Une rencontre des forces de l'opposition dénommée la Résistance est prévue ce mardi à la salle Majestic à Cadjèhoun. Dans un communiqué, la Résistance Nationale « invite ses militantes et militants, les démocrates et défenseurs des acquis de la Conférence nationale des forces vives de 1990 et toutes les victimes du pouvoir dit de la Rupture ».
La coalition s'indigne de l'état de la démocratie et entend ne pas baisser les bras. La Résistance nationale entend par cette sortie donner sa position face aux derniers développements de l'actualité nationale... », indique le communiqué.
Elle appelle à la mobilisation générale de tous ceux qui partagent la cause de la restauration de la démocratie béninoise.
G A.
Le recrutement du personnel enseignant non Agents permanent de l'État sera désormais confié à des structures privées. A travers un avis à manifestation d'intérêt, le gouvernement a lancé le recrutement de cabinets ou de structures pour la sélection, la mise à disposition et la gestion du personnel non APE afin de faire fonctionner certains établissements primaires et secondaires.
Les agences de placement auront pour responsabilité de :
Mettre à la disposition le personnel suivant des critères définis par l'État ;
Garantir à l'État la disponibilité des agents. Elles seront également chargées de garantir à l'État l'amélioration de l'efficacité interne du système ; et de mettre en place un système d'évaluation périodique.
Les offres pourront être déposés du mardi 10 décembre 2019 au vendredi 31 janvier 2020.
Deux séances d'informations sont prévues pour les personnes physiques ou morales intéressées les mercredi 18 décembre 2019, et le 08 janvier 2020 à 10h dans la salle de conférence Sèmè-City Annexe de la Présidence de la République.
F. A. A.
Le recrutement du personnel enseignant non Agents permanent de l'État sera désormais confié à des structures privées. A travers un avis à manifestation d'intérêt, le gouvernement a lancé le recrutement de cabinets ou de structures pour la sélection, la mise à disposition et la gestion du personnel non APE afin de faire fonctionner certains établissements primaires et secondaires.
Les agences de placement auront pour responsabilité de :
Mettre à la disposition le personnel suivant des critères définis par l'État ;
Garantir à l'État la disponibilité des agents. Elles seront également chargées de garantir à l'État l'amélioration de l'efficacité interne du système ; et de mettre en place un système d'évaluation périodique.
Les offres pourront être déposés du mardi 10 décembre 2019 au vendredi 31 janvier 2020.
Deux séances d'informations sont prévues pour les personnes physiques ou morales intéressées les mercredi 18 décembre 2019, et le 08 janvier 2020 à 10h dans la salle de conférence Sèmè-City Annexe de la Présidence de la République.
F. A. A.
Le chef de l'Etat, Patrice Talon ne doit accorder aucune importance aux critiques de ses détracteurs, c'est ce que révèle le signe Toul-Abla, des trois signes divinatoires lors des consultations de l'oracle Fä, jeudi dernier au palais royal d'Abomey pour le Whéfå 2020.
Le signe Toul-Abla indique que les actions du gouvernement Talon et les réformes visant le développement du Bénin seront critiquées dans le seul but « d'affaiblir psychologiquement le mental des gouvernants ». Selon l'ABP, le signe a révélé « une conspiration de la part de certains citoyens, pas des moindres, qui vont peindre en noir toutes les bonnes actions d'intérêt général, dont bénéficient ces mêmes personnes ».
« Mêmes les ouvrages et grands chantiers de développement qui profitent à tous, seront à tort critiqués, par des détracteurs », révèlent les dépositaires du Fâ à travers Toul-Abla.
Le chef de l'Etat est appelé à rester serein et ne pas prendre en compte les propos de ses détracteurs au sujet des projets de développement. D'après le signe Toul-Abla, ces derniers ont du ‘'mal à digérer'' le succès de Patrice Talon.
Des sacrifices doivent être faits pour détruire les manouvres déloyales pouvant nuire au Chef de l'Etat et aux dirigeants.
Selon le Bokônon principal, Daah Djissa, les rituels avaient été faits pour minimiser les évènements négatifs révélés par le Whéfa 2019. Il s'agit notamment de la crise pré-électorale ayant occasionné des scènes de violences et autres.
A.A.A
Le Japon annonce un soutien financier complémentaire d'environ 200 millions de FCFA en avril et mai 2020 pour l'aménagement du port de pêche artisanale de Cotonou. Ce financement vise à renforcer le mécanisme du port en améliorant la capacité des équipements fournis.
Selon l'ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire du Japon près le Bénin, Kiyofumi Konishi, ce financement complémentaire servira aussi à réparer les machines à glace et les équipements. D'après le chef d'exploitation du port de pêche artisanale de Cotonou, l'inspecteur de pêche, Léonce Aïssoun, la chambre frigorifique ne fonctionne plus depuis 2011 et les machines à la glace ne sont plus en bon état.
