. (paf)
DÜBENDORF ZH - Swissloop geht am 22. Juli in Los Angeles erneut auf Rekordjagd. Die Studenten der ETH Zürich schicken dieses Mal die Kapsel «Mujinga» ins Rennen. Letztes Jahr hatten die jungen Schweizer Tüftler den dritten Rang belegt.
Zunächst bockt «Mujinga», selbst eine pompöse Inszenierung mit Musik und Rauch kann sie nicht durch den kleinen Testtunnel in einem ehemaligen Flugzeughangar in Dübendorf ZH locken. Erst mit vereinter Kraft gelingt es dem ETH-Studentenverein Swissloop, «Mujinga» den wartenden Journalisten etwas näherzubringen. Der Frust sitzt tief: «Beim ersten Test hat es noch funktioniert, jetzt haben wir Verbindungsprobleme, können die Kapsel nicht ansteuern», sagt Luca Di Tizio (24), ETH-Student und Vorstandsmitlied von Swissloop, zu BLICK.
«Mujinga», das ist der Name der futuristischen Transport-Kapsel, mit der Swissloop zum zweiten Mal am Hyperloop-Geschwindigkeitswettbewerb von Tesla-Gründer Elon Musk (46) teilnehmen wird. Benannt ist die Kapsel nach Mujinga Kambundji (25), der schnellsten Frau der Schweiz. Sie sei sehr stolz, dass die Kapsel ihren Namen trage, sagt Di Tizio: «Ich bin selber Leichtathlet, habe mit Mujinga schon oft trainiert. Unser Team soll so sein wie sie: schnell und sympathisch.»
Man mag den sympathischen Studenten von Swissloop die missglückte Medien-Vorführung verzeihen, am Hyperloop-Wettbewerb zählt aber nur eines: Speed! Hyperloop steht für ein Transportsystem der Zukunft, das sich Visionär Musk ausgedacht hat. Eine Art Rohrpost, in der Kapseln – die Pods – im Vakuum hin- und herrasen und Personen oder Güter über weite Strecken transportieren sollen. Am 22. Juli kürt Musk einmal mehr die schnellsten Kapseln für seine Röhren.
Swissloop setzt sich gegen 5000 Mitbewerber durchDas Team aus drei Studentinnen und 17 Studenten von der ETH Zürich und weiteren Deutschschweizer Hochschulen schickt eine Kapsel mit Elektroantrieb an den Start. Swissloop hat sich gegenüber 5000 Mitbewerbern durchgesetzt. Nur 20 Teams haben die Musk-Einladung nach Kalifornien erhalten.
Sarah Springman (61), Rektorin der ETH Zürich, ist vom Projekt beeindruckt. Die ehemalige Spitzentriathletin weiss, worauf es ankommt, um die harte Konkurrenz zu schlagen: «Es braucht viel Planung und Teamfähigkeit. Diese Erfahrung ist für die Studenten sehr wertvoll.»
Es gilt den dritten Platz von 2017 zu verdauen. Damals versagte der Swissloop-Pod «Escher» kläglich! So hiess die Kapsel, mit der der Studentenverein letztes Jahr im Finale in Kalifornien stand. Die Sieger-Kapsel erreichte eine Geschwindigkeit von 324 km/h.
Dieses Jahr will man siegen. «Wir sind viel weiter als 2017, damals hatten wir zwei Monate vor dem Rennen noch gar keinen Prototyp. Nun können wir ausgiebig testen», sagt Di Tizio. Eine Hauptprobe vor den Medien ist am Mittwoch missglückt – vielleicht ein gutes Omen für das Rennen im Juli.
Seat est devenu l’un des nouveaux sponsors de l’Équipe Nationale Espagnole de football suite à l’accord signé entre le constructeur automobile et la Fédération Royale Espagnole de Football permettant à la marque de figurer parmi les principaux partenaires jusqu’en mars 2021.
De plus, Seat sera désormais la voiture officielle de l’équipe et l’un de ses sponsors lors de la Coupe du monde 2018 en Russie, débutant le 14 juin prochain ainsi que de l’Euro 2020, qui se déroule dans 11 pays. Seat fera ses débuts en tant que sponsor de l’équipe le 3 juin prochain lors du match amical contre la Suisse qui se déroulera à Villarreal. A partir de cette date et jusqu’en mars 2021, la société sera présente à un minimum de 15 matchs qui se dérouleront en Espagne. L’accord comprend également, entre autres, des activités promotionnelles avec certains joueurs, précise le communiqué de la marque.
Le Président de SEAT, Luca de Meo, a souligné « en sponsorisant l’Équipe Nationale Espagnole de football, SEAT s’associe à une équipe gagnante à un moment où l’entreprise rencontre également des succès importants ». De plus, il a ajouté que « cet accord vise à associer SEAT en tant que marque du peuple espagnol et à nous rassembler autour d’une passion commune qui est le football, le sport le plus populaire et le meilleur tremplin pour permettre à l’esprit de la marque de gagner en visibilité et de continuer à se développer en Espagne et en Europe ainsi que dans le monde entier ».
