Depuis quelques années, l'Afrique est au cœur de l'attention des grandes puissances économiques à travers des rencontres internationales et des partenariats. Au centre de ces assises de haut niveau, le Royaume du Maroc fait partie des invités d'honneur alors que les séparatistes de la rasd sont persona non grata.
Les pays africains viennent d'être honorés à travers le 2éme Forum Indonésie-Afrique (1er au 3 septembre 2024 à Bali) et le 4éme Sommet du Forum de Coopération Chine-Afrique (2 au 6 septembre à Pékin) et le premier Sommet République de Corée-Afrique (4 juin 2024 à Séoul).
Ces trois rencontres internationales auxquelles a été conviée l'Afrique a été d'une importance capitale pour la paix, la stabilité et le développement durable et socio-économique des pays africains.
Le Royaume du Maroc, qui était parmi les participants privilégiés à ces rencontres a contribué largement à la réussite de ces partenariats, dans l'intérêt de tous les pays africains.
Dans ces grands rendez-vous de haut niveau avec l'Afrique et d'autres puissances dont les Etats-Unis, la Russie, l'Inde et la Turquie, la pseudo entité rasd qui n'est pas reconnue par la communauté internationale, n'y était pas invitée malgré les manigances de l'Algérie qui soutient les séparatistes vivant sur le territoire algérien.
Cette entité qui n'est pas reconnue par la communauté internationale encore moins par l'Organisation des Nations, ne peut nullement prétendre participer à des partenariats entre pays souverains.
La preuve est que pour la TICAD9 (23-25 août 2024), le Japon qui ne reconnaît pas cette entité sous tutelle ne lui a pas adressé d'invitation. L'entité fictive s'est invitée à ce sommet par fraude sous la couverture de l'Algérie.
Les représentants du polisario sont arrivés à la réunion du TICAD9 avec des passeports algériens. Ils se sont infiltrés dans la réunion avec des badges de la délégation algérienne. Ils ne figuraient pas sur la liste officielle des participants. Cette manigance des autorités algériennes a mis à mal les pays africains.
Le partenariat de l'Afrique avec la Chine, la Corée et l'Indonésie et autres grandes puissances tient son fondement de leur respect de la légalité internationale, et surtout de la souveraineté nationale et de l'intégrité territoriale des pays africains. C'est le cas du Maroc dont plusieurs pays à travers le monde reconnaît sa souveraineté sur son Sahara.
Les Sommets de Pékin, Seoul et Bali, avec les seuls pays africains membres de l'ONU est un camouflet pour l'Algérie .Elle met aussi à nu les violences que subissent les populations depuis des décennies dans les camps de Tindouf.
La participation d'une entité sans territoire, non reconnue par l'ONU à ces Sommets ne représente aucun intérêt pour les partenaires de l'Afrique.
Pour sa prospérité, sa stabilité et son développement avec ses partenaires internationaux, l'Afrique ne doit pas composer avec des entités non reconnues par les Nations Unies.
Plusieurs constats se dégagent des partenariats de l'Afrique avec la Chine, la Corée, l'Indonésie et le Japon.
Le Royaume, a obtenu la reconnaissance internationale de la Marocanité du Sahara. De nombreux pays à travers le monde et de grandes puissances tel que les États Unis, l'Espagne , la France , l'Allemagne …soutiennent le Plan marocain d'Autonomie comme unique solution à ce différend régional. Par ailleurs, plusieurs pays ont ouvert des Consulats généraux à Laayoune et Dakhla au sud du Maroc .
Pour les pays africains, il s'agit de montrer que les différents partenariats de l'Afrique doivent s'inscrire dans la légalité internationale. Et que les pays africains doivent se désolidariser de ceux qui ne suivent pas ce cadre de droit international dans une période de grande instabilité régionale .
Depuis quelques années, l'Afrique est au cœur de l'attention des grandes puissances économiques à travers des rencontres internationales et des partenariats. Au centre de ces assises de haut niveau, le Royaume du Maroc fait partie des invités d'honneur alors que les séparatistes de la rasd sont persona non grata.
Les pays africains viennent d'être honorés à travers le 2éme Forum Indonésie-Afrique (1er au 3 septembre 2024 à Bali) et le 4éme Sommet du Forum de Coopération Chine-Afrique (2 au 6 septembre à Pékin) et le premier Sommet République de Corée-Afrique (4 juin 2024 à Séoul).
Ces trois rencontres internationales auxquelles a été conviée l'Afrique a été d'une importance capitale pour la paix, la stabilité et le développement durable et socio-économique des pays africains.
Le Royaume du Maroc, qui était parmi les participants privilégiés à ces rencontres a contribué largement à la réussite de ces partenariats, dans l'intérêt de tous les pays africains.
Dans ces grands rendez-vous de haut niveau avec l'Afrique et d'autres puissances dont les Etats-Unis, la Russie, l'Inde et la Turquie, la pseudo entité rasd qui n'est pas reconnue par la communauté internationale, n'y était pas invitée malgré les manigances de l'Algérie qui soutient les séparatistes vivant sur le territoire algérien.