Le soutien supplémentaire de l'Agence japonaise de coopération internationale (Jica) permettra de faire face aux nombreuses difficultés enregistrées au port de pêche de Cotonou.
Le Japon a financé le projet d'aménagement du port et le projet de construction du foyer de la femme en 2005 et en 2007.
Le dernier projet vise à améliorer l'efficacité des activités des femmes. Il compte aussi un volontaire japonais ‘'Worou'' qui travaille avec les femmes.
A.A.A
Les conseillers communaux de N'Dali ont adopté le budget primitif exercice 2020 de la commune le 28 novembre dernier. D'un montant total de 1 570 911 589 FCFA, il est en baisse de 2,5% par rapport à celui de l'année 2019 d'un montant de 1,6 milliard de francs CFA.
Selon le chef service planification et développement de la mairie, Sabi Saka Séko, les dépenses d'investissement s'élèvent à 1 354 461 565 FCFA, et celles liées au fonctionnement représentent 216 450 024 FCFA.
Le taux d'exécution du budget tourne autour de 45% et intègre les actions menées par les partenaires (environ 5%), a expliqué Sabi Saka Séko avant de préciser que concernant le volet engagement, la commune est à 52 %.
Le maire de N'Dali, Gaston Yorou, a regretté ne pouvoir exécuter le budget à un pourcentage qu'il aurait souhaité.
Les budgets de la commune, avoue-t-il, sont surévalués en raison des nombreux besoins qu'expriment les populations.
Analysant les dépenses d'investissement qui sont passées de 51% à moins de 30%, l'autorité communale reconnaît que la municipalité dont elle a la charge a de difficultés. « A la date du 27 novembre dernier, sur les 352 millions FCFA de l'année dernière prévus comme fonds du FADeC non affecté, il y a encore 105 millions qui ne sont pas là », a révélé Gaston Yorou.
Pour lui, c'est des choses qui ne font que gonfler les budgets. « Les responsabilités sont partagées. Il faut qu'à tous les niveaux, on comprenne qu'on ne peut pas aller au développement durable, en négligeant les communes », a rappelé le maire de N'Dali.
F. A. A.
Le successeur de feu Koutougbo, décédé il y a quelques mois, est enfin installé et a pour nom Sessou Houedossi. Son installation a eu lieu dimanche 8 décembre 2019 sous la direction du président national et mondial du la Communauté Nationale du Culte Vodoun du Bénin(CNCVB), Balogoun Koutchoro Hounnansin. La cérémonie s'est déroulée sous l'iroko sacré qui a donné son nom à la ville de Lokossa devant un parterre de dignitaires religieux et d'adeptes.
Parmi les personnalités à cette cérémonie, il y avait l'honorable Rosine Dangniho, qui séduite par les manifestations a souhaité la paix à tous les adeptes et à toute la commune de Lokossa.
Le chef d'arrondissement de Lokossa, Séverin Hounnou, qui a suivi tout le processus ayant conduit à l'installation, a rappelé que la politique doit cesser de s'immiscer dans les affaires des couvents. Sessou Houedossi, choisi par le fâ, entre officiellement dans ses attributs de chef des cultes de Lokossa et préside désormais aux destinées de la CNCVB de cette commune.
Les différents présidents des arrondissements ainsi que les autres membres de l'organisation ont été également installés au cours de la cérémonie.
Cokou Romain COKOU
Les 20, 21 et 22 décembre prochain à Abomey, les filles, fils et amis du plateau d'Abomey se réuniront pour la commémoration des cinq années de vie de l'Association Doguessimi.
Le programme de cette commémoration a été dévoilé aux professionnels des médias vendredi dernier au cours de la rencontre hebdomadaire du press Club Café Médis Plus.
« Connaître le plateau d'Abomey pour un développement efficient ». C'est le thème présenté par Achille Anthony Ahoyo, vice-président de l'Association et Jisleine Adimi, présidente du comité d'organisation pour exposer les objectifs de l'Association Doguessimi et le programme de la commémoration des cinq ans d'existence.
Selon Achille Ahoyo, « Doguessimi est l'Association des filles fils et amis du plateau d'Abomey. C'est une association de solidarité, d'entraide et de développement. Les membres de cette association sont issus des neuf communes du plateau d'Abomey et des gens qui sont amis du plateau d'Abomey ».
Achille Ahoyo dira que « Sur le plateau d'Abomey, ce n'est pas la première fois qu'on parle d'association de développement ». « L'Association Doguessimi veut montrer qu'elle n'est pas une association de plus. Depuis que nous existons, nous posons des pas que les gens voient et apprécient », renchérit-il.
M. Ahoyo rappelle qu'« Il y a cinq ans que l'Association est créée et nous voulons commémorer les cinq ans d'existence. Nous ne voulons pas fêter cela en vase clos. C'est pour cela que nous voulons inviter tous nos amis à se joindre à nous pour cette commémoration ».