Par ailleurs, Marcelino Maté, Président du Comité Directeur de la RFEF, s’est félicité « de la collaboration sincère et loyale que nous avons trouvée avec SEAT, une marque de référence sur le marché européen qui nous accompagnera main dans la main jusqu’en 2021. La Fédération Royale Espagnole de Football est pleinement consciente de l’importance de cet accord et des avantages qui en découlent ». Mr Maté a déclaré que « les liens entre l’Équipe Nationale et SEAT seront forts, intenses, amicaux et avantageux pour les deux parties. Aujourd’hui, le football espagnol à son plus haut niveau avec l’Équipe Nationale et Seat, une entreprise leader dans son secteur, ont un objectif commun : la Coupe du Monde 2018 ».
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23 mai 1928, 10 heures : une voiture de course futuriste avec des ailerons latéraux déchaine le tonnerre sur le circuit Avus de Berlin, dans un vacarme accompagné d’un énorme sifflement.
Fritz von Opel, 29 ans, petit-fils du fondateur de la société Adam Opel, vient d’allumer successivement les 24 fusées à poudre installées à l’arrière de son RAK 2 et enfume les stands dans la traînée de feu de son sillage. Les 3.000 spectateurs se déchainent lorsque la voiture noire arborant fièrement en grosses lettres la marque Opel s’arrête : « Fritz la bombe » de Rüsselsheim vient d’établir un nouveau record de vitesse sur circuit avec 238 km/h. Il vient aussi de prouver au grand public que la propulsion par fusées permet d’aller vite, tout en restant maitrisable. Opel ouvre l’âge de la propulsion à réaction devant les caméras de télévision – et jette les bases des vols spatiaux habités.
Constructeur automobile et pionnier du moteur à réaction
L’histoire de l’Opel RAK 2 remonte à l’automne 1927. Fritz von Opel décide de s’impliquer activement dans les recherches sur le moteur-fusée après avoir rencontré Max Valier (1895-1930), un autrichien passionné de publicité et d’astronomie. Le pilote de course, entrepreneur et brillant ingénieur, se met au service de cette cause en amenant ses convictions, ainsi que la volonté d’innovation et la puissance financière d’Opel. D’abord, parce qu’il est personnellement fasciné par la technologie des fusées et ensuite, parce qu’il espère que ce projet futuriste aura des retombées positives pour la marque Opel. Opel demande à Friedrich Sander (1885-1938) de se joindre à ce projet pour finaliser rapidement la mise en œuvre du moteur fusée. L’entreprise de Sander fabrique des fusées de détresse à poudre.
Premiers essais à Rüsselsheim
La coopération entre Valier, Sander et von Opel commence à porter ses fruits dès mars 1928. Les premiers prototypes de véhicules-fusée sont lancés sur la piste d’essai d’Opel à Rüsselsheim – évidemment derrière des portes closes. Le 11 avril, l’Opel RAK 1 avec à son volant Kurt Volkhart, ingénieur et pilote de course Opel, atteint 100 km/h en huit secondes. Le véhicule, qui a déjà des petites ailes latérales, est basé sur l’Opel 4/12. Il est propulsé par douze fusées Sander contenant environ 40 kilogrammes d’explosifs. Cette voiture prouve que l’on peut utiliser des fusées dans la propulsion automobile. L’équipe pense toutefois qu’il faut faire des essais à des vitesses plus élevées, d’autant que l’accueil de la presse s’est montré délirant. Comme la piste d’essai de Rüsselsheim ne convient pas pour de tels essais, c’est le circuit Avus de Berlin que choisit le team, parce qu’il possède deux longues lignes droites.
Un prototype futuriste propulsé par 24 fusées
L’Opel RAK 2 a été spécialement conçu pour la tentative de record sur l’Avus. Il est basé sur le châssis d’une Opel 10/40 et améliore le RAK 1 dans de nombreux domaines. Il est plus long que son prédécesseur avec une longueur qui atteint désormais 4,88 mètres, l’aérodynamique a été retravaillée, les ailerons latéraux sont plus importants et il est équipé de 24 fusées à poudre qui développent 6 tonnes de poussée. Toutefois, l’allumage séquentiel électrique des charges grâce à une pédale installée au plancher a été maintenu. En dehors de cela, la voiture de course futuriste de 560 kg n’a ni moteur ni boîte.