Cette entité qui n'est pas reconnue par la communauté internationale encore moins par l'Organisation des Nations, ne peut nullement prétendre participer à des partenariats entre pays souverains.
La preuve est que pour la TICAD9 (23-25 août 2024), le Japon qui ne reconnaît pas cette entité sous tutelle ne lui a pas adressé d'invitation. L'entité fictive s'est invitée à ce sommet par fraude sous la couverture de l'Algérie.
Les représentants du polisario sont arrivés à la réunion du TICAD9 avec des passeports algériens. Ils se sont infiltrés dans la réunion avec des badges de la délégation algérienne. Ils ne figuraient pas sur la liste officielle des participants. Cette manigance des autorités algériennes a mis à mal les pays africains.
Le partenariat de l'Afrique avec la Chine, la Corée et l'Indonésie et autres grandes puissances tient son fondement de leur respect de la légalité internationale, et surtout de la souveraineté nationale et de l'intégrité territoriale des pays africains. C'est le cas du Maroc dont plusieurs pays à travers le monde reconnaît sa souveraineté sur son Sahara.
Les Sommets de Pékin, Seoul et Bali, avec les seuls pays africains membres de l'ONU est un camouflet pour l'Algérie .Elle met aussi à nu les violences que subissent les populations depuis des décennies dans les camps de Tindouf.
La participation d'une entité sans territoire, non reconnue par l'ONU à ces Sommets ne représente aucun intérêt pour les partenaires de l'Afrique.
Pour sa prospérité, sa stabilité et son développement avec ses partenaires internationaux, l'Afrique ne doit pas composer avec des entités non reconnues par les Nations Unies.
Plusieurs constats se dégagent des partenariats de l'Afrique avec la Chine, la Corée, l'Indonésie et le Japon.
Le Royaume, a obtenu la reconnaissance internationale de la Marocanité du Sahara. De nombreux pays à travers le monde et de grandes puissances tel que les États Unis, l'Espagne , la France , l'Allemagne …soutiennent le Plan marocain d'Autonomie comme unique solution à ce différend régional. Par ailleurs, plusieurs pays ont ouvert des Consulats généraux à Laayoune et Dakhla au sud du Maroc .
Pour les pays africains, il s'agit de montrer que les différents partenariats de l'Afrique doivent s'inscrire dans la légalité internationale. Et que les pays africains doivent se désolidariser de ceux qui ne suivent pas ce cadre de droit international dans une période de grande instabilité régionale .
Depuis quelques années, l'Afrique est au cœur de l'attention des grandes puissances économiques à travers des rencontres internationales et des partenariats. Au centre de ces assises de haut niveau, le Royaume du Maroc fait partie des invités d'honneur alors que les séparatistes de la rasd sont persona non grata.
Les pays africains viennent d'être honorés à travers le 2éme Forum Indonésie-Afrique (1er au 3 septembre 2024 à Bali) et le 4éme Sommet du Forum de Coopération Chine-Afrique (2 au 6 septembre à Pékin) et le premier Sommet République de Corée-Afrique (4 juin 2024 à Séoul).
Ces trois rencontres internationales auxquelles a été conviée l'Afrique a été d'une importance capitale pour la paix, la stabilité et le développement durable et socio-économique des pays africains.
Le Royaume du Maroc, qui était parmi les participants privilégiés à ces rencontres a contribué largement à la réussite de ces partenariats, dans l'intérêt de tous les pays africains.
Dans ces grands rendez-vous de haut niveau avec l'Afrique et d'autres puissances dont les Etats-Unis, la Russie, l'Inde et la Turquie, la pseudo entité rasd qui n'est pas reconnue par la communauté internationale, n'y était pas invitée malgré les manigances de l'Algérie qui soutient les séparatistes vivant sur le territoire algérien.
Cette entité qui n'est pas reconnue par la communauté internationale encore moins par l'Organisation des Nations, ne peut nullement prétendre participer à des partenariats entre pays souverains.
La preuve est que pour la TICAD9 (23-25 août 2024), le Japon qui ne reconnaît pas cette entité sous tutelle ne lui a pas adressé d'invitation. L'entité fictive s'est invitée à ce sommet par fraude sous la couverture de l'Algérie.
Les représentants du polisario sont arrivés à la réunion du TICAD9 avec des passeports algériens. Ils se sont infiltrés dans la réunion avec des badges de la délégation algérienne. Ils ne figuraient pas sur la liste officielle des participants. Cette manigance des autorités algériennes a mis à mal les pays africains.
Le partenariat de l'Afrique avec la Chine, la Corée et l'Indonésie et autres grandes puissances tient son fondement de leur respect de la légalité internationale, et surtout de la souveraineté nationale et de l'intégrité territoriale des pays africains. C'est le cas du Maroc dont plusieurs pays à travers le monde reconnaît sa souveraineté sur son Sahara.
