Le président de l'Assemblée nationale, Louis VLAVONOU a procédé à l'ouverture de la 3e session extraordinaire de l'Assemblée nationale ce mardi 27 septembre 2022. Cinq propositions de lois seront examinées par la représentation nationale durant les 15 jours que dureront les travaux.
La 3e session extraordinaire est ouverte au parlement mardi dernier. Les travaux prévus pour durer 15 jours seront consacrés à l'examen de 05 propositions de lois. Il s'agit entre autres du :
– projet de loi portant modification et complément de la loi n°2018-14 du 18 mai 2018 portant code de procédure pénale en République du Bénin ;
– projet de loi portant modification des dispositions de l'article 585.1 de la loi n°2008-07 du 28 février 2011 portant code de procédure civile, commerciale, sociale, administrative et des comptes en République du Bénin, telles que modifiées par la loi n°2020-08 du 23 avril 2020 portant modernisation de la justice ;
– projet de loi modifiant la loi n°2020-37 du 03 février 2021 portant protection de la santé des personnes en République du Bénin ;
– projet de loi portant création, composition et organisation du corps des inspecteurs des services judiciaires ; et
– du projet de loi portant création, organisation et fonctionnement de la Cour spéciale des affaires foncières.
Par une correspondance en date du 19 septembre 2022, le directeur général des douanes informe la Société Bénin Control S.A du passage à la valeur transactionnelle de certains produits.
Dans le souci du respect des engagements vis-à-vis des organismes internationaux notamment l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC) et le Fonds Monétaire International (FMI), une vingtaine de produits passent à la valeur transactionnelle. Selon le directeur général des douanes « les Attestations de Vérification Documentaire (AVD) de ces produits ne devront plus faire apparaître à compter du 1er octobre 2022, la mention des valeurs ajustées ».
Parmi ces produits, il y a entre autres les poissons et viandes congelés, les laits, farine de blé, les allumettes, cubes, tomates, pâtes alimentaires, bonbons biscuits, tissu wax etc.
La valeur transactionnelle désigne le prix facturé pour les marchandises vendues.
Par une correspondance en date du 19 septembre 2022, le directeur général des douanes informe la Société Bénin Control S.A du passage à la valeur transactionnelle de certains produits.
Dans le souci du respect des engagements vis-à-vis des organismes internationaux notamment l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC) et le Fonds Monétaire International (FMI), une vingtaine de produits passent à la valeur transactionnelle. Selon le directeur général des douanes « les Attestations de Vérification Documentaire (AVD) de ces produits ne devront plus faire apparaître à compter du 1er octobre 2022, la mention des valeurs ajustées ».
Parmi ces produits, il y a entre autres les poissons et viandes congelés, les laits, farine de blé, les allumettes, cubes, tomates, pâtes alimentaires, bonbons biscuits, tissu wax etc.
La valeur transactionnelle désigne le prix facturé pour les marchandises vendues.
Un jeune homme a été tué devant le port sec d'Allada dans le département de l'Atlantique lundi 26 septembre dernier. La victime, un apprenti vulcanisateur essayait de gonfler un pneu qui a éclaté.
Evènement dramatique devant le port sec d'Allada en début de semaine. Un apprenti vulcanisateur a été tué par un pneu. Le jeune homme essayait de gonfler un pneu qui a éclaté. Le choc en plein visage l'a propulsé contre un mur. Evacué à l'hôpital, il n'a pas survécu, informe Frissons radio.
F. A. A.
Un jeune homme a été tué devant le port sec d'Allada dans le département de l'Atlantique lundi 26 septembre dernier. La victime, un apprenti vulcanisateur essayait de gonfler un pneu qui a éclaté.
Evènement dramatique devant le port sec d'Allada en début de semaine. Un apprenti vulcanisateur a été tué par un pneu. Le jeune homme essayait de gonfler un pneu qui a éclaté. Le choc en plein visage l'a propulsé contre un mur. Evacué à l'hôpital, il n'a pas survécu, informe Frissons radio.
F. A. A.
Les Ecureuils du Bénin ont joué le 2e match amical de la fenêtre FIFA de septembre 2022 dans l'après-midi de ce mardi 27 septembre au Maroc. Après la défaite (1-0) face à la Mauritanie, Moussa Latoundji et ses poulains se sont inclinés devant la sélection malgache (3-1).
