L'Assemblée générale de la Chambre nationale des huissiers de justice du Bénin a eu lieu vendredi 13 décembre 2024. Me Maxime Assogba a été élu nouveau président des huissiers du Bénin.
Nouveau président à la tête de la Chambre nationale des huissiers de justice du Bénin. À l'issue de l'Assemblée générale tenue le 13 décembre, Me Maxime Assogba a été élu président. Son élection marque le début d'un mandat de deux ans, au cours duquel il présidera un bureau composé du Vice-président, du secrétaire général, du secrétaire général adjoint et du Trésorier général.
Me Maxime Assogba et son équipe auront pour mission de consolider les acquis, mais aussi proposer des solutions innovantes pour relever les défis liés à l'évolution de la profession.
Bureau
Président : Me Maxime Assogba
Vice-président : Me Simplice Dako
Secrétaire générale : Me Muriel Ligan
Secrétaire général adjoint : Me Souleymane Bakary
Trésorier général : Me Marin Jean Gounadon
.
Canal Olympia ouvre deux salles de cinéma haut de gamme au Sofitel Marina à Cotonou pour une expérience cinématographique de luxe. L'ouverture officielle s'est déroulée vendredi 13 décembre, en présence des responsables du réseau Canal Olympia et le public invité pour la circonstance.
Canal Olympia Marina est le nouvel espace cinématographique du réseau Canal Olympia situé au cœur du prestigieux Sofitel Marina Hôtel. Il bénéficie d'une localisation stratégique et prestigieuse. Parfaitement intégré à l'univers luxueux de l'hôtel. Ce deuxième cinéma Canal Olympia au Bénin vient compléter l'offre de divertissement de la ville, offrant une expérience unique pour tous les amateurs de cinéma.
Canal Olympia Marina c'est deux salles de cinéma haut de gamme (La salle Luxury et la salle Premium).
« Aujourd'hui, avec l'ouverture de ces deux nouvelles salles Canal Olympia Marina au sein du pavillon culturel du Sofitel Cotonou Marina Hotel & Spa, nous sommes heureux d'ouvrir une nouvelle page de notre histoire », a déclaré la directrice des salles Canal Olympia, Servane Haubois.
Canal Olympia Marina représente bien plus qu'un simple lieu de projection ; c'est un espace où le luxe rencontre la culture, offrant aux résidents de Cotonou et aux visiteurs une expérience cinématographique sans précédent. Avec ses fauteuils ultra-confortables, sa technologie de projection laser et 3D et un son Dolby Atmos immersif, Canal Olympia Marina offrie une qualité cinématographique inégalée. Conçu pour répondre aux attentes des spectateurs les plus exigeants, ce nouveau complexe redéfinit le confort et l'immersion au cinéma. « Nos deux salles de cinéma sont à la fois élégantes, modernes et confortables en vous garantissant une immersion totale alignant luxe, confort exceptionnel et pointe de pointe », a précisé Floriane Déguénon.
La salle Premium a une capacité de 75 places assises dont 2 pour les personnes à mobilité réduite. Elle est également équipée d'un projecteur laser et de la technologie 3D, offrant une qualité d'image spectaculaire. Les cinéphiles y sont enveloppés par un son de haute fidélité grâce au système Dolby 7.1.
La salle Luxury, avec ses 40 fauteuils ultraconfortables, promet une immersion totale avec ses équipements de projection laser et de technologie 3D, ainsi qu'un son Dolby Atmos. Ce dernier permet une expérience sonore d'une qualité inégalée.
Les salles sont ouvertes du mardi au dimanche
Les salles seront accessibles du mardi au dimanche, avec une programmation variée mêlant films internationaux et productions africaines. Une opportunité parfaite pour redécouvrir le cinéma dans des conditions optimales.
Chaque semaine, jusqu'à 40 séances sont proposées. Le 13 décembre 2024 à partir de 20 heures, les premiers faisceaux ont illuminé les écrans. Parmi les premières projections figurent des titres très attendus tels que GLADIATOR II, un retour fracassant après 24 ans d'absence, NI CHAINES NI MAITRES, un film acclamé par la critique, et WICKED, qui plonge les spectateurs dans l'univers fascinant d'OZ.
Il faut préciser que les projections seront disponibles en Version Originale Sous-titrée Français (VOST FR) ainsi qu'en Version Française (VF), permettant ainsi à un large public de profiter des films dans la langue de leur choix.
Canal Olympia Marina c'est plus que du cinéma
CanalOlympia Marina n'est pas seulement un lieu de cinéma c'est aussi le théâtre idéal pour les événements privés. Les entreprises et organisateurs d'événements culturels peuvent ainsi profiter de ce cadre
exceptionnel pour valoriser leurs projets et leur offrir une dimension supplémentaire de prestige.
Pour rester en contact de son public, Canal Olympia Marina assure une présence digitale active. Vous pouvez consulter la programmation hebdomadaire des salles sur les comptes Facebook et Instagram de Canal Olympia, ainsi que sur le site internet officiel www.canalolympia.com.
Le public peut s'abonner au newsletter hebdomadaire pour être informé de toutes nos actualités. Et pour encore plus de proximité, une chaîne WhatsApp est disponible pour vous fournir des informations en temps réel.
