Le groupe United Bank for Africa (UBA Plc) a remporté trois prix prestigieux lors de l'édition 2021 du Business Day's Bank and Other Financial Institutions (BAFI) Awards qui s'est tenue au Lagos Continental Hotel, Victoria Island, Lagos, samedi 13 novembre 2021.
Cette distinction fait du groupe UBA la "Banque de l'année" pour la deuxième année consécutive. En plus du trophée de la Banque de l'année, le prix du Prêteur personnel et le prix de la Banque de l'année pour les technologies de l'information ont été également attribués à UBA.
Pour les responsables de la Banque, ces récompenses sont la reconnaissance des efforts constants pour promouvoir la philosophie "Customer First" (C1st) à travers des produits, services et offres centrés sur le client.
Au terme de cette distinction, le GMD/CEO, Kennedy Uzoka, a déclaré : "Nous sommes une fois de plus heureux d'être reconnus pour notre travail acharné. Ces trois prix marquent une nouvelle étape pour le groupe UBA et témoignent de l'exécution diligente des initiatives stratégiques de la banque en matière de service à la clientèle.''
Nous sommes heureux d'annoncer que United Bank for Africa (UBA Plc) a remporté trois prix prestigieux lors de l'édition de cette année du Business Day's Bank and Other Financial Institutions (BAFI) Awards.#AfricasGlobalBank pic.twitter.com/85Hm2qgADz
— UBA Côte d'Ivoire (@UBA_Cotedivoire) November 20, 2021
Deux civils sahraouis ont été tués près des camps du Tindouf dans la nuit du 20 au 21 novembre dernier. La communauté internationale serait en passe de dénoncer les exactions répétées commises par l'armée algérienne sur les sahraouis des camps de Tindouf.
Deux civils sahraouis ont été victimes de tirs des militaires algériens dans la nuit de 20 au 21 novembre dernier près des camps de Tindouf.
Selon les informations, l'incident s'est produit à 5 km à l'ouest des camps de Tindouf. Une jeep de l'Armée nationale populaire algérienne (ANP) a tiré sur leur véhicule au niveau d'un point de contrôle sans sommation aucune.
Des balles réelles ont été tirées sur deux Sahraouis issus de la tribu Sellam Rguibat.
Il s'agit des dénommés Lakbir Ould Mohamed Ould sid Ahmed Ould El Markhi tué sur le champ et Ould Mohamed Fadel Ould Laman Ould Chghibine grièvement blessé qui a succombé par la suite à ses blessures sans aucune assistance .
Ce n'est pas la première fois que les militaires algériens sont accusés des crimes de ce genre sur des habitants sans défense des camps de Tindouf.
Il n'y a pas si longtemps, deux orpailleurs sahraouis avaient été brûlés vifs dans un puits par des éléments des forces de défense algériennes.
Au cours des cinq dernières années, pas moins d'une vingtaine de réfugiés ont été victimes des tirs de l'ANP dans les camps de Tindouf.
Ce nouvel incident risque d'embraser la situation dans les camps de Tindouf surtout que les Sahraouis séquestrés protestent déjà contre les conditions inhumaines de leur vie et leur privation des libertés les plus élémentaires, dont celle de pouvoir s'exprimer et circuler librement.
Le président de la Commission de l'Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA), Abdoulaye Diop, a présenté ce mardi 23 novembre 2021 depuis le siège à Ouagadougou, la nouvelle feuille de route de l'institution. Les Commissaires, représentants résidents de l'Organisation et journalistes des huit pays membres ont pris part à cette rencontre tenue par visioconférence.
Pour les quatre prochaines années, le Collège des Commissaires de l'UEMOA ayant pris fonction le 10 mai 2021 s'est fixé des priorités structurantes, des objectifs stratégiques et des résultats à atteindre. Dénommée « CAP 2025 (Cadre d'actions prioritaires 2021-2025) », la nouvelle feuille de route de la Commission de l'UEMOA est l'instrument de pilotage institutionnel et d'engagement sur des réalisations précises durant le mandat.
Face aux défis économiques, sanitaires et sécuritaires, la Commission de l'UEMOA se veut être à l'horizon 2025, une institution moderne et performante dans ses relations avec les Etats membres, les populations et tous les acteurs de la vie économique et sociale.
Selon le président de la Commission, « cette vision s'inscrit dans la dynamique d'une nouvelle impulsion pour approfondir le marché commun de l'UEMOA, assurer la convergence et la stabilité macroéconomique durable, prendre en compte les nouveaux défis, notamment l'économie numérique, le développement du secteur privé et le changement climatique ». « Cette nouvelle impulsion s'étend également à la lutte contre la pauvreté, à l'emploi des jeunes, au renforcement du capital humain et aux autres questions sociales », a ajouté Abdoulaye Diop.
03 axes d'intervention et 23 actions phares
La Commission a trois objectifs pour transformer sa vision en réalité. Il s'agit d'accélérer la convergence économique et approfondir le marché commun ; consolider les actions sectorielles structurantes pour un espace économique viable ; renforcer la gouvernance et la performance organisationnelle. Ces objectifs stratégiques, souligne le président de la Commission de l'UEMOA, sont traduits en trois axes d'intervention, structurés autour de vingt-trois (23) actions phares.
