Une nouvelle expérience à la Cour des comptes pour Roch C. Gnahoui David. Le Professeur a été nommé, ce mercredi 16 mars 2022, en Conseil des ministres président de la Chambre du contrôle et du jugement des comptes de l'Etat.
L'ex-doyen de la Faculté de droit et de science politique de l'Université d'Abomey-Calavi (Uac) a été promu président de la Chambre du contrôle et du jugement des comptes de l'Etat. Roch Gnahoui David a été nommé en Conseil des ministres, sur proposition du président de la Cour des Comptes, après la prise de l'ordonnance créant ses Chambres et après avis du Comité faisant office de Conseil supérieur des comptes.
Avocat au Barreau du Bénin, Roch Gnahoui David est professeur titulaire du Cames en droit privé. Il a occupé le poste de doyen à la Faculté de droit et de science politique de l'UAC de 2019 à 2022. L'universitaire a passé le témoin à son successeur, Prof Léon Jossè le lundi 07 mars 2022. Roch Gnahoui David est membre du parti Union Progressiste.
Akpédjé Ayosso
Une nouvelle expérience à la Cour des comptes pour Roch C. Gnahoui David. Le Professeur a été nommé, ce mercredi 16 mars 2022, en Conseil des ministres président de la Chambre du contrôle et du jugement des comptes de l'Etat.
L'ex-doyen de la Faculté de droit et de science politique de l'Université d'Abomey-Calavi (Uac) a été promu président de la Chambre du contrôle et du jugement des comptes de l'Etat. Roch Gnahoui David a été nommé en Conseil des ministres, sur proposition du président de la Cour des Comptes, après la prise de l'ordonnance créant ses Chambres et après avis du Comité faisant office de Conseil supérieur des comptes.
Avocat au Barreau du Bénin, Roch Gnahoui David est professeur titulaire du Cames en droit privé. Il a occupé le poste de doyen à la Faculté de droit et de science politique de l'UAC de 2019 à 2022. L'universitaire a passé le témoin à son successeur, Prof Léon Jossè le lundi 07 mars 2022. Roch Gnahoui David est membre du parti Union Progressiste.
Akpédjé Ayosso
La Secrétaire générale à la Cour suprême, Mme Dandi Gnamou, est appelée à une nouvelle fonction à la Cour des Comptes. Elle a été nommée, ce mercredi 16 mars 2022, présidente de la Chambre du contrôle des comptes des entreprises publiques.
Nomination de Dandi Gnamou, Professeure agrégée des facultés de droit public à la Cour des comptes. Secrétaire générale à la Cour suprême depuis mai 2020 et juge à la chambre administrative, Dandi Gnamou a une nouvelle fonction. Elle a été promue en Conseil des ministres ce mercredi au poste de Présidente de la Chambre du contrôle des comptes des entreprises publiques. Dandi Gnamou est enseignante-chercheure à la Faculté de droit et de sciences politiques de l'Université d'Abomey-Calavi.
A.Ayosso
La Secrétaire générale à la Cour suprême, Mme Dandi Gnamou, est appelée à une nouvelle fonction à la Cour des Comptes. Elle a été nommée, ce mercredi 16 mars 2022, présidente de la Chambre du contrôle des comptes des entreprises publiques.
Nomination de Dandi Gnamou, Professeure agrégée des facultés de droit public à la Cour des comptes. Secrétaire générale à la Cour suprême depuis mai 2020 et juge à la chambre administrative, Dandi Gnamou a une nouvelle fonction. Elle a été promue en Conseil des ministres ce mercredi au poste de Présidente de la Chambre du contrôle des comptes des entreprises publiques. Dandi Gnamou est enseignante-chercheure à la Faculté de droit et de sciences politiques de l'Université d'Abomey-Calavi.
A.Ayosso
Par un arrêté ministériel, en date de ce mardi 15 mars 2022, le ministre des enseignements maternel et primaire, Salimane Karimou, a nommé de nouveaux directeurs d'écoles dans le département de l'Atlantique.
