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Tissemsilt : 2 bergers blessés dans l’explosion d’une bombe

Sat, 08/25/2018 - 14:23
De source bien informée,  nous avons appris  qu’en plein milieu de la deuxième journée de l’Aïd El Adha, le mercredi 22 août 2018,  une bombe a explosé à quelques kilomètres seulement de la ville d’Amrouna, au nord de Teniet El Had, dans la wilaya de Tissemsilt. La déflagration a eu lieu exactement dans la région d’El Mella et avait fait deux victimes. La même source a indiqué que l’explosion a malheureusement touché deux jeunes bergers de la région, âgés de la trentaine qui n’étaient d’ailleurs pas loin de la bourgade où ils habitent. Les deux ont été blessés dans la déflagration de cette bombe anti-personnel comme précisé, l’un d’entre eux a été pris en charge au niveau de l’hôpital de Tissemsilt, alors que le second qui souffrait de graves blessures,  a été transporté à Blida où il séjourne, et d’ajouter que l’engin explosif aurait déposé et oublié depuis les années 1990.

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La saison estivale tire à sa fin !

Sat, 08/25/2018 - 14:23

Il y a urgence de professionnaliser l’activité touristique.

La saison estivale tire à sa fin. Les villes littorales Azeffoun et Tigzirt retourneront à leur habituel train-train quotidien. De ville touristique en été, ces deux cités antiques retrouveront leur visage morne et atone des trois autres saisons. Tigzirt, comme Azeffoun, ressemblent plus à des villages en hiver qu’à une cité balnéaire vivant du tourisme. Pourtant, bien des atouts font que celles-ci, en plus des plages dorées, peuvent vivre du tourisme toute l’année et ont des capacités de multiplier le volume d’activité de la saison estivale. En effet, on n’y pense pas encore mais il s’avèrera incontournable, dans les quelques années à venir. L’intercommunalité est le seul moyen de faire vivre ces deux cités de l’activité touristique. Selon plusieurs experts interrogés, l’activité touristique peut s’étaler sur les quatre saisons dans ces deux villes côtières, tout en multipliant le volume d’activités touristiques durant la saison estivale. Ces voix préconisent trois solutions à la portée des services concernés et des élus locaux. En premier lieu, beaucoup déplorent que jusqu’à hier, les plages interdites sont les plus nombreuses à Tigzirt et à Azeffoun. Sur les 18, ce sont 10 qui sont interdites à la baignade. Cinq plages non autorisées: Zegzou, Abechar, Sidi Khaled, Rvadh et Mazer se trouvent à Tigzirt, alors que les autres: Acherchour, M’latha, Thazagharth, Tala N’tikit et Ibarizène sont à Azeffoun. Aménager les plages interdites pour les rendre autorisées est l’unique moyen de développer le potentiel des villes, en plages. Les mêmes experts regrettent également que ces lieux, même interdits, sont très fréquentés avec, à l’évidence, les morts absurdes constatées chaque année. Le plus grand nombre de noyades est enregistré en effet sur les plages interdites. Toujours au chapitre de l’exploitation des sites restés cachés, les autorités locales et les services concernés peuvent exploiter les sites culturels et cultuels pour attirer les visiteurs durant les autres saisons. En deuxième lieu, beaucoup préconisent d’explorer le potentiel que peut représenter l’intercommunalité. Une collaboration entre plusieurs communes pour mettre en valeur les deux cités, avant d’y arriver s’avère nécessaire. D’ailleurs, c’est l’absence de ce travail de partenariat qui fait que le visiteur, avant de parvenir à Tigzirt ou à Azeffoun, devra passer d’abord par les décharges sauvages que sont les routes. L’exemple le plus frappant est la RN. La propreté des routes et les panneaux 72 qui relient la cité antique de Tigzirt au chef-lieu de wilaya, via deux communes Makouda et Mizrana. Des panneaux publicitaires peuvent aussi annoncer des services et des commodités qui attendent le visiteur. Enfin, d’aucuns estiment aujourd’hui que cette même intercommunalité peut participer à l’essor du tourisme par la mise en valeur des métiers et des produits du terroir. L’organisation des fêtes traditionnelles à Tigzirt ou à Azeffoun n’enlève rien à leur authenticité, bien au contraire. Le bien des exposants fait partie du prestige de ces fêtes.
De ce fait, ces exposants devront être mis devant le plus grand potentiel acheteur de la wilaya, qui se trouve à Tigzirt et à Azeffoun durant la saison estivale pour l’organisation des fêtes de l’artisanat et des produits du terroir dans ces deux villes.