Le premier axe intitulé « Approfondissement des bases de l'intégration économique » avec sept (07) actions phares vise à renforcer la convergence des économies et consolider le marché commun de sorte à inciter l'émergence réelle d'un secteur privé régional compétitif au profit des populations.
A travers son deuxième axe « Amélioration de l'efficacité des interventions sectorielles », la Commission compte accroître la consolidation des actions sectorielles structurantes pour un espace économique viable. Elle a retenu d'engager dix (10) actions phares.
Quant au dernier axe lié à la consolidation de la gouvernance institutionnelle, (06) actions phares sont prévues par la Commission. Les vingt-trois actions phares de l'institution sont en cohérence avec les dispositions clés du Traité modifié de l'Union (relatives aux missions et actions de l'UEMOA) et prennent en compte les défis actuels auxquels font face la Commission et les Etats membres.
Le CAP 2025 comprend aussi un dispositif de suivi et d'évaluation coordonné par le Collège des Commissaires. « Le CAP 2025 devra conduire la Commission à passer à un ‘'management de ses priorités stratégiques orientées vers l'atteinte de résultats de long terme'' liés à la convergence économique et à l'approfondissement du marché commun, à la consolidation des actions sectorielles structurantes pour un espace économique viable ainsi qu'à l'amélioration de gouvernance et de la performance organisationnelle », a conclu le président Abdoulaye Diop.
Akpédjé A.Ayosso
Deux hommes et une fille sont en détention à la prison civile de Missérété. Ils sont poursuivis dans une affaire de viol sur mineure.
Trois hommes, de complicité avec une fille, ont abusé sexuellement d'une mineure âgée de 15 ans à Kétou. La scène selon nos sources, a eu lieu non loin de l'agence de la SBEE de la ville. Les mis en cause après avoir abusé sexuellement de la jeune fille, ont filmé la scène. Ils utilisent la vidéo du sextape pour obliger la victime à satisfaire leurs désirs sexuels.
Plus tard, la vidéo a été retrouvée sur les réseaux sociaux. Les autorités l'ayant vu se sont saisies du dossier. Deux des trois hommes et la jeune fille complice, ont été arrêtés et séjournent actuellement à la prison civile de Missérété. Le troisième est recherché par la police.
F. A. A.
Le ministre de la Justice et de la Législation, Sévérin Quenum a défendu un budget de 21 439 140 000 Fcfa au titre de l'exercice 2022 pour des actions visant l'amélioration de l'accès à la justice et des conditions de détention au Bénin. C'est le lundi 22 novembre 2021 devant la Commission budgétaire de l'Assemblée Nationale.
Le projet de budget, exercice 2022 du Ministère de la justice et de la législation (MJL) s'établit à 21 439 140 000 Fcfa contre 20. 254 000 000 Fcfa en 2021 soit un léger accroissement de 5,85%. Ce budget sera consacré à l'amélioration de l'accès à la justice grâce à la construction de nouveaux tribunaux ; au renforcement du potentiel des établissements pénitentiaires en équipant les différents services etc. D'autres actions prévues ont été annoncées par le garde des sceaux. « Le Ministère de la justice joue un important rôle dans le développement socioéconomique, la stabilité de la paix, la consolidation des acquis de la démocratie et l'édification d'Etat de droit. Il contribue à la richesse nationale et alimente le budget de l'Etat au moyen des amendes qui sont prononcées par les juridictions et des services offerts à la population (casier judiciaire, nationalité, actes judiciaires, etc.). Pour la poursuite des réformes, la pérennisation et la consolidation des acquis, les ressources financières du Ministère de la Justice et de la Législation devront être renforcées en vue de performances optimales, gage de la confiance des populations et de la sécurité des investissements », a indiqué Sévérin Quenum, ministre de la justice.
M. M.
Face aux députés membres de la commission des finances, le ministre de l'agriculture de l'élevage et de la pêche, Gaston Cossi Dossouhoui, a présenté les grandes lignes du budget de son département ministériel. 87.895.921.000 de francs CFA, c'est le montant qu'il faudra pour réaliser les priorités du gouvernement dans le secteur de l'agriculture en 2022.
Le budget 2022 du ministère de l'agriculture connait une hausse de 13,12%, par rapport à 2021 (77.700.484.000 F CFA). 63% des ressources sont destinées aux dépenses en capital, et 37% aux dépenses ordinaires.
07 priorités ont été mises en exergue pour le compte de ce budget qui intègre 09 nouveaux projets et programmes.
Au terme de son exécution, le ministère de l'agriculture entend consolider les acquis de l'opérationnalisation des Programmes de Développement Agricole (PDA) ; faire la promotion d'un nouveau type d'élevage garantissant plus de sécurité et de rentabilité aux éleveurs. Le ministère compte aussi valoriser des aménagements hydroagricoles et l'irrigation.
