Les conditions de déroulement de la campagne de commercialisation 2023-2024 des noix de cajou n'ont pas été encore entérinées en Conseil des ministres. C'est un rappel du ministère de l'Industrie et du Commerce suite aux informations qui circulent sur les canaux de communication.
« Il m'est revenu que certains acteurs de la filière anacarde annoncent, par divers canaux de communication, les conditions de déroulement de la campagne de commercialisation 2023-2024, notamment la date de lancement et le maillon supposé autorisé à exporter les noix brutes en contradiction aux dispositions du décret n° 214 du 30 mars 2022 portant conditions de déroulement de la campagne de commercialisation 2021-2022 des noix de cajou qui interdit l'exportation des noix brutes à partir du 1 avril 2024 », informe le communiqué du ministère de l'Industrie et du Commerce.
La ministre rappelle que le gouvernement n'a pas encore entériné en Conseil des Ministres les conditions de déroulement de la campagne de commercialisation 2023-2024 des noix de cajou. Il s'agit des conditions proposées à la session de la Commission Permanente d'Approvisionnement en Facteurs de Production, de Commercialisation des Produits Agricoles et du Commerce Général, élargie aux représentants des producteurs, des acheteurs, des négociants et des transformateurs d'anacarde tenue le lundi 12 février 2024. Elle donc tous les acteurs de la filière à ne pas se fier à ces annonces inopportunes pour la profession.
A.A.A
En plus des équipes qui seront présentes à Accra au Ghana dans quelques jours, le Bénin sera représenté du côté du corps arbitral.
Djaria Bio Bangana, arbitre béninoise est sur la liste des arbitres retenus pour officier les rencontres de football inscrites dans le cadre de ces 13es Jeux Africains, qui se dérouleront du 8 au 23 Mars 2024 à Accra, capitale du Ghana.
J.S
Le Guépard du Bénin Junior Olaïtan est désormais un joueur de Troyes. Le club français a levé l'option d'achat du joueur.
Alors qu'il était prêté par Niort à Troyes l'été dernier, l'international béninois Junior Olaïtan est désormais définitivement un joueur de Troyes. Le Guépard a vu l'ESTAC levé l'option d'achat inséré dans le contrat de son prêt.
C'est donc terminé entre Junior Olaïtan et le Chamois niortais.
J.S
Un cultivateur de 25 ans sera présenté au Procureur près le Tribunal de première instance de Malanville le jeudi 29 février 2024 pour avoir charcuté à mort sa mère.
Une dame âgée d'environ 50 ans et mère de trois enfants est passé de vie à trépas après avoir été charcuté son fils, un cultivateur âgé de 25 ans.
L'enfant a charcuté sa mère à coups de machette, selon Bip radio.
Les faits se sont produits dans le weekend écoulé à Malanville dans l'arrondissement de Madécali au niveau de la frontière Bénin-Nigéria.
La victime a été inhumée.
Le fils auteur présumé de marricide a été placé en garde-à-vue. Il sera Procureur près le Tribunal de première instance de Malanville ce jeudi 29 février 2024.
M. M.
Le secrétaire Blinken s'est rendu à Rio de Janeiro, au Brésil, pour assister à la réunion des ministres des Affaires étrangères du G20, les 21 et 22 février, afin d'approfondir la coopération et de s'attaquer à des questions d'intérêt mondial telles que l'insécurité alimentaire, le changement climatique, la santé mondiale, les droits des travailleurs et l'instabilité géopolitique. Les États-Unis, en collaboration avec leurs partenaires, prennent des mesures concrètes pour construire une économie mondiale plus prospère, plus durable et plus inclusive qui offre des emplois de qualité, de la nourriture, de l'énergie et une sécurité sanitaire pour tous. Outre les engagements liés au G20, le secrétaire participera à une réunion des ministres des Affaires étrangères du G20 et des partenaires invités afin d'aborder la crise humanitaire en Haïti et de mobiliser le soutien à la mission multinationale d'appui à la sécurité (MMAS).
Le G20 : un forum important pour la coordination internationale des politiques économiques
– Les États-Unis soutiennent fermement les thèmes retenus par le Brésil pour cette réunion, à savoir la réduction des tensions géopolitiques et la réforme de la gouvernance mondiale.
– Le G20 constitue une plateforme qui donne aux États-Unis les moyens de se mettre en relation directe avec les plus grandes économies avancées et émergentes du monde de façon à promouvoir les intérêts des États-Unis et à relever les défis géopolitiques et socio-économiques mondiaux avec les autres membres du G20 qui représentent plus de 80 % du produit intérieur brut mondial, les trois quarts des échanges commerciaux mondiaux et les deux tiers de la population mondiale.
– Le secrétaire Blinken s'entretiendra avec ses homologues des membres du G20 et des partenaires invités.