Les Sommets de Pékin, Seoul et Bali, avec les seuls pays africains membres de l'ONU est un camouflet pour l'Algérie .Elle met aussi à nu les violences que subissent les populations depuis des décennies dans les camps de Tindouf.
La participation d'une entité sans territoire, non reconnue par l'ONU à ces Sommets ne représente aucun intérêt pour les partenaires de l'Afrique.
Pour sa prospérité, sa stabilité et son développement avec ses partenaires internationaux, l'Afrique ne doit pas composer avec des entités non reconnues par les Nations Unies.
Plusieurs constats se dégagent des partenariats de l'Afrique avec la Chine, la Corée, l'Indonésie et le Japon.
Le Royaume, a obtenu la reconnaissance internationale de la Marocanité du Sahara. De nombreux pays à travers le monde et de grandes puissances tel que les États Unis, l'Espagne , la France , l'Allemagne …soutiennent le Plan marocain d'Autonomie comme unique solution à ce différend régional. Par ailleurs, plusieurs pays ont ouvert des Consulats généraux à Laayoune et Dakhla au sud du Maroc .
Pour les pays africains, il s'agit de montrer que les différents partenariats de l'Afrique doivent s'inscrire dans la légalité internationale. Et que les pays africains doivent se désolidariser de ceux qui ne suivent pas ce cadre de droit international dans une période de grande instabilité régionale .
Depuis quelques années, l'Afrique est au cœur de l'attention des grandes puissances économiques à travers des rencontres internationales et des partenariats. Au centre de ces assises de haut niveau, le Royaume du Maroc fait partie des invités d'honneur alors que les séparatistes de la rasd sont persona non grata.
Les pays africains viennent d'être honorés à travers le 2éme Forum Indonésie-Afrique (1er au 3 septembre 2024 à Bali) et le 4éme Sommet du Forum de Coopération Chine-Afrique (2 au 6 septembre à Pékin) et le premier Sommet République de Corée-Afrique (4 juin 2024 à Séoul).
Ces trois rencontres internationales auxquelles a été conviée l'Afrique a été d'une importance capitale pour la paix, la stabilité et le développement durable et socio-économique des pays africains.
Le Royaume du Maroc, qui était parmi les participants privilégiés à ces rencontres a contribué largement à la réussite de ces partenariats, dans l'intérêt de tous les pays africains.
Dans ces grands rendez-vous de haut niveau avec l'Afrique et d'autres puissances dont les Etats-Unis, la Russie, l'Inde et la Turquie, la pseudo entité rasd qui n'est pas reconnue par la communauté internationale, n'y était pas invitée malgré les manigances de l'Algérie qui soutient les séparatistes vivant sur le territoire algérien.
Cette entité qui n'est pas reconnue par la communauté internationale encore moins par l'Organisation des Nations, ne peut nullement prétendre participer à des partenariats entre pays souverains.
La preuve est que pour la TICAD9 (23-25 août 2024), le Japon qui ne reconnaît pas cette entité sous tutelle ne lui a pas adressé d'invitation. L'entité fictive s'est invitée à ce sommet par fraude sous la couverture de l'Algérie.
Les représentants du polisario sont arrivés à la réunion du TICAD9 avec des passeports algériens. Ils se sont infiltrés dans la réunion avec des badges de la délégation algérienne. Ils ne figuraient pas sur la liste officielle des participants. Cette manigance des autorités algériennes a mis à mal les pays africains.
Le partenariat de l'Afrique avec la Chine, la Corée et l'Indonésie et autres grandes puissances tient son fondement de leur respect de la légalité internationale, et surtout de la souveraineté nationale et de l'intégrité territoriale des pays africains. C'est le cas du Maroc dont plusieurs pays à travers le monde reconnaît sa souveraineté sur son Sahara.
Les Sommets de Pékin, Seoul et Bali, avec les seuls pays africains membres de l'ONU est un camouflet pour l'Algérie .Elle met aussi à nu les violences que subissent les populations depuis des décennies dans les camps de Tindouf.
La participation d'une entité sans territoire, non reconnue par l'ONU à ces Sommets ne représente aucun intérêt pour les partenaires de l'Afrique.
Pour sa prospérité, sa stabilité et son développement avec ses partenaires internationaux, l'Afrique ne doit pas composer avec des entités non reconnues par les Nations Unies.
Plusieurs constats se dégagent des partenariats de l'Afrique avec la Chine, la Corée, l'Indonésie et le Japon.
Le Royaume, a obtenu la reconnaissance internationale de la Marocanité du Sahara. De nombreux pays à travers le monde et de grandes puissances tel que les États Unis, l'Espagne , la France , l'Allemagne …soutiennent le Plan marocain d'Autonomie comme unique solution à ce différend régional. Par ailleurs, plusieurs pays ont ouvert des Consulats généraux à Laayoune et Dakhla au sud du Maroc .
Pour les pays africains, il s'agit de montrer que les différents partenariats de l'Afrique doivent s'inscrire dans la légalité internationale. Et que les pays africains doivent se désolidariser de ceux qui ne suivent pas ce cadre de droit international dans une période de grande instabilité régionale .