A cela s'ajoute la mise en œuvre du Programme National de Développement de la Mécanisation Agricole (PNDMA) et l'opérationnalisation de la Société Nationale de la Mécanisation Agricole (SoNaMA), créée en remplacement de l'ANaMA. L'amélioration de la gouvernance et la gestion des filières ; la réalisation des infrastructures marchandes et développement de service logistique (quai fruitier, chambre frigorifique, etc.), et la transformation, le stockage, la conservation des produits agricoles et le développement des clusters, n'ont pas été occultés.
Les domaines prioritaires d'intervention selon le ministre concernent la mise œuvre du renforcement des capacités d'intervention des ATDA et DDAEP pour le développement des filières prioritaires ; des investissements structurants pour l'accroissement des rendements et des productions ; le développement des grandes plantations ; la promotion d'un entrepreneuriat agricole/rural ; la professionnalisation des exploitations de type familial ; l'assainissement des plans d'eau ; la gestion de la transhumance/sédentarisation ; la recherche-développement en lien avec les PDA et la consolidation des acquis du Recensement National de l'Agriculture (RNA).
L'année 2022 connaitra le démarrage de 9 nouveaux projets/programmes au ministère de l'agriculture. Il s'agit du Programme National de Développement des Plantations et des Grandes Cultures ; du Programme National de Développement de la Filière Karité ; du Projet Régional d'Intégration des Marchés ; du Programme National de Développement de la Filière Arboriculture Fruitière ; du Projet d'Appui au Développement des Aménagements Hydro-agricoles dans les Vallées du Bénin ; du Projet de Développement des Services Agricoles ; du Projet de Développement des Chaînes de Valeurs Riz ; du Projet de Promotion de l'Aquaculture Durable et de la Compétitivité des Chaînes de Valeur de la Pêche et de TAZCO 2.
F. A. A.
Les résultats de la première année en faculté de médecine au titre de l'année 2020-2021 ont été proclamés il y a quelques jours à l'Université de Parakou. Selon les chiffres, 145 étudiants ont été exclus et 49 ajournés pour un taux de réussite de 31%.
Le doyen de la faculté de médecine, Prof Holden Olatoundji Fatigba, dans un entretien accordé à la presse, s'est prononcé sur ces résultats jugés catastrophiques.
Sur 296 étudiants, 93 ont été déclarés admis cette année 2020-2021 en première année de médecine à l'Université de Parakou, soit un taux de réussite de 31%. Selon le doyen de faculté, ces résultats jugés catastrophiques dans l'opinion, ne le sont pas pour autant. Des facultés de médecine de la sous-région informe Prof Holden Olatoundji Fatigba, n'auraient pas atteint ce taux de réussite.
Le doyen de la faculté souligne que la 1ère année de médecine reste une année difficile pour les étudiants. « La faculté de médecine est une faculté exceptionnelle dont les résultats chaque fin d'année ont toujours déchainé les passions. C'est une faculté sensible dont on connait la finalité », a-t-il ajouté.
Pour lui, il s'agit de former des médecins aptes qui soient compétents techniquement, et d'une certaine éthique pour s'occuper des populations, de la santé de tous. Ce qui, relève-t-il, fait l'exception des résultats de première année.
Les parents en général au Bénin s'intéressent aux études médicales ; dans chaque famille, tout le monde veut avoir un médecin, et tout le monde est regardant à chaque fois que les résultats paraissent, a rappelé le professeur.
Le doyen de faculté de médecine indique qu'il n'a pas vocation à commenter les résultats. Son rôle consiste à les analyser, et s'assurer que tout a été bien fait, et dans les normes. « Ce n'est pas parce qu'un étudiant en médecine est exclu qu'il est nul ou déméritant, et ce n'est pas parce que tous ne s'en sortent pas que la faculté est une faculté prédatrice », a confié Holden Olatoundji Fatigba à Fraternité FM. C'est plutôt les études médicales de première année qui sont difficiles. « C'est une école d'excellence », a-t-il ajouté avant d'inviter les parents à ne pas avoir peur d'envoyer leurs enfants faire ces études.
Pour réussir les études médicales, il faut, en plus de la volonté de devenir docteur, avoir le bagage intellectuel nécessaire, l'aptitude et le profil scientifique pour réussir ses premières années d'études, a conseillé le professeur. A l'en croire, il n'y a pas de limitation de nombre d'étudiants pour passer en année supérieure. Par contre, le devoir de la faculté est de veiller au bien-être de ces étudiants mais en même temps, de veiller à ce que les produits qui sortent soient de bons produits.
Selon Prof Fatigba, avoir un bon niveau basique en mathématiques, et en physique est un atout majeur pour réussir les premières études de médecine. Le programme de formation comprend l'enseignement des mathématiques, de la biologie humaine, la chimie, l'informatique, et autres. Mais, étant donné que tous ne peuvent passer en 2ème année, il faudra que la première année passée en médecine leur soit bénéfique s'ils doivent se réorienter, a confié le professeur.
F. A. A.
Le monde des médias et du secteur hôtelier est en deuil !