Une utopie devenue réalité
Fritz von Opel décide de conduire lui-même l’engin – et il organise un véritable show pour la tentative de record de Berlin avec une précision méticuleuse, tant sur le plan technique que sur celui de l’organisation. Environ 3.000 personnes, journalistes, célébrités, athlètes et hommes politiques sont invités. Et le grand monde se presse pour assister à l’événement. Des stars de cinéma comme Lilian Harvey ou Thea von Harbou, le réalisateur de Metropolis, Fritz Lang, de célèbres pilotes de course comme Hanni Köhler ou Carl Jörns ou le boxeur de légende Max Schmeling, sont tous au rendez-vous. Avant le début de la tentative de record, le professeur Johann Schütte, Président de la société scientifique de l’Aviation, et Fritz von Opel, font des discours prémonitoires. Puis le team Opel se prépare. August Becker et Karl Treber, les mécaniciens, lèvent la bâche sur l’Opel RAK 2 et le poussent précautionneusement sur la ligne de départ. C’est alors seulement que les fusées sont installées et raccordées au mécanisme d’allumage. La police dégage la piste et Fritz von Opel s’installe derrière le grand volant en bois. Poignée de main émue accompagnée de quelques mots de Friedrich Sander… Tout à coup, les spectateurs enthousiastes se taisent. Puis tout se passe très vite. « J’appuie sur la pédale d’allumage et les fusées se mettent à hurler dans mon dos, tout en me donnant une formidable impulsion en avant… Alors j’appuie encore sur la pédale, et encore – une sorte de frénésie s’empare de moi – jusqu’à la quatrième fois. À mes côtés, tout disparaît… L’accélération déclenche chez moi une montée d’adrénaline. Je cesse de penser. J’agis juste par instinct, alors qu’une puissance incontrôlable se déchaine dans mon dos, » se souvient « Fritz la bombe ».
Le jeune intrépide portant un nom célèbre à Rüsselsheim parvient à négocier le virage nord, et évite à la voiture de s’envoler – les ailerons ne fournissent pas suffisamment d’appui pour la vertigineuse vitesse atteinte. L’affaire est bouclée en trois minutes. Le RAK 2 ralentit lentement jusqu’à s’arrêter, le grand panache blanc de fumée disparait dans le ciel de Berlin et est bien vite remplacé par le tonnerre des applaudissements des spectateurs. Une utopie est devenue réalité et se transforme en succès spectaculaire. Von Opel a atteint une vitesse de 238 km/h, et en une nuit, tout le monde connait son nom en Allemagne. La marque Opel est immédiatement reconnue comme une marque synonyme de progrès technique et d’innovation. L’ère de la propulsion à réaction vient de commencer.
Esprit d’innovation et compétence technique
Encouragés par leur succès de Berlin, Fritz von Opel et Friedrich Sander poursuivent leurs expériences. Le 23 juin 1928, ils battent un nouveau record pour véhicules sur rails en atteignant 256 km/h avec une draisine sur laquelle ont été greffées des fusées, l’Opel RAK 3. Après des essais menés avec une moto, la légendaire Opel Motoclub, ils se tournent vers l’aviation. Et le 30 septembre 1929, ils enregistrent un nouvel exploit qui fait d’eux de grands pionniers : ils effectuent premier vol sur avion à réaction jamais effectué en public à bord de l’Opel-Sander RAK1 construit par Julius Hatry. Peu après, les essais de propulsion à réaction d’Opel doivent s’arrêter, à cause de la crise économique de 1929. L’entreprise choisit de concentrer ses moyens techniques sur le développement de l’automobile. Cependant, l’esprit d’innovation et la compétence technique restent encore des valeurs présentes aujourd’hui dans les gènes d’Opel. Et la recherche et le développement de nouvelles technologies de propulsion restent l’un des objectifs majeurs de l’entreprise – peut-être plus encore aujourd’hui que jamais.
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Distributeur de Mahindra Two Wheels, Sodivem dispose également de deux nouvelles cartes dans son portefeuille avec l’arrivée de la marque hongroise Motowell et chinoise Znen.
Fondée en 2005, Motowell est une marque de scooters et motos distribuée surtout dans la partie orientale de l’Europe (Pologne, Slovaquie, Tchéquie, Serbie…) mais qu’on retrouve également en Autriche, Allemagne et Royaume-Uni.
Notre visite au showroom Sodivem a permis de faire connaissance avec certains des modèles qui seront lancés après le ramadhan au plus tard, comme les scooters de 150cc « Crogen RS » et « Magnet RS », le scooter « Elenor » au look rétro, le maxi-scooter « Grand Mex-on 200i » de 170cc et le roadster » Ghost-R ». Notons que l’assurance et le casque seront inclus dans les tarifs, non encore fixés au moment de notre passage.
Par ailleurs, une troisième marque était présente au showroom, celle du chinois Znen Motor China à travers son scooter « Miami » de 150cc.
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Le ministre des Affaires Religieuses et des Wakfs Mohamed Aissa a fait savoir que l’Etat n’a aucun intérêt à fixer aux citoyens algériens les horaires du jeûne,plus ou moins de ce que Dieu tout puissant avait dicté.