La liste des nouveaux directeurs d'écoles
Les femmes seront fortement représentées sur la liste du parti Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE) aux élections législatives de 2023. Le deuxième secrétaire exécutif national, El Farouk Soumanou, a réitéré cette promesse du premier responsable du parti à l'occasion de la célébration de la journée internationale des droits des femmes.
Suivant les nouvelles dispositions de la loi, au moins 24 femmes siégeront au parlement, 9ème législature. Le parti FCBE travaille pour une forte présence des femmes à la prochaine Assemblée nationale. La formation politique de l'opposition envisage positionner 50% de femmes sur sa liste de candidature dans le cadre des prochaines législatives. Ainsi, sur 100 candidats, le parti envisage présenter 50 femmes.
Sur les 24 femmes attendues pour le Parlement 9ème législature, les FCBE auront la moitié, promettent les responsables du parti. Pour atteindre cet objectif, le parti travaille « ardemment avec une organisation minutieuse des femmes », déjà en ordre de bataille, précisent des sources proches du parti.
F. A. A.
Dans le cadre des travaux de la 49ème session du Conseil des Droits de l'Homme, l'ONG "Africa Culture International " a organisé un panel en association avec plusieurs acteurs de la société civile issus des Provinces du Sud participant à la session et présents à Genève, une conférence internationale autour de l'enrôlement des enfants sahraouis dans les camps de Tindouf : analyse et témoignages.
La 49ème session du Conseil des Droits de l'Homme a connu la participation de plusieurs experts. Il s'agit du modérateur Dianko Lamine, Consultant et Président de l'ONG "Africa Culture" ; Abubekrine Mohamed Yehdih, Membre du Comité africain d'experts sur les droits et le bien-être de l'enfant (ACERWC) ; Aïcha Duihi, Présidente de l'OSPDH ; Abdelouahab Gain, chercheur et Président de "Africa Watch" ; Moulay Lahsen Naji, Président de la "CIDH" ; Mohamed Ahmed Gain, et Hammada Labaihi, Président de la LSDDH.
Dans son intervention, Mme Aïcha Duihi a expliqué que l'endoctrinement et l'enrôlement des enfants par le polisario dans les guerres est un crime contre l'être humain en général. Une pratique qui contredit les principes des droits de l'Homme et les exigences de la Convention relative aux droits de l'enfant, qui stipule une éducation aux principes et valeurs de liberté, d'égalité et de tolérance d'une manière visant la consolidation de la personnalité de l'enfant.
La Présidente de l'OSPDH a indiqué que le phénomène des enfants soldats dans les camps de Tindouf constitue un danger pour l'ensemble de la région de l'Afrique du Nord. Elle a précisé que ''ces enfants pourraient facilement être recrutés par les organisations terroristes au Sahel''.
C'est pourquoi Mme Aïcha Duihi appelle la communauté internationale à adopter des mesures sérieuses pour faire face et ce phénomène.
Pour M. Moulay Lahcen Naji l'organisation de cette conférence autour de la thématique des enfants soldats est d'une importance capitale. Le Président de la CIDH a souligné que les situations de guerre en Afrique et surtout en Afrique du Nord favorisent l'enrôlement des enfants par les milices armées du polisario dans les camps de Tindouf sur le sol algérien.
Selon M. Naji, il s'agit d'une violation grave du droit de l'enfant et de l'être humain.
C'est pourquoi, il invite l'UA et le Conseil de Paix et de Sécurité de l'UA à assumer ses responsabilités face à l'enrôlement par le polisario des enfants qui constitue une violation grave des résolutions des Nations-Unies sur les Droits de l'enfant.
Abus et violations des droits des enfants
M. Abdelaouahab Gain Brahim, a souligné que la situation des enfants soldats dans les camps de Tindouf nous interpelle la société civile, car il s'agit d'une violation grave des droits de l'enfant reconnus par l'ONU.
Le Président de Africa Watch a expliqué que l'Algérie, qui abrite des camps de Tindouf, est un pays non démocratique géré par des Généraux qui ne reconnaissent pas les principes et les conventions onusiennes portant sur la protection des droits de l'enfant. Il a précisé que depuis 2012, ce pays jamais présenté un rapport sur la protection des enfants sur son sol. Le chercheur invite la société civile et la communauté internationale à oeuvrer pour renforcer le suivi de la situation des enfants dans le Monde et particulièrement dans les camps de Tindouf.