Réduire les tensions géopolitiques
La guerre non provoquée du Kremlin contre l'Ukraine reste un affront permanent à la Charte des Nations unies que la Russie, en tant que membre du Conseil de sécurité de l'ONU, devrait respecter. La guerre menée par la Russie continue de nous rappeler pourquoi nous devons défendre les principes de respect de la souveraineté et de l'intégrité territoriale inscrits dans la Charte.
– La guerre d'agression de la Russie fait également des milliers de morts et de blessés, déplace des millions de personnes et aggrave l'insécurité alimentaire et énergétique mondiale. Les actions de la Russie sapent le travail auque le G20 se consacre avec tant de diligence.
– Les États-Unis s'emploient chaque jour à empêcher le conflit entre Israël et le Hamas de s'étendre, tout en appelant à la protection des civils et à l'amélioration de l'accès à l'aide humanitaire.
– Les attaques maritimes des Houthis perturbent la liberté de navigation et les flux commerciaux mondiaux, y compris l'aide alimentaire et humanitaire à la région. Les États-Unis, avec leurs alliés et partenaires, ont mobilisé plus de 40 pays en vue de la publication d'une déclaration condamnant les attentats, en soutien à l'opération « Prosperity Guardian ».
– Nous mettrons également l'accent sur le soutien des États-Unis à la mission multinationale d'appui à la sécurité (MMAS) en Haïti et nous nous emploierons à encourager d'autres contributions internationales.
Renforcer l'engagement des États-Unis en faveur de la sécurité alimentaire et sanitaire au G20
– Feed the Future, le programme phare du gouvernement des États-Unis en matière de sécurité alimentaire mondiale, travaille avec les pays partenaires pour transformer leurs systèmes alimentaires afin qu'ils soient résilients aux changements climatiques, plus équitables et plus autonomes sur le plan économique.
– Les États-Unis prennent des mesures énergiques pour mettre en place des systèmes alimentaires résilients et adaptés au climat. Il s'agit notamment de forger une coalition et de mobiliser les ressources nécessaires afin de faire avancer la vision pour des cultures et des sols adaptés. À l'appui de cette vision, les dirigeants des gouvernements, des industries, de la société civile et des collectivités s'unissent pour s'attaquer aux crises de la sécurité alimentaire et du climat en concentrant l'attention et les ressources collectives sur les principes fondamentaux de l'agriculture : des cultures adaptées au changement climatique ainsi que des sols sains et fertiles.
– Les États-Unis restent concentrés sur l'amélioration de la santé mondiale en accélérant les investissements dans la santé et le bien-être des collectivités à travers les pays. Nous nous réjouissons de l'occasion qui nous est donnée de travailler avec nos partenaires sur des efforts collectifs essentiels à la réalisation des objectifs de développement durable mondiaux, notamment en catalysant un soutien continu au Fonds de lutte contre les pandémies.
– Afin de faire face aux menaces que représentent les drogues de synthèse pour la santé et la sécurité publiques, les États-Unis ont lancé en 2023 la Coalition mondiale de lutte contre les menaces liées aux drogues de synthèse, qui compte aujourd'hui plus de 144 pays participants et 12 organisations internationales.
Soutenir les réformes de la gouvernance mondiale
– Les États-Unis se sont engagés à intégrer des perspectives plus diversifiées sur le plan géographique dans les institutions multilatérales et à veiller à ce qu'elles répondent aux besoins de l'ensemble de la communauté mondiale. Les États-Unis sont favorables à l'élargissement du Conseil de sécurité de l'ONU, notamment à l'attribution de nouveaux sièges à des pays d'Afrique et d'Amérique latine. Nous avons soutenu l'accession de l'Union africaine au rang de membre permanent du G20 et la création d'un nouveau siège pour l'Afrique subsaharienne au conseil d'administration du Fonds monétaire international.
– Notre engagement en faveur de l'inclusion s'étend au domaine de l'intelligence artificielle. Le G20 et ses partenaires doivent également travailler ensemble pour saisir les opportunités offertes par l'IA afin de faire progresser les objectifs de développement durable, et pour garantir une IA sûre, sécurisée et digne de confiance, en adoptant une approche équilibrée dans laquelle tous les pays peuvent bénéficier de l'IA, tout en travaillant ensemble pour gérer les risques de disruption technologique.
– Les États-Unis s'emploient à faire évoluer les banques multilatérales de développement (BMD) en vue de créer des banques de développement plus grandes et plus performantes, capables de prêter davantage, d'accorder plus de ressources financières à des conditions favorables, de mobiliser des capitaux privés et de rendre les BMD plus rapides et plus agiles.
Des individus armés ont braqué un commerçant et son épouse dans la nuit du lundi 26 au mardi 27 février 2024 à Témé, un village de l'arrondissement de Bori sis dans la commune de N'Dali.