Une déclaration intervenue en guise de réponse au sismologue chercheur et docteur d’Etat en astronomie et astrophysique Loth Bonatiro,qui avait déjà dévoilé que le ministère des Affaires Religieuses s’est trompé dans les horaires de la prière, particulièrement celle de l’Aube, affirmant que les citoyens algériens jeûnent 40 minutes supplémentaires.
«Ceux qui sont chargés du secteur des Wakfs ne sont pas les ennemis de la Charia Islamique pour qu’ils truquent les horaires de la prière et du jeûne »,a-dévoilé le ministre ,en marge d’une publication sur son compte Facebook.
«Je ne veux ,en aucun cas, aborder les propos de cet intellectuel qui avait l’habitude de prédire les tremblements de terre, et expliquer les phénomènes cosmiques, des explications quoi ne sont même pas rationnelles. Chaque domaine a ses spécialistes, et je respecte ça »,a-t-il ajouté.
Mohamed Lahouazi / version française: Rachel Hamdi
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Am 9. Juni kommt sein grosser Tag: Dann kämpft der Burgdorfer Sefer Seferi (39) im Schwergewicht gegen Ex-Weltmeister Tyson Fury (29). Der Aussenseiter sieht seine Chancen gegen den verrückten Briten intakt.
BLICK: Sefer Seferi, seit dem Wochenende ist bekannt: Sie sind der Comeback-Gegner von Tyson Fury. Nervös?
Seferi: Nein, erleichtert. Ich habe schon fast nicht mehr daran geglaubt, dass es klappt. Furys Camp hat mir immer gesagt, ich sei der Favorit, aber die Unterschrift hat sich ewig herausgezögert. Aber das war wohl Strategie.
Strategie?
Die wollten wahrscheinlich, dass ich nicht mit voller Konsequenz trainiere. Es scheint mir, als seien sie nicht so überzeugt, dass Fury topfit ist und mich so einfach schlägt. Das ist ja auch verständlich: Er hat in einem halben Jahr 50 Kilo abnehmen müssen, um fit zu werden. Das geht nicht spurlos an einem vorbei.
In der Boxwelt sieht man Sie als einfachen Einstiegsgegner für Fury, als leichte Beute.Wenn meine Strategie aufgeht, wenn ich eine meiner zwei Varianten durchziehen kann, dann habe ich eine gute Chance. Ich gehe nicht nach Manchester, um abzukassieren und in der ersten Runde zu Boden zu gehen. Ich will Geschichte schreiben. Ich werde alles tun, um ihn zu überraschen. Fury kann sich warm anziehen.
Wie sehen Sie Ihre Chancen?
Die Chancen stehen 50:50. Ich werde anders boxen als im Cruisergewicht und anders als in meinem Schwergewichts-Kampf gegen Manuel Charr. Fury wird sich nicht auf mich vorbereiten können.
Mit dem Kampf verdienen Sie sicher auch gut. Werden Sie dank dem Fury-Fight Millionär?
(lacht) Das fragen mich in der Nachbarschaft im Moment auch alle. Aber ich rede nicht gern über Geld. Geld ist nicht wichtig, das kommt und geht. Charakter bleibt. Ich will bescheiden bleiben. Aber klar gibt es einen guten Lohn.
Mit einem Sieg gegen Fury stünden Ihnen alle Türen offen.
Wenn ich Fury schlage, greift die Rückkampfklausel. Dann verdiene ich richtig viel Geld. Das wäre der Jackpot, das kann ich sagen.
Der Fury-Fight ist der Höhepunkt Ihrer Karriere. Hören Sie danach auf?
Nein, auf keinen Fall. Egal, ob ich gewinne oder verliere, ich mache weiter. Wenn ich einen guten Kampf mache, werde ich für andere Gegner interessant.
Wie bereiten Sie sich jetzt vor?
Am Mittwoch breche ich meine Zelte in Burgdorf ab und reise nach Hamburg. Dort mache ich Sparring, hole mir den letzten Schliff, unter anderem gegen Alexander Dimitrenko, er ist wie Fury über zwei Meter gross. Von dort geht es dann direkt nach Manchester, wo der Kampf steigt.
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TEL AVIV - Er gilt als modernster Kampfjet der Welt: Als erstes Land überhaupt hat nun Israel seine F-35-Kampfjets im Ernstfall eingesetzt.
Als erstes Land der Welt hat Israel das modernste Kampfflugzeug der Welt im «operativen Kampfeinsatz» verwendet. Dies teilen die israelischen Streitkräfte am Dienstag auf Twitter mit.
Wo und wann genau der F-35-Jet eingesetzt wurde, ist noch unklar. Verschiedene Medienportale schreiben, dass die Jets im Rahmen des israelischen Luftangriffs in Syrien vor zwei Wochen zum Einsatz gekommen sein sollen.
Der Kommandeur der Luftwaffe, Major General Amikam Norkin, schrieb in diesem Tweet, bei der Militäraktion handle es sich um eine Reaktion auf einen iranischen Raketenangriff aus Syrien.