M. Said Achmir a rappelé que le front polisario a commencé à enrôler les enfants dans les conflits armés depuis des décennies. Pour illustrer ses propos, il a évoqué un reportage du journal espagnol « Tribuna Libre » en 2020 portant sur les enfants soldats dans les camps de Tindouf et la formation militaire dont ils sont sujets à Cuba.
M. Achmir indexe la responsabilité de l'Algérie, qui a ratifié la Charte africaine du droit de l'enfant et des peuples.
M. Hammada Labbihi a fait des témoignages sur son expérience dans les camps de Tindouf. Il avoué qu'il a été envoyé à Cuba à l'âge de 9 ans où il a été endoctriné et obligé à manipuler les armes.
Il a déploré les abus dont ces enfants dont victimes. Selon lui, environ 20% des combattants du polisario ont un âge inférieur à 16 ans.
Le Président de la LSDDH a souligné que la communauté internationale ne reconnait pas le polisario, et que l'endoctrinement et les abus dont sont victimes les mineurs dans les camps de Tindouf sont imputés aux autorités algériennes.
L'Union Africaine et les organisations onusiennes sont appelées à prendre leurs responsabilités pour faire respecter les droits des enfants dans les camps de Tindouf.
Le gouvernement béninois a adopté ce mercredi 16 mars 2022 plusieurs décrets en Conseil des ministres.
Le Conseil a adopté le décret portant composition, attributions, organisation et fonctionnement du Conseil national de lutte contre le VIH/SIDA, la tuberculose, le paludisme, les hépatites, les infections sexuellement transmissibles et les épidémies (CNLS-TP). Il y a également le décret fixant les attributs de l'administration, les tenues d'uniformes et les galons des fonctionnaires des Eaux, Forêts et Chasse.
Akpédjé Ayosso
Le Conseil des Ministres s'est réuni mercredi, le 16 mars 2022, sous la présidence de Monsieur Patrice TALON, Président de la République, Chef de l'État, Chef du Gouvernement.
Les décisions ci-après ont été prises :
I- MESURES NORMATIVES.
Au titre de ces mesures, le Conseil a adopté le décret portant :
composition, attributions, organisation et fonctionnement du Conseil national de lutte contre le VIH/SIDA, la tuberculose, le paludisme, les hépatites, les infections sexuellement transmissibles et les épidémies (CNLS-TP) ; ainsi que celui fixant
les attributs de l'administration, les tenues d'uniformes et les galons des fonctionnaires des Eaux, Forêts et Chasse.
II- COMMUNICATIONS.
Allègement des mesures de protection mises en place pour faire face à la pandémie de la COVID-19 en République du Bénin.
Depuis plusieurs semaines, la situation de la pandémie dans notre pays permet d'observer une tendance à la baisse des cas de contamination, y compris les cas graves.
Au regard de cette évolution favorable, il apparaît opportun de procéder à un allègement des mesures préventives et restrictives en vigueur afin notamment de relancer les activités économiques, culturelles et sociales.
A cet effet, les mesures suivantes sont levées :
la fermeture des discothèques et assimilés ;
l'interdiction de regroupements festifs dans les lieux publics, y compris les plages ;
l'interdiction des rassemblements de plus de 50 personnes ;
l'obligation du respect de la distance de sécurité sanitaire entre passagers à bord des transports en commun ;
la suspension des événements et manifestations à caractère culturel, festif, sportif et religieux ;
la limitation à 50 du nombre de personnes autorisées à prendre part aux cérémonies d'inhumation ;
la suspension de la participation de toute personne de l'administration publique et du secteur privé non vaccinée contre la COVID-19 à des rencontres (réunions, ateliers, forums, séminaires, etc.) sur le territoire national ;
l'accès à tous les services publics assujetti à la présentation d'un pass vaccinal aux personnes éligibles à la vaccination ;
l'obtention des bulletins de prise en charge sous la condition de la présentation du pass vaccinal.