Les Ecureuils peinent à se réconcilier avec le public sportif béninois. En 04 matchs, ils ont enregistré 04 défaites. Deux en éliminatoires de la CAN Côte d'Ivoire 2023 (Sénégal et Mozambique), et deux autres en amical dans le cadre de la journée FIFA de septembre 2022.
Les Malgaches ont ouvert le score cet après-midi avant que les Béninois par l'intermédiaire de Tosin, n'égalisent.
Le score à la mi-temps était de 1 but partout.
A la reprise, les Bareas prennent le contrôle du match et inscrivent deux buts. Les Ecureuils en dépit du retour en sélection du capitaine Stéphane Sessegnon n'ont rien pu jusqu'au coup de sifflet final du juge central.
Des résultats qui présagent d'une régression de l'équipe nationale au prochain classement FIFA.
F. A. A.
Les Ecureuils du Bénin ont joué le 2e match amical de la fenêtre FIFA de septembre 2022 dans l'après-midi de ce mardi 27 septembre au Maroc. Après la défaite (1-0) face à la Mauritanie, Moussa Latoundji et ses poulains se sont inclinés devant la sélection malgache (3-1).
Les Ecureuils peinent à se réconcilier avec le public sportif béninois. En 04 matchs, ils ont enregistré 04 défaites. Deux en éliminatoires de la CAN Côte d'Ivoire 2023 (Sénégal et Mozambique), et deux autres en amical dans le cadre de la journée FIFA de septembre 2022.
Les Malgaches ont ouvert le score cet après-midi avant que les Béninois par l'intermédiaire de Tosin, n'égalisent.
Le score à la mi-temps était de 1 but partout.
A la reprise, les Bareas prennent le contrôle du match et inscrivent deux buts. Les Ecureuils en dépit du retour en sélection du capitaine Stéphane Sessegnon n'ont rien pu jusqu'au coup de sifflet final du juge central.
Des résultats qui présagent d'une régression de l'équipe nationale au prochain classement FIFA.
F. A. A.
Trois personnes ont réussi à sortir indemnes d'un véhicule, qui a pris feu en pleine circulation ce mardi 27 septembre 2022 au carrefour PK 10 à Cotonou.
Trois personnes ont réussi à sortir d'un véhicule en pleine circulation ce mardi à Cotonou. Et pour cause, le voiture a pris feu à hauteur du carrefour PK 10 sur l'axe Cotonou-Porto Novo
Le véhicule a été entièrement brûlé avant l'arrivée des sapeurs-pompiers.
Les trois passagers sont grièvement blessés.
La circulation est restée bloquée durant plus de trois heures avant d'être rétablie grâce à la police républicaine.
M. M.
Trois personnes ont réussi à sortir indemnes d'un véhicule, qui a pris feu en pleine circulation ce mardi 27 septembre 2022 au carrefour PK 10 à Cotonou.
Trois personnes ont réussi à sortir d'un véhicule en pleine circulation ce mardi à Cotonou. Et pour cause, le voiture a pris feu à hauteur du carrefour PK 10 sur l'axe Cotonou-Porto Novo
Le véhicule a été entièrement brûlé avant l'arrivée des sapeurs-pompiers.
Les trois passagers sont grièvement blessés.
La circulation est restée bloquée durant plus de trois heures avant d'être rétablie grâce à la police républicaine.
M. M.
Reçu sur la radio nationale, ce lundi 26 septembre 2022, le porte-parole du gouvernement Wilfried Houngbédji s'est prononcé sur la réforme visant à conférer au Président de la République, le pouvoir d'ordonner la suspension de l'exécution de la peine. Les cas des détenus Joël Aïvo et Reckya Madougou ont été évoqués.
En Conseil des ministres le 21 septembre 2022, le gouvernement béninois a procédé à la transmission à l'Assemblée nationale du projet de loi portant modification et complément de la loi n°2018-14 du 18 mai 2018 portant code de procédure pénale en République du Bénin. Le Conseil des ministres informe que « la réforme proposée vise à conférer au Président de la République, après avis conforme du Conseil supérieur de la Magistrature, le pouvoir d'ordonner la suspension de l'exécution de la peine lorsque celle-ci est justifiée pour des raisons sociales et humanitaires ».
Sur la radio nationale, ce lundi, Wilfried Houngbédji a été interrogé sur les cas des opposants Joël Aïvo condamné pour blanchiment de capitaux et de complot contre l'autorité de l'État et Reckya Madougou reconnue coupable de financement du terrorisme.