F-35 stehen wegen hoher Kosten in Kritik
Seit Ende 2016 verfügt das israelische Militär über die Kampfjets des amerikanischen Rüstungskonzerns Lockheed Martin.
Bis zum Ende des Jahrzehnts will Isreal über 50 dieser Tarnkappenflieger verfügen. Das teuerste Waffensystem der USA steht wegen der Kosten in harscher Kritik. Je nach Ausführung zahlt das Land im Nahen Osten für einen Jet zwischen 100 und 160 Millionen Dollar. (aho)
Der dritte Spartacus Run steht auf dem Programm. Dieses Mal am Waffenplatz im Bern.
Der Spartacus Run ist zurück. Am Sonntag wagen sich wieder Hunderte Teilnehmer in den Schlamm und über kuriose und spektakuläre Hindernisse.
120 Höhenmeter, 7,2 Kilometer und mindestens 20 Hindernisse erwarten die Läufer am Waffenplatz in Bern. Ob das Tauchen durch tausende Pet-Flaschen oder Klettern wie in den Bergen oder einfaches Sackhüpfen. Die Hindernisse haben es in sich.
Der Hindernisparcours verlangt den Teilnehmern alles ab. Trotzdem: Mitmachen kann beinahe jeder. Die Veranstalter sorgen dafür, dass der Lauf für jedermann und jedefrau machbar ist. Der Spass steht im Vordergrund. Auch Kinder ab 5 Jahren dürfen auf einem Spezialparcour teilnehmen.
Anmelden kann man sich unter spartacusrun.ch
ZÜRICH - Lange hat Barry Callebaut an der vierten Schokoladenkategorie gefeilt. Jetzt gibt es erste Produkte in der Schweiz. Ruby-Schoggi ist ganz natürlich rosa, ohne Himbeer-Zusatz und Randensaft.
Die Farbe ist ein echter Hingucker: rosa Truffes, rosa Riegel und rosa Schoggi-Tafel. Bei der Confiserie Bachmann feiert die Schokolade Ruby ihre Deutschschweizer Premiere. Neben Weiss, Dunkel und Milch ist es die vierte Schoggi-Sorte. Die Produkte fertigt Bachmann aus dem Rohprodukt Ruby Rubina mit 40 Prozent Kakaogehalt.
Was gibt es in Rosa? Die Premiere meistert Bachmann mit drei Produkten. Für 6.80 Franken gibt es eine Tafel von 80 Gramm. Die Truffes mit rosa Champagner kosten 14.90 Franken (120 Gramm). Schliesslich gibt es als Snack noch einen Riegel (35 Gramm) mit karamellisierten Mandeln und Pistazien, der kostet 2.30 Franken.
Kitkat war schneller
Confiserie-Inhaber und Geschäftsführer Matthias Bachmann kündigt bereits weitere Produkte an. Über zehn Produkte seien in der Pipeline, etwa Macarons und Cupcakes. «Bis Schoggi-Nachschub kommt, dauert es nun etwa drei Wochen», sagt Bachmann zu BLICK. Im Überfluss gibt es die neueste Schoggi also noch nicht.
Ruby steckt weltweit schon in anderen Produkten. Nestlé war mit Kitkat ganz früh in Japan am Start. Inzwischen gibts die rosa Stange auch in Belgien. Schweizer können sich Kitkat teuer aus Japan zuschicken lassen. In einer BLICK-Strassenumfrage hielt sich die Begeisterung aber in Grenzen.
Juliane Bachmann von der Confiserie Bachmann glaubt an den Erfolg von Ruby in der Schweiz. «Die rosa Schoggi hat einen Aha-Effekt. Konsumenten sind heute übersättigt. Was sie wollen, sind Produkte mit einer Geschichte dahinter», erklärt sie. Genau das würde Ruby bieten.
Im internationalen Vergleich der Wettbewerbsfähigkeit ist die Schweiz laut dem World Competitiveness Report 2018 vom zweiten auf den fünften Rang abgerutscht. Gewonnen haben die USA, die gleich drei Plätze gutmachten und nun das Klassement anführen.
Die gleichen fünf Länder machen auch in der diesjährigen Übersicht des Lausanner Management-Instituts IMD die Spitzenplätze unter sich aus. Hinter den USA rangieren Hongkong (Rang 2), Singapur (3), die Niederlande (4) und die Schweiz (5).
Verantwortlich für den Spitzenplatz der USA sind deren wirtschaftliche Leistungsfähigkeit und Infrastruktur. Die USA als die grösste Volkswirtschaft der Welt waren im vergangenen Jahr erstmals seit fünf Jahren nicht mehr in den Top Drei gewesen.
Das Zurückfallen der Schweiz in der neusten Ausgabe der Studie rührt von einem Rückgang der Exporte her, aber auch in geringerem Ausmass von einer zunehmend festzustellenden drohenden Verlagerung von Forschungs- und Entwicklungszentren, wie das IMD feststellt.