À nouveau opposé au Ghana, pays hôte de ce tournoi UFOA-B filles U17 2024, le Bénin s'est encore incliné (3-2) après une grande bataille. Les Amazones finissent la phase de poules avec deux défaites et sont classées deuxième de la poule A de la compétition.
Dans l'après-midi de ce samedi 14 décembre 2024, les Amazones U-17 du Bénin et les Black Maidens du Ghana se sont à nouveau mesurées au Centre de Prampram. Déjà qualifiées pour les demi-finales, les deux équipes devaient se départager pour les places de 1er et 2e du Groupe A. Après une rencontre riche en rebondissements, c'est le Ghana qui vient encore à bout du Bénin. Le score de la rencontre est 3-2.
Pourtant, c'est Romaine Gandonou qui lançait les hostilités à la 13e minute. Elle réussissait un doublé à la 82e minute. Mais, Gertrude Amofoh (37e et 85e) et Priscilla Mensah (45e +1), ont renversé le match en faveur du pays hôte. Malgré la défaite, Romaine Gandonou a remporté le trophée de joueuse du match.
Deuxième du Groupe A, les Amazones affronteront soit le Nigéria, la Côte d'Ivoire ou le Niger en demi-finale.
J.S
Le gouvernement béninois à travers le Ministère du Tourisme, de la Culture et des Arts, organise l'édition 2024 des Nuits Artistiques et Culturelles de Cotonou, (NACC) les 20, 21, 22 et 25 décembre.
Une série de spectacles pour passer une belle période de fin d'année 2024. C'est dans le cadre des Nuits Artistiques et Culturelles de Cotonou, (NACC), une initiative phare du Ministère du Tourisme, de la Culture et des Arts conduite par l'Agence de Développement des Arts et de la Culture (ADAC). Cet événement met à l'honneur la richesse et la diversité des disciplines artistiques du pays, tout en offrant une plateforme exceptionnelle de découverte et de promotion de nouveaux talents.
Les NACC s'ouvrent le 20 décembre 2024 avec une magnifique soirée dédiée à la danse dans toutes ses formes : urbaine, patrimoniale, contemporaine et classique. Ce spectacle se tiendra à la salle rouge du Palais des Congrès et mettra en scène des artistes et compagnies tels que EACE ; Miwaké, Cie Ami Touré, Walo dance, les princesses de la danse, O-Kbaré ; Multicorps et Art Ca'danser.
L'esplanade de l'Amazone vibrera le 21 décembre dès 20 heures avec un concert géant réunissant les stars de la musique béninoise et des talents montants. Zeynab, Fanicko, Nikanor, Fanny Senna, Dossi, Siano Babassa, First King, et bien d'autres offriront une soirée mémorable au public.
La soirée du 22 décembre sera consacrée à une représentation de la comédie musicale ‘'Le Trône de Béhanzin'' à la salle à la rouge du palais des congrès de Cotonou. Ce spectacle plongera le public dans l'histoire héroïque du Roi Behanzin, grande figure de la résistance du Bénin face à la colonisation.
Les NACC se termineront en fou rire le 25 décembre avec une soirée d'humour à la salle rouge du Palais des Congrès. Ce sera avec des humoristes béninois et internationaux, parmi lesquels Le Magnific, Kromozom, Pacheco, Sam Le Parakois, Gros et Métis, Baba Femelle, Elifaz, Digo et Manuton, jojo le comédien ; Tranquillin, Venance Jappe.
L'accès à ces spectacles est sur présentation d'un pass disponible en ligne sur www.nacc.adac.bj. Les professionnels des médias, photographes et journalistes, peuvent quant à eux demander leurs accréditations via le lien https://tally.so/r/w8jp5O. Les NACC, c'est un rendez-vous à ne pas manquer, une belle manière de finir l'année dans un esprit festif.
Akpédjé Ayosso
Le gouvernement béninois à travers le Ministère du Tourisme, de la Culture et des Arts, organise l'édition 2024 des Nuits Artistiques et Culturelles de Cotonou, (NACC) les 20, 21, 22 et 25 décembre.
Une série de spectacles pour passer une belle période de fin d'année 2024. C'est dans le cadre des Nuits Artistiques et Culturelles de Cotonou, (NACC), une initiative phare du Ministère du Tourisme, de la Culture et des Arts conduite par l'Agence de Développement des Arts et de la Culture (ADAC). Cet événement met à l'honneur la richesse et la diversité des disciplines artistiques du pays, tout en offrant une plateforme exceptionnelle de découverte et de promotion de nouveaux talents.
Les NACC s'ouvrent le 20 décembre 2024 avec une magnifique soirée dédiée à la danse dans toutes ses formes : urbaine, patrimoniale, contemporaine et classique. Ce spectacle se tiendra à la salle rouge du Palais des Congrès et mettra en scène des artistes et compagnies tels que EACE ; Miwaké, Cie Ami Touré, Walo dance, les princesses de la danse, O-Kbaré ; Multicorps et Art Ca'danser.
L'esplanade de l'Amazone vibrera le 21 décembre dès 20 heures avec un concert géant réunissant les stars de la musique béninoise et des talents montants. Zeynab, Fanicko, Nikanor, Fanny Senna, Dossi, Siano Babassa, First King, et bien d'autres offriront une soirée mémorable au public.