Stanislas Karim Salou, ingénieur de son de la télévision nationale (ORTB) à la retraite, s'est éteint à l'âge de 81 ans dans la nuit du samedi 20 au dimanche 21 novembre 2021 en son domicile à Adogléta (Cotonou).
A la retraite depuis vingt ans, Stanislas Karim Salou a tiré sa révérence des suites de maladie. Il est le promoteur des hôtels ‘'Le Cyclope'' et ‘'Résidences Hôtel Magnificat'' à Cotonou.
Au plan associatif, Stanislas Karim Salou a mis en place le Conseil National de l'hôtellerie du Bénin (CONAHB), qui sera transformé en CONIHB (Conseil National de l'Industrie Hôtelière du Bénin). Plusieurs autres associations ont été mises en place par l'illustre disparu. Il s'agit de l'Association des Promoteurs de Bars et Restaurants du Bénin (ANAPROBAR), de l'Association Nationale des Opérateurs Privés Touristiques du Bénin (ANOPRITOB), qui sera transformée en FOPaHT-Bénin (Fédération des Organisations Patronales de l'Hôtellerie et du Tourisme).
Stanislas Karim Salou fut le premier vice-président de la FOPaHT-UEMOA.
M. M.
Une convocation du procureur de la République près le tribunal de première instance de première classe d'Abomey est parvenue, lundi 22 novembre dernier, à quatre cadres et agents de la mairie d'Abomey, dans le département du Zou.
Les quatre agents de la mairie d'Abomey sont convoqués, ce mercredi 23 novembre 2021, pour une affaire d'occupation illicite de parcelles à Djègbé, dans le lotissement Goho II. Ces personnes sont citées par la partie s'estimant lésée dans le dossier.
L'affaire a été rendue publique à la suite d'une plainte de la collectivité Aholouvo, au maire de la commune d'Abomey, Louis Antoine Djedou.
D'autres agents de la mairie d'Abomey sont également cités pour leur implication dans l'affaire.
M. M.
Le président de la République, Son Excellence Patrice Talon, a nommé par décret, les membres du Comité spécial du musée Vodoun. Ledit comité est composé de 08 personnalités, dont le ministre du tourisme, de la culture et des arts, Jean-Michel Abimbola, coordonnateur.
Le Comité spécial du musée Vodoun selon le décret présidentiel a pour mission, d'accompagner l'Agence nationale de promotion des patrimoines et de développement de tourisme dans la mise en œuvre du Projet de musée Vodoun. Il s'occupe des aspects scientifiques liés au projet, et à ce titre, veille à la qualité et à la justesse scientifique des contenus développés par la maîtrise d'œuvre muséographique et scénographique, à la qualité du projet scientifique et culturel du musée, et participe à la réflexion et à la validation du contenu dudit projet.
Dans sa mission, le Comité spécial du musée Vodoun doit s'assurer de la conformité de la proposition architecturale à la demande et à l'esprit du projet. Il participe, par ses avis et conseils, à la stratégie d'acquisition des collections du musée.
Liste des membres du Comité spécial du musée vodoun
Monsieur Jean-Michel Abimbola, ministre du tourisme, de la culture et des arts, coordonnateur du comité ;
Monsieur José Pliya, administrateur délégué de l'Agence nationale de promotion des patrimoines et de développement du tourisme ;
Madame Coline Toumson, chargée de mission Arts et culture du président de la République ;
Monsieur Alain Godonou, directeur du Programme musées à l'Agence nationale de promotion des patrimoines et de développement du tourisme ;
Madame Anne Elisabeth Migan née Verbizier, enseignante d'histoire et de géographie, retraitée de l'éducation nationale en France ;
Monsieur Joseph Adandé, professeur d'histoire de l'art, retraité de l'université d'Abomey-Calavi ;
Monsieur Dodji Amouzounvi, professeur d'anthropologie des religions à l'université d'Abomey-Calavi ;
Monsieur Félix Ayoh'Omidiré, professeur des études luso afro-brésiliennes de l'Université Obafèmi Awolowo, Ilé-Ifè au Nigéria.
F. A. A.
L'amélioration de la qualité des soins offerts aux militaires, à leurs familles et aux populations est au cœur des états généraux ouverts, jeudi 18 novembre 2021, sur le service de santé des forces armées béninoises.
Mis en place en 1971 pour apporter un soutien sanitaire aux personnels militaires et civils du ministère de la défense et à leurs familles, le service de santé des armées fait face à l'obsolescence de ses infrastructures, à une gestion administrative et financière qui n'est pas à la hauteur des attentes. « (…) Il existe un mal profond qui mine le fonctionnement de ce secteur et qui le dévie totalement de la mission qui lui a été confié », a indiqué le Directeur général des services de santé des armées, le Colonel Felix Atadokpede.
C'est dans la perspective d'améliorer les services que les états généraux ont été organisés du jeudi 19 au vendredi 20 novembre 2021 à l'infosec de Cotonou. Les participants ont procédé au diagnostic des services, à l'examen des aspects juridiques et institutionnels, à la relecture des textes fondamentaux à la lumière des orientations données par les autorités politico-militaires et autres comme la qualité des ressources humaines et les formations.