Le gouvernement a transmis, à l'Assemblée nationale, pour examen et vote, le projet de loi portant cadre juridique de la chefferie traditionnelle en République du Bénin.
À l'issue du Conseil des ministres du mercredi 04 septembre 2024, le projet de loi portant cadre juridique de la chefferie traditionnelle en République du Bénin a été transmis à l'Assemblée nationale, pour examen et vote.
« L'État reconnaît la chefferie traditionnelle gardienne des us et coutumes dans les conditions fixées par la loi », selon la Constitution.
« En vue de déterminer, dans une approche aussi bien scientifique que participative, cette reconnaissance légale de la chefferie traditionnelle, prendre en compte sa mission et régir son fonctionnement sans dénaturer ses fondements, ses structures, les règles de dévolution du pouvoir, une commission technique multidisciplinaire a été mise en place », a indiqué le Conseil des ministres.
« Le présent projet de loi découle de son rapport. Il en ressort que trois catégories d'autorités relevant de la chefferie traditionnelle sont reconnues, à savoir : les rois, les chefs traditionnels et les chefs coutumiers. Il comporte la liste de toutes les chefferies recensées, définit la mission de la chefferie traditionnelle, consigne certaines règles de dévolution de pouvoir, fixe les principes en ce qui concerne les rapports de la chefferie traditionnelle avec l'État, les citoyens et les autorités de la chefferie traditionnelle entre elles », précise le Conseil.
Le gouvernement indique que la loi « pose le postulat que dans chaque chefferie, la dévolution du pouvoir s'opère sous la supervision d'un conseil de désignation, crée une chambre nationale de la chefferie traditionnelle dont les attributions, l'organisation et le fonctionnement seront déterminés par voie règlementaire ».
Le projet de loi prévoit les sanctions applicables aux manquements des autorités de la chefferie traditionnelle.
M. M.
Le gouvernement a transmis, à l'Assemblée nationale, pour examen et vote, le projet de loi portant cadre juridique de la chefferie traditionnelle en République du Bénin.
À l'issue du Conseil des ministres du mercredi 04 septembre 2024, le projet de loi portant cadre juridique de la chefferie traditionnelle en République du Bénin a été transmis à l'Assemblée nationale, pour examen et vote.
« L'État reconnaît la chefferie traditionnelle gardienne des us et coutumes dans les conditions fixées par la loi », selon la Constitution.
« En vue de déterminer, dans une approche aussi bien scientifique que participative, cette reconnaissance légale de la chefferie traditionnelle, prendre en compte sa mission et régir son fonctionnement sans dénaturer ses fondements, ses structures, les règles de dévolution du pouvoir, une commission technique multidisciplinaire a été mise en place », a indiqué le Conseil des ministres.
« Le présent projet de loi découle de son rapport. Il en ressort que trois catégories d'autorités relevant de la chefferie traditionnelle sont reconnues, à savoir : les rois, les chefs traditionnels et les chefs coutumiers. Il comporte la liste de toutes les chefferies recensées, définit la mission de la chefferie traditionnelle, consigne certaines règles de dévolution de pouvoir, fixe les principes en ce qui concerne les rapports de la chefferie traditionnelle avec l'État, les citoyens et les autorités de la chefferie traditionnelle entre elles », précise le Conseil.
Le gouvernement indique que la loi « pose le postulat que dans chaque chefferie, la dévolution du pouvoir s'opère sous la supervision d'un conseil de désignation, crée une chambre nationale de la chefferie traditionnelle dont les attributions, l'organisation et le fonctionnement seront déterminés par voie règlementaire ».
Le projet de loi prévoit les sanctions applicables aux manquements des autorités de la chefferie traditionnelle.
M. M.
Le gouvernement a transmis, à l'Assemblée nationale, pour examen et vote, le projet de loi portant cadre juridique de la chefferie traditionnelle en République du Bénin.
À l'issue du Conseil des ministres du mercredi 04 septembre 2024, le projet de loi portant cadre juridique de la chefferie traditionnelle en République du Bénin a été transmis à l'Assemblée nationale, pour examen et vote.
« L'État reconnaît la chefferie traditionnelle gardienne des us et coutumes dans les conditions fixées par la loi », selon la Constitution.
« En vue de déterminer, dans une approche aussi bien scientifique que participative, cette reconnaissance légale de la chefferie traditionnelle, prendre en compte sa mission et régir son fonctionnement sans dénaturer ses fondements, ses structures, les règles de dévolution du pouvoir, une commission technique multidisciplinaire a été mise en place », a indiqué le Conseil des ministres.
« Le présent projet de loi découle de son rapport. Il en ressort que trois catégories d'autorités relevant de la chefferie traditionnelle sont reconnues, à savoir : les rois, les chefs traditionnels et les chefs coutumiers. Il comporte la liste de toutes les chefferies recensées, définit la mission de la chefferie traditionnelle, consigne certaines règles de dévolution de pouvoir, fixe les principes en ce qui concerne les rapports de la chefferie traditionnelle avec l'État, les citoyens et les autorités de la chefferie traditionnelle entre elles », précise le Conseil.