Après avoir passé en revue l'historique de l'Association, la présidente du comité d'organisation, Jisleine Adimi a indiqué qu'ils ont une vision bien déterminée au sein de l'Association. Doguessimi est née pour impacter les populations du plateau d'Abomey et ceci de manière positive.
Jisleine Adimi souligne que depuis cinq ans qu'elle est née, les gens connaissent sa proximité avec la population. Il s'agit d'une association purement apolitique.
Mme Adimi explique que l'Association est née, il y huit ans et ce n'est que trois ans après qu'elle a été officialisée. « Nous avions pris trois années pour asseoir l'association », indique-t-elle.
La présidente du comité d'organisation informe que l'Association mène des activités sur le plan social. L'Association offre des fournitures aux enfants démunis chaque début de rentrée. Nous avions fait des séances de dépistage, des dons de sang… ».
Comme menu de cette commémoration, Achille Ahoyo précise : « Une foire culinaire où les participants vont découvrir les mets du plateau d'Abomey. Il y aura des mets qui n'existent plus aujourd'hui. La commémoration démarre le 20 avec une caravane motorisée. Ensuite il y aura le lancement de la foire culinaire puis la distribution de jouets aux enfants démunis. Dans la soirée, il est prévu un concert traditionnel avec l'artiste comédien Pipi Wobaho ».
Il ajoute que « Le samedi 21, il est prévu un colloque intellectuel où les sages et sachants vont nous entretenir sur la connaissance du plateau pour un développement efficient››.
Il y aura également un thème sur la vie associative et le développement communautaire. L'enjeu, le défi et la bonne pratique pour débattre sur ce qui fait que les associations de développement peinent à décoller dans le plateau d'Abomey. Il y aura l'ouverture officielle suivi de la visite de la foire. Un géant concert aura lieu dans la soirée.
Le dernier jour, une grande messe d'action de grâce suivie de la grande retrouvaille mettrons fin à cette commémoration.
Du 20 au 22 décembre prochain, le plateau d'Abomey connaîtra une autre nouvelle tournure grâce à cette commémoration.
G.A.
Le maire de la commune de Banikoara, Bio Sarako Tamou, et les membres de son conseil communal ont adopté, vendredi 29 novembre dernier, le budget primitif de l'année 2020. 2 860 740 000 FCFA, c'est le montant qu'il faudra pour réaliser les différents projets inscrits au plan de développement communal au titre de la prochaine année.
Selon le directeur des Affaires financières et économiques de la mairie, Hermann Orou Douarou, le budget adopté est en hausse de 16,69 % par rapport à celui de l'année qui s'achève. Il sera financé à hauteur de 18,02% sur fonds propres, le reste du financement pouvant provenir des partenaires.
Les dépenses de fonctionnement occupent 21,03% du budget tandis que celles liées aux investissements représentent 78,97%.
Le maire Bio Sarako Tamou a souligné que les dépenses d'investissement sont largement au-dessus des dépenses de fonctionnement. Ce qui l'amène à affirmer que sa commune dispose désormais d'un budget de développement qui, selon lui, permettra d'accroître le niveau de mobilisation des ressources propres, et de maximiser les dépenses.
F. A. A.
« Afrique sans SIDA-Innovation, communautés et leadership politique », c'est le thème qui a réuni du 2 au 7 décembre 2019 à Kigali, au Rwanda les acteurs de la lutte contre le SIDA. Une rencontre qui a eu lieu dans le cadre de la 20ème Sommet International sur le Sida et les Maladies Sexuellement Transmissibles en Afrique (ICASA).
La délégation béninoise conduite par Dr Melchior Aïssi, Secrétaire Exécutif du Conseil National de Lutte contre le Sida, la Tuberculose, le Paludisme, les hépatites et les épidémies (CNLS-TP), a au même titre que les autres participants, fait le bilan des actions menées et présenté les stratégies pour l'élimination du VIH-SIDA.
Au Bénin, la disponibilité en quantité suffisante des Anti Rétro Viraux (ARV) et la mise en place du Plan Stratégique Intégré pour la gestion harmonisée de toutes les grandes endémies a permis d'obtenir de meilleurs résultats. Aujourd'hui, il est noté une réduction quasi-totale de la mortalité liée à la maladie et de la transmission de la mère à l'enfant.
Mais des efforts restent à faire au Bénin pour l'atteinte globale de l'objectif des « trois 90 » notamment du premier « 90 » qui stipule que 90% de la population connaisse son statut sérologique.
Le Président du Rwanda Paul Kagame a, lors de la cérémonie d'ouverture des travaux de la session, encouragé les leaders africains à prioriser les financements nationaux des soins de santé. « Une bonne politique et une bonne gouvernance jouent un rôle important dans la santé de la population », a déclaré M. Kagame.