« Ce sont des justiciables béninois. S'ils remplissent les conditions pour bénéficier demain de ces mesures, il leur appartient de prendre l'initiative ainsi que le projet de loi l'indique, de formuler une demande. Dès lors que le CSM (Conseil Supérieur de la Magistrature, ndlr) aura donné son avis favorable, ils pourront bénéficier de cette mesure comme n'importe quel autre justiciable, condamné par les cours et tribunaux du Bénin », a-t-il affirmé.
Selon le Secrétaire général adjoint du gouvernement, l'initiative prise par l'Exécutif est « une marque de responsabilité ». Disposant d'une majorité à l'Assemblée nationale, le gouvernement « s'il avait à se cacher », aurait demandé à un député de « préparer une proposition de loi dans ce sens ». « Le gouvernement assume sa décision de parvenir à modifier le code de procédure pénale pour les aménagements envisagés », a expliqué Wilfried Houngbédji.
A en croire le porte-parole du gouvernement, il ne s'agit pas d'abréger les peines. « Il s'agit de suspendre », a-t-il indiqué.
Dans ses explications Wilfried Houngbédji a donné l'exemple d'un individu condamné à une peine de 15 ans de prison ayant déjà fait 7 ans de prison. Le détenu atteint d'une pathologie par exemple pourrait faire la demande de deux ans pour sa prise en charge dans un établissement hospitalier. Dès qu'il revient après les deux ans, il recommence sa peine là où elle s'était arrêtée. Un détenu peut bénéficier de la mesure pour 5 ans maximum renouvelable une fois selon le Secrétaire général adjoint du gouvernement.
Wilfried Houngbédj a aussi évoqué la possibilité d'une grâce. « Si vous avez bénéficié du maximum, c'est-à-dire cinq ans et que vous avez obtenu le renouvellement, ce qui ferait dix ans. A terme, s'il n'y a pas de disposition particulière, vous pouvez maintenant obtenir la grâce », a affirmé le porte-parole du gouvernement. Il y aura, informe-t-il, « une décision formelle pour dire que telle personne a été graciée ».
A.Ayosso
Reçu sur la radio nationale, ce lundi 26 septembre 2022, le porte-parole du gouvernement Wilfried Houngbédji s'est prononcé sur la réforme visant à conférer au Président de la République, le pouvoir d'ordonner la suspension de l'exécution de la peine. Les cas des détenus Joël Aïvo et Reckya Madougou ont été évoqués.
En Conseil des ministres le 21 septembre 2022, le gouvernement béninois a procédé à la transmission à l'Assemblée nationale du projet de loi portant modification et complément de la loi n°2018-14 du 18 mai 2018 portant code de procédure pénale en République du Bénin. Le Conseil des ministres informe que « la réforme proposée vise à conférer au Président de la République, après avis conforme du Conseil supérieur de la Magistrature, le pouvoir d'ordonner la suspension de l'exécution de la peine lorsque celle-ci est justifiée pour des raisons sociales et humanitaires ».
Sur la radio nationale, ce lundi, Wilfried Houngbédji a été interrogé sur les cas des opposants Joël Aïvo condamné pour blanchiment de capitaux et de complot contre l'autorité de l'État et Reckya Madougou reconnue coupable de financement du terrorisme.
« Ce sont des justiciables béninois. S'ils remplissent les conditions pour bénéficier demain de ces mesures, il leur appartient de prendre l'initiative ainsi que le projet de loi l'indique, de formuler une demande. Dès lors que le CSM (Conseil Supérieur de la Magistrature, ndlr) aura donné son avis favorable, ils pourront bénéficier de cette mesure comme n'importe quel autre justiciable, condamné par les cours et tribunaux du Bénin », a-t-il affirmé.
Selon le Secrétaire général adjoint du gouvernement, l'initiative prise par l'Exécutif est « une marque de responsabilité ». Disposant d'une majorité à l'Assemblée nationale, le gouvernement « s'il avait à se cacher », aurait demandé à un député de « préparer une proposition de loi dans ce sens ». « Le gouvernement assume sa décision de parvenir à modifier le code de procédure pénale pour les aménagements envisagés », a expliqué Wilfried Houngbédji.
A en croire le porte-parole du gouvernement, il ne s'agit pas d'abréger les peines. « Il s'agit de suspendre », a-t-il indiqué.