Les communications présentées aux participants lors des états généraux sont axées, entre autres, sur le leadership en milieu militaire, état des lieux du service de santé des armées, ou la loi 2020-19 et la carrière du personnel militaire de santé.
Des recommandations ont été proposées pour l'amélioration des services de santé dans les hôpitaux des forces armées béninoise.
A l'ouverture des états généraux, jeudi dernier, le Contre-Amiral Patrick Jean-Baptiste Aho, représentant le ministre de la défense, a invité les participants à la sincérité dans les débats, l'absence de passion dans les débats et la neutralité dans les solutions proposées. Le Chef d'État-Major Général des Forces Armées Béninoises a exhorté les participants à travers l'allégorie de la jarre trouée du roi Ghézo à considérer le service de santé des armées comme un « bien commun » dont l'amélioration nécessite l'appui de tous.
M. M.
Le chanteur et percussionniste Janvier Dénagan Honfo s'en est allé, ce lundi 22 novembre 2021. Le ministre de la Culture Abimbola a présenté les condoléances au monde artistique et à sa famille biologique.
« Il y a quelques mois de cela, nous avons édité une anthologie de la musique béninoise sur les 60 dernières années et évidemment il était en bonne place sur cette anthologie », a déclaré Jean-Michel Abimbola au micro de Frissons Radio. Pour le ministre, le talent de ce grand artiste révèle le Bénin. Le ministre a au nom du gouvernement et en son nom propre présenté les condoléances à la famille biologique de l'artiste et au monde artistique béninois. Selon le ministre de la Culture, un hommage sera rendu à l'artiste.
Janvier Dénagan Honfo est décédé, lundi 22 novembre 2021, en Allemagne dans sa 54e année des suites d'une maladie.
A.A.A
Les prévisions budgétaires de l'année 2022 ainsi que les actions prioritaires à mettre en œuvre dans les secteurs tourisme, culture et arts ont été présentées, lundi 22 novembre 2021, à la Commission budgétaire de l'Assemblée nationale.
Pour l'année budgétaire 2022, le budget prévisionnel du Ministère du Tourisme de la Culture et des Arts s'élève à environ 48 milliards 600 millions FCFA, soit une augmentation d'environ 12%, dont 36 milliards de francs CFA pour le tourisme et environ 10 milliards pour la culture et les arts.
Selon les explications du ministre du tourisme, de la culture et des arts, Jean Michel Abimbola, le budget 2022 sera consacré à la poursuite de nombreux projets. Il s'agit des travaux de réalisation d'infrastructures touristiques à Ouidah, Abomey, Ganvié, Allada, Porto-Novo, à Cotonou, Nikki et ailleurs ; la mise en route d'un programme de renforcement des capacités des acteurs de la chaîne touristique et hôtelière ; l'intensification des actions de valorisation des sites, attraits touristiques et leurs voies d'accès, etc.
Le budget permettra également d'implémenter les différentes réformes pour faire du tourisme, de la culture et des arts un pilier essentiel pour la création de la richesse et de l'emploi.
Le budget servira également au financement d'autres projets tels que la gestion des expositions des œuvres culturelles restituées par la France ; l'opérationnalisation effective des classes culturelles ; le démarrage de la construction des arènes culturelles ; l'élaboration de la stratégie nationale de développement de la culture et des arts ; le renforcement des capacités des professionnels du patrimoine culturel ; le démarrage de la numérisation des bibliothèques du Bénin ; la poursuite du financement des projets et initiatives culturels ; la poursuite de l'inscription des biens et éléments à inscrire sur les listes du patrimoine mondial.
M. M.
La Cour de Répression des Infractions Economiques et du Terrorisme (Criet) a renvoyé au 20 décembre 2021 le dossier des six agents des forces de sécurité suspectés dans l'affaire de 10 kg de drogue saisis à Cotonou.
A la barre, lundi 22 novembre 2021, les six (06) agents des forces de sécurité dont quatre policiers et deux agents des forêts et chasse ne sont pas fixés sur leur sort.
La Criet a renvoyé le procès au 20 décembre 2021.
Les prévenus sont poursuivis pour « complicité » dans l'affaire de trafic international de drogue.
La drogue a été saisie le 13 octobre 2021 et les agents sont en détention depuis le 15 octobre dernier.
M. M.
Deuil dans le monde du showbiz. La vedette de la chanson béninoise vivant en Allemagne s'est éteinte. La nouvelle du décès de Janvier Dénagan Honfo a été annoncée ce lundi 22 novembre 2021. Il a rendu l'âme dans son pays d'accueil des suites d'une maladie. L'artiste béninois naturalisé Allemand est né le 12 mars 1967 à Porto-Novo.
Sa disparition est une grande perte pour la culture et le Bénin. Dénagan est parti mais, comme l'indique son nom, ses œuvres survivront.