Le Rwanda est un pays qui lutte véritablement contre le VIH SIDA avec de bons chiffres. Le dépistage du VIH est systématique au Rwanda et dans les structures de santé.
Les participants de l'ICASA 2019 ont échangé sur les avancées scientifiques, les bonnes pratiques et aussi le renforcement du leadership et l'action politique.
Au terme des travaux, deux recommandations majeures ont été retenues selon le Secrétaire Exécutif du CNLS-TP. Il s'agit de « la création d'un cadre législatif adapté pour faciliter aux acteurs l'accès à l'information de santé pour une meilleure prise en charge des personnes infectées et une réforme du système de prise en charge dans le but de rendre le traitement possible dans tous les centres de santé ».
Cette dernière recommandation « permettra de mettre fin à la stigmatisation et rassurer les populations que le SIDA, à l'instar des autres maladies, se soigne efficacement et n'entraîne plus la mort lorsqu'elle est prise en charge correctement ».
Le prochain ICASA est prévu pour 2021 à Kampala, en Ouganda.
A.A.A
Un étudiant âgé de la vingtaine a quitté le domicile de ses parents dimanche 08 décembre 2019 à Dogbo-Tota plongeant les membres de sa famille dans le désarroi. En quittant la maison, le jeune homme a laissé un message à ses géniteurs dans lequel on pouvait lire : « Je suis parti, n'espérez plus jamais me revoir ». Les raisons l'ayant conduit à poser cet acte ne sont pas encore connues.
Selon les témoignages, le jeune garçon ne présentait aucun trouble psychique jusqu'à la date de sa disparition.
Il est titulaire d'une licence en élevage de l'Université agricole de Kétou. Les recherches se poursuivent pour le retrouver.
En attendant, les interrogations vont dans tous les sens. S'est-il suicidé ? A-t-il été kidnappé ? Pourra-t-on le retrouver un jour vivant ?, se demandent ses proches.
F. A. A.
La Banque de Développement du Mali (BDM-SA) sera bientôt implantée au Bénin ainsi que dans trois autres pays de l'UEMOA. L'annonce a été faite, lundi 30 novembre 2019, lors de la 68ème session du Conseil d'Administration tenue à Bamako au Mali.
Dans l'objectif d'étendre son réseau, le Groupe BDM-SA opte pour l'ouverture de ses nouvelles filiales au Bénin, au Niger et au Togo. Faisant partie des premières Banques de l'Union Economique et Monétaire de l'Afrique de l'Ouest, le Groupe BDM-SA a, selon Ahmed Mohamed Ag Hamani, président du Conseil d'Administration obtenus de bons résultats. Pour lui, le Groupe BDM-SA continuera dans cette lancée pour satisfaire sa clientèle. « Aujourd'hui, l'esprit du groupe BDM-SA augure de bons auspices », déclare-t-il.
D'après le directeur général, Bréhima Amadou Haïdara, 2020 sera l'année de digitalisation à la BDM-SA. « Comme chantier en termes de digitalisation, nous avons développé des produits digitaux et nous allons lancer bientôt d'autres produits. Donc, 2020 sera vraiment l'année de digitalisation à la BDM-SA.
Le Conseil d'Administration a déjà dégagé une stratégie en la matière », a affirmé le directeur général.
Bréhima Amadou Haïdara renseigne aussi que : « le budget arrêté traduit les orientations de la Banque ».
Les résultats que nous avons projetés pour l'exercice 2020, souligne-t-il, sont en phase avec les résultats que nous avons engrangés en 2019. « Les administrateurs sont très satisfaits et ils ont apprécié les évolutions qui ont été très satisfaisantes, malgré le contexte actuel », s'est réjoui le directeur général du Groupe BDM-SA.
Première banque au Mali, le Groupe BDM-SA a durant l'année 2019 apporté plusieurs innovations. Il s'agit du regroupement en août 2019, « de l'ensemble des Conseils d'Administration du groupe BDM-SA, qui est composé aujourd'hui de la maison mère à Bamako, des filiales de Côte d'Ivoire, du Burkina Faso et de l'Etablissement de payement de Paris ». Aussi, une session de formation axée sur les nouvelles réformes a-t-elle été initiée à l'intention des administrateurs.
Encadré
A propos du Groupe BDM-SA
La BDM-SA a été créée le 3 juillet 1989 et fait depuis plusieurs années partie des premières Banques de l'Union Économique et Monétaire de l'Afrique de l'Ouest, au regard de son total bilan, de ses ressources, de ses emplois et de ses résultats.
Au service de sa clientèle à travers une offre bancaire riche et diversifiée, la BDM-SA aujourd'hui un groupe bancaire régional est un acteur majeur de l'intégration bancaire sous régionale.