Un commerçant et sont épouse ont été blessés par balles par des braqueurs dans la nuit du lundi 26 au mardi 27 février 2024 à Témé, un village de l'arrondissement de Bori sis dans la commune de N'Dali.
Les hors-la-loi ont emporté une moto et une somme de soixant mille (60.000) FCFA appartenant aux victimesn selon la radio communautaire Su Tii Sua Fm.
Selon les informartions, les braqueurs ont exigé dans un premier temps une somme de 10 millions au commerçant. Revenus à la rescousse, ils ont tiré deux coups de feu sur la porte du commerçant et sa femme.
C'est l'une des balles qui a effleuré le commerçant et son épouse.
La police a été informée.
M. M.
Les travaux de la 55e session ordinaire du Conseil des droits de l'Homme des Nations Unies ont été ouverts lundi 26 février 2024. A l'occasion de cette session, la plus longue de l'histoire, 100 dossiers sur la situation des droits de l'Homme dans près de 45 pays seront examinés. Le nouveau Président du Conseil, l'Ambassadeur du Maroc Omar Zniber a dévoilé à la presse ses priorités.
La 55e session ordinaire du Conseil des droits de l'Homme des Nations Unies s'est ouverte lundi 26 février 2024, sous la présidence du Représentant permanent du Maroc auprès de l'Office des Nations Unies. Dans un entretien à la presse, l'Ambassadeur Omar Zniber déclare s'être fixé trois priorités pour cette session. Le diplomate marocain selon une publication de La Nation, a évoqué en premier lieu, l'abolition des tensions qui entravent les travaux du Conseil, « avec un appel à un dialogue respectueux et à la prévention des confrontations ». L'autre priorité poursuivie est celle relative à l'évolution du Conseil, « dans son écosystème ». Pour répondre à la demande formulée en 2021 par l'Assemblée générale de l'ONU, il s'agit d'évaluer les résultats obtenus depuis bientôt 18 ans d'existence de cet organe et d'effectuer cet exercice avant la fin de 2026.
Enfin, SEM. Omar Zniber à travers cette 55e session nourrit l'ambition de promouvoir des thématiques urgentes liées aux réalités actuelles du monde, telles que la sécurité alimentaire, sanitaire et climatique, pour favoriser un climat propice à la cohésion au sein du Conseil.
Une session extraordinaire sur la situation à Gaza pourrait avoir lieu au cours des travaux prévus pour durer 06 semaines.
F. A. A.
Les résultats de la campagne d'inscription au Fichier National des Aspirants à l'Enseignement Supérieur (FNAES) sont accessibles en ligne sur le lien https://aspirant.enseignementsuperieur.bj
Le lien https://aspirant.enseignementsuperieur.bj est accessible du mercredi 28 février à 00 heure au 11 mars 2024 à minuit pour consulter les résultats de la campagne d'inscription au Fichier National des Aspirants à l'Enseignement Supérieur (FNAES).
Un formulaire est également disponible sur le même site pour recevoir les réclamations des de doctorats et de masters inscrits sur la plateforme d'inscription au Fichier FNAES, a informé la Ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique.
LIRE LE COMMUNIQUE DU MINISTRE
L'Ambassadeur de la République d'Angola près la République du Bénin, avec résidence à Abuja au Nigéria, Son Excellence José Bamóquina ZAU, présente ce jeudi 29 février 2024, au Palais de la Marina à Cotonou, les lettres de créances qui lui permettent d'exercer en République du Bénin.
Les lettres de créances seront reçues par Son Excellence Patrice TALON, Président de la République du Bénin, comme instrument juridique qui normalise son mandat après sa nomination le 7 mars 2023 par Son Excellence João Manuel Gonçalves LOURENÇO, Président de la République d'Angola.
Le défi de Son Excellence José Bamóquina ZAU est de relancer les relations diplomatiques et la coopération économique entre les deux États soulignant la nécessité d'une plus grande présence angolaise au Bénin et vice versa.
L'Ambassadeur José Bamóquina ZAU présentera au Président Patrice TALON les lignes de force qui guideront son travail diplomatique avec la projection des réunions de la Commission mixte Angola-Bénin pour mettre à jour le cadre général des accords de coopération bilatérale.
Ce mercredi 28 février 2024, José Bamóquina ZAU présentera ses lettres figurées au Ministre des Affaires Étrangères du Bénin Son Excellence Oloushegun BAKARY ADJADI.
JURISTE ET ENSEIGNANT
Le nouvel Ambassadeur d'Angola en République du Bénin est titulaire d'une licence en droit juridico-politique-économique et d'une maîtrise en droit privé.
Il a été Vice-ministre de l'Intérieur et des Services pénitentiaires et Secrétaire d'État aux Services pénitentiaires de la République d'Angola.
En tant qu'enseignant, il a enseigné les matières d'introduction à l'étude du droit à l'Institut supérieur des sciences policières et criminelles d'Angola, ainsi que les sciences politiques et le droit constitutionnel et pénal à la Faculté de droit de l'Université Agostinho NETO, Centre Cabinda. .