La soirée du 22 décembre sera consacrée à une représentation de la comédie musicale ‘'Le Trône de Béhanzin'' à la salle à la rouge du palais des congrès de Cotonou. Ce spectacle plongera le public dans l'histoire héroïque du Roi Behanzin, grande figure de la résistance du Bénin face à la colonisation.
Les NACC se termineront en fou rire le 25 décembre avec une soirée d'humour à la salle rouge du Palais des Congrès. Ce sera avec des humoristes béninois et internationaux, parmi lesquels Le Magnific, Kromozom, Pacheco, Sam Le Parakois, Gros et Métis, Baba Femelle, Elifaz, Digo et Manuton, jojo le comédien ; Tranquillin, Venance Jappe.
L'accès à ces spectacles est sur présentation d'un pass disponible en ligne sur www.nacc.adac.bj. Les professionnels des médias, photographes et journalistes, peuvent quant à eux demander leurs accréditations via le lien https://tally.so/r/w8jp5O. Les NACC, c'est un rendez-vous à ne pas manquer, une belle manière de finir l'année dans un esprit festif.
Akpédjé Ayosso
La Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) a enregistré vendredi 13 décembre 2024, une capitalisation boursière de 10 059 milliards de FCFA, soit plus de 16 milliards de dollars américains. Ce jalon sans précédent illustre le dynamisme exceptionnel de la place financière commune aux huit pays de l'UEMOA depuis quelques années.
– Au démarrage en septembre 1998 : 836,19 milliards de FCFA ;
– En 2008 : 3 336,65 milliards de FCFA ;
– En 2012 : 4 031,38 milliards de FCFA ;
– En 2021 : 6 085,41 milliards de FCFA ;
– En 2023 : 7 966,96 milliards de FCFA ;
– Au 13 décembre 2024 : 10 058,83 milliards de FCFA.
Cette progression remarquable de plus de 1 102,94 % depuis la création de la BRVM est à mettre à l'actif de la vision transformatrice de ses Pères Fondateurs, du leadership éclairé des plus Hautes Autorités de l'Union, de la croissance économique soutenue des pays de l'UEMOA (environ 5,8% en moyenne depuis plus de 20 ans), des réformes menées depuis plusieurs années et enfin du dynamisme de tous les acteurs du marché.
Avec un gain de plus de 2 000 milliards de FCFA en une année et la cotation de la Loterie Nationale du Bénin ce jour (100,5 milliards de FCFA à l'introduction), la BRVM figure parmi les bourses
africaines les plus performantes.
Le coup d'envoi de la Coupe du Monde Junior d'Épée Masculine est donné ce samedi 14 décembre 2024 au Charterhouse de Lagos au Nigéria. Ils sont 39 escrimeurs et escrimeuses issus de 09 pays qui prennent part à cette compétition. Les pays participants sont l'Égypte, le Ghana, la Grèce, la Chine, l'Arabie Saoudite, le Nigeria, le Togo, l'Oman et le Bénin.
Voici l'ensemble des pistes d'escrime sur lesquelles sont fixés les athlètes béninois :
- SONIDE Cyrille➖ Piste 37
– GBOVIDEMLAN Christ
Berulle ➖Piste 16
– TOURE ABOUBACAR
Moucharaph➖ Piste 30
– NDEME Franck Richard➖Piste 28
– SEVALOU Simon ➖Piste 19
– AISSI Prude Joiela➖Piste 32
J.S
L'utilisation frauduleuse du numéro d'identification unique (IFU) et de la carte d'importateur est une pratique malsaine et illégale qui exposent les transitaires et déclarants en douane à des sanctions. Afin de prévenir sur les conséquences d'une telle pratique, la direction générale des impôts a organisé jeudi 12 décembre 2024, une séance de sensibilisation à l'intention de ces acteurs du commerce transfrontalier.
Des cas d'utilisation frauduleuse du numéro IFU et de la carte d'importateurs se sont révélé au service des impôts qui a procédé à des interpellations, et les contrevenants sanctionnés. Mais doit-on toujours attendre que les transitaires et déclarants en douane commettent ces genres d'erreurs avant de sanctionner ? C'est la grande interrogation que le directeur général adjoint des impôts a soulevée lors d'une séance de sensibilisation organisée en leur intention le jeudi 12 décembre 2024. L'idéal selon lui, est de les sensibiliser sur les conséquences de ces genres de pratiques.
Selon Bénito GBOSSAME, c'est en voulant maximiser les gains que les transitaires et déclarants en douane s'adonnent à ces genres de pratiques. Mais à l'analyse, ils n'en ont pas besoin. D'après lui, lorsque ces acteurs du commerce transfrontalier font leurs affaires, ils doivent payer deux types d'impôts à l'Etat ; l'impôt sur le revenu et la TVA. Le premier est payé sur les bénéfices, et fixé à un pourcentage bien précis. A cela s'ajoute la TVA qu'ils ne payent pas directement, a-t-il expliqué évoquant l'objectif de la séance qui vise à amener ces acteurs à comprendre les conséquences de leurs actes et leur éviter de tomber dans l'avenir, sous les coups de la loi.