Le réseau du groupe bancaire est présent au Mali, en Guinée-Bissau, au Burkina-Faso, en Côte d'ivoire, en France, en Espagne et au Congo-Brazzaville.
Akpedje Ayosso
Les discussions sur le fond du projet de loi de finances de l'Etat gestion 2020 démarrent ce lundi 9 décembre à l'Assemblée nationale. Selon la programmation, après l'adoption du rapport général sur le projet de budget de l'Etat, les travaux prendront fin au plus tard le lundi 16 décembre. Quant au vote, il est prévu pour le jeudi 19 décembre prochain.
Les députés membres de la Commission budgétaire de l'Assemblée nationale démarrent, ce lundi l'étape de l'étude dans le fond du document. Les discussions seront menées avec le ministre de l'Economie et des Finances, Romuald Wadagni.
Cette deuxième phase de l'examen du projet de loi de finances intervient après le passage des ministres sectoriels et des présidents d'institutions de la République ainsi que les audiences publiques avec les centrales et confédérations syndicales et des acteurs du secteur privé et de la société civile devant la commission budgétaire parlementaire.
Il s'agira à travers cette étude pour le gouvernement de revenir sur les grands axes du projet de loi de finances gestion 2020 et les différentes orientations budgétaires pour l'année prochaine. Aussi, il y aura-t-il un débat en plénière pour l'adoption des rapports spéciaux et du rapport général devant sanctionner les travaux de la Commission budgétaire sur l'étude du projet de loi de finances.
Après les travaux des 10, 12 et 16 décembre, le rapport général sera déposé au président de l'Assemblée nationale, qui de commun accord avec les membres de son bureau, va programmer l'examen et son vote par la plénière des députés.
Cette séance plénière est prévue pour le jeudi 19 décembre prochain. Elle sera consacrée vote au définitif du budget de l'Etat exercice 2020.
Le budget général de l'Etat exercice 2020 s'équilibre en recettes et en charges à la somme de 1 986, 910 milliards de francs CFA. Il est en hausse de 109,367 milliards de francs CFA, soit un taux d'accroissement de 5,8%. Il est orienté vers l'investissement, le social et l'allègement fiscal avec plusieurs mesures sociales notamment dans les secteurs de l'éducation, de la santé et de la protection sociale.
G.A.
A l'instar des autres formations politiques officiellement reconnues par le ministère de l'intérieur et de la sécurité publique, le Parti pour l'Engagement et la Relève (PER) de l'ex ministre des infrastructures et des transports, Lambert Koty a désormais son récépissé définitif. Après un premier rejet le 15 avril 2019, le parti a reçu son récépissé définitif ce 29 novembre 2019.
C'est une victoire, confient des sources proches du parti qui précisent que cela n'a pas été facile.
Le PER a participé à la rencontre initiée par le Chef de l'Etat au Palais de la Marina en août dernier pour réfléchir avec les partis politiques ayant des difficultés à satisfaire aux nouvelles exigences de la charte des partis politiques.
Avec cette reconnaissance officielle, le PER se réjouissent ses militants sera aux prochaines joutes électorales
F. A. A.
Le directeur général de l'habitat et construction Ananouh Victor Kouassi, à la tête d'une délégation est allé s'enquérir de l'évolution du projet de construction du stade omnisports de la ville frontalière de Malanville. La visite s'est effectuée vendredi 6 décembre en presence du maire de la commune de Malanville.
Les membres de la délégation et le maire Inoussa Dandakoe ont effectué une visite sur le chantier de construction du stade dont les travaux sont confiés à l'entreprise LIMONTA. Ils se sont imprégnés de l'état d'avancement du chantier et les éventuelles difficultés du terrain.
Cette visite est suivie d'une séance de travail entre la délégation, l'autorité municipale et les parties prenantes intervenant dans la construction des stades sur tout le territoire national.
La rencontre s'est déroulée en présence du directeur départemental du cadre de vie et du développement durable Borgou/Alibori, Sanni Orou Pibou, du superviseur du Bureau de Contrôle Artuh Borgou/Alibori, des responsables des entreprises LIMONTA, AGETUR et SINO IlO.
Le maire Inoussa a dit toute sa gratitude à l'endroit du Chef de l'Etat pour avoir choisir d'implanter une telle infrastructure de grande envergure à Malanvillle.
Le directeur général de l'habitat et de la construction a fait le point de l'état d'avancement des travaux par Lot. Après avoir présenté la synthèse de la visite des sites et autres observations, il a énuméré les actions urgentes à mener avant de faire des recommandations. Le chef mission de contrôle a indiqué que le taux de réalisation physique pour le compte du Stade de Malanvillle au mois de novembre est de 21% . En ce qui concerne la synthèse, trois grandes observations se dégagent de façon générale au niveau de tous les chantiers. On note un retard dans la réalisation des travaux de réalisation des tribunes, du manque de main d'oeuvre, de l'absence de production d'un planning actualisé tenant compte du redéploiement des engins et personnel d'encadrement, et la non opérationnalisation des infirmeries.