En 2017, il a été élu député à l'Assemblée nationale par le Cercle national du MPLA à la IVe législature, son mandat étant suspendu pour avoir rejoint le gouvernement.
Il termine son cycle gouvernemental en 2022 au poste de Secrétaire d'État à l'Intérieur.
Le mari d'une dame décédée à la suite d'une intervention dans une clinique privée de Cotonou poursuit les médecins de la clinique devant la justice.
Trois professionnels de santé en service dans une clinique privée très fréquentée à Cotonou comparaissent au Tribunal de première instance de Cotonou à la suite d'une opération sur une patiente.
Selon les dépositions de l'époux de la patiente, mardi 27 février 2024, les faits remontent à mars 2022.
La dame, auxiliaire en pharmacie, se plaignait de malaises et appelle son mari vers 22 heures dans la nuit du 25 mars 2022. Transportée dans une clinique privée entre 23 heures et minuit, la dame est diagnostiquée d'une appendicite. Elle doit subir une opération qui était sans risque, selon le médecin de garde à la clinique.
L'intervention a été réalisée dans la matinée du 26 mars. Mais la patiente sera évacuée d'urgence au Centre National Hospitalier Universitaire (CNHU-HKM) par le SAMU vers 13 heures.
La dame décède malheureusement entre 1heure et 2 heures le 27 mars.
La dame serait morte à la suite de l'intervention à la clinique, selon le mari. Une intervention pour laquelle il n'aurait pas donné son accord, et interdit expressément au médecin sa réalisation.
A la question de l'avocat de la défense de savoir si le mari avait connaissance que l'appendicite nécessite souvent une intervention, celui-ci rétorque : ‘'Je ne suis pas médecin''.
« La clinique vous a-t-elle informé que l'opération a occasionné une complication qui a nécessité l'appel du SAMU ? », questionne à nouveau l'avocat. Et au mari de répondre : ‘'Non''.
Le dossier a été renvoyé au 21 mai 2024 par le juge pour continuation.
Les trois professionnels de santé sont poursuivis sans mandat de dépôt.
M. M.
Les Chefs d'État et de Gouvernement de l'UEMOA ont levé les sanctions contre le Niger pour soulager les populations. C'est à l'issue de la session extraordinaire tenue le 24 février 2024 à Abuja (Nigéria).
Après la CEDEAO, les sanctions contre le Niger ont été réexaminées par l'UEMOA. Les sanctions prises le 30 juillet 2023 ont été levées avec effet immédiat. Il s'agit de la fermeture des frontières terrestres et aériennes entre le Niger et les pays de l'UEMOA ; l'interdiction de survol de l'espace aérien de l'UEMOA à tout aéronef commercial à destination ou en provenance du Niger ; la suspension de toutes les transactions commerciales et financières entre les pays de l'UEMOA et le Niger, y compris celles portant sur les biens et services et l'électricité. Sont aussi levées les sanctions relatives au gel des avoirs du Niger à la BCEAO ; le gel des avoirs de l'Etat du Niger ainsi que des entreprises publiques et parapubliques du pays logés dans les banques commerciales des Etats membres de l'UEMOA ; la suspension des opérations financières entre les banques du Niger et les banques installées dans les autres pays de l'UEMOA ; la suspension de toute assistance et transaction financière en faveur du Niger par les institutions de financement de l'UEMOA, particulièrement la BOAD. A cela s'ajoutent les sanctions portant interdiction de voyager pour les représentants du gouvernement et les membres de leurs familles et l'interdiction de séjour dans l'espace UEMOA pour les représentants du gouvernement et les membres de leurs familles.
Les Chefs d'Etat et de gouvernement ont réitéré leur exigence pour la libération immédiate du président Mohamed Bazoum ainsi que des membres de sa famille et le retour rapide à un ordre constitutionnel normal.
La Conférence a aussi échangé sur les implications de l'alliance des États du Sahel entre le Burkina-Faso, le Mali et le Niger sur le processus d'intégration régionale.
A.A.A.
La décision de levée de sanctions contre le Niger, le Mali, le Burkina et la Guinée, prise par les chefs d'Etat et de gouvernement de la CEDEAO samedi 24 février 2024 à Abuja, est perçue par certains observateurs comme une action humanitaire des dirigeants de la sous-région. L'initiative portée par le chef de l'Etat Patrice TALON s'inscrit dans la volonté des chefs d'Etat de préserver la CEDEAO des peuples. Le ministre des affaires étrangères a apporté des précisions sur cette décision lors d'une conférence de presse animée lundi 26 février 2024 à Cotonou.