Les mesures maintenues concernent :
l'obligation du port de masques à bord des transports en commun ;
l'obligation vaccinale pour le personnel médical et paramédical, les pharmaciens, les aides-soignants ainsi que le personnel administratif des formations sanitaires publiques et les employés du secteur privé de même que ceux des officines pharmaceutiques ;
l'accès aux hôpitaux des parents et gardes malades, assujetti à la présentation du pass vaccinal.
Par ailleurs, le Conseil recommande fortement :
le port de masques en tous lieux publics, y compris dans les espaces marchands (boutiques, magasins, supermarchés, marchés ordinaires et autres) ;
le lavage systématique des mains à l'eau et au savon, ou leur désinfection par du gel ou de la solution hydroalcoolique, y compris sur les lieux de travail aussi bien publics que privés ;
la vaccination à toute personne éligible, notamment le personnel enseignant et administratif des établissements publics et privés, les étudiants, le personnel militaire et paramilitaire, les conducteurs de taxi-moto, les élèves de plus de 12 ans et les parents d'élèves.
S'agissant spécifiquement des voyageurs, l'entrée sur le territoire béninois, aussi bien par les frontières terrestres, aériennes que maritimes, est assujettie à la présentation d'un test PCR négatif datant de 5 jours au plus ou d'un TDR antigénique négatif de 72h au plus.
Quant à ceux qui sortent du Bénin, ils devront se conformer aux exigences des pays de destination.
Enfin, à l'appui de ces mesures, il est recommandé de maintenir les efforts en vue d'atteindre un fort taux de vaccination au plan national. A cet égard, une exhortation est faite à tous les responsables à divers niveaux, aussi bien du secteur public que du privé, à se faire vacciner et à recommander la vaccination à leurs agents, en vue de se prémunir contre la forme grave de la COVID-19.
III- RENCONTRES ET MANIFESTATIONS INTERNATIONALES.
Le Conseil a autorisé :
l'organisation à Cotonou, du 23 au 25 mars 2022, de la 16ème rencontre des chefs des services de renseignements et de sécurité couplée avec la 8ème réunion des ministres chargés de la Sécurité des pays membres de l'Initiative d'Accra ; de même que
la participation du ministère du Cadre de Vie et du Développement Durable, aux réunions statutaires et autres rencontres à l'extérieur, au titre de l'année 2022.
IV- MESURES INDIVIDUELLES.
Les nominations ci-après ont été prononcées :
A la Cour des comptes
Sur proposition du président de cette institution, après la prise de l'ordonnance créant ses Chambres et après avis du Comité faisant office de Conseil supérieur des comptes :
Président de la Chambre du contrôle et du jugement des comptes de l'Etat : Monsieur Roch C. Gnahoui DAVID
Président de la Chambre du contrôle et du jugement des comptes des collectivités locales : Madame Michèle Odette Andrée CARRENA épouse ADOSSOU
Président de la Chambre du contrôle des comptes des entreprises publiques : Madame Dandi GNAMOU
Dans les ministères et sur proposition des ministres
Ministère du Développement et Coordination de l'Action Gouvernementale
Directeur de la Planification, de l'Administration et des Finances : Monsieur Jacques Roland AMADOU
Ministère de l'Agriculture, Elevage et Pêche
Directeur départemental de l'Agriculture, de l'Elevage et de la Pêche du Zou : Monsieur -Evariste GOUNOU.
Fait à Cotonou, le 16 mars 2022,
Le Secrétaire Général du Gouvernement,
Edouard OUIN-OURO.
En conseil des ministres, ce mercredi 16 mars 2022, le gouvernement béninois a procédé à l'allègement des mesures de protection mises en place pour faire face à la pandémie de la Covid-19.
Selon le Conseil des ministres de ce mercredi 16 mars, depuis plusieurs semaines, la situation de la pandémie au Bénin permet d'observer une tendance à la baisse des cas de contamination, y compris les cas graves. « Au regard de cette évolution favorable, il apparaît opportun de procéder à un allègement des mesures préventives et restrictives en vigueur afin notamment de relancer les activités économiques, culturelles et sociales », informe le Conseil des ministres.