Le secrétaire général de la fédération béninoise des commissionnaires agréés en douane a salué la séance qui intervient en fin d'année ; une période de bilan qui permet de partager non seulement les diverses décisions (textes, notes de services, etc) qui ont été prises dans le cadre de leurs activités de services aux marchandises et diverses activités du commerce transfrontalier, mais aussi, au regard des nombreuses situations qu'ils ont traversées au cours de l'année. « Pour développer le pays, nous ne pouvons que compter sur nous-mêmes. Et les transitaires font partie des forces vives de la nation. Ce n'est pas des accusés que nous avons invités ce soir, mais plutôt des forces vives de la nation, des usagers, des contribuables qui vont être entretenus », a-t-il rassuré exhortant les participants à bien suivre les différentes communications.
« Les conséquences de l'utilisation frauduleuse des IFU et cartes d'importateurs », c'est le thème développé par Lambert SOKPIN, directeur du contrôle fiscal et du renseignement à la DGI. Il a rappelé au cours de la séance, les peines auxquelles s'exposent les contrevenants ; lesquelles vont des peines privatives de liberté allant jusqu'à 05 ans d'emprisonnement, ainsi que les sanctions fiscales, des redressements auxquels ils peuvent être assujettis au même titre que les complices.
Présents à la séance de sensibilisation, la direction des douanes et la société Bénin control (BC), structures de la chaîne de contrôle sur la plateforme portuaire, ont également animé des communications dans le but d'expliquer commissionnaires agréés, les conséquences de l'utilisation frauduleuse de l'IFU et de la carte d'importateur.
F. A. A.
La société BENIN TRACKING SECURITY (BTS), spécialisée dans la sécurité et le gardiennage, a organisé ce jeudi 12 décembre 2024 au Novotel à Cotonou, une séance d'échanges sur la règlementation incendie et les normes de prévention incendie en République du Bénin. Les systèmes de sécurité incendie innovants ont été également exposés au cours de la séance animée par les capitaines NASSIARA et N'TCHA du Groupement national des Sapeurs-pompiers.
« Présentation et démonstration des systèmes de sécurité innovants », c'est la thématique développée lors d'une séance d'échanges organisée ce jeudi 12 décembre 2024, par la société BENIN TRACKING SECURITY. Plusieurs chefs d'entreprises, responsables des usines/industries, des banques et des opérateurs de télécommunications ont pris part à la séance consacrée à deux volets essentiels. Il s'agit premièrement de « la règlementation incendie et aux normes de prévention incendie en République du Bénin » pour recycler les acteurs de sécurité, et d'informer les autres participants. Le second volet a été consacré à des cas pratiques basés des déploiements réalisés au profit des banques, des usines, et des opérateurs de télécommunications dans la sous-région, et qui servira de repères dans le cadre de l'amélioration ou du déploiement à coûts réduits des systèmes par les services locaux. Cette séance sur la règlementation incendie et les normes de prévention incendie en République du Bénin a connu la participation d'environ une centaine d'entreprises.
A propos de BENIN TRACKING SECURITY
BENIN TRACKING SECURITY est une société de sécurité et de gardiennage qui dispose de services innovants. Elle se base sur son expérience dans le domaine de la sécurité électronique pour créer des valeurs ajoutées et pour fournir des solutions sur mesure dans le domaine du gardiennage ; assurant ainsi un niveau de sécurité optimal au client. Ces valeurs ajoutées que la société apporte à son service de gardiennage constituent des outils qui renforcent l'humain et rassurent davantage le client, faisant ainsi d'elle, la pionnière de la sécurité moderne au Bénin. BTS dispose pour ses clients, de nombreux services dont le Rondier, le Bouton panique, le Système anti-cambriolage, une Salle de contrôle et de télésurveillance, une Unité d'élite et d'escorte personnalisée, et un Centre de formation professionnelle.
Le Rondier
C'est un système automatique de contrôle de ronde et de veille qui permet de rendre plus efficace le système de gardiennage.
Le Bouton panique
C'est un outil permet qui permet de donner très discrètement l'alerte en cas de danger et d'avoir une localisation précise depuis les écrans grâce aux GPS incorporés facilitant ainsi l'organisation de la riposte. Il offre des possibilités d'appel et de d'écoute discrète de l'entourage et une option le « man down » qui envoie une alerte à la salle de contrôle si l'agent tombe accidentellement.
Le Système anti-cambriolage
BENIN TRACKING SECURITY propose à ses clients, son nouveau système anti cambriolage doté d'une alarme puissante qui donne l'alerte et fait fuir tout intrus. Cette alerte reçue à la salle de contrôle est traitée par la cellule de crise de BTS qui définit la riposte adaptée.
La Salle de contrôle et télésurveillance
BENIN TRACKING SECURITY dispose d'une salle de contrôle qui fonctionne 24h/24 pour :
– veiller sur ses clients, organiser la riposte en cas d'alerte avec au besoin, le concours de la police ;
– s'assurer que les agents de nuit restent en éveil avec des coups de fils inopinés et leur surveillance permanente via le rondier ;
Une Unité d'élite et escorte personnalisée
BENIN TRACKING SECURITY offre à sa clientèle une gamme variée de services parmi lesquels : les services d'escorte personnalisée, d'unité d'intervention rapide et de gestion de crise. Une unité d'élite composée des meilleures agents et prête à intervenir dans les situations les plus difficiles.