Face à la presse lundi 26 février 2024, le ministre des affaires étrangères a apporté des clarifications sur la décision de levée de sanctions contre le Niger, le Burkina Faso, le Mali, et la Guinée au sein de l'espace CEDEAO. Se félicitant de la décision prise par les chefs d'Etat de la sous-région, il a souligné que l'initiative portée par le chef de l'Etat Patrice TALON, soulagera les populations du Niger, et celles des autres pays qui furent impactées. La levée effective de ces mesures à l'en croire, marquera un retour progressif à la normalisation des relations entre le Niger, le Mali, le Burkina Faso et les autres pays membres de l'organisation. Cette décision intervenue à la veille du jeûne musulman, pilier essentiel de l'islam, s'inscrit dans la volonté des gouvernants de la sous-région, à préserver une CEDEAO des peuples. Elle dénote également de la peine qu'ils éprouvent face à la souffrance des peuples sous sanction depuis des mois.
Depuis que la décision de levée de sanctions est prise, les frontières béninoises ont été effectivement ouvertes, et les services de la douane et de la police ont retrouvé leur position pour la reprise des activités. Cette décision selon le chef de la diplomatie béninoise, dénote de la nécessité de préserver et promouvoir les communautés pour l'intérêt des peuples, et non les disloquer. « Les peuples du Mali, du Burkina et du Niger font partie des peuples de la CEDEAO et le Bénin va œuvrer pour le maintien de ces trois pays au sein de l'organisation. Des réflexions seront alors menées pour relever les défis auxquels est confrontée la CEDEAO », a fait savoir le ministre des affaires étrangères.
Au sujet du retrait de ces trois pays de l'organisation sous régionale, le chef de l'Etat lors de la rencontre avec la presse béninoise le 08 février 2024, a souhaité que « la décision de se retirer de la CEDEAO n'aille pas plus loin que l'intention ou la déclaration ».
F. A. A.
Le sifflet béninois sera à l'honneur vendredi prochain lors du déplacement de Young Africans à Al Alhy en Ligue des Champions CAF. C'est l'arbitre Louis Houngnandande qui sera aux commandes de la rencontre.
A partir du vendredi prochain, la Ligue des Champions en zone Afrique sera à la 6e journée de la phase de Poules. A cette occasion, Young Africans ira affronter Al Alhy au Caire. Un déplacement périlleux pour les Tanzaniens qui vont se frotter aux Egyptiens, déjà qualifiés, mais qui ne sont pas à l'abri d'une surprise pour la première place au classement.
Pour le compte de cette rencontre au sommet dans la poule D, Louis Houngnandande, arbitre béninois, est choisi par la CAF pour diriger le match. Ce dernier avait fait honneur au Bénin en arbitrant un match durant la CAN 2023 en Côte d'Ivoire.
J.S
La ministre de l'Industrie et du Commerce du Bénin, Shadiya Alimatou Assouman, participe à la 13e Conférence ministérielle de l'Organisation Mondiale du Commerce (CM13) ouverte, lundi 26 février 2024, à Abu Dhabi aux Émirats Arabes Unis.
À la tête d'une délégation béninoise, la ministre de l'Industrie et du Commerce du Bénin, Shadiya Alimatou Assouman, représente le Bénin à la 13e Conférence ministérielle de l'Organisation Mondiale du Commerce à Abu Dhabi.
Les travaux ont été lancés lundi 26 février par la Directrice générale de l'OMC, Ngozi Okonjo-Iweala. Dans son discours, elle a invité les membres de l'Organisation à exploiter « le plein potentiel du système commercial multilatéral afin d'obtenir des résultats au profit des populations, en accélérant la transition verte et en favorisant l'inclusion socio-économique dans le monde ».
La Conférence ministérielle a été l'occasion pour la ministre de l'industrie et du commerce, Shadiya Alimatou Assouman, d'annoncer l'adhésion du Bénin au projet de déclaration ministérielle, proposé par la Chine et un groupe de pays. Ce projet porte sur le renforcement de la coopération en matière de réglementation en vue de réduire les obstacles techniques au commerce. Elle s'est également réjouie de « l'aboutissement des négociations concernant l'Accord sur la Facilitation de l'Investissement pour le Développement (FID) ». La ministre a félicité la Directrice générale de l'OMC pour le lancement, avec la Banque mondiale, de l'Initiative « Digital Trade in Africa (DTA) » ayant pour but de soutenir le développement du commerce électronique en Afrique.
Shadiya Alimatou Assouman a aussi relevé la signature, avec la FIFA, du Mémorandum d'Accord dont l'objectif est de soutenir le développement des chaînes de valeur du coton dans les pays du Coton-4 (Bénin, Burkina-Faso, Tchad et Mali).
La ministre de l'industrie et du commerce a exhorté « tous les membres de l'OMC à soutenir le projet de décision ministérielle sur le coton soumis par le C4 et, à soutenir les initiatives nationales d'industrialisation à l'œuvre, comme la Zone Économique Spéciale de Glo-Djigbé (GDIZ) ».