Cette séance a permis de faire quelques recommandations notamment, les entreprises doivent fournir le planning hebdomadaire d'exécution des travaux par site. Elles sont tenues de revoir l'organisation et la coordination des sous-traitants. Il leur est recommandé de prendre part à la réunion technique à Cotonou à partir du mercredi pour s'enquérir des difficultés avec chaque entreprise et sous-traitants. La délégation a exigé de prévoir des centrales à béton sur chaque site, de mettre à disposition des copies de connaissement et les commandes, de procéder au nettoyage général de tous les sites, de doter tous les sites de panneaux de chantier en ville comme au pied des chantiers, d'équiper les infirmeries, de fournir des épis à tous les travailleurs sans oublier les gangs pour les ferrailleurs sur tous les sites, d'utiliser au maximum la main d'oeuvre locale en étroite collaboration avec les autorités locales, et de mettre à disposition les plannings actualisés à la Direction départementale du cadre de vie et du développement durable.
Les différentes entreprises ont pris l'engagement d'atteindre au moins 90% des travaux avant le 28 février 2020, qui est en réalité la date limite pour livrer les travaux conformément au délai contractuel.
G.A.
Les étudiants d'Esae Fc se sont inclinés cet après-midi du dimanche 8 décembre 2019, à domicile, au stade Charles de Gaulle de Porto-Novo devant les congolais de DC Motema Pembe par le score de 2 buts à 0, dans le cadre de la 2 ème journée de la phase de groupe de la Coupe de la Confédération Total CAF.
Les protégés Richard Bio n'ont pas résisté devant la solide équipe congolaise de DC Motema Pembe.
Après la lourde défaite de la première journée au Maroc face à RS Berkane, les étudiants d'Esae Fc avait pris la résolution de se relever de cette défaite en s'imposant devant l'équipe congolaise de DC Motema Pemba. Mais ils ont oublié qu'à côté de la volonté, il faut non seulement le talent, mais aussi l'expérience de la compétition de haut niveau. Cette leçon, les jeunes débutants d'Esae l'ont appris à leur dépend cet après-face aux congolais.
Esae a su tirer son épingle du jeu lors des préliminaires, mais la phase de groupe est une autre étape dont le niveau est plus relevé. Pour l'équipe béninoise qui est à sa toute première participation, à ce niveau de la compétition, l'apprentissage devient de plus de plus difficile. Après deux sorties, Marcel Dandjinou et ses coéquipiers n'ont toujours pas enregistré le premier point et encore moins, le moindre but alors qu'ils en ont encaissé déjà 5. Il reste donc en bas de classement du groupe B.
Face au congolais, le réel niveau de l'équipe béninoise s'est révélé. On attendait beaucoup de l'entraîneur Richard Bio et de ses protégés, mais leur inexpérience à ce niveau a été évidente dans leur jeu alors que les Immaculés, comme sont surnommés les 12 fois champions de la RD Congo, leur ont servi d'amères leçons.
En dépit de jouer à l'extérieur, Motema Pembe a pris le dessus dans les premières minutes d'une rencontre très disputée, monopolisant le milieu de terrain.
Huit minutes avant la pause,Vinny Bongongo Kombe a fait taire le public du stade Charles de Gaulle avec une superbe volée qui a surpris le gardien de but d'Esae Marcel Dandjinou.
Du retour des vestiaires, Motema Pembe a repris sur le même rythme et Vinny Bongongo Kombe profite pour faire son doublé à la 52 ème minute rendant la situation plus compliqué aux locaux.
ESAE a relevé le niveau de son jeu mais c'était très insuffisant pour trouver le chemin des filets.
A l'issue de la rencontre, le DC Motema Pembe totalise 4 points et remonte en tête du groupe B où il partage la première place avec Berkane. le club marocain est allé arracher le nul 1-1 à Zanaco à Lusaka.
Zanaco occupe la troisième place avec deux points tandis que l'ESAE ferme le classement.
Marcel HOUETO
L'émission hedomadaire de la radio nationale a reçu ce dimanche Me Charles Badou, avocat à la Cour et Jean Alotounou, ancien conseiller à la Cour des comptes de l'Uemoa.
Les invités de Cécile Goudou Kpangon et Marie Léa Yemadjro ont abordé les contours de l'institutionnalisation d'une Cour des comptes au Bénin.
Depuis quelques semaines, le Bénin a adopté une nouvelle constitution. Après plusieurs tentatives, les députés de la huitième législature ont réussi à toucher la loi fondamentale en y insérant entre autres dispositions, la Cour des comptes. C'est ce qui a été ce dimanche 8 décembre 2019, l'objet du débat sur l'émission 90 mn au Bénin. Selon Jean Alotounou, ancien directeur général du trésor et comptabilité public, « Une Cour des comptes est une juridiction financière. C'est-à-dire une Cour qui contrôle les finances publiques.