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Béjaia: Les déchets de l’Aïd aggravent la situation

Sat, 08/25/2018 - 14:17

L’environnement est dans une telle dégradation que l’apparition des épidémies est plus que jamais crainte.

L’apparition de l’épidémie de choléra dans pas moins de quatre wilayas du pays, inquiète à plus d’un titre à Béjaïa. Même si aucun cas n’a été signalé pour le moment, il reste que le sujet est largement abordé dans les discussions entre habitants. Dans une ville qui n’a jamais pu assurer une collecte correcte de ses ordures, l’inquiétude est toute légitime. Que ce soit sur les lieux publics ou sur les réseaux sociaux, l’heure était hier à l’inquiétude et à la sensibilisation. En effet, la situation environnementale est telle à Béjaïa que le risque de l’apparition de l’épidémie est plus que redouté. Jetés inconsciemment par les habitants qui ont respecté le rite du sacrifice, les déchets de l’Aïd el Adha ont accentué les craintes des habitants.
Les services de nettoiement ont eu fort à faire les jours d’après l’Aïd. Ces services qui n’arrivaient pas en temps normal à collecter les déchets ménagers dans leur totalité, paraissent dépassés par l’ampleur des déchets de toutes sortes jonchant l’espace public. Au manque de moyens de ramassage, s’ajoute le peu d’empressement de nombreux citoyens à respecter les horaires de passage des bennes à ordures. Du coup, l’enlèvement des détritus laisse à désirer.
La présence en quantité de nombreux déchets un peu partout sur la voie publique et les grands centres urbains fait craindre le pire. Des peaux de moutons, des abats et autres déchets issus du rituel du sacrifice polluent l’environnement. La ville de Béjaïa croule sous les déchets.
La politique adoptée en la matière s’avère un échec. Le service de nettoyage est manifestement dépassé. Plusieurs ruelles et artères de Béjaïa ont perdu de leur esthétique, en raison des amas de déchets qui jonchent les trottoirs. Des quartiers entiers comme l’Edimco, Ighil Ouazoug, Sidi Ahmed, Tizi, pour ne citer que ceux-là brillent par une insalubrité totale. S’il est vrai que les problèmes d’incivilité se posent avec acuité, il n’en demeure pas moins que la défaillance des autorités publiques est flagrante. Le problème touche toutes les localités de la wilaya à longueur d’année. Mais il s’affiche d’une manière drastiquement «inculte» sur les côtes et les stations balnéaires en période estivale. L’accotement de la RN 24 longeant la côte ouest de Béjaïa est parsemé de «décharges sauvages» qui grossissent davantage chaque jour au rythme des impressionnantes quantités d’ordures ménagères qui s’y déversent, dans l’anarchie.
Il en est de même sur la côte est. Des niches à ordures improvisées partout dégagent des odeurs nauséabondes à longueur de journée. Pis encore, au spectre des maladies respiratoires, favorisées par une dégradation alarmante de l’hygiène, s’ajoute le choléra pour hanter les esprits. Aux abords des côtes est-ouest, sur les plages, à la montagne, sur le mont de Gouraya, au cap Carbon, aux Aiguades… les ordures ornent les sites dits «touristiques»… sur le sable des plages. Partout les décharges publiques font partie du décor.
Elles prennent leurs places. En attendant, ce sujet d’actualité qui a fait couler beaucoup d’encre alimente les sujets de discussions aussi bien des estivants que de tous les citoyens de la région. La situation mérite d’être rapportée et nécessite surtout une réponse… devant une menace sérieuse sur la santé publique. C’est là toute l’urgence.