Le gouvernement a donc levé certaines mesures. Il s'agit de la fermeture des discothèques et assimilés ; l'interdiction de regroupements festifs dans les lieux publics, y compris les plages ; l'interdiction des rassemblements de plus de 50 personnes ; l'obligation du respect de la distance de sécurité sanitaire entre passagers à bord des transports en commun ; la suspension des événements et manifestations à caractère culturel, festif, sportif et religieux ; la limitation à 50 du nombre de personnes autorisées à prendre part aux cérémonies d'inhumation. Sont aussi levées, la suspension de la participation de toute personne de l'administration publique et du secteur privé non vaccinée contre la Covid-19 à des rencontres (réunions, ateliers, forums, séminaires, etc.) sur le territoire national ; l'accès à tous les services publics assujetti à la présentation d'un pass vaccinal aux personnes éligibles à la vaccination et l'obtention des bulletins de prise en charge sous la condition de la présentation du pass vaccinal.
Le gouvernement a maintenu le port de masque à bord des transports en commun ; la vaccination pour le personnel médical et paramédical, les pharmaciens, les aides-soignants ainsi que le personnel administratif des formations sanitaires publiques et les employés du secteur privé de même que ceux des officines pharmaceutiques. L'accès aux hôpitaux des parents et gardes malades est toujours assujetti à la présentation du pass vaccinal.
Le Conseil des ministres recommande le port de masque en tous lieux ; le lavage systématique des mains à l'eau et au savon ; la vaccination à toute personne éligible, notamment le personnel enseignant et administratif des établissements publics et privés, les étudiants, le personnel militaire et paramilitaire, les conducteurs de taxi-moto, les élèves de plus de 12 ans et les parents d'élèves.
A.Ayosso
Les mesures restrictives prises dans le cadre de la lutte contre la pandémie du Coronavirus ont été levées par le gouvernement à l'issue du Conseil des ministres du mercredi 2022. Certaines mesures ont été, toutefois, maintenues.
L'obligation du port de masques à bord des transports en commun ; l'obligation vaccinale pour le personnel médical et paramédical, les pharmaciens, les aides-soignants ainsi que le personnel administratif des formations sanitaires publiques et les employés du secteur privé de même que ceux des officines pharmaceutiques ; l'accès aux hôpitaux des parents et gardes malades, assujetti à la présentation du pass vaccinal demeurent toujours valables au Bénin malgré la suspension de certaines mesures de riposte à la pandémie du Covid-19. Ainsi en a décidé le gouvernement à l'issue du Conseil des ministres du mercredi 16 mars 2022.
Le gouvernement « recommande fortement : le port de masques en tous lieux publics, y compris dans les espaces marchands (boutiques, magasins, supermarchés, marchés ordinaires et autres) ; le lavage systématique des mains à l'eau et au savon, ou leur désinfection par du gel ou de la solution hydroalcoolique, y compris sur les lieux de travail aussi bien publics que privés ; la vaccination à toute personne éligible, notamment le personnel enseignant et administratif des établissements publics et privés, les étudiants, le personnel militaire et paramilitaire, les conducteurs de taxi-moto, les élèves de plus de 12 ans et les parents d'élèves. S'agissant spécifiquement des voyageurs, l'entrée sur le territoire béninois, aussi bien par les frontières terrestres, aériennes que maritimes, est assujettie à la présentation d'un test PCR négatif datant de 5 jours au plus ou d'un TDR antigénique négatif de 72h au plus.
Quant à ceux qui sortent du Bénin, ils devront se conformer aux exigences des pays de destination », indiqué le communiqué du Conseil des ministres. Le gouvernement recommande de maintenir les efforts en vue d'atteindre un fort taux de vaccination au plan national. « A cet égard, une exhortation est faite à tous les responsables à divers niveaux, aussi bien du secteur public que du privé, à se faire vacciner et à recommander la vaccination à leurs agents, en vue de se prémunir contre la forme grave de la COVID-19 », précise le communiqué du Conseil des ministres.