La juridiction financière est chargée de contrôler l'emploi des fonds publics (collectivité territoriale, contrôle des ordonnateurs, des entreprises publiques et tout organisme privé où les fonds publics sont investis).
Charles Badou ajoute que « la Cour des comptes statue comme conseil de discipline des membres de la juridiction financière. Nous l'avons érigée du colonisateur. Elle contrôle l'effectivité et la transparence de la gestion des comptes ».
Jean Alotounou précise que « Dans certains pays, il y a une compétence particulière qui consiste à recevoir la déclaration de patrimoine des élus ».
L'institutionnalisation de la Cour des comptes n'a pas été chose aisée. Plusieurs tentantives de modification de la constitution pour y introduire cette recommandation de l'Uemoa a été vaine.
Me Badou souligne que c'est 17 ans après l'instauration de la Cour que le Bénin a pris le pas.
« Pour créer une juridiction de cet ordre, il fallait modifier la constitution. Il y a eu des tentatives plusieurs fois ». Il explique que contrairement à certains pays, le Bénin ne peut mettre en place la Cour des compte sans modifier la constitution.
« L'article 61 de la Cour de l'uemoa qui demande à chaque État de créer la Cour des compte. Dans la plupart des pays, il faut modifier la constitution d'abord », a indiqué Jean Alotounou.
C'est depuis 2002 que cette directive a été donnée. L'ancien directeur général du trésor renseigne que la chambre de la Cour ne respecte pas les normes internationales pour contrôler toutes les finances publiques.
« La création de la Cour lui donne plus de prérogative », a expliqué Me Badou.
L'avocat indique que « La Cour a déjà un président qui est nommé pour cinq ans. Des conseillers puis des auditeurs nommés parmi les magistrats, inspecteurs des finances.... Il faut que ceux qui sont nommés s'intéressent aux finances publiques ».
« Après la création, il faut la loi organique qui prévoit le rôle que cette Cour doit jouer et les prérogatives de chacun », a insisté Jean Alotounou. Concernant l'indépendance du juge, Charles Badou estime que « sur le plan du droit positif, il a tous les points pour dire qu'il est indépendant. Ce n'est pas parce que le président l'a nommé qu'il ne sera pas indépendant. C'est bien possible d'être indépendant si vous êtes nommés ». L'ancien membre de la Cour des comptes de l'Uemoa, Jean Alotounou dira qu'en ce qui est du sentiment de redevabilité qui peut empêcher l'impartialité, « On peut y penser mais le président de la Cour des comptes bien que nommé par le président dans certains pays a pris son indépendance ». Pour Me Badou « Qu'il soit désigné par le président comme ses pairs, c'est la capacité à résister aux pressions externes qui déterminera son impartialité ». Il précise que pour que la Cour soit efficace, il faut qu'elle soit animée par des spécialistes ou des sachants. Charles Badou souligne que ce sont tous ceux qui ont des compétences avérées dans ce domaine.
« A la Cour des comptes, les audiences ne sont pas publiques. Néanmoins, le public à accès à l'information. A la fin de chaque année, il y a un rapport public à travers lequel on a connaissance de toutes les décisions. Nous souhaitons que le rapport soit publié sans l'injonction du président de la République ››, a expliqué Jean Alotounou.
Charles Badou rappelle que « Si on s'en tient à la directive de l'Uemoa, il faut rendre publiques les décisions. Selon les attributions, il faut mettre les décisions à la disposition de la presse. Déjà la directive de l'Uemoa demande qu'il faut publier. Il faut préciser cela dans la loi organique. La Cour des compte n'a pas à se préoccuper des considérations politiques. Quand on veut une Cour des comptes, il faut lui donner les moyens pour qu'elle fasse son travail ».
Jean Alotounou rappelle que la saisine de la Cour peut se faire par l'État, l'auto saisine. « La Cour des comptes décide elle-même de contrôler toutes les structures où les fonds publics sont engagés ». Il y a aussi que les autorités administratives aussi peuvent saisir la Cour.
Pour lui, « La Cour ne juge pas les personnes mais les comptes. La procédure n'est pas accusatoire. Si la Cour constate des irrégularités, elle s'adresse au comptable. La procédure contradictoire est écrite. S'il n'y a pas satisfaction, la procédure continue jusqu'à ce que l'irrégularité soit établie ».
Pour Me Badou « Le juge statue sur le fonctionnement. La Cour constate des irregularités. Ce n'est pas à la Cour de prononcer les procédures pénales ». « Il appartient à la Cour elle-même d'investiguer. Lorsqu'elle est saisie, elle doit chercher les moyens de son efficacité », indique-t-il. L'avocat précise qu'il y a « une procédure contradictoire. La Cour ne rend sa décision qu'après cette contradictoire ».