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Mascara : Arrestation de 3 faussaires et saisie de 17 millions de cts en faux billets

Sat, 08/25/2018 - 14:16
Les éléments de la Brigade de Police Judiciaire relevant de la Sûreté urbaine ‘’extramuros’’ de Maoussa, dépendant de la wilaya de  Mascara ont réussi, en fin de la semaine dernière, à démanteler un groupe de malfaiteurs composé de trois personnes âgées entre 24 et 42 ans, spécialisés dans la falsification de la monnaie nationale en coupures de 2000 dinars. L’enquête a permis  l’arrestation de deux suspects et la saisie d’un montant de 17 millions de faux billets  ainsi que des moyens et outils informatiques utilisés dans cette activité criminelle.  C’est à la suite de l’exploitation de renseignements parvenus au service indiquant que deux  individus issus d’une wilaya limitrophe, avaient en leur possession de faux billets  qu’ils tentaient de refiler au centre-ville de Maoussa, ont  été arrêtés en flagrant délit en  possession d’une somme d’argent suspecte de 03  millions de centimes que l’enquête a révélé être falsifiés.  Dans le même contexte, les éléments de la brigade  sont parvenus  à saisir une autre somme d’argent falsifiée de plus de 14 millions de centimes de la même catégorie ainsi que des moyens et outils informatiques utilisés dans cette activité criminelle. Une procédure judiciaire  a été instruite  contre les deux suspects qui ont été présentés par devant le parquet prés le tribunal de Ghriss et placés sous mandat de dépôt, alors que le troisième complice est en fuite.

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Recrudescence des cambriolages de domiciles !

Sat, 08/25/2018 - 14:12

Voilà un nouveau phénomène qui apparaît ces derniers temps dans la ville de Aïn Beïda.
Du drame des crimes sous de multiples formes, des accidents de la circulation, les agressions, des suicides, voilà maintenant que les habitants de la cité des «Haracta» craignent un autre danger qui prend de l’ampleur d’une façon effrayante. Selon des sources concordantes colportées par les citoyens, ces derniers temps, pas moins de trois domiciles ont été visités par des «étrangers».
Des membres de bandes de malfaiteurs épient avec détails les habitants préalablement ciblés et attendent la moindre absence des familles pour passer aux actes de cambriolages utilisant un arsenal d’outils pour «casser» et défoncer les ouvertures aussi fortes soient-elles et s’emparer de tout ce qui se trouve sur leur chemin. La dernière victime en date fut un confrère d’un journal indépendant qui, après avoir passé une pénible année de travail, a voulu s’offrir quelques jours de repos avec sa petite famille et séjourner dans une ville côtière, malheureusement, ses vacances furent interrompues par la nouvelle du cambriolage de son domicile.
C’est la razzia, ces bandes quand elles passent, c’est la calamité, elles vandalisent tout à la recherche des objets cachés, tout est mis sens dessus dessous, la literie éventrée, même les articles intimes sont fouillés et quand il n’ y a pas d’objets de valeur, ils s’emparent des équipements électroménagers. Ce qui est plus inquiétant, c’est le comportement des voisins qui, dans une indifférence totale, n’ont rien vu ni entendu, du coup, ce sont les valeurs morales qui s’effritent dans la société. autrefois, quand un habitant s’absente, ce sont les voisins qui veillent au grain. Enfin, devant cette situation, les services de sécurité sont doublement sollicités pour mettre fin aux agissements de ces bandes de malfaiteurs qui ne reculent devant rien avant que les choses empirent et deviennent un syndrome pour la quiétude des habitants de la cité des «Haracta».

Moussa Chtatha

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Putréfaction de la viande du mouton de l’aïd !

Sat, 08/25/2018 - 14:12

L’ampleur n’est pas aussi importante que l’an dernier, mais quelques cas ont quand même été enregistrés, notamment à Alger, Blida, Bordj Bou Arréridj, Annaba, Jijel et Oran.