Das Vorrücken der Niederlande vom fünften auf den vierten Platz begründen die Forscher mit der wirtschaftlichen Leistungsfähigkeit, der öffentlichen Verwaltung und der Effizienz in der Geschäftstätigkeit.
Die weiteren Plätze unter den Top Ten besetzen überwiegend nordische Länder: Dänemark nimmt Rang 6 ein, Norwegen Rang 8 und Schweden Rang 9. Für diese Länder spricht vor allem die starke Leistungsfähigkeit des Privatsektors. Die Vereinigten Arabischen Emirate und Kanada komplettieren mit den Plätzen 7 und 10 die Top Ten.
Fortschritte bei der Schuldenhöhe und eine zunehmende Produktivität registrieren die Forscher unter anderem bei Österreich, das neu auf dem 18. Platz liegt und damit innert Jahresfrist sieben Plätze gutgemacht hat. Ebenfalls auf dem Vormarsch ist China. Die Volksrepublik hat sich um fünf Plätze auf neu Rang 13 verbessert.
Bei den Schlusslichtern der Rangliste hat sich wenig verändert. Venezuela (63) und die Mongolei (62) stehen am Ende der Liste. Leicht verbessert haben sich die Ukraine (59) und Brasilien (60). Etwas zurückgefallen ist hingegen Kroatien (61).
Nicht überraschend gemischt fallen die Resultate für den asiatischen Kontinent aus. Hinter den Spitzenplätzen von Hongkong und Singapur folgen als weitere Länder des Kontinents Taiwan (17) und Japan (25). Die grössten Rückschläge hinnehmen mussten die Philippinen, die 9 Plätze verloren und neu an 50. Stelle stehen.
Zwei Plätze gutgemacht hat Australien (19). Neuseeland hat hingegen 7 Plätze verloren und liegt noch auf Rang 23.
Gemischt fällt auch die Bilanz für die osteuropäischen Länder aus. Verbessert haben sich hier Litauen (32), Polen (34), Slowenien (37), Ungarn (47), Bulgarien (48) und Rumänien (49). Rückschläge einstecken mussten demgegenüber Tschechien (29), Estland (31) und die Slowakei (55).
Die Nachbarländer der Schweiz befinden sich allesamt nicht unter den zehn wettbewerbsfähigsten Ländern. Zwei Plätze verloren hat etwa Deutschland (15). Kaum Verbesserungen stellten die Forscher bei den westeuropäischen Ländern, wie Frankreich (28), Portugal (33) und Italien (42) fest. Knapp aus den Top Ten gefallen sind in diesem Jahr Irland (12) und Luxemburg (11).
Im Nahen Osten konnten sich trotz politischer Unsicherheiten alle Länder mit Ausnahme von Saudi-Arabien (39) verbessern. Fortschritte gemacht haben auch die meisten lateinamerikanischen Länder, etwa Argentinien (56), Brasilien (60) und Peru (54). Als einziges afrikanisches Land ist unverändert Süd-Afrika (53) rangiert.
Im IMD-Klassement werden seit 1989 jährlich über 60 Länder nach 258 Kriterien untersucht. Zwei Drittel der verwendeten Daten beruhen auf nationalen und internationalen Statistiken.
BERN - BE - Buntbarsch-Männchen haben verschiedene Taktiken, um sich bei der Befruchtung von Weibchen durchzusetzen. Sogar ihre Spermien sind ihrer jeweiligen Strategie angepasst, wie Berner Forschende entdeckt haben.
Bei der Fortpflanzung ist die Konkurrenz im Tierreich gross. Deshalb buhlen paarungswillige Männchen mit auffälligen Farben, langen Federn oder beeindruckenden Stosszähnen um die Gunst der Weibchen. Bei den Buntbarschen macht diese Konkurrenz aber nicht bei Äusserlichkeiten halt, sie betrifft auch Spermien.
Unterschiedliche Buntbarsch-Männchen wenden bei der Befruchtung der weiblichen Eizellen verschiedene Strategien an. So sammeln die sogenannten Nestmännchen leere Schneckenhäuser, die sie den Weibchen als Bruthöhle zur Verfügung stellen. Winzige Schmarotzer, die Zwergmännchen, hingegen können sich am ablaichenden Weibchen vorbeischlängeln und in die Spitze des Schneckenhauses gelangen.
Dadurch haben die beiden Männchentypen ganz unterschiedliche Ausgangslagen, wenn es um die Befruchtung geht. Während das Nestmännchen seine Spermien nur im Eingang des Schneckenhauses abgeben kann, kann das Zwergmännchen die Eier innerhalb des Hauses befruchten. Seine Spermien brauchen daher nur einen viel kürzeren Weg zurückzulegen als die Keimzellen der Nestmännchen.