Le gouvernement indique que la loi « pose le postulat que dans chaque chefferie, la dévolution du pouvoir s'opère sous la supervision d'un conseil de désignation, crée une chambre nationale de la chefferie traditionnelle dont les attributions, l'organisation et le fonctionnement seront déterminés par voie règlementaire ».
Le projet de loi prévoit les sanctions applicables aux manquements des autorités de la chefferie traditionnelle.
M. M.
Le gouvernement a transmis, à l'Assemblée nationale, pour examen et vote, le projet de loi portant cadre juridique de la chefferie traditionnelle en République du Bénin.
À l'issue du Conseil des ministres du mercredi 04 septembre 2024, le projet de loi portant cadre juridique de la chefferie traditionnelle en République du Bénin a été transmis à l'Assemblée nationale, pour examen et vote.
« L'État reconnaît la chefferie traditionnelle gardienne des us et coutumes dans les conditions fixées par la loi », selon la Constitution.
« En vue de déterminer, dans une approche aussi bien scientifique que participative, cette reconnaissance légale de la chefferie traditionnelle, prendre en compte sa mission et régir son fonctionnement sans dénaturer ses fondements, ses structures, les règles de dévolution du pouvoir, une commission technique multidisciplinaire a été mise en place », a indiqué le Conseil des ministres.
« Le présent projet de loi découle de son rapport. Il en ressort que trois catégories d'autorités relevant de la chefferie traditionnelle sont reconnues, à savoir : les rois, les chefs traditionnels et les chefs coutumiers. Il comporte la liste de toutes les chefferies recensées, définit la mission de la chefferie traditionnelle, consigne certaines règles de dévolution de pouvoir, fixe les principes en ce qui concerne les rapports de la chefferie traditionnelle avec l'État, les citoyens et les autorités de la chefferie traditionnelle entre elles », précise le Conseil.
Le gouvernement indique que la loi « pose le postulat que dans chaque chefferie, la dévolution du pouvoir s'opère sous la supervision d'un conseil de désignation, crée une chambre nationale de la chefferie traditionnelle dont les attributions, l'organisation et le fonctionnement seront déterminés par voie règlementaire ».
Le projet de loi prévoit les sanctions applicables aux manquements des autorités de la chefferie traditionnelle.
M. M.
En Conseil des ministres ce mercredi 04 septembre 2024, le gouvernement a agréé 03 sociétés au Code des investissements. Leurs projets selon le communiqué final, génèreront de nombreux emplois.
ARCS BENIN SA, ADIC IMMOBILIER SARL, et AFRIQUE OIL AND FEED PROCESSING SARL sont les trois sociétés agréées au Code des investissements ce mercredi 04 septembre 2024, en Conseil des ministres. Deux d'entre elles ont été agréées au régime des investissements spécifiques. Il s'agit de :
– ARCS BENIN SA, en vue de l'installation et de l'exploitation d'une unité de maintenance en carrosserie et d'un centre de formation professionnelle en carrosserie automobile à Cotonou ; la réalisation du projet devant contribuer à combler le déficit de compétences techniques existant dans l'industrie automobile béninoise ;
– ADIC IMMOBILIER SARL, pour l'installation et l'exploitation d'un centre d'affaire touristique, intitulé "ATRIUM". Ce projet de haut standing, prévu dans le Quartier culturel et créatif de Cotonou, participe de l'amélioration de l'offre touristique dans le but de renforcer les capacités d'hébergement pour les potentiels investisseurs étrangers.
La Société AFRIQUE OIL AND FEED PROCESSING SARL quant à elle, est agréée au régime A du Code des investissements pour l'implantation et l'exploitation d'une usine de production d'huile et de farine de soja à Sirarou, dans la commune de N'Dali.
En Conseil des ministres ce mercredi 04 septembre 2024, le gouvernement a agréé 03 sociétés au Code des investissements. Leurs projets selon le communiqué final, génèreront de nombreux emplois.
ARCS BENIN SA, ADIC IMMOBILIER SARL, et AFRIQUE OIL AND FEED PROCESSING SARL sont les trois sociétés agréées au Code des investissements ce mercredi 04 septembre 2024, en Conseil des ministres. Deux d'entre elles ont été agréées au régime des investissements spécifiques. Il s'agit de :
– ARCS BENIN SA, en vue de l'installation et de l'exploitation d'une unité de maintenance en carrosserie et d'un centre de formation professionnelle en carrosserie automobile à Cotonou ; la réalisation du projet devant contribuer à combler le déficit de compétences techniques existant dans l'industrie automobile béninoise ;
– ADIC IMMOBILIER SARL, pour l'installation et l'exploitation d'un centre d'affaire touristique, intitulé "ATRIUM". Ce projet de haut standing, prévu dans le Quartier culturel et créatif de Cotonou, participe de l'amélioration de l'offre touristique dans le but de renforcer les capacités d'hébergement pour les potentiels investisseurs étrangers.