La viande bleue est de retour! L’Aïd 2018 n’a pas échappé au phénomène de putréfaction de la viande du mouton. En effet, des citoyens de plusieurs wilayas du pays, particulièrement Alger, Blida, Jijel, Bordj Bou Arréridj, Annaba et Oran, ont eu la désagréable surprise de voir leur «sacrifice» partir à la poubelle. Dès le lendemain, voire dès le soir de l’Aïd, leur viande a pourri prenant une couleur bleue et dégageant une odeur des plus nauséabondes. Un «remake» du scénario de 2017? Le docteur Mustapha Zebdi confirme ces cas, mais refuse de parler de «remake». Le président de l’Organisation algérienne pour la protection et l’orientation des consommateurs (Apoce) assure dans ce sens, que ce sont des «cas isolés». «Ce n’est pas la même ampleur que l’an dernier», a-t-il soutenu. «On parle de 2 à 3% de cas par rapport à 2017», a-t-il assuré. Pour lui, donc ce sont des cas «minimes». Il assure que 99% de ceux qui ont vu la viande de leurs moutons se putréfier ont acquis leurs bêtes dans des points de vente «anarchiques». «Ils n’ont pas respecté nos recommandations de n’acheter qu’au niveau des points de vente officiels. Les points de vente anarchique, qui ne respectent pas les règles d’engraissement, ne subissent aucun contrôle. Voilà le résultat!», peste-t-il. Mustapha Zebdi donne l’exemple d’un des membres de l’Apoce qui a été victime de la «viande bleue».
«Il ne nous a pas écoutés, il a acheté au niveau d’un point de vente anarchique. Il aurait dû montrer l’exemple», rapporte-t-il. «Nous allons le punir…», plaisante-t-il. Pour le président de l’Apoce, la campagne de sensibilisation lancée par son association en partenariat avec la Fédération des éleveurs, a donné des résultats, en évitant que le scénario catastrophe de l’an dernier ne se répète. Il faut dire que l’Aïd passé, des milliers de moutons avaient été touchés par ce phénomène. La fête de l’Aïd s’était ainsi transformée en véritable cauchemar pour des milliers de foyers. Eux qui avaient payé rubis sur l’ongle leurs ovins ont dû les jeter à la poubelle, ne gardant que les yeux pour pleurer. Les services vétérinaires du ministère de la Santé avaient ouvert une enquête, tardant à communiquer les résultats. Il fallait attendre le 17 août dernier pour que la version officielle soit donnée, c’est-à-dire presque une année. Et c’est finalement la montagne qui a accouché d’une souris, puisque l’enquête n’a donné aucun résultat concret. Il a juste été «confirmé» que c’était dû au «dopage» des moutons. «L’engraissement rapide des bêtes en un temps très court est pour beaucoup dans cette détérioration de la viande», a déclaré le docteur El Hachemi Kaddour Karim, directeur des services vétérinaires (DSV) au sein de ce ministère. Par quels moyens ces moutons ont été dopéss? Quels sont les produits qui ont été utilisés? Le DSV assure que l’unique raison à ce phénomène est la non-maîtrise des techniques d’engraissement. «L’administration à l’ovin d’aliments riches en énergie en une période courte, sans lui donner le temps de la dépenser (énergie) fait que le corps de la bête ne supporte pas et avec des mauvaises conditions d’hygiène et de transport, la qualité de la viande est directement touchée», avait-il indiqué. Des explications vagues et non convaincantes. Ce n’est pas ces nouveaux cas qui vont dissiper les doutes…

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Ain turck: La Corniche livrée au vice et au vide culturel

Sat, 08/25/2018 - 14:08
La corniche oranaise, et plus particulièrement sa station balnéaire de forte réputation semble souffrir du vide culturel qui la hante d’une saison estivale à une autre pour en faire d’elle, juste un coin de plaisir, où l’alcool et les femmes se partagent les lieux. Cette saison estivale au niveau du chef-lieu de la daïra d’Ain Turck, aucune activité culturelle ou autres festivités n’ont été organisés au niveau des grandes places publiques notamment,  celles du 20 août, ni encore moins celle de l’esplanade de paradis plage mis à part, les petits manèges payants. Bien que  la saison estivale tire à sa fin, les soirées  restent encore moroses et tristes. Malgré l’initiative de quelques jeunes de la localité qui organisent au niveau des plages, des soirées musicales, une majorité des estivants se plaint toujours du vide culturel qui y règne. La situation fait dire à certains visiteurs que la ville n’offre au touriste que les plages. Les arrivants n’ont pas le choix de sites à visiter, bien qu’ils soient très nombreux dans la région. Pourtant, Ain Turck  possède de très grandes richesses et des lieux touristiques si huppés. Quelle belle époque nostalgique gravée dans les veines de nos heureux veinards ayant vécu cette fantastique épopée, loin des méticuleux regards indiscrets, forçant un désir de vivre autant que l’on délaisse le passé?  Pour que le vent l’emporte dans l’après futur de cette très belle ville avec ses deux îles notamment, celle ‘’îles des Abibas’’   et la  seconde des ‘’îles planes des andalouses’’ antique et moderne peut émerveiller le plus exigeant des touristes. Des sites antiques remontant jusqu’à la période phénicienne, romaine et vandale à l’image du rocher de la vieille. Le tourisme historique et culturel peut fleurir, rien qu’on mettant les moyens. Les sites culturels comme les zaouïas, peuvent générer de l’activité touristique, à l’instar des zaouïas de Sidi  Bouameur et Sidi El Bahri qui sont très fréquentées par les visiteurs où ils font souvent escale avant d’aller se baigner. À noter aussi qu’à Cap Falcon  et El Ançor, les belles plages des Andalouses et les ‘’Corailleurs’’, des sites antiques sont à mettre sur la carte touristique de la région. Ces derniers peuvent attirer un grand nombre de touristes. Parallèlement à ces attraits naturels et innés, la corniche oranaise de Ain Turck pouvait très bien programmer de l’animation culturelle durant cette saison, vue que les lieux pour abriter des galas et des activités artistiques sont nombreux, tels,  le camping de claire fontaine, le théâtre de verdure de Trouville Hachemi Hantaz, la pinède du CREPS, les deux grandes places de Vassas et du 20 Août, ainsi que le stade de la ville qui peut également être exploité pour les grandes soirées. Pourtant, les estivants sont très demandeurs, surtout des soirées avec les vedettes de la chanson ou des pièces théâtrales, ainsi que des soirées pour enfants. Enfin, les estivants espèrent que la saison prochaine, les nuits de la ville seront plus animées. L’activité touristique va de pair avec l’animation culturelle et artistique car les estivants en majorité viennent pour passer des séjours. Le soir venu, ces derniers cherchent des activités et des lieux pour se divertir mais, hélas, ils ne trouvent rien à Ain Turk à part, la prostitution, les cabarets  dancing et l’alcool qui coule à flot. Pourtant, il y a juste quelques années, les soirées étaient toutes animées par des galas artistiques et des activités culturelles.