Un Centre de formation professionnelle
BTS dispose d'un centre de formation professionnelle pour les agents recrutés. Ce centre est conçu pour les former sur les qualités et comportements professionnels, moraux et intellectuels. Il s'agit également de leur apprendre à réagir promptement face aux situations délicates.
Plusieurs autres services innovants sont disponibles BTS pour une sécurité des clients.
F. A. A.
Pour faire face aux fluctuations des prix du pétrole sur le marché international, le gouvernement béninois a introduit un mécanisme innovant de régulation des prix des produits pétroliers. Cette mesure, qui prendra effet dès janvier prochain, vise à concilier stabilité économique et protection des consommateurs tout en s'adaptant aux réalités du marché.
Le dispositif est officialisé par l'arrêté interministériel n° 3243 Mic/Mfe/Masm du 4 décembre 2024, signé par les ministres Alimatou Shadiya Assouman (Industrie et Commerce), Romuald Wadagni (Economie et Finances) et Véronique Tognifodé (Affaires sociales et Microfinance). Il s'applique aux principaux produits pétroliers consommés dans le pays, notamment le gas-oil, l'essence et gaz.
Ce mécanisme repose sur des ajustements mensuels des prix, calculés en fonction des indices internationaux et des coûts associés (achat, transport, assurance et taxes). Ces révisions assurent une certaine prévisibilité pour les consommateurs tout en permettant une flexibilité nécessaire pour s'adapter aux variations du marché.
LIRE L'ARRETE
La fourniture de l'énergie électrique sera perturbée dans certains quartiers de Cotonou le samedi 14 décembre et dans d'autres le dimanche 15 décembre 2024 de 07 heures à 13 heures.
La Société Béninoise d'Energie Electrique a annoncé des coupures de courant dans des quartiers de Cotonou et leurs environs en raison des travaux de construction de l'échangeur de Vêdoko à Cotonou.
Des perturbations seront observées entre 7H et 13 H le samedi 14 décembre 2024 dans les zones d'Agla, Sainte Rita, Wologuèdè, Agontikon, Vêdoko, Jéricho, Aïdjèdo, Hindé et environs.
Les zones zones Agontinkon, Kouhounou, Fifadji, Mènontin, Kindonou, Saint Michel, Zogbohouè, Vêdoko et environs seront probablement sans énergie électrique le dimanche 15 décembre 2024 de 07H et 13 H, selon la Direction générale de la Société Béninoise d'Energie Electrique (SBBE).
M. M.
Les opportunités d'investissement dans les provinces du sud du Royaume ont fait l'objet d'une conférence organisée, ce vendredi 13 décembre 2024, par le Consulat général du Maroc à Lyon. La rencontre à drainé des opérateurs économiques, des élus français et de plusieurs membres de la communauté marocaine.
A la Conference organisée, ce vendredi, le Consulat général du Maroc à Lyon a invité le responsable du pôle impulsion économique et offre territoriale au Centre régional d'investissement de Laâyoune, Abdelaadim Alaoui pour présenter les atouts de la région, notamment le niveau de développement, les infrastructures, le climat des affaires favorable, la disponibilité et le niveau de qualification de la main d'œuvre.
Il a mis l'accent sur les secteurs porteurs. notamment l'agriculture, la pêche, le tourisme et les énergies renouvelables, sans oublier le rôle du CRI en matière d'orientation et d'accompagnement des investisseurs.
La Consule générale du Maroc à Lyon n'a pas manqué de rappeler les avancées majeures accomplies sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI dans les provinces du sud, devenues aujourd'hui un véritable hub économique.
Fatima Baroudi a souligné les facilités offertes aux investisseurs pour créer leurs entreprises dans ces régions qui disposent d'un potentiel énorme et qui connaissent un essor de développement remarquable avec des projets grandioses qui y sont menés sous l'impulsion royale.
Un débat a été ouvert sur les dispositifs d'accompagnement à l'investissement, les facilités administratives octroyées aux investisseurs et le suivi des dossiers.
Au cours de la rencontre, des entrepreneurs ayant réussi leurs projets dans les provinces du sud ont présenté leurs expériences, confirmant ainsi l'essor de développement que connaissent ces régions selon une approche privilégiant la diversification économique, la promotion des investissements durables qui bénéficient principalement aux populations de ces régions et les facilités et mesures d'accompagnement dont ils bénéficient auprès des différents intervenants.
Le coprésident de la Confédération française des petites et moyennes entreprises, Patrice Blandin, s'est félicité de la tenue de cette conférence qui a mis en exergue l'énorme potentiel que représente la région de Laâyoune en termes d'opportunités d'investissements et le climat des affaires qui y est favorable.
Sanae Iffach, entrepreneure dans le secteur numérique, a souligné que cette rencontre a permis de rapprocher les investisseurs des atouts qu'offrent les régions du sud du Royaume. Elle a aussi évoqué l'élan de développement socio-économique qu'elles connaissent, et la mobilisation de l'ensemble de la communauté marocaine pour accompagner cette dynamique vertueuse que connaît le Royaume sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI.