Eine Forschungsgruppe um Michael Taborsky vom Institut für Ökologie und Evolution der Universität Bern konnte nun zeigen, dass die Spermien der beiden Männchentypen ganz unterschiedliche Leistungen vollbringen. «Während die Keimzellen der Zwergmännchen am Anfang sehr schnell und zielgerichtet schwimmen, sind die Nestmännchen-Spermien im Vergleich dazu eher träge und weniger effizient im Verfolgen ihrer Schwimmrichtung», wird Taborsky in einer Mitteilung der Uni Bern zitiert.
Dies macht sich aber mit der Zeit bezahlt: Während die schnellen Spermien der kleineren Fische sehr bald ermüden und nach zwei bis drei Minuten ganz absterben, leben die Nestmännchen-Spermien wesentlich länger. Sie können also auch dann noch das Ei befruchten, wenn sie es nach dem langen Weg, den sie zurücklegen mussten, endlich erreichen, wie die Forscher im Fachjournal «Science Advances» berichten.
Entscheidend ist dabei die unterschiedliche Bauart der Spermienzellen. Die Köpfe der Keimzellen sind bei den Nestmännchen grösser, womit sie über mehr Energiereserven verfügen. Dies geht allerdings auf Kosten der Fortbewegung. Diese entgegengesetzte Spezialisierung der Spermien lässt sich gut mit der besonderen Art der Fortpflanzung der Tiere erklären.
Die Lösung für die Spermien heisst: schnell, aber auch schnell tot, oder ausdauernd, aber dafür weniger zielgerichtet. Nachdem die Spermien beider Männchentypen im Schneckenhaus verschiedene Strecken zurücklegen müssen, erreichen sie mit dieser Spezialisierung auf unterschiedliche Weise ihr Ziel.
Ab Juli brabbelt der neue Ford Fiesta als ST mit 200 PS genüsslich vor sich hin.
Dreckig, fies, ja richtig böse klingt der neue Ford Fiesta ST. Beim Runterschalten knallen gar Zwischengas-Schüsse aus dem verchromten Doppelauspuff. Unglaublich – das soll ein Dreizylinder mit Zylinderabschaltung sein? Ich kanns kaum glauben. Also kurz anhalten, Blick unter die Motorhaube: Tatsächlich, da werkelt ein 1,5 Liter kleiner Dreizylinder! Der Benziner presst daraus nicht nur 200 PS und 290 Nm, sondern macht auch beim Sound auf dicke Hose. Der 4,07 Meter kurze Sportler sprintet locker in 6,5 Sekunden auf Tempo 100 (Spitze 232 km/h).
Griffig in KurvenDer Ford hat zwar nur Frontantrieb, aber bringt seine Leistung erstaunlich gut auf die Strasse und zerrt nicht am Lenkrad. Ein Sperrdifferenzial an der Vorderachse machts möglich und sorgt für zusätzlichen Grip in Kurven. Zusammen mit Torque Vectoring an der Vorderachse kommt so im Drei- wie Fünftürer enorm Fahrspass auf – und zwar bereits im «Sport»-Modus, ideal für die gewundenen Passstrassen beim ersten Test im Hinterland von Nizza (F).
Inklusive Launch ControlWechselt man zu «Track», wird die Traktionskontrolle abgeschaltet, und der ST legt beim Motorsound noch eine Schippe zu. Für den Einsatz auf der Rennstrecke lässt sich das ESP komplett ausschalten, und für den perfekten Start gibts gar Launch Control. Nette Details also, genau wie Sportattribute à la Wabengrill, Heckspoiler, LED-Leuchten, 18-Zoll-Alufelgen und Sportsitze. Aber eigentlich macht der ab 24'200 Franken teure Fiesta auch so schon jede Menge Spass – und vor allem Krawall!
GENF - Eine breit angelegte Studie fühlt den Schweizer Pendlern auf den Zahn. Was nervt die Autofahrer? Was würden Zugfreaks verbessern? Und wo ist für beide Gruppen Hopfen und Malz verloren?
Die Schweizer sind ein Volk von Bahnfreaks und Autofahrern. Ob als Pendler oder in der Freizeit: Hunderttausende setzen sich täglich hinters Steuer oder benutzen den ÖV. Umso mehr interessiert, was Herrn und Frau Schweizer im Verkehr nervt, wo sie investieren wollen und wie sie die Verkehrszukunft sehen.
Genau das hat die grosse Mobilitätsstudie «Sophia 2018» des Umfrageinstituts M.I.S. Trend im Auftrag der Zeitung «Le Temps» untersucht. 1045 Personen aus allen Regionen des Landes und 384 sogenannte «Meinungsmacher», also Führungskräfte aus Wirtschaft und Politik, wurden befragt. Die Ergebnisse sprechen eine deutliche Sprache und dürften einige Verkehrspolitiker zum Nachdenken anregen.