Un artiste hors pair
Dénagan Janvier Honfo est un artiste intemporel avec un éventail de talents exceptionnellement large, qui a aussi beaucoup d'imagination et d'inspiration. Dénagan (qui signifie "un individu survivra") incarne avec sa musique les traditions de son pays natal le Bénin (Afrique de l'Ouest).
Ses paroles et ses mélodies emmènent le mélomane dans un voyage des premières racines du classique à la tradition plus calme et reflètent ainsi ce que l'Afrique a à offrir en termes d'originalité et de valeur.
Façonné par la tradition GOUN, il parvient toujours à surprendre à nouveau ses contemporains, d'où la question se pose : Comment cet artiste peut-il vivre en Allemagne et rester connecté à la réalité de la vie quotidienne dans son pays d'origine bien-aimé, le Bénin ? D'où vient son inspiration, dotée de symboles, de sens et de valeurs ?
Ses œuvres touchantes témoignent à la fois d'une ampleur et d'une densité incomparables, où les formes d'expression sont un témoignage vivant et expressif de la connexion d'anciennes racines et de nouvelles influences.
Dans sa musique, qu'il appelait autrefois une mission de transe, l'artiste combine avec sensibilité des formes d'expression de la vie africaine et européenne. Le chant de joie et l'hymne s'y fondent harmonieusement l'un dans l'autre. Dénagan Janvier Honfo est un percussionniste à la personnalité incomparable à un haut niveau artistique, qui maîtrise son instrument dans toutes ses formes traditionnelles et modernes.
Artiste aux multiples facettes que l'on peut aussi appeler AZIZA, ce qui veut dire quelque chose comme « le génie de l'inspiration », Dénagan Janvier HONFO est à la fois compositeur, danseur, comédien, musicothérapeute et barde de la culture « Ayinonvi ».
Depuis l'enfance il est en contact avec les grands percussionnistes locaux du Bénin. C'est pourquoi il a une richesse de connaissances musicales. A la fois mélancolique et optimiste dans son style, qui permet à l'auditeur de s'immerger complètement dans un autre monde, les « tambouristes » s'inspirent du savoir de leurs ancêtres. Il est « choisi par Dieu », comme on dit au Bénin. Il est donc difficile d'imaginer comment il compose ses pièces et choisit ses rythmes. Ses textes richement picturaux rappellent des paraboles ou des fables.
Dans leur symbolisme profond, ils révèlent sa philosophie de vie. Ils éveillent tous la joie, l'amour, le rire, la paix, l'harmonie et la réflexion dans le cœur. Lequel de ses auditeurs nierait que ce qu'il chante vient de l'intérieur de lui-même ?
Dénagan Janvier HONFO est un artiste béninois intemporel qui n'est qu'« à la dixième page des milliers probablement » que pourrait constituer son répertoire. La source inépuisable de sa créativité en lien vif avec les racines de sa tradition étonne encore et encore. On en dira plus de lui.
https://www.musicinafrica.net/fr/directory/denagan-janvier-honfo
Deuil dans le monde du showbiz. La vedette de la chanson béninoise vivant en Allemagne s'est éteinte. La nouvelle du décès de Janvier Dénagan Honfo a été annoncée ce lundi 22 novembre 2021. Il a rendu l'âme dans son pays d'accueil des suites d'une maladie. L'artiste béninois naturalisé Allemand est né le 12 mars 1967 à Porto-Novo.
Sa disparition est une grande perte pour la culture et le Bénin. Dénagan est parti mais, comme l'indique son nom, ses œuvres survivront.
Un artiste hors pair
Dénagan Janvier Honfo est un artiste intemporel avec un éventail de talents exceptionnellement large, qui a aussi beaucoup d'imagination et d'inspiration. Dénagan (qui signifie "un individu survivra") incarne avec sa musique les traditions de son pays natal le Bénin (Afrique de l'Ouest).
Ses paroles et ses mélodies emmènent le mélomane dans un voyage des premières racines du classique à la tradition plus calme et reflètent ainsi ce que l'Afrique a à offrir en termes d'originalité et de valeur.
Façonné par la tradition GOUN, il parvient toujours à surprendre à nouveau ses contemporains, d'où la question se pose : Comment cet artiste peut-il vivre en Allemagne et rester connecté à la réalité de la vie quotidienne dans son pays d'origine bien-aimé, le Bénin ? D'où vient son inspiration, dotée de symboles, de sens et de valeurs ?
Ses œuvres touchantes témoignent à la fois d'une ampleur et d'une densité incomparables, où les formes d'expression sont un témoignage vivant et expressif de la connexion d'anciennes racines et de nouvelles influences.
Dans sa musique, qu'il appelait autrefois une mission de transe, l'artiste combine avec sensibilité des formes d'expression de la vie africaine et européenne. Le chant de joie et l'hymne s'y fondent harmonieusement l'un dans l'autre. Dénagan Janvier Honfo est un percussionniste à la personnalité incomparable à un haut niveau artistique, qui maîtrise son instrument dans toutes ses formes traditionnelles et modernes.