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L’avertissement à Makri

Sat, 08/25/2018 - 14:07

Au sein du MSP, on considère que le parti n’est pas visé par la dernière déclaration du Président Bouteflika où il évoque «les manœuvres politiciennes».

Pourtant, dans les milieux avisés de la chose politique, on estime que «le Président a lancé un avertissement clair au parti de Makri».

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Aux urgences d’El-Kettar : «tweswest bark»

Sat, 08/25/2018 - 14:02

Virée aux urgences de l’hôpital El-Kettar à Bab-Jedid, où de nombreux parents, pris de panique à l’annonce de quelques cas de choléra enregistrés à Alger, ont amené leurs enfants pour se faire examiner.
La salle d’attente a des allures de hall d’un service d’état civil où un préposé au guichet distribue des tickets pour faire respecter le tour de chacun des patients. Cette matinée d’hier, suite à l’annonce par le ministère de la Santé de cas de choléra signalés à Alger ainsi que dans trois autres wilayas du centre du pays, n’est pas vraiment effervescente.
Les nombreux accompagnateurs des malades sont pratiquement tous assis et ceux qui n’ont pas trouvé une place sur les bancs alignés à cet effet pouvaient se reposer sur les deux brancards se trouvant à l’intérieur de la salle. Et ce n’est que vers midi que l’affluence a commencé à augmenter et pas forcément pour s’assurer que les vomissements et la diarrhée était dus à une «vibrio cholerae», bactérie responsable du choléra. L’appel se fait par le préposé au guichet par numéro. «Cela fait 40 minutes depuis que vous avez appelé le numéro 16. Il semble que vous soyez en train de faire passer des gens sans respecter le tour de ceux qui attendent depuis ce matin», fuse de la salle le cri d’un quinquagénaire dont la fille, allongée sur ses genoux, souffrait d’une faiblesse à cause d’une diarrhée. «Twaswest bark (je me suis inquiété, Ndlr) parce qu’elle a bu de l’eau chez des voisins. On ne sait jamais. Nous buvons de l’eau minérale depuis que nous avons entendu parler du retour de cette épidémie. J’ai déjà consulté un pédiatre mais, je voulais m’assurer qu’elle n’a rien», explique-t-il, anxieux.
A quelques mètres, une dame voilée assise sur le brancard et collée à son téléphone rassure son interlocuteur qui semble lui indiquer la démarche à suivre pour éviter la contagion. «Oui, il faut bien se laver les mains et tout nettoyer à l’eau de Javel», répète-t-elle. Cette mère, accompagnée de son fils et son mari, ayant amené sa fille pour se faire examiner, devisait sur la maladie pendant que sa petite était prise en charge à l’intérieur : «On dit que la plupart sont déjà sortis de l’hôpital.» Et à son mari, qui faisait les cent pas, de répliquer : «S’il y avait épidémie, ils ne nous auraient même pas laissé entrer ici et un dispositif serait mis en place à l’extérieur pour limiter le contact avec les patients.» Cela n’a, d’ailleurs, pas tardé avant que le monsieur est appelé pour récupérer sa fille.