Dans ses explications Wilfried Houngbédji a donné l'exemple d'un individu condamné à une peine de 15 ans de prison ayant déjà fait 7 ans de prison. Le détenu atteint d'une pathologie par exemple pourrait faire la demande de deux ans pour sa prise en charge dans un établissement hospitalier. Dès qu'il revient après les deux ans, il recommence sa peine là où elle s'était arrêtée. Un détenu peut bénéficier de la mesure pour 5 ans maximum renouvelable une fois selon le Secrétaire général adjoint du gouvernement.
Wilfried Houngbédj a aussi évoqué la possibilité d'une grâce. « Si vous avez bénéficié du maximum, c'est-à-dire cinq ans et que vous avez obtenu le renouvellement, ce qui ferait dix ans. A terme, s'il n'y a pas de disposition particulière, vous pouvez maintenant obtenir la grâce », a affirmé le porte-parole du gouvernement. Il y aura, informe-t-il, « une décision formelle pour dire que telle personne a été graciée ».
A.Ayosso
Le recteur de l'Université de Parakou a rendu public le calendrier des inscriptions dans les différentes Unités de Formation et de Recherche (UFR) au titre de l'année académique 2022-2023 à travers un communiqué en date du 27 septembre 2022.
Les inscriptions dans les différentes Unités de Formation et de Recherche (UFR) au titre de l'année académique 2022-2023 à l'Université de Parakou dans le département du Borgou démarrent le 03 octobre 2022 et prendront fin le 27 janvier 2023.
Aucune inscription ne sera acceptée après ce délai, selon un communiqué du professeur Bertrand Sogbossi Bocco, recteur de l'Université de Parakou.
M. MENSAH
VOICI LA PROCEDURE POUR L'INSCRIPTION
Le recteur de l'Université de Parakou a rendu public le calendrier des inscriptions dans les différentes Unités de Formation et de Recherche (UFR) au titre de l'année académique 2022-2023 à travers un communiqué en date du 27 septembre 2022.
Les inscriptions dans les différentes Unités de Formation et de Recherche (UFR) au titre de l'année académique 2022-2023 à l'Université de Parakou dans le département du Borgou démarrent le 03 octobre 2022 et prendront fin le 27 janvier 2023.
Aucune inscription ne sera acceptée après ce délai, selon un communiqué du professeur Bertrand Sogbossi Bocco, recteur de l'Université de Parakou.
M. MENSAH
VOICI LA PROCEDURE POUR L'INSCRIPTION
La 25e édition des Conférences périodiques organisées par la Direction Générale de l'Economie (DGE) du Ministère de l'Economie et des Finances (MEF), s'est tenue, ce mardi 27 septembre 2022, à la salle de conférence de la Direction Générale des Impôts et de la Direction Générale de l'Economie (DGI/DGE) sur le thème ‘'Covid-19 et guerre en Ukraine : enjeux géopolitiques, effets et modèles de résilience économiques''.
Suspendues en raison de la crise sanitaire liée à la pandémie de Covid-19, les conférences économiques périodiques ont repris, ce mardi 27 septembre, dans un contexte marqué par les séquelles de la pandémie de Covid-19 et de guerre russo-ukrainienne qui compromet les perspectives d'une reprise mondiale durable. Et, c'est à juste titre que les conférences se consacrent à ces deux crises.
Il s'agit de soumettre à « l'analyse et au débat d'experts avertis mais aussi d'acteurs économiques et de citoyens quotidiennement confrontés aux conséquences réelles de ces chocs exogènes », selon Elie Dohou, Directeur Général de l'Economie.
Au nom du Ministre d'Etat chargé de l'Economie et des Finances Romuald Wadagni, le Directeur de cabinet a souhaité la bienvenue aux participants à la 25è édition des conférences périodiques portant sur le thème ‘'Covid-19 et guerre en Ukraine : Enjeux géopolitiques, impacts et modèles économiques post-crises''.
« Cette conférence sera donc l'occasion d'expliquer aux citoyens encore dubitatifs sur la possibilité qu'une crise se déroulant sur des espaces géographiques aussi lointains ait des répercussions sur l'économie nationale. Elle permettra également de montrer la proactivité de notre gouvernement dans la gestion de ces crises en faisant ressortir les approches de solutions innovantes pour contrer les effets néfastes sur la vie des Béninois », a indiqué Hermann Orou Takou, Directeur de Cabinet du Ministre d'Etat chargé de l'Economie et des Finances représentant le ministre d'Etat Romuald Wadagni.