Aux Émirats Arabes Unis, la ministre de l'industrie et du commerce a aussi participé à la réunion du 24 février 2024, consacrée à la présentation ‘'Partenariat OMC-FIFA pour le Coton” par la Directrice générale de l'OMC, Ngozi Okonjo-Iweala, et le Président de la FIFA, Gianni Infantino. Il s'agit d'une nouvelle initiative en vue d'aider les pays africains à participer aux chaînes de valeur du coton. L'événement a été inauguré par Thani bin Ahmed Al Zeyoudi, ministre d'État chargé du commerce extérieur des Émirats arabes unis.
A.A.A
Le Bénin prévoit le déploiement de 2000 soldats en Haïti dans le cadre de la Mission multinationale de Soutien à la Sécurité. L'annonce a été faite, lundi 26 février 2024, par l'Ambassadrice américaine auprès des Nations Unies, Linda Thomas-Greenfield, à l'occasion de la 46e Sommet des chefs de gouvernement de la Communauté des Caraïbes (CARICOM) à Guyana.
Le Bénin envisage d'envoyer 2000 soldats en Haïti. Cette décision s'inscrit dans le cadre de la mission multinationale d'appui à la sécurité en Haïti approuvée par le Conseil de sécurité de l'ONU en octobre 2023. L'objectif de cette mission est de fournir un appui opérationnel à la Police nationale d'Haïti (PNH) et de restaurer la stabilité dans le pays. Haïti est confronté depuis plusieurs années à une crise politique et sociale. La situation sécuritaire est marquée entre autres par la violence des gangs dans des zones spécifiques. Le premier ministre Ariel Henry est au pouvoir depuis l'assassinat en juillet 2021 du président Jovenel Moïse.
Le Kenya avait aussi proposé l'envoi de 1000 policiers en Haïti. À en croire l'Ambassadrice Linda Thomas-Greenfield, la force multinationale sera soutenue sur le plan financier, matériel, et logistique par le gouvernement américain.
A.A.A
La Fédération des syndicats de l'éducation nationale de la Confédération syndicale des travailleurs du Bénin (FESEN/CSTB) déclenche le jeudi 07 mars 2024, une grève d'avertissement de 24 heures. Le but visé est d'exiger la satisfaction des revendications des enseignants et personnels administratifs des écoles et universités publics. C'est à travers une motion en date de ce lundi 26 février 2024.
Lire l'intégralité de la motion
L'Institut International pour le Renforcement de l'Accompagnement Entrepreneurial du Département Formation de la Chambre de Commerce et d'Industrie du Bénin (CCI Bénin) accueille une délégation du Centre d'Innovation Verte (CIV) du Mali du 26 au 27 février 2024 pour une formation au Start Up Loop. La session de formation initiée grâce à l'appui du Projet de Promotion des PME (ProPME GIZ) sera suivie de visites d'entreprises du 28 février au 1er mars 2024.
Une délégation du Centre d'Innovation Verte (CIV) du Mali et de la Direction Nationale des PME du Mali est en visite au Bénin du 26 février au 1er mars 2024 dans le cadre d'une session de formation au Start Up Loop. La formation initiée grâce à l'appui du Projet de Promotion des PME (ProPME GIZ) s'inscrit dans le cadre des interventions de l'Institut International pour le Renforcement de l'Accompagnement Entrepreneurial logé au Département Formation de la CCI Bénin. Elle entend permettre aux hôtes de la CCI Bénin de s'inspirer des expériences du Bénin en matière de mise en œuvre de l'approche SME Business Training and Coaching Loop en général et en particulier du Start-up Loop.
Des présentations, des séances de partage d'expérience et d'étude de cas sont au programme durant les deux premiers jours (26 et 27 février) de la session de formation. Avec un contenu à la fois « enrichissant et ludique », la formation permettra aux participants de : « décrire l'architecture du Start up Loop ; élaborer une stratégie de promotion du Start up Loop, un budget de mise en œuvre, des TDR de recrutement des prestataires, la grille de sélection des prestataires et définir des critères de présélection des candidats entrepreneurs ».
Au terme de la formation, des visites de terrain seront effectuées aux PME accompagnées de 2022 à 2023 suivant l'approche SME Loop.
A l'issue des cinq (05) jours de visite au Bénin, les hôtes de l'Institut International pour le Renforcement de l'Accompagnement Entrepreneurial seront « satisfaits », s'est engagé le formateur principal Samson Kougbadi, Master coach international. Ils auront acquis les bases indispensables pour planifier la mise en œuvre du Start up Loop à l'issue de la session de formation. « Dès que vous allez au Mali, vous n'avez plus besoin de réfléchir, vous allez entrer directement en action », a indiqué Samson Kougbadi. Il n'a pas manqué d'inviter à « être dégagés » pour poser toutes sortes de questions au cours de la session.