«Si ça continue comme ça, la bouteille d’eau vaudra 200 DA» 
Un barbu, la quarantaine, a offert un pack d’eau minérale. Il l’a déposé sur le comptoir qui sert de guichet à l’agent qui inscrit les patients et fait l’appel. «N’hésitez pas à vous servir», lance-t-il avant d’entamer une discussion au sujet des prix de cette eau.
«Les gens se sont rués sur ma Saïda (l’eau minérale, Ndlr) et certains mettent déjà la situation à profit, augmentant leurs prix. Si cela continue ainsi, la bouteille vaudra 200 DA d’ici la fin de journée», spécule-t-il. Ce n’est, en tout cas, pas le genre de discussion qui allait emballer le papa qui attendait le tour de sa fille. «25e ! Ce n’est plus des urgences mais, une consultation ordinaire», peste-t-il.
Et de politiser le débat : «Deux milliards de dollars pour construire une mosquée alors que nous n’avons même pas un hôpital digne de ce nom.» Il n’a pas hésité à interpeller un infirmier de passage dans la salle d’attente pour lui exprimer son désarroi. «Patientez un peu, une consultation peut durer une heure. Ne soyons pas égoïstes ! Vous-même si vous étiez à l’intérieur, vous voudriez bien que le médecin prenne son temps à ausculter votre fille.»
L. H.

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Application de la peine de mort: Le RND fait le forcing !

Sat, 08/25/2018 - 13:54

Le député du Rassemblement national démocratique Tayeb Mokeddem lance un appel pour l’application de la peine de mort contre les kidnappeurs d’enfants.

«Il est temps que les pouvoirs publics réagissent», lance-t-il dans une déclaration rendue publique le 23 août dernier à Tizi-Ouzou.
Tout en «condamnant encore une fois énergiquement tous les actes criminels et ignobles ayant entraîné la mort de sang-froid, notamment ces derniers temps, sur des petits anges à travers plusieurs localités», le député Tayeb Mokeddem interpelle l’autorité supérieure, à savoir le président de la République afin de décréter la peine de mort, «vœu de tout le peuple algérien» car «il est le seul à pouvoir le faire» a-t-il précisé. Dans une déclaration au Soir d’Algérie, M. Mokeddem réaffirme : «Il est temps que les pouvoirs publics réagissent car cela concerne tout le monde», a-t-il souligné en rappelant que cet appel constitue une demande inscrite dans le programme électoral de son parti «c’est une requête inscrite dans le programme du RND et je ne fais qu’appliquer le programme de mon parti», a encore expliqué le député précisant que cette initiative personnelle a été précédée par une autre formulée en 2016. Cette nouvelle déclaration se veut d’abord un appel pressant envers les autorités compétentes pour sévir sévèrement contre les coupables.

Tayeb Mokeddem entend carrément le rétablissement de la peine de mort, une condamnation qui continue d’être prononcée par les tribunaux algériens, mais qui n’est pas appliquée depuis que l’Algérie a ratifié le moratoire de 1993.

En fait, le député ne fait qu’exprimer une position maintes fois affichée par la direction du parti et plus particulièrement par son secrétaire général, Ahmed Ouyahia, qui «maintient toujours sa position» celle de l’appel pour la levée du gel de l’application de la peine de mort, selon les déclarations du député. Il est à rappeler que le SG du RND avait précisément demandé à exclure du moratoire les personnes impliquées dans les kidnappings, les détournements de deniers publics et le trafic de drogue. En clair, le rétablissement pur et simple de la peine de mort, puisqu’il suffit d’une exécution pour que le moratoire soit nul et non avenu. Une position déjà exprimée par Ahmed Ouyahia en 2007.

Ainsi, le RND et par le biais de son député reste le premier parti à exprimer «le vœu de tout un peuple par écrit», à revendiquer publiquement la réinstauration de la peine de mort au lendemain de l’assassinat de la petite Salssabil à Oran. Un drame qui relance le débat politique sur la question.

Ilhem Tir

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Pluies diluviennes à el-kala: La catastrophe évitée de justesse !