« Si après la personne mise en cause retrouve un élement nouveau qui n'avait pas été ajouté au dossier, la Cour peut revenir sur la décision. Mais il est rare que la Cour se trompe sur sa décision. Elle fait un travail très minutieux », conclut Jean Alotounou.
G.A.
Les agents conventionnés de l'Ecole nationale d'administration et de magistrature (Enam) de l'Université d'Abomey-Calavi sont mécontents. Et pour cause, le non paiement des primes trimestrielles qui leur sont dues depuis le début de l'année 2019, malgré la décision portant encadrement des primes et indemnités périodiques applicables au personnel de l'Université d'Abomey-Calavi. Cette décision définit le canevas de paiement desdites primes. Mais depuis le mois de septembre qu'elle a été prise, aucun copeck n'est versé aux agents de l'Enam alors qu'au sein d'autres entités, des dispositions ont été prises à l'interne pour contenter les agents.
Les agents conventionnés de l'Enam tout en appelant à la responsabilité du directeur, Épiphane Sohouénou, exhortent les autorités, notamment le recteur de l'Uac et le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique pour que la situation soit décantée.
F. A. A.
Esae FC, seul représentant béninois encore en lice en compétition continentale reçoit ce dimanche 8 décembre 2019, au stade Charles de Gaulle de Porto-Novo, le Daring club Motema Pembé de la République démocratique du Congo.
Le match compte pour la 2e journée des matchs de la poule B de la Coupe de la Confédération africaine de Football.
Lors de la première journée des matchs du groupe B de la Coupe de la Confédération africaine de Football, Esae Football club a été battu (3-0) par la Renaissance sportive Berkane du Maroc.
Pour ce rendez-vous important les poulains de Richard Bio se sont entraînés durant la semaine afin de surprendre le Dc Motéma Pembé du Congo.
Autrefois appelé « Adjobi FC » de Sakété, Esae FC a été fondé vers la fin des années 90. En 2005, passionné du sport, Clément Adéoti Adéchian prend les rênes du club, pensionnaire du championnat régional en 2005. Le club a progressé jusqu'à l'élite béninoise en 2011 et participe au championnat du Bénin, saison 2011-2012.
La crise au sein du comité exécutif de la Fédération béninoise de football (FBF) « à la suite de la démission le 20 décembre 2010 de 12 des 15 membres du comité finira par freiner l'ascension du club ».
En 2013, l'équipe a été reléguée en régional pour non-participation au championnat.
Deux ans plus tard, « l'équipe retrouve l'élite béninoise mais sous la bannière d'ESAE FC, le nom de l'établissement d'enseignement privé supérieur que dirige son président, Clément Adéoti Adéchian. La mutation d'Adjobi FC à ESAE FC a été facilitée par l'inexistence d'une aire de jeu règlementaire à Sakété pour accueillir les matches du club. Le club installe désormais sa base dans la capitale économique du Bénin, Cotonou, et reçoit ses matches à domicile au stade René Pleven d'Akpakpa ».
ESAE football club remporte son premier trophée national ‘' la Coupe du Bénin'' le 16 juin 2019, en battant en finale les portuaires de l'Aspac par le score de deux buts à un à René Pleven.
Le club entre ainsi dans les annales du football béninois en devenant le 12ème vainqueur de la coupe en 34 éditions.
Lors de la saison 2016-2017, le club universitaire réalise son meilleur résultat en ligue 1.
Il termine premier de son groupe avec un total de trente-un (31) points et se qualifie pour les play-offs.
L'équipe devance ASOS (2ème, 30 points), JAC (3ème, 28 points) et les deux clubs mythiques du Bénin : les Dragons (7ème, 24 points) et les Requins (9ème, 16 points). Mais, le club n'ambitionne pas de remporter le titre au terme des play-offs. Elle termine 6ème sur six clubs participants à cette phase finale.
Sur le continent, Esae réussit ses débuts en compétition interclubs avec une victoire historique en déplacement à Nouakchott face à l'ASC SNIM de Nouadhibou, 5-0 en match aller du premier tour préliminaire de la coupe de la confédération, Total CAF 2019-2020. 7-0 sur l'ensemble de la double confrontation avec le club mauritanien.
Au deuxième tour, le représentant va éliminer Salitas FC de Burkina Faso aux tirs au but sur ses propres installations. Victoire 5-3 (0-0, sur l'ensemble des deux matches).
Plusieurs joueurs internationaux béninois ont évolué au sein du club. L'un des plus connus est Bob Matrokou, ancien sociétaire du club mythique de l'Atlantique, les Requins FC. L'ancien coéquipier de Stéphane Sessègnon aux Requins y a terminé sa carrière avant d'intégrer l'encadrement technique.
A.A.A