M. M.
En conseil des ministres, ce mercredi 16 mars 2022, le gouvernement a procédé aux nominations suivantes :
A la Cour des Comptes
Sur proposition du président de cette institution, après la prise de l'ordonnance instituant ses Chambres ; et avis du Comité faisant office de Conseil supérieur des Comptes :
Président de la Chambre du contrôle et du jugement des comptes de l'Etat
Monsieur Roch C. Gnahoui DAVID
Président de la Chambre du contrôle et du jugement des comptes des collectivités locales
Madame Michèle Odette Andrée CARRENA épouse ADOSSOU
Président de la Chambre du contrôle et du jugement des comptes des entreprises publiques
Madame Dandi GNAMOU
Le Conseil des Ministres s'est réuni, ce mercredi 16 mars 2022, sous la présidence du Chef de l'Etat Patrice Talon. Plusieurs grandes décisions ont été prises au cours de cette séance hebdomadaire.
Le Conseil des ministres a adopté le décret portant composition, attributions, organisation et fonctionnement du Conseil national de lutte contre le VIH/SIDA, la tuberculose, le paludisme, les hépatites, les infections sexuellement transmissibles et les épidémies (CNLS-TP) ; et le décret fixant les attributs de l'administration, les tenues d'uniformes et les galons des fonctionnaires des Eaux, Forêts et Chasse.
Le gouvernement béninois s'est aussi penché sur l'allègement des mesures de protection mises en place pour faire face à la pandémie de la COVID-19 en République du Bénin.
nominations ont été prononcées à la Cour des Comptes ; au ministère du Développement et de la Coordination de l'Action gouvernementale et au ministère de l'Agriculture, de l'Elevage et de la Pêche.
A.Ayosso
Cinq nominations ont été prononcées en conseil des ministres ce mercredi 16 mars 2022. Il s'agit de :
A la Cour des Comptes
Sur proposition du président de cette institution, après la prise de l'ordonnance instituant ses Chambres ; et avis du Comité faisant office de Conseil supérieur des Comptes :
Président de la Chambre du contrôle et du jugement des comptes de l'Etat
Monsieur Roch C. Gnahoui DAVID
Président de la Chambre du contrôle et du jugement des comptes des collectivités locales
Madame Michèle Odette Andrée CARRENA épouse ADOSSOU
Président de la Chambre du contrôle et du jugement des comptes des entreprises publiques
Madame Dandi GNAMOU
Dans les ministères ci-après et sur proposition des ministres respectifs
Développement et Coordination de l'Action gouvernementale
Directeur de la Planification, de l'Administration et des Finances
Monsieur Jacques Roland AMADOU
Agriculture, Elevage et Pêche
Directeur départemental de l'Agriculture, de l'Elevage et de la Pêche du Zou
Monsieur Evariste GOUNOU
Les matches aller et retour des barrages de la Coupe du monde 2022 démarrent le vendredi 25 mars 2022. La Confédération africaine de football (Caf) a rendu publique la liste des arbitres retenus dans ce cadre. Les Barrages prennent fin le 29 mars. La Vidéo (Var) sera assurée au cours des marches par les arbitres des autres confédérations de football.
ARBITRES ET PROGRAMME DES MATCHES
Vendredi 25 mars 2022
RD Congo – Maroc : Victor Gomes (Afrique du Sud)
Mali – Tunisie : Bamlak Tessema (Ethiopie)
Cameroun – Algérie : Joshua Bondo (Botswana)
Egypte – Sénégal : Jean-Jacques Ndala (RDC)
Ghana – Nigeria : Redouane Jiyed (Maroc)
Mardi 29 mars 2022
Sénégal – Egypte : Mustapha Ghorbal (Algérie)
Nigeria – Ghana : Sadok Selmi (Tunisie)
Algérie – Cameroun : Bakary Gassama (Gambie)
Tunisie – Mali : Maguette Ndiaye (Sénégal)
Maroc – RD Congo : Pacifique Ndabihawenimana (Burundi).