Sat, 08/25/2018 - 13:53

La catastrophe a été évitée de justesse à El-Kala après les pluies diluviennes qui se sont abattues sur la région d’Aïn El-Assel, El-Kala et Oum Teboul, dans la wilaya d’El-Tarf.

La panique a, rapidement gagné de nombreux citoyens résidents des nouvelles bâtisses récemment réalisées, à cause des affaissements survenus quelques heures après le déluge. Rues et ruelles de ces communes se sont transformées en de véritables oueds charriant sur leur passage toutes sortes d’objets. Même l’asphalte nouvellement posé a été emporté par les eaux de pluie dans certains endroits. Selon le lieutenant Mansouri coordinateur de la cellule de communication de la Protection civile, les agents de toutes les unités sont en état d’alerte afin de mettre à l’abri des citoyens touchés par les inondations de la nuit de jeudi à vendredi. En plusieurs endroits de la ville des rues sont impraticables, pire le déferlement des eaux a engendré des trous profonds au milieu de la chaussée empêchant ainsi les automobilistes de circuler.

Tahar BOUDJEMAA

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Les Oranais s’interrogent : «L’eau du robinet est-elle oui ou non en cause ?»

Sat, 08/25/2018 - 13:42

Même si pour l’heure aucun cas de choléra n’a été détecté dans la capitale de l’Ouest, les citoyens préfèrent rester vigilants et prévoyants. Ainsi de bouche à oreille, l’on conseille aux uns et aux autres de prendre des mesures ici et là notamment celle de ne boire que de l’eau minérale. Une recommandation qui est loin d’être accessible à tous notamment les familles nombreuses aux faibles revenus.
Le choléra est une infection contagieuse grave qui entraîne la mort, suite à des diarrhées aiguës causées par le bacille vibrio cholerae, qui se propage en l’absence d’hygiène ou suite à la consommation d’eau ou de fruits et légumes contaminés.
A Oran, tous tiennent le même discours : «Certes, pour l’heure, nous n’avons aucun cas de personne atteinte de choléra, mais toutes les causes sont déjà réunies. Les ordures jonchent les rues malgré les efforts des autorités, l’hygiène dans les marchés de fruits et légumes laisse à désirer, les précautions de propreté comme se laver les mains ne sont pas spontanées… Des pastèques et des melons avaient un goût étrange durant tout l’été, bien avant l’apparition des premiers cas de choléra au centre du pays….» Autant d’éléments qui ne rassurent pas.
Ce que souhaitent vivement les Oranais et certainement tous les Algériens, c’est que l’Etat et les services concernés maintiennent la communication sur le sujet notamment et surtout sur les causes des cas du Centre. Surtout savoir si l’eau du robinet est contaminée ou pas, ne pas laisser planer le doute qui engendrera méfiance et panique.
S’en tenir à ne boire que l’eau minérale n’est pas une solution accessible à tous, alors en attendant, la majorité des citoyens suivent les recommandations les moins coûteuses : mettre la laitue, les fruits… dans un récipient d’eau avec quelques gouttes de Javel concentré pendant 20 minutes. Ne plus acheter les melons et les pastèques. Se laver les mains surtout entre les doigts soigneusement et fréquemment. Verser l’eau de Javel dans les WC après chaque utilisation, etc.
Amel Bentolba

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Palestine: l’aide américaine annulée est un « chantage minable »

Sat, 08/25/2018 - 13:39

 L’annulation par l’administration américaine d’une aide de 200 millions de dollars aux Palestiniens constitue un « chantage minable » de la part de Washington, a estimé samedi une haute responsable de l’OLP, Hanane Achraoui.

« A la demande » du président Donald Trump, l’administration américaine a annoncé vendredi qu’elle allait « rediriger » plus de 200 millions de dollars initialement prévus pour des programmes en Cisjordanie et dans la bande de Ghaza à « des programmes hautement prioritaires ailleurs ».

Washington « recourt à un chantage minable comme outil politique. Le peuple palestinien ne se laissera pas intimidé et ne cédera pas à la contrainte. Les droits du peuple palestinien ne sont pas à vendre », a réagi dans un communiqué Hanane Achraoui, membre du conseil exécutif de l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP).

« Il n’y aucune gloire à constamment intimider et punir un peuple sous occupation. L’administration américaine a déjà manifesté sa bassesse dans sa collusion avec l’occupation israélienne et ses vols de terres et de ressources.