La Société AFRIQUE OIL AND FEED PROCESSING SARL quant à elle, est agréée au régime A du Code des investissements pour l'implantation et l'exploitation d'une usine de production d'huile et de farine de soja à Sirarou, dans la commune de N'Dali.
En Conseil des ministres ce mercredi 04 septembre 2024, le gouvernement a agréé 03 sociétés au Code des investissements. Leurs projets selon le communiqué final, génèreront de nombreux emplois.
ARCS BENIN SA, ADIC IMMOBILIER SARL, et AFRIQUE OIL AND FEED PROCESSING SARL sont les trois sociétés agréées au Code des investissements ce mercredi 04 septembre 2024, en Conseil des ministres. Deux d'entre elles ont été agréées au régime des investissements spécifiques. Il s'agit de :
– ARCS BENIN SA, en vue de l'installation et de l'exploitation d'une unité de maintenance en carrosserie et d'un centre de formation professionnelle en carrosserie automobile à Cotonou ; la réalisation du projet devant contribuer à combler le déficit de compétences techniques existant dans l'industrie automobile béninoise ;
– ADIC IMMOBILIER SARL, pour l'installation et l'exploitation d'un centre d'affaire touristique, intitulé "ATRIUM". Ce projet de haut standing, prévu dans le Quartier culturel et créatif de Cotonou, participe de l'amélioration de l'offre touristique dans le but de renforcer les capacités d'hébergement pour les potentiels investisseurs étrangers.
La Société AFRIQUE OIL AND FEED PROCESSING SARL quant à elle, est agréée au régime A du Code des investissements pour l'implantation et l'exploitation d'une usine de production d'huile et de farine de soja à Sirarou, dans la commune de N'Dali.
En Conseil des ministres ce mercredi 04 septembre 2024, le gouvernement a agréé 03 sociétés au Code des investissements. Leurs projets selon le communiqué final, génèreront de nombreux emplois.
ARCS BENIN SA, ADIC IMMOBILIER SARL, et AFRIQUE OIL AND FEED PROCESSING SARL sont les trois sociétés agréées au Code des investissements ce mercredi 04 septembre 2024, en Conseil des ministres. Deux d'entre elles ont été agréées au régime des investissements spécifiques. Il s'agit de :
– ARCS BENIN SA, en vue de l'installation et de l'exploitation d'une unité de maintenance en carrosserie et d'un centre de formation professionnelle en carrosserie automobile à Cotonou ; la réalisation du projet devant contribuer à combler le déficit de compétences techniques existant dans l'industrie automobile béninoise ;
– ADIC IMMOBILIER SARL, pour l'installation et l'exploitation d'un centre d'affaire touristique, intitulé "ATRIUM". Ce projet de haut standing, prévu dans le Quartier culturel et créatif de Cotonou, participe de l'amélioration de l'offre touristique dans le but de renforcer les capacités d'hébergement pour les potentiels investisseurs étrangers.
La Société AFRIQUE OIL AND FEED PROCESSING SARL quant à elle, est agréée au régime A du Code des investissements pour l'implantation et l'exploitation d'une usine de production d'huile et de farine de soja à Sirarou, dans la commune de N'Dali.
Le gouvernement béninois a autorisé, mercredi 4 septembre 2024, en Conseil des ministres, la contractualisation pour la construction d'un nouveau centre de transfert avec des unités de tri semi-mécanisées au profit de la Société de Gestion des Déchets et de la Salubrité (SGDS) SA.
« Dans le cadre de la mise en œuvre de ses activités de pré-collecte et de transport des déchets solides ménagers, la SGDS-SA s'appuie sur des infrastructures de gestion dont les centres de transfert. Ils constituent des lieux de transit des déchets solides et ménagers collectés auprès des ménages du Grand Nokoué », informe le Conseil des ministres. Selon le gouvernement béninois, les données statistiques montrent que parmi les villes desservies, celles de Cotonou et d'Abomey-Calavi viennent de loin en tête, avec respectivement des taux de production de 37% et 34% de la quantité totale de déchets collectée.
Cotonou abrite déjà un centre de transfert qui favorise « la réduction des coûts élevés de transport des déchets par des caissons à capacité réduite ». C'est donc dans le but de renforcer la modernisation de la gestion des déchets solides et optimiser les charges y relatives, que le gouvernement béninois a autorisé la contractualisation pour la construction d'un nouveau centre de transfert avec des unités de tri semi-mécanisées dans la commune d'Abomey-Calavi.
A.A.A
Le gouvernement béninois a autorisé, mercredi 4 septembre 2024, en Conseil des ministres, la contractualisation pour la construction d'un nouveau centre de transfert avec des unités de tri semi-mécanisées au profit de la Société de Gestion des Déchets et de la Salubrité (SGDS) SA.