Le Ministre d'Etat chargé du Développement et de la Coordination de l'Action Gouvernementale a échangé, ce mardi 15 mars 2022, avec Dr Christian P. Shindler, Directeur Général de International Textile Manufacturers Federation (ITMF) dans le cadre du projet de la Zone économique spéciale de Glo-Djigbé. La séance a eu lieu en présence de Laurent Gangbès, directeur général de l'Agence de promotion des investissements et exportations (Apiex) et Létondji Béhéton, directeur général de la Société d'investissement et de promotion de l'industrie du Bénin.
La délégation des investisseurs dans le secteur textile a effectué le déplacement au Bénin pour constater la mise en œuvre des projets d'industrialisation et de transformation dans le domaine du textile au sein de la GDIZ (Glo Djigbé Industrial Zone). Avec à sa tête Dr Christian P. Shindler, les investisseurs textiles ont échangé avec Abdoulaye Bio Tchané après une visite à la Zone économique spéciale de Glo-Djigbé.
« Nous sommes séduits par ce que nous avons entendu du ministre d'Etat. Mais nous sommes davantage impressionnés par ce que nous avons vu sur le terrain et qui a été réalisé en très peu de temps », a déclaré Christian Shindler, Directeur Général de International Textile Manufacturers Federation (ITMF). Selon lui, « c'est un projet très grand et très intégré qui va transformer le coton béninois contrairement à la situation actuelle où une bonne partie du coton est exporté ». « C'est vraiment quelque chose de spécial parce qu'il n'y a presque pas d'initiatives de ce genre dans la sous-région », a relevé Christian Shindler.
Le Bénin est le premier pays producteur de coton en Afrique de l'Ouest et deuxième dans la production de céréales. Le Ministre d'Etat chargé du Développement et de la Coordination de l'Action Gouvernementale a souhaité que l'ITMF soit le porte-parole des autorités béninoises auprès des autres associations et fédération de textiles « pour venir au Bénin non seulement pour le textile mais aussi, les autres produits agricoles ».
« Nous avons une plateforme où nous discutons régulièrement des opportunités d'affaires dans le monde. C'est promis que nous reviendrons avec d'autres investisseurs de plusieurs nationalités », a confié le Directeur Général de International Textile Manufacturers Federation. Il est convaincu que ce projet du gouvernement béninois va transformer l'économie béninoise. Abdoulaye Bio Tchané a rassuré les investisseurs des réformes en cours dans plusieurs domaines pour favoriser les investissements.
A.Ayosso
Quatre (04) motocyclettes et une (1) voiture entièrement consumées. C'est le bilan d'un incendie survenu, mardi 15 mars 2022, dans l'arrondissement de Dantéga, commune de Matéri (département de l'Atacora).
Un vendeur d'essence frelatée de Dantéga, arrondissement de la commune de Matéri (Atacora), a vu les motos de quatre de ses clients partir en fumée ce mardi 15 mars 2022. L'incendie s'est déclenché lorsque le vendeur servait du carburant dans la moto d'un client. La moto a pris feu. Trois autres motos qui attendaient leur tour pour s'approvisionner ont également brûlé dans l'incendie. La voiture du vendeur d'essence frelaté en stationnement et chargée de plusieurs bidons de 25 litres a été consumée par les flammes. Selon Deeman Radio, il n'y a aucune perte en vie humaine mais des dégâts matériels.
M. M.
Dix-sept étrangers refoulés de la Guinée-Equatoriale ont été déposés en prison au Bénin. Ils sont inculpés pour une affaire de faux documents.
13 Burkinabé et 4 Maliens partis de l'aéroport de Cotonou avec de faux visas et de fausses invitations pour la Guinée Equatoriale ont été expulsés vers le Bénin.
A leur arrivée à Cotonou, les dix-sept personnes ont été accueillies par la Brigade criminelle. A l'issue des premières investigations, les mis en cause ont été placés sous mandat de dépôt après leur présentation au procureur du tribunal de Cotonou. Poursuivis pour « faux et usage de faux », les dix-sept ressortissants africains seront jugés en avril 2022. Selon les informations de Frissons radio, c'est le Consul de la Guinée Equatoriale au Bénin dont la signature a été imitée sur les documents, qui a alerté les autorités béninoises.