Cette conférence fait suite à celle organisée le 6 novembre dernier sur les potentialités des provinces du sud du Royaume et l'opportunité d'y investir, en réponse à l'engouement d'un certain nombre d'investisseurs français et marocains désireux de profiter des atouts qu'offrent ces régions pour y implanter leurs projets.
Depuis la nomination des ministres conseillers du chef de l'État, les débats vont bon train, notamment sur les réseaux sociaux. Une place de choix aurait été fait à d'anciens ministres, députés au détriment des jeunes qui soutiennent le chef de l'Etat. Voici la réaction du porte-parole du gouvernement sur le sujet.
Un équilibre a été fait dans le choix des membres du Collège de ministres-conseillers du président Talon. Il y a un « savant dosage entre jeunesse et expérience ». Le Chef de l'Etat a fait en sorte de satisfaire tout le monde, selon les explications du Secrétaire général adjoint du gouvernement et porte-parole du gouvernement.
« Tous ceux qui militent aspirent généralement à avoir une position. S'il y a possibilité pour un président de la République, un ministre, un DG ou un conseiller, un responsable politique quelconque, de pouvoir des postes autour de lui, tous ceux qui militent sont légitimes pour aspirer à, tant qu'ils en ont le profil. Donc, dans ce collège-là, on note un bon mix, jeunes et moins jeunes », a indiqué Wilfried Houngbédji ce vendredi 13 décembre 2024 lors d'une rencontre avec les professionnels des médias.
Pour le Secrétaire général adjoint du gouvernement et porte-parole du gouvernement, ce n'est pas parce que le collège est constitué de moins de personne de moins de 40 ou 50 ans que l'on est en droit de penser que la jeunesse a été sacrifiée.
« Compétence, expérience, engagement politique », sont les critères qui ont prévalu dans le choix des douze ministres-conseillers nommés le 11 décembre dernier.
Pas de cumul de fonctions
Les journalistes présents à la rencontre ont questionné le porte-parole du gouvernement sur le cas de l'actuel Directeur des transports terrestres et aériens nommé Ministre conseiller aux infrastructures, à la Gouvernance locale et au Cadre de Vie. « Il (Jacques Ayadji, NDLR) est nommé à la présidence de la République. En tant que ministre conseiller, il est désormais un cadre à la présidence de la République. Il va sans dire que la fonction qu'il occupe au ministère jusqu'à sa nomination, quelqu'un d'autre va l'occuper. Il y a des cadres compétents au sein de ce ministère. Donc le ministre Tonato ne manquera pas de propositions ou de candidats », a expliqué Wilfried Houngbédji.
Soutiens et accompagnateurs de l'action gouvernementale
Les ministres-conseillers disposent d'un secrétariat commun. « L'ensemble, c'est une équipe coordonnée par un. Le coordonnateur de ce collège-là, il vient en conseil des ministres. Mais tous les membres du collège, ils sont en comité interministériel. Le comité interministériel, c'est le lieu où se débattent, se discutent les dossiers qui sont soumis au conseil des ministres. Les dossiers, quand ils partent du ministère, ils arrivent, tout le gouvernement se réunit autour, en comité interministériel, pour apprécier, discuter, critiquer, améliorer. Les ministres conseillers, en tant que soutiens et accompagnateurs de l'action qui se met là, vont apporter leur expérience, leur lecture au cours des débats en comité interministériel. Ils peuvent être consultés en amont par les ministres titulaires des portefeuilles sur tel ou tel sujet, avant son introduction en comité interministériel. Ou alors, en comité, ils viennent participer à la réflexion, ils font leurs propositions, et puis, ils se retrouvent après au sein de leur collège. Et celui qui coordonne, lui, le mercredi, il est en conseil des ministres », a expliqué Wilfried Léandre Houngbédji.
« Les ministres conseillers ne sont pas seulement là pour des considérations politiques. Ils ajoutent une dimension politique à l'approche technique des ministres en poste », a expliqué le porte-parole du gouvernement.
M. M.
Un jeune homme a été tué et enterré par son ami à Dètèkpa dans la commune de Za-Kpota le lundi 9 décembre 2024.
Des enquêteurs ont exhumé d'un champ à Dètèkpa, mercredi 11 décembre 2024, le corps d'un jeune homme.
La victime avait disparu depuis le lundi 9 décembre 2024. Selon les premiers éléments de l'enquête, la victime s'était rendue dans le village d'Aligoudo sur invitation de son ami.
Une dispute aurait éclaté entre les deux amis autour d'une dette de 500.000 FCFA. L'hôte a été enfermé dans une chambre puis a été assommé à coups de gourdins.
Le meurtrier a ensuite enterré le corps de sa victime dans un champ.
La police a procédé à l'arrestation du présumé meurtrier. Le prévenu, un repris de justice, aurait avoué son crime.
M. M.
Une délégation béninoise séjourne depuis ce vendredi matin à Lagos au Nigeria dans le cadre de la Coupe du Monde Junior d'Epée. La compétition se déroule du 14 au 15 décembre 2024.
La délégation béninoise pour la Coupe du Monde Junior d'Epée est composée de six athlètes. Un kinésithérapeute et un médecin accompagnent l'équipe.
Pour cette compétition, les responsables de la Fédération Béninoise d'Escrime et du ministère des sports ont mis les bouchées double pour une bonne préparation des athlètes béninois.