Mobilität als StressfaktorErschreckend ist, dass für 39 Prozent der Bevölkerung die tägliche Mobilität ein Stressfaktor darstellt. 68 Prozent gehen davon aus, dass das auch in Zukunft so bleiben wird. Zwei von drei Befragten sind der Meinung, dass sich in Sachen verstopfter Strassen oder überfüllter Züge so schnell nichts verbessern wird.
63 Prozent der Befragten glauben nicht, dass die Politik die Weichen richtig stellt, um die Mobilitätsprobleme zu lösen. Selbst bei den Meinungsmachern sind es noch 53 Prozent. Ein schlechtes Zeugnis an die Adresse der Verkehrspolitiker. Am pessimistischsten sind die Tessiner (77 Prozent).
92 Prozent wollen ÖV ausbauenDoch wie kann man die Verkehrsprobleme lösen? Der öffentliche Verkehr geniesst im Volk einen grossen Rückhalt. 92 Prozent sprechen sich für einen Ausbau des ÖV aus. 51 Prozent können sich sogar eine Maut vorstellen, um die Innenstädte zu entlasten. 65 Prozent wollen den Preis der Autobahnvignette erhöhen.
Fast jeder Zweite (49 Prozent) sieht in der Erhöhung der Parkgebühren ein probates Mittel, um das Verkehrschaos zu lösen. Auf wenig Gegenliebe stösst aber der Vorschlag, auf den Parkplätzen von allen Einkaufszentren Parkgebühren einzuführen, 53 Prozent der Befragten sprechen sich dagegen aus. Überraschend: Jeder zweite Normalbürger befürwortet eine Erhöhung der Benzinpreise, um die Verkehrsprobleme zu reduzieren. Bei den Leadern sind es nur deren 24 Prozent.
Die Angst vor selbstfahrenden AutosEin gutes Zeugnis stellen die Führungspersonen den SBB aus: 67 Prozent der Befragten halten das Preis-Leistungs-Verhältnis für gut bis sehr gut. Anders die Normalsterblichen: 74 Prozent halten es für schlecht bis genügend. Dafür sehen sie in der Digitalisierung eine Chance für den öffentlichen Verkehr: Bei den Durchschnittsschweizern sind es 55 Prozent, bei den Meinungsmachern gar deren 76 Prozent.
Selbstfahrenden Autos gegenüber sind die Befragten unerwartet negativ eingestellt. Nur 29 Prozent denken, dass sie einen Beitrag zur Verbesserung der Verkehrssituation auf der Strasse leisten werden. Auch vom Kauf eines Elektromobils in den nächsten fünf Jahren sehen 46 Prozent ab. Immerhin: 55 Prozent sprechen sich dafür aus, dass Elektrofahrzeuge auf den Strassen etwa mit speziellen Spuren gefördert werden sollen.
Le maire de la commune de Savalou Prosper Yao Iroukora, a offert ce mardi 22 mai, quatre ambulances et plusieurs autres matériels à la zone sanitaire Savalou-Bantè. La cérémonie s'est déroulée dans l'enceinte de la mairie, en présence du directeur départemental des Collines, des élus communaux et des populations de Savalou.
Le don est composé entre autres de deux groupes électrogènes, quatre ambulances entièrement équipées, soixante-seize matelas, quatre cent tables et bancs et un bureau directeur. Selon le maire, les ambulances ont été offertes à la mairie de Savalou par l'Association française des ambulanciers humanitaires (Afah) avec qui il a été mis en contact par le docteur Laurent Assongba, natif de Savalou. Le médecin coordonnateur de la zone sanitaire Savalou-Bantè a apprécié l'utilité de ces matériels car dorénavant les femmes en situation d'urgence seront référées aisément. Les matériels roulants réduiront les cas de mortalité néo natale, a indiqué Dr Jacques Akpovi Houngnonvi. Il profite de l'occasion pour solliciter les cadres de Savalou et de Bantè à apporter un appui financier pour assurer la gratuité de la référence des cas urgents. L'une des quatre ambulances a été remise aux sapeurs-pompiers. Le responsable de la base M. Razak a remercié le maire et l'Afah au nom du commandant départemental du groupement des sapeurs-pompiers et a affirmé que le maire vient d'honorer une promesse qu'il avait faite auparavant à leur unité. Dr. Codjo Dandonoigbo, directeur départemental de la santé des Collines, a promis rendre compte fidèlement au ministre de la santé de cette donation que le maire de Savalou a fait à l'endroit des populations. M. Iroukora a rendu hommage au conseil communal qui a su donner son accord favorable pour son voyage en France dont le présent geste est l'un des nombreux fruits. La santé est l'une des plus grandes priorités de son action, affirme-t-il. En précisant que les quatre cent tables et bancs offerts sont acquis sur financement du gouvernement, au profit des écoles primaires publiques de Savalou, il a exhorté ses administrés à une plus grande mobilisation de ressources financières locales.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)