M. M.
À l'ère actuelle, où la sécurité des vies individuelles est constamment menacée par des conflits généralisés, la consolidation de la paix est actuellement exigée pour se développer en un système qui promeut la valeur, la norme et la culture de la paix pour tous les pays, communautés et individus, sur la base des principes partagés de coexistence et d'interdépendance de la communauté mondiale. La 6e commémoration annuelle de la Déclaration pour la paix et la cessation des guerres (DPCW) d'HWPL s'est tenue en ligne le 14 mars 2022 avec 5 000 participants, sous le thème « Institutionnalisation de la paix : Construire un fondement juridique pour la paix durable ».
Une ONG affiliée à l'ONU, Heavenly Culture, World Peace, Restoration of Light (HWPL) a approuvé les efforts combinés des gouvernements et de la société civile qui conduisent à l'institutionnalisation de la paix dans chaque société. Sa Déclaration pour la paix et la cessation des guerres (DPCW) proclamée en 2016 a fourni un guide pour la promotion de la paix menée par les citoyens, conformément aux organisations internationales telles que l'ONU, l'Union africaine (UA) et l'UE qui ont mis l'accent sur les orientations normatives comme standard pour la résolution substantielle des conflits avec la participation des femmes et des jeunes.
Quant à la nécessité de construire une base juridique pour une paix durable, Dr Kamal Hossain, président de la succursale de l'Association de droit international (ADI) au Bangladesh, a déclaré : « La condition préalable pour parvenir à la paix est de garantir les droits inaliénables des peuples, qui comprennent l'égalité devant la loi, l'égale protection de la loi, la non-discrimination, la liberté d'association, la liberté de réunion et la liberté d'expression ».
Selon Mme Anna Cervenakova, une membre du comité de droit international pour la paix d'HWPL, « dans la crise mondiale en cours, les gouvernements se demandent quel type d'action serait la meilleure action à entreprendre pour surmonter la crise d'urgence ». « La nécessité du développement humain, en surmontant l'urgence en santé publique, le changement climatique, le déclin économique, les restrictions aux droits de l'homme, nous amène au point de savoir comment ces fardeaux sont résolus par les institutions des gouvernements. Une grande partie du fardeau du travail incombe donc aux gouvernements, il est donc important de savoir quelles sont les priorités de leur programme institutionnel », a-t-elle affirmé.
L'un des orateurs, Prof Rommel Santos Diaz de droit international à l'Université INCE, a relevé que les bureaux du gouvernement, y compris le Sénat, le ministère des Affaires étrangères et le bureau du procureur général de la République dominicaine, ont travaillé avec des ONG dans le but de « la prise de décision de l'État pour les politiques publiques sur la sécurité des citoyens et les droits de l'homme » basée sur la DPCW.
A en croire l'imam Moulana Shafiek Nolan de Westridge en Afrique du Sud, la DPCW souligne l'importance de la paix entre les religions et la cessation des conflits religieux. Le dialogue mensuel sur les Écritures organisé par HWPL poursuit-il, vise particulièrement à créer une plate-forme pour briser les malentendus sur les Écritures et les pratiques religieuses, reflétant les valeurs exprimées dans la DPCW.
Le président Man Hee Lee d'HWPL a confié que les guerres et les conflits continuent de se produire parce que des guerres peuvent être déclenchées si cela est prétendument nécessaire selon le droit international en vigueur, c'est pourquoi cela ne peut pas mettre fin à la guerre. Il a souligné que tous les membres du village planétaire doivent être unis en tant que messagers de la paix pour « certainement créer une chose (le droit international pour la paix) qui peut apporter la paix ».
Le 28 février, HWPL a publié une déclaration sur l'invasion de l'Ukraine par la Russie qui inclut la protection des réfugiés et la solidarité mondiale des jeunes contre la guerre et la transmet à 192 pays.
La DPCW présente des principes de paix à promouvoir par la société internationale, tels que l'interdiction de l'usage de la force, la promotion de la liberté religieuse et la participation civique pour diffuser une culture de paix. Elle souligne qu'une paix durable peut être réalisée par tous les membres de la société mondiale en identifiant non seulement les États-nations mais aussi les organisations internationales et tous les citoyens comme les principaux acteurs de la construction de la paix.