L'objectif pour le Bénin au cours de la compétition est d'atteindre tout au moins le podium tant dans les compétitions individuelles que d'équipe.
J.S
Jacques Ayadji, le Directeur des transports terrestres et aériens, a fait le point de sa rencontre avec les représentants de Yango, la plateforme de transport suspendue au Bénin.
La poursuite des activités de Yango en dépit de la décision de suspension qui leur avait été signifiée est l'un des sujets abordés avec les représentants de la plateforme de transport, le mercredi 11 décembre 2024. Selon les responsables de Yango, la difficulté à mettre leur application hors ligne est due au fait que cette plateforme est utilisée dans plusieurs pays à travers le monde, et pas seulement au Bénin.
Le Directeur des transports terrestres et aériens, a exprimé l'incompréhension des autorités béninoises face à ce non-respect de la décision. « Nous comprenons mais (...) il n' est pas question que l'autorité de l'Etat soit bafouée », a indiqué Jacques Ayadji. Il a signifié aux représentants que même si l'application n'est pas hors ligne, la plateforme de transport doit cesser de proposer des courses. « C'est un point fondamental sur lequel nous allons les observer et prendre d'autres sanctions », a expliqué le Directeur des transports terrestres et aériens.
Mesures à mettre en place pour une reprise conforme aux normes en vigueur au Bénin
Lors de la rencontre, les représentants de Yango ont précisé que leur société n'était pas directement impliquée dans le transport, mais qu'elle agissait comme une plateforme mettant à disposition des sociétés de transport locales. Cependant, cette explication a soulevé des questions sur la régularité de la situation fiscale et administrative de l'entreprise au Bénin. Jacques Ayadji dit avoir expliqué aux représentants de Yango que même si leur partenaire est une société régulièrement constituée au Bénin, celle-ci « n'a pas fait de formalités au niveau du Ministère pour exercer une telle activité ».
Ce n'est pas une posture de l'État pour interdire l'activité. « On veut que l'activité soit faite dans les règles de l'art et des règlementations en vigueur » , a martelé le Directeur des transports terrestres et aériens.
M. M.
L'African Trade & Investment Development Insurance (ATIDI) et le Fonds de solidarité africain (ASF) ont signé un accord-cadre de coopération, ouvrant la voie à une collaboration stratégique plus poussée pour promouvoir le développement économique et atténuer les risques associés à l'investissement et au commerce en Afrique.
L'accord signé en marge de l'Africa Investment Forum 2024 (AIF 2024) qui s'est tenu à Rabat au Maroc la semaine dernière, fournit un cadre de coopération pour soutenir les projets d'infrastructure et de développement économique dans les États membres des deux institutions (Bénin, Burkina Faso, Burundi, Tchad, Côte d'Ivoire, Mali, Niger, Rwanda, Sénégal et Togo), et contribue également à réduire les risques pour les investisseurs, les entreprises et les bailleurs de fonds qui cherchent à investir en Afrique.
M. Abdourahmane Diallo, directeur général de l'ASF, a déclaré que cet accord marquait une étape importante dans la promotion du développement durable en Afrique.
« Nous unissons nos forces pour stimuler l'investissement et encourager la croissance économique sur le continent, tout en garantissant un environnement sûr pour les investisseurs », a déclaré M. Diallo.
Manuel Moses, PDG de l'ATIDI, a pour sa part noté que le partenariat offrait à la société l'occasion de renforcer sa gamme de solutions financières pratiques conçues pour relever les défis économiques de l'Afrique, notamment en atténuant les risques qui entravent souvent le commerce et l'investissement.
« Il reflète également la nécessité pour les institutions multilatérales de travailler ensemble pour faciliter l'accès au financement du développement pour notre continent. Ensemble, nous contribuerons à créer un avenir prospère pour les États membres et les entreprises africaines », a ajouté M. Manuel.
Les principaux objectifs de ce partenariat comprennent la commercialisation des solutions d'atténuation des risques des deux organisations pour les transactions commerciales et d'investissement, le soutien au développement des sources d'énergie renouvelables et des infrastructures dans le cadre de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECA), ainsi que le développement des compétences professionnelles et l'amélioration de l'environnement des affaires en Afrique.
Cet accord représente un tournant pour les deux institutions, qui se sont engagées à coordonner leurs efforts pour stimuler le commerce intra-africain, encourager les investissements dans des projets ayant un impact stratégique et promouvoir le développement économique à travers le continent.
A propos du Fonds de Solidarité Africain (FSA)
Le Fonds de solidarité africain (FSA) est une institution financière panafricaine dont le siège est à Niamey, au Niger. Il est devenu opérationnel en septembre 1979 et a pour mandat de contribuer au développement économique et au progrès social de ses Etats membres africains en facilitant, par ses différents modes d'intervention, l'accès aux ressources financières nécessaires à la réalisation de projets d'investissement et d'autres activités génératrices de revenus. Le FSA compte actuellement vingt-trois (29) États membres régionaux dans sept (7) des huit (8) Communautés économiques régionales (CER) africaines (EAC, CEDEAO, CEEAC, CEN-SAD, COMESA, SADC et UMA).