Artiste aux multiples facettes que l'on peut aussi appeler AZIZA, ce qui veut dire quelque chose comme « le génie de l'inspiration », Dénagan Janvier HONFO est à la fois compositeur, danseur, comédien, musicothérapeute et barde de la culture « Ayinonvi ».
Depuis l'enfance il est en contact avec les grands percussionnistes locaux du Bénin. C'est pourquoi il a une richesse de connaissances musicales. A la fois mélancolique et optimiste dans son style, qui permet à l'auditeur de s'immerger complètement dans un autre monde, les « tambouristes » s'inspirent du savoir de leurs ancêtres. Il est « choisi par Dieu », comme on dit au Bénin. Il est donc difficile d'imaginer comment il compose ses pièces et choisit ses rythmes. Ses textes richement picturaux rappellent des paraboles ou des fables.
Dans leur symbolisme profond, ils révèlent sa philosophie de vie. Ils éveillent tous la joie, l'amour, le rire, la paix, l'harmonie et la réflexion dans le cœur. Lequel de ses auditeurs nierait que ce qu'il chante vient de l'intérieur de lui-même ?
Dénagan Janvier HONFO est un artiste béninois intemporel qui n'est qu'« à la dixième page des milliers probablement » que pourrait constituer son répertoire. La source inépuisable de sa créativité en lien vif avec les racines de sa tradition étonne encore et encore. On en dira plus de lui.
https://www.musicinafrica.net/fr/directory/denagan-janvier-honfo
A l'instar de plusieurs autres membres du gouvernement, le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Eléonore YAYI LADEKAN a présenté le budget de son département ministériel ce lundi 22 novembre 2021. Face aux députés membres de la commission des finances, elle a défendu un budget estimé à 71 522 208 000 F CFA.
Le budget exercice 2022 du ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique connait une baisse de 4,95% par rapport à l'année 2021 (75 246 966 000 F CFA). Il prend en compte les dépenses ordinaires (52 019 052 000 F CFA contre 55 514 463 000 F CFA en 2021, soit une diminution de 0,94% ; les dépenses en capital chiffrées à 19 503 156 000 F CFA contre 22 732 503 000 F CFA soit une baisse de 14,21%.
Ce budget selon le ministre, permettra la poursuite de la mise en œuvre des reformes et actions phares dans le sous-secteur de l'enseignement supérieur. Eléonore YAYI LADEKAN a évoqué notamment le renforcement de la gouvernance administrative et institutionnelle à travers la mise à jour de certains textes et la mise en place de tous les organes de décision, de contrôle, d'audit et d'évaluation ; la poursuite de la mise en réseau des universités et la digitalisation de l'enseignement supérieur ; la restructuration des offres de formation dans les universités publiques ; l'organisation de l'audit du système de gestion des ressources humaines et de la gestion administrative afin de l'amélioration qualitative et quantitative du personnel ; le renforcement du dispositif de lutte contre le harcèlement sexuel dans les universités publiques ; le développement de plateformes pour dématérialiser les services offerts à la communauté dans l'administration centrale et dans les universités ; la poursuite des travaux de construction et d'équipements de nouvelles infrastructures administratives, pédagogiques et des laboratoires pluridisciplinaires ; la sécurisation des domaines des UNB et du MESRS ; la poursuite de la mise en œuvre de la délégation des œuvres sociales et universitaires au secteur privé la mise en place de la plateforme intégrée de gestion des campus ( gestion des inscriptions, de la scolarité, de l'administration), le démarrage effectif des cours dans deux IUEP dès février 2020, la création de l'Agence Béninoise d'Assurance et de la Qualité de l'Enseignement Supérieur (ABAQES), la poursuite de la promotion d'une économie du savoir à travers des Institutions de formation, des centres de recherche et des incubateurs de Sèmè City, …etc.
Le point de la mise en œuvre des recommandations de l'année 2021, les actions réalisées cette année, les difficultés rencontrées et perspectives pour l'année 2022 n'ont pas été occultés lors de la séance avec les députés.
F. A. A.
Un apprenti maçon âgé de 15 ans est en détention provisoire à la prison civile d'Abomey-Calavi depuis, jeudi 18 novembre 2021, pour viol sur une mineure de 6 ans.
Les faits remontent au samedi 13 novembre 2021 à Glodjigbé dans la commune d'Abomey-Calavi. Un vent fort annonçant l'imminence d'une pluie souffle aux environs de 16 heures et une mère de famille part à la recherche de sa fille pour la mettre à l'abri.
La dame commence ses recherches du côté du garage à côté de son atelier où elle se trouvait avec la fillette avant sa disparition. A sa grande surprise, elle voit sa fille couchée sur un sac de charbon avec un apprenti maçon âgé de 15 ans, en ébats intimes.
Le commissariat de Glo-Djigbé interpelle l'apprenti maçon de 15 ans. Poursuivi pour viol sur mineure, le jeune homme séjourne à la prison civile d'Abomey-Calavi depuis, jeudi 18 novembre 2021. Il sera présenté au procureur dans les prochains jours.
Quant à la fillette, elle a été conduite à l'hôpital où les examens médicaux ont attesté d'une agression sexuelle sur sa personne.