Camarou Bello, Chef département Partenariat institutionnel et accompagnement de la CCI Bénin, a, quant à lui invité les participants à « profiter pleinement de leur séjour au Bénin ». Il a remercié la GIZ pour son appui à l'implémentation de l'approche Start up Loop à travers le projet PRO-PME.
La formation se déroule avec l'appui d'une équipe professionnelle de la Cci Bénin.
M. M.
La directrice générale des Douanes, Adidjatou Hassan Zanouvi, a lancé ce mardi 27 février 2024, à Cotonou, la phase 2 du Projet de Sécurité en Afrique de l'Ouest (PSAO) de l'Organisation mondiale des douanes. Le lancement, en présence du Chef du Projet, Terry Wall, a été suivi d'une séance de sensibilisation des responsables des douanes béninoises sur le rôle sécuritaire de la douane .
Les capacités des douaniers béninois seront renforcées afin de leur permettre d'assurer avec plus d'efficacité leur mission sécuritaire. C'est à travers la 2e phase du Projet de Sécurité en Afrique de l'Ouest (PSAO) de l'Organisation Mondiale des Douanes (OMD). Financé par le ministère allemand des affaires étrangères, le projet a pour objectif d'accompagner certaines administrations douanières de l'Afrique de l'Ouest, dans la mise en œuvre de mesures efficaces pour lutter contre le commerce illicite d'armes à feu, d'explosifs et d'autres précurseurs chimiques et composants d'engins explosifs improvisés (EEI) et contre toutes les autres formes de commerce illicite. Le Bénin et le Nigéria ont rejoint le Ghana, le Togo et la Côte d'Ivoire pour la phase 2 de ce projet.
« Cette initiative vient à point nommé dans un contexte sécuritaire assez instable à l'échelle de la sous-région ouest-africaine. Si les douanes béninoises ont pendant longtemps concentré leurs actions sur leur rôle traditionnel, notamment le recouvrement des recettes et les questions économiques, il faut reconnaître que grâce à la prise de conscience des questions sécuritaires et à un engagement des plus hautes autorités du pays, la mission de sécurisation des frontières terrestres, maritimes et aériennes, la lutte contre le terrorisme fait désormais partie de nos priorités », a déclaré la directrice générale des douanes. Face au développement accéléré du commerce international et aux défis sécuritaires, poursuit Adidjatou Hassan Zanouvi, toutes les douanes du monde sont appelées à améliorer leurs procédures pour faciliter la circulation des personnes et des biens tout en contrôlant mieux.
Selon la directrice générale des douanes, le PSAO permet de renforcer « les capacités des agents et des unités opérationnelles dans le contrôle de la contrebande, des marchandises illicites notamment des armes et matériels complexes entrant dans la composition des engins explosifs ». « Les modes de dissimulation, les techniques modernes de recherche, le ciblage et l'examen efficace des conteneurs et du fret, tirés des meilleures pratiques internationales seront aussi partagés avec un accent sur la surveillance des frontières fragiles par la technologie satellitaire », a ajouté Adidjatou Hassan Zanouvi. Elle a remercié le ministre d'Etat, ministre de l'Économie et des Finances en charge de la coopération, Romuald Wadagni, qui a sollicité et obtenu du secrétariat général de l'Organisation mondiale des douanes, la prise en compte du Bénin dans cette deuxième phase du prolongée du PSAO.
Dans le cadre de ce projet, il est prévu plusieurs sessions de formation pour former des experts nationaux et régionaux. En visite de travail au Bénin du 27 au 29 février, le chef du Projet sur la Sécurité en Afrique de l'Ouest (PSAO) de l'Organisation Mondiale des Douanes, Terry Wall échange avec les responsables afin de relever les exigences spécifiques des douanes béninoises. « Vous devez tous faire face à des menaces et des risques légèrement différents (…) Tout cela doit être pris en compte lorsque nous planifions de mener conjointement des activités de renforcement des capacités. (…) Nous nous concentrerons également sur la collaboration entre les administrations douanières et sur l'importance des efforts transfrontaliers pour vaincre les activités criminelles et terroristes », a-t-il indiqué.
Pour le premier secrétaire de l'Ambassade d'Allemagne au Bénin, Olivier Jungel, la douane joue aussi un rôle très important dans la lutte contre le terrorisme. La protection des zones frontalières en particulier contre l'extrémisme violent, souligne-t-il, est une priorité pour la coopération allemande. « A l'Ambassade on est très heureux et on se réjouit de poursuivre notre étroite collaboration avec les douanes béninoises », a affirmé le représentant de l'Ambassadeur de l'Allemagne au Bénin.