À propos de l'ATIDI
L'ATIDI a été fondée en 2001 par des États africains pour couvrir les risques liés au commerce et à l'investissement des entreprises qui font des affaires en Afrique. L'ATIDI fournit principalement des assurances contre les risques politiques, des assurances-crédit et des assurances-caution. Depuis sa création, l'ATIDI a soutenu des investissements et des échanges transfrontaliers d'une valeur de 85 milliards de dollars en Afrique. Depuis plus d'une décennie, l'ATIDI maintient une notation « A/Stable » pour la solidité financière et le crédit de contrepartie par Standard & Poor's, et en 2019, l'ATIDI a obtenu une notation A3/Stable de Moody's, qui a maintenant été révisée à A3/Positif.
Une partie de pêche dans les eaux du fleuve « Ahin » a viré au drame, mercredi 11 décembre 2024, pour trois jeunes de la commune de Savè, dans le département des Collines.
Trois jours avant le drame, les jeunes ont pêché un gros poisson qui leur a malheureusement échappé. Les trois pêcheurs retournent au bord du fleuve « Ahin » le mercredi 11 décembre 2024 avec pour objectif de repêcher le poisson.
Selon le Chef de l'arrondissement (CA) de Adido dans la commune de Savè, le moins âgé des jeunes a plongé dans les eaux mais n'est plus ressorti.
Après une trentaine de minutes sans nouvelles du premier le second plonge dans le fleuve. Celui-ci aussi ne donne plus aucun signe de vie. Le troisième se jette à l'eau pour secourir ses camarades.
C'est ainsi que les trois jeunes ont disparu au fond de l'eau, a précisé le CA Alexis Dossoumon à Le Matinal.
Un cultivateur qui suivait la scène de loin a donné l'alerte. Malheureusement, ce sont les corps sans vie des trois jeunes dont un adolescent de 18 ans qui ont été repêchés des eaux du fleuve.
Les corps des victimes ont été remis à leurs familles pour inhumation après les formalités administratives, sanitaires et judiciaires.
M. M.
Face au pays hôte de cette première édition du tournoi des Fédérations Ouest-Africaines de Football (UFOA) Zone B U-17 Filles, le Bénin s'est incliné 4-1 devant le Ghana ce jeudi.
C'est parti pour cette première édition du tournoi des Fédérations Ouest-Africaines de Football ( UFOA) Zone B U-17 Filles. Le match d'ouverture a pris fin il y a quelques minutes. La rencontre a opposé le Bénin au Ghana. Un début de compétition regrettable pour les Amazones U-17, qui ont perdu la partie.
Face aux Black Maidens, les Béninoises ont encaissé 4 buts contre 1 inscrit. Malgré cette défaite, le Bénin est qualifié pour les demi-finales. Ceci, après le forfait du Burkina Faso. Dans cette Poule A, le Ghana et le Bénin se retrouveront à nouveau samedi pour determiner les 1ère et 2è places du Groupe.
J.S
Lundi 09 décembre 2024, le parquet spécial de la CRIET a requis cinq (5) de prison dont deux ans fermes contre un policier. L'agent est poursuivi après avoir été accusé de transporter illégalement des faux médicaments avec un véhicule de fonction de la Direction générale de la police républicaine.
Un policier risque gros à la CRIET dans une affaire de faux médicaments transportés dans un véhicule de la police républicaine. Lundi 09 décembre 2024, le nommé N.C.R, un policier en fonction à la Direction générale de la police républicaine, a comparu une nouvelle fois dans le cadre de son procès. Ce prévenu est poursuivi pour des faits d'abus de fonction après avoir été placé en détention provisoire en mai 2024 par le parquet spécial de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme, rapporte l'envoyé spécial de Libre Express.
Selon le récit des faits, il est reproché au policier d'avoir transporté de faux médicaments avec son véhicule de service alors qu'il revenait d'une mission Porto-Novo. L'agent de la police républicaine a été interpellé par un douanier au poste de péage d'Ekpè .
Selon l'accusation, il aurait refusé de se soumettre à tout contrôle. Il n'a fallu que le poste de douanes pour que le policier s'arrête et que son véhicule ne soit fouillé. Une fouille qui a permis de découvrir des sacs de faux médicaments. L'agent de police a été ensuite convoqué au poste des douanes de Porto-Novo.
Cinq ans de prison requis
À l'audience du lundi 9 décembre 2024, le ministère public a pris ses réquisitions dans le dossier. Au regard de la gravité des faits reprochés à l'agent de police républicaine, le parquet spécial près la CRIET a demandé à la Cour de retenir le prévenu dans les liens de la prévention des faits d'abus de fonction. Il a alors requis cinq de prison dont deux ans fermes contre le policier.
Cette réquisition n'a pas été du goût de Me Omer Sylvain Tchiakpè, avocat de la défense. L'homme de droit a plaidé au principal la relaxe pure et simple de son client et au subsidiaire la relaxe au bénéfice du doute de son client. L'avocat souligne que les faits mis à la charge de son client ne sont pas avérés. Il soutient que son client ne savait pas le contenu des sacs qu'il transportait et qu'ils lui ont été remis par un ami. Le délibéré du dossier a été renvoyé en janvier 2024, rapporte l'envoyé spécial de Libre Express.