« Dans le cadre de la mise en œuvre de ses activités de pré-collecte et de transport des déchets solides ménagers, la SGDS-SA s'appuie sur des infrastructures de gestion dont les centres de transfert. Ils constituent des lieux de transit des déchets solides et ménagers collectés auprès des ménages du Grand Nokoué », informe le Conseil des ministres. Selon le gouvernement béninois, les données statistiques montrent que parmi les villes desservies, celles de Cotonou et d'Abomey-Calavi viennent de loin en tête, avec respectivement des taux de production de 37% et 34% de la quantité totale de déchets collectée.
Cotonou abrite déjà un centre de transfert qui favorise « la réduction des coûts élevés de transport des déchets par des caissons à capacité réduite ». C'est donc dans le but de renforcer la modernisation de la gestion des déchets solides et optimiser les charges y relatives, que le gouvernement béninois a autorisé la contractualisation pour la construction d'un nouveau centre de transfert avec des unités de tri semi-mécanisées dans la commune d'Abomey-Calavi.
A.A.A
Le gouvernement béninois a autorisé, mercredi 4 septembre 2024, en Conseil des ministres, la contractualisation pour la construction d'un nouveau centre de transfert avec des unités de tri semi-mécanisées au profit de la Société de Gestion des Déchets et de la Salubrité (SGDS) SA.
« Dans le cadre de la mise en œuvre de ses activités de pré-collecte et de transport des déchets solides ménagers, la SGDS-SA s'appuie sur des infrastructures de gestion dont les centres de transfert. Ils constituent des lieux de transit des déchets solides et ménagers collectés auprès des ménages du Grand Nokoué », informe le Conseil des ministres. Selon le gouvernement béninois, les données statistiques montrent que parmi les villes desservies, celles de Cotonou et d'Abomey-Calavi viennent de loin en tête, avec respectivement des taux de production de 37% et 34% de la quantité totale de déchets collectée.
Cotonou abrite déjà un centre de transfert qui favorise « la réduction des coûts élevés de transport des déchets par des caissons à capacité réduite ». C'est donc dans le but de renforcer la modernisation de la gestion des déchets solides et optimiser les charges y relatives, que le gouvernement béninois a autorisé la contractualisation pour la construction d'un nouveau centre de transfert avec des unités de tri semi-mécanisées dans la commune d'Abomey-Calavi.
A.A.A
La Zone industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ) a reçu mardi 03 septembre 2024, la visite d'un ancien président de la République. Nicéphore SOGLO, très attaché au développement du Bénin, a visité en dépit du poids de l'âge, le hub industriel en construction qui fait l'objet d'attractions à travers le monde.
Nicéphore SOGLO, ancien président de la République découvre l'une des plus grandes réalisations sous la gouvernance du président Patrice TALON. Au cours d'une visite mardi 03 septembre 2024 à la Zone industrielle de Glo-Djigbé, il a pu constater avec satisfaction et fierté, le processus d'industrialisation amorcé depuis quelques années dans le pays. Très connu pour ses prises de positions vis-à-vis de la gouvernance actuelle, SOGLO après sa visite à la GDIZ n'a pas caché ses impressions. « C'est fantastique », a-t-il confié après une visité au sein des unités de confections de vêtements, de transformation de cajou, etc.
La GDIZ selon l'ancien chef d'Etat, est un succès qui mérite une reconnaissance plus large. Il s'est également dit satisfait des perspectives qu'offre la zone sur les problématiques de l'emploi des jeunes (300 000 emplois directs d'ici 2030), et la précarité des paysans.
Au terme de la première phase de 400 ha, 12 investisseurs déjà opérationnels sur les 36 installés emploient plus de 14.000 jeunes béninois. « Vous êtes les membres les plus engagés du pays. Ce n'est pas de mots, c'est la joie que vous m'avez procurée », a laissé entendre Nicéphore SOGLO s'adressant aux travailleurs de la GDIZ. « Je remercie du fond du cœur tous ceux qui ont contribué à cet avancement. Je ne pouvais imaginer que de telles réalisations se passaient dans mon pays. », a-t-il poursuivi.
C'est le directeur général de la Société d'investissement et de promotion de l'industrie (SIPI-BENIN), structure en charge de l'aménagement et de la promotion de la zone qui a reçu l'ancien président. Des explications fournies par Létondji BEHETON, la GDIZ couvre une superficie de 1640 ha. Sur les 12 unités de transformation déjà opérationnelles, on distingue selon lui, 02 unités de production textile, 05 unités de transformation de la noix de cajou, 02 unités de transformation du Soja-Bio & conventionnel pour une capacité de transformation de 260.000 tonnes de Soja. D'ici fin 2024, la capacité de transformation du soja au niveau de la GDIZ sera de 600.000 tonnes, a-t-il annoncé avant d'évoquer l'unité de fabrication d'emballages et 02 centrales à béton.
Selon l'administration de la SIPI-BENIN, plusieurs autres unités de transformation s'apprêtent pour démarrer leurs activités dans la zone. Ce qui permettra de porter à plus de 35.000, le nombre d'emplois.