Le point de contact national du projet, Lieutenant-Colonel Gildas Sehlin a invité ses collègues à participer activement aux activités et formations prévues dans le cadre de ce projet pour sa mise en œuvre efficace au Bénin. Après le lancement officiel de la phase 2 du PSAO, les responsables de l'administration douanière béninoise ont été sensibilisés sur le rôle sécuritaire de la douane. Les activités prévues dans le cadre du projet, les cadres normatifs et nationaux du contrôle du trafic illicite des Armes légères et de Petit calibre ont été aussi présentés à cette séance.
Akpédjé Ayosso
Les sanctions de la CEDEAO contre le Burkina Faso, le Mali, la Guinée et le Niger ont été levées lors d'une session extraordinaire tenue, samedi 24 février 2024, à Abuja au Nigéria. Cette décision des chefs d'Etat et de gouvernement de l'organisation sous régionale, relève d'une initiative du président Patrice TALON, attaché à la préservation de la CEDEAO des peuples. Olushegun Adjadi BAKARI, ministre des Affaires étrangères du Bénin l'a rappelé lundi 26 février lors d'une conférence de presse.
Depuis samedi 24 février 2024, plus de sanctions de la CEDEAO contre le Niger, le Mali, le Burkina Faso et la Guinée. Les chefs d'Etat et de gouvernement ont décidé au cours d'un sommet extraordinaire à Abuja, de la levée de sanctions contre ces pays placés depuis un moment, sous régime militaire.
Face à la presse lundi 26 février 2024, le ministre des Affaires étrangères du Bénin a souligné que cette décision des chefs d'Etat de la CEDEAO n'est que la matérialisation du souhait du président de la République du Bénin, porté ensuite par ses pairs. Selon Olushegun Adjadi BAKARI, il s'agit « d'un jalon essentiel » que le chef de l'Etat avait annoncé lors d'une rencontre avec la presse béninoise le 08 février dernier. Le Bénin était favorable à une levée des sanctions », a rappelé le chef de la diplomatie béninoise. A l'en croire, cette décision des chefs d'Etat fait suite à un constat ; celui de la souffrance des peuples sous sanction, et pour laquelle les gouvernants de la région ont décidé d'agir.
La question relative au retrait du Mali, du Burkina Faso, et du Niger a été également abordée lors de la rencontre avec la presse. Sur ce sujet, le ministre des Affaires étrangères souligne la nécessité de « préserver la famille pour le bien-être des peuples ». « La CEDEAO n'est pas simplement une organisation. C'est une communauté des peuples qui est au-dessus des individualités », a-t-il confié avant de rappeler l'importance pour les chefs d'Etat, de la préserver. « Les peuples du Niger, du Mali et du Burkina-Faso continuent de faire partie de notre famille. La famille doit rester unie. Les Chefs d'État travaillent pour que les peuples restent ensemble pour leur bien-être », a indiqué Olushegun Adjadi BAKARI avant d'annoncer des actions pour le maintien de ces trois pays au sein de l'organisation.
Des actions pour leur intégration au sein de la CEDEAO
Au cours de la conférence de presse ce lundi, le ministre des Affaires étrangères a annoncé des actions pour le maintien des trois pays au sein de la CEDEAO. « Nous allons, dans les jours, semaines à venir, tout mettre en œuvre pour faire en sorte que nos frères du Niger, du Mali et du Burkina Faso restent au sein de notre famille. Pour l'instant, notre conviction profonde, la famille doit rester unie. Et c'est au sein de cette famille, tous ensemble, que nous allons faire les changements nécessaires », a-t-il annoncé.
Au cours de sa rencontre avec la presse béninoise le 08 février, le chef de l'Etat Patrice TALON avait souligné les divergences au niveau de l'organisation et les malentendus entre les responsables ne devrait impacter la vie des communautés.
F. A. A.
Un maître-nageur de Novotel est en prison pour usage de fausse facture et détournement de 190.000 FCFA à l'hôtel Novotel. Son complice, une dame, est poursuivie sans mandat de dépôt.
Le Tribunal de première instance de Cotonou a confirmé le mandat de dépôt décerné contre un maître-nageur de l'hôtel Novotel ce mardi 27 février 2024. Il est reproché au prévenu des faits de production de « fausse attestation et d'abus de confiance ».
Le maître-nageur a détourné, sur la base d'une fausse facture, la somme de 190.000 FCFA. L'infraction serait commise en complicité avec une dame.
A la barre, le maître-nageur a reconnu les faits et s'est dit prêt à restituer les 190.000 FCFA qu'il a détournés.
La dame, la présumée complice du maître-nageur, n'a pas reconnu les faits mis à sa charge.
Novotel hôtel, la victime dans le dossier, n'étant pas représentée à l'audience, le Ministère public a demandé le renvoi du dossier au 19 mars 2024.
Le président du Tribunal a renvoyé le dossier au 05 mars 2024 pour continuation et offre de paiement.
Le maître-nageur retourne en détention et la dame est poursuivie sans mandat de dépôt.
M. M.