Le Directeur de cabinet a fait savoir que depuis 2016 le Bénin sous le leadership de son chef d'Etat a fait le choix de bâtir une économie plus forte, plus dynamique et plus résiliente aux chocs. C'est dans cette perspective que le ministère de l'économie et le Ministre d'Etat ont décidé de porter les réflexions à cette 25e édition sur les nouveaux modèles qui permettront de gérer de façon plus optimale ces chocs exogènes auxquels l'économie est constamment confrontée.
« Nos assises de ce matin sont alors le lieu de faire des réflexions prospectives sur les modèles de résilience économiques », a expliqué Hermann Orou Takou.
Le directeur de cabinet s'est dit rassuré de la qualité des participants, des débats d'idées qui se feront et des recommandations et suggestions pertinentes qui découleront des assises.
A propos des conférences périodiques de la DGE
Organisées depuis 7 ans et ouvertes au grand public, aux opérateurs économiques, aux organisations de la société civile, aux universitaires et aux cadres des administrations publique et privée, les conférences périodiques de la Direction générale de l'Économie (DGE) sont l'occasion des échanges et débats sur les sujets économiques et financiers d'actualité. Ces discussions ont vocation à inspirer, in fine, les politiques économiques du Bénin à travers les recommandations qui sont faites.
Marc MENSAH
La 25e édition des Conférences périodiques organisées par la Direction Générale de l'Economie (DGE) du Ministère de l'Economie et des Finances (MEF), s'est tenue, ce mardi 27 septembre 2022, à la salle de conférence de la Direction Générale des Impôts et de la Direction Générale de l'Economie (DGI/DGE) sur le thème ‘'Covid-19 et guerre en Ukraine : enjeux géopolitiques, effets et modèles de résilience économiques''.
Suspendues en raison de la crise sanitaire liée à la pandémie de Covid-19, les conférences économiques périodiques ont repris, ce mardi 27 septembre, dans un contexte marqué par les séquelles de la pandémie de Covid-19 et de guerre russo-ukrainienne qui compromet les perspectives d'une reprise mondiale durable. Et, c'est à juste titre que les conférences se consacrent à ces deux crises.
Il s'agit de soumettre à « l'analyse et au débat d'experts avertis mais aussi d'acteurs économiques et de citoyens quotidiennement confrontés aux conséquences réelles de ces chocs exogènes », selon Elie Dohou, Directeur Général de l'Economie.
Au nom du Ministre d'Etat chargé de l'Economie et des Finances Romuald Wadagni, le Directeur de cabinet a souhaité la bienvenue aux participants à la 25è édition des conférences périodiques portant sur le thème ‘'Covid-19 et guerre en Ukraine : Enjeux géopolitiques, impacts et modèles économiques post-crises''.
« Cette conférence sera donc l'occasion d'expliquer aux citoyens encore dubitatifs sur la possibilité qu'une crise se déroulant sur des espaces géographiques aussi lointains ait des répercussions sur l'économie nationale. Elle permettra également de montrer la proactivité de notre gouvernement dans la gestion de ces crises en faisant ressortir les approches de solutions innovantes pour contrer les effets néfastes sur la vie des Béninois », a indiqué Hermann Orou Takou, Directeur de Cabinet du Ministre d'Etat chargé de l'Economie et des Finances représentant le ministre d'Etat Romuald Wadagni.
Le Directeur de cabinet a fait savoir que depuis 2016 le Bénin sous le leadership de son chef d'Etat a fait le choix de bâtir une économie plus forte, plus dynamique et plus résiliente aux chocs. C'est dans cette perspective que le ministère de l'économie et le Ministre d'Etat ont décidé de porter les réflexions à cette 25e édition sur les nouveaux modèles qui permettront de gérer de façon plus optimale ces chocs exogènes auxquels l'économie est constamment confrontée.
« Nos assises de ce matin sont alors le lieu de faire des réflexions prospectives sur les modèles de résilience économiques », a expliqué Hermann Orou Takou.
Le directeur de cabinet s'est dit rassuré de la qualité des participants, des débats d'idées qui se feront et des recommandations et suggestions pertinentes qui découleront des assises.
A propos des conférences périodiques de la DGE
Organisées depuis 7 ans et ouvertes au grand public, aux opérateurs économiques, aux organisations de la société civile, aux universitaires et aux cadres des administrations publique et privée, les conférences périodiques de la Direction générale de l'Économie (DGE) sont l'occasion des échanges et débats sur les sujets économiques et financiers d'actualité. Ces discussions ont vocation à inspirer, in fine, les politiques économiques du Bénin à travers les recommandations qui sont faites.
Marc MENSAH