F. A. A.
La Zone industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ) a reçu mardi 03 septembre 2024, la visite d'un ancien président de la République. Nicéphore SOGLO, très attaché au développement du Bénin, a visité en dépit du poids de l'âge, le hub industriel en construction qui fait l'objet d'attractions à travers le monde.
Nicéphore SOGLO, ancien président de la République découvre l'une des plus grandes réalisations sous la gouvernance du président Patrice TALON. Au cours d'une visite mardi 03 septembre 2024 à la Zone industrielle de Glo-Djigbé, il a pu constater avec satisfaction et fierté, le processus d'industrialisation amorcé depuis quelques années dans le pays. Très connu pour ses prises de positions vis-à-vis de la gouvernance actuelle, SOGLO après sa visite à la GDIZ n'a pas caché ses impressions. « C'est fantastique », a-t-il confié après une visité au sein des unités de confections de vêtements, de transformation de cajou, etc.
La GDIZ selon l'ancien chef d'Etat, est un succès qui mérite une reconnaissance plus large. Il s'est également dit satisfait des perspectives qu'offre la zone sur les problématiques de l'emploi des jeunes (300 000 emplois directs d'ici 2030), et la précarité des paysans.
Au terme de la première phase de 400 ha, 12 investisseurs déjà opérationnels sur les 36 installés emploient plus de 14.000 jeunes béninois. « Vous êtes les membres les plus engagés du pays. Ce n'est pas de mots, c'est la joie que vous m'avez procurée », a laissé entendre Nicéphore SOGLO s'adressant aux travailleurs de la GDIZ. « Je remercie du fond du cœur tous ceux qui ont contribué à cet avancement. Je ne pouvais imaginer que de telles réalisations se passaient dans mon pays. », a-t-il poursuivi.
C'est le directeur général de la Société d'investissement et de promotion de l'industrie (SIPI-BENIN), structure en charge de l'aménagement et de la promotion de la zone qui a reçu l'ancien président. Des explications fournies par Létondji BEHETON, la GDIZ couvre une superficie de 1640 ha. Sur les 12 unités de transformation déjà opérationnelles, on distingue selon lui, 02 unités de production textile, 05 unités de transformation de la noix de cajou, 02 unités de transformation du Soja-Bio & conventionnel pour une capacité de transformation de 260.000 tonnes de Soja. D'ici fin 2024, la capacité de transformation du soja au niveau de la GDIZ sera de 600.000 tonnes, a-t-il annoncé avant d'évoquer l'unité de fabrication d'emballages et 02 centrales à béton.
Selon l'administration de la SIPI-BENIN, plusieurs autres unités de transformation s'apprêtent pour démarrer leurs activités dans la zone. Ce qui permettra de porter à plus de 35.000, le nombre d'emplois.
F. A. A.
Bonne nouvelle du côté de Paris pour le Bénin. L'athlète béninoise Marina Charlotte HOUNDALOWAN s'est qualifiée pour la finale du lancer de poids féminin aux Jeux Paralympiques Paris 2024.
Après la déception aux JO Paris 2024, on peut pour le moment être fier du parcours de Marina Charlotte HOUNDALOWAN aux Jeux Paralympiques Paris 2024. En effet, ce mercredi 04 septembre 2024, l'athlète béninoise s'est qualifiée pour la finale du lancer de poids féminin avec un jet de 6,11 m lors des qualifications ce mercredi matin. Elle s'est non seulement hissée en finale mais, améliore également son record personnel. Elle tenait jusqu'à ce nouveau exploit 6,06 m au tableau.
J.S
Bonne nouvelle du côté de Paris pour le Bénin. L'athlète béninoise Marina Charlotte HOUNDALOWAN s'est qualifiée pour la finale du lancer de poids féminin aux Jeux Paralympiques Paris 2024.
Après la déception aux JO Paris 2024, on peut pour le moment être fier du parcours de Marina Charlotte HOUNDALOWAN aux Jeux Paralympiques Paris 2024. En effet, ce mercredi 04 septembre 2024, l'athlète béninoise s'est qualifiée pour la finale du lancer de poids féminin avec un jet de 6,11 m lors des qualifications ce mercredi matin. Elle s'est non seulement hissée en finale mais, améliore également son record personnel. Elle tenait jusqu'à ce nouveau exploit 6,06 m au tableau.
J.S
Bonne nouvelle du côté de Paris pour le Bénin. L'athlète béninoise Marina Charlotte HOUNDALOWAN s'est qualifiée pour la finale du lancer de poids féminin aux Jeux Paralympiques Paris 2024.
Après la déception aux JO Paris 2024, on peut pour le moment être fier du parcours de Marina Charlotte HOUNDALOWAN aux Jeux Paralympiques Paris 2024. En effet, ce mercredi 04 septembre 2024, l'athlète béninoise s'est qualifiée pour la finale du lancer de poids féminin avec un jet de 6,11 m lors des qualifications ce mercredi matin. Elle s'est non seulement hissée en finale mais, améliore également son record personnel. Elle tenait jusqu'à ce nouveau exploit 6,06 m au tableau.
J.S