Marc MENSAH
La neuvième Rencontre trimestrielle entre la Cour suprême, les juridictions de fond et le Barreau se tient du 22 au 24 novembre 2021 au Tribunal de première instance de 2ème classe de Dassa-Zoumè dans le département des Collines. Les travaux ont été lancés lundi par le ministre de la justice et de la législation, Séverin Quenum.
Créer une synergie d'actions indivisibles entre les différentes composantes de l'appareil judiciaire pour un service public de qualité au profit des justiciables, échanger sur des préoccupations de leurs offices respectifs sont, entre autres, les objectifs de la 9è édition de la Rencontre trimestrielle entre la Cour suprême, les juridictions de fond et le Barreau ouverte le lundi 22 novembre 2021 au Tribunal de première instance de 2ème classe de Dassa-Zoumè dans le département des Collines.
Les présidents des Cours d'appel, des tribunaux de première instance, les procureurs de la République, les avocats du Barreau du Bénin et les greffiers des Cours et tribunaux du Bénin prennent part aux assises qui dureront trois jours.
Les représentants des Chambres nationales de justice, des Notaires et des Commissaires-priseurs, des huissiers participent également à la 9è édition de la Rencontre trimestrielle.
A l'ouverture des travaux lundi, le maire de Dassa-Zoumè, Nicaise Fagnon, s'est réjoui du choix de sa commune et le président du TPI de Dassa-Zoumè, Armel Azodogbèhou, a remercié du choix de sa juridiction pour abriter les travaux.
Les assises permettront de créer les conditions nécessaires pour une justice de qualité au Bénin, selon le préfet des Collines, Saliou Odoubou.
Le président de la Cour Suprême, Victor Dassi Adossou, a souhaité que les débats soient francs, directs et sans tabou et empreinte de convivialité.
Procédant à l'ouverture officielle des travaux, le Ministre de la Justice, Séverin Maxime Quenum, a rappelé que le Gouvernement du Président Talon travaille pour une justice diligente, crédible et impartiale, de nature à susciter l'engouement des partenaires pour accompagner le Bénin dans sa marche vers le développement intégral. « La justice demeure le pilier de l'Etat de droit et de démocratie et les acteurs qui animent sont de ce fait, les dépositaires d'un pouvoir considérable », a indiqué le garde des sceaux.
Marc MENSAH
Les séminaires spécialisés démarrent cette semaine à l'Ecole Supérieure de Management (ESM-BENIN). Le premier numéro reçoit, vendredi 26 novembre prochain, à 9h sur le site d'Abomey-Calavi, M. Vito Codjo Cyrille, conseiller académique à l'Ambassade des Etats-Unis, et Dr Christian Brice Ahoyo, consultant-formateur.
« Opportunités d'études aux USA et importance de la maîtrise de l'anglais par les étudiants », et « Sensibilisation sur l'entrepreneuriat et la création d'entreprise sociale » sont les deux thématiques qui seront développées au cours de ce premier numéro des séminaires spécialisés à ESM-BENIN. Il sera animé respectivement par M. Vito Codjo Cyrille, conseiller académique à l'Ambassade des Etats-Unis, et Dr Christian Brice Ahoyo, consultant formateur.
Les étudiants au cours de ce rendez-vous d'échanges pourront s'informer davantage sur les possibilités/opportunités de poursuivre leur formation aux Etats Unis. L'importance de la langue Anglaise, une priorité à travers le laboratoire de langue de l'université, sera également exposée aux apprenants. Avec le consultant formateur, les échanges porteront essentiellement sur l'entrepreneuriat et la création d'entreprise, une priorité du gouvernement Béninois, et qui permet à la jeunesse, de s'auto-employer.
« Former des cadres compétents susceptibles de faire face à tous les enjeux », c'est la vision promue à l'Ecole Supérieure de Management.
Depuis sa création en 2007, elle s'est illustrée à travers des résultats très satisfaisants à la fin de chaque année. Ses nombreuses performances lui donnent le privilège d'étendre cette année 2021-2022, les offres de formations dans les filières Génie Civil, Eau et Assainissement ; Administration des Finances ; Administration Générale ; les Sciences Juridiques ; les Sciences Politiques ; et les Sciences Economiques et de Gestion.
Toutes ces nouvelles filières sont disponibles aussi bien en Licence qu'en Master, et en cours du jour comme en cours du soir.
Les diplômes délivrés à ESM-BENIN sont reconnus par l'Etat Béninois, et le Conseil Africain et Malgache de l'Enseignement Supérieur (CAMES).
ESM-BENIN est l'une des rares universités privées qui accompagnent les étudiants jusqu'à leur intégration professionnelle. Le partenariat avec les auto-écoles de la place permet à l'étudiant, d'obtenir au terme de sa formation, le permis de conduire catégorie B.
La rentrée 2021-2022 a déjà démarré ; et l'Ecole Supérieure de Management pour cette nouvelle année, accorde jusqu'à 50% de bourse aux étudiants.
ESM-BENIN, LE CHEMIN VERS L'EMPLOI !