Maintenant, elle exerce des pressions en punissant les victimes palestiniennes de cette occupation », a-t-elle ajouté.

Dans un précédent communiqué, l’envoyé de l’OLP à Washington, Hossam Zomlot, a pour sa part jugé que l’administration Trump était « en train de démanteler des décennies de vision et d’engagement américains en Palestine ».

« Après El-Qods et l’Unrwa (l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens), ceci ne fait que confirmer l’abandon de la solution à deux Etats et l’adhésion complète à l’agenda anti-paix », a affirmé M. Zomlot.

Les relations sont gelées entre Washington et l’Autorité palestinienne depuis l’annonce par Donald Trump, fin 2017, de sa reconnaissance unilatérale d’El-Qods comme capitale d’Israël.

Les Palestiniens refusent depuis tout contact et dénie à Washington tout rôle de médiateur dans le processus de paix.

En réponse, Donald Trump avait annoncé fin janvier qu’il allait conditionner le versement de l’aide aux Palestiniens à leur retour à la table des négociations, bloquant alors les 215 millions de dollars que l’administration américaine devait investir en 2018 à Ghaza et en Cisjordanie occupée pour l’aide humanitaire et le développement.

Les Etats-Unis avaient aussi déjà drastiquement coupé en janvier leur contribution à l’Unrwa, obligée depuis de licencier plus de 250 employés.

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Pétrole: La production et le dispositif de suivi au menu !

Sat, 08/25/2018 - 13:26

Les chiffres de la production de l’Opep et ceux des pays non-Opep seront examinés lors de la réunion prévue en Algérie.

Le comité ministériel Opep-non Opep, chargé de surveiller le respect de l’accord de réduction de l’offre pétrolière, devrait examiner les niveaux actuels de la production, lors d’une réunion prévue le 23 septembre prochain à Alger, selon le ministre koweïtien du Pétrole, Bakhit al-Rashidi. Ce dernier, repris par Reuters, a annoncé, en revanche, la mise sur pied, dès 2019, d’une nouvelle structure de suivi de la production. Le ministre koweïtien n’a pas précisé s’il s’agirait d’un mécanisme de substitution à l’actuel comité ministériel chargé de surveiller le respect de l’accord de réduction de la production. Il est probable que ce comité soit supplanté, à l’avenir, par une autre structure après la révision, en juin dernier, des accords de réduction de l’offre pétrolière conclus, en décembre 2016, par l’Opep et une dizaine de producteurs non-Opep. Les réunions de juin dernier, qui avaient regroupé les membres de l’Opep et leurs alliés non-Opep, se sont soldées par une hausse de la production d’environ 1 million de barils/jour. Lesdites réunions ont abandonné par-dessus tout le principe des quotas fixés à chacun des pays engagés dans l’action de stabilisation du marché, laissant aux grands producteurs le privilège de pomper davantage dans le cas où des déficits seraient constatés chez d’autres producteurs. “Les chiffres de la production de l’Opep et ceux des pays non-Opep seront examinés lors de la réunion prévue en Algérie. Un accord sur un mécanisme de suivi de la production sera conclu l’année prochaine”, a déclaré Bakhit al-Rashidi, dont les propos ont été répercutés, jeudi, par l’agence Reuters. Il s’était contenté de rajouter une maigre déclaration selon laquelle les marchés pétroliers devraient “rester stables” jusqu’à la fin de l’année en cours. La réunion d’Alger s’annonce en tout cas tendue, tant il est vrai que les divergences opposant les grands producteurs de l’Opep ne sont plus discrètes. L’Iran a annoncé récemment la participation de son ministre du Pétrole, Bijan Zanganeh, à la réunion du comité ministériel de l’Opep-non Opep chargé de surveiller le respect de l’accord de réduction de la production. L’Iran, qui n’est pas membre dudit comité, disait vouloir défendre ses parts de marché, alors que les sanctions américaines contre son secteur pétrolier entreront en vigueur dès le 5 novembre prochain. Le comité chargé de surveiller la production des producteurs est présidé par l’Arabie saoudite et comprend des membres de l’Opep, à savoir l’Algérie, le Koweït, les Émirats arabes unis et le Venezuela, ainsi que des membres non-Opep qui sont Oman et la Russie. L’Arabie saoudite avait déclaré que l’accord de juin dernier, qui révisait celui de décembre 2016, permettait aux grands producteurs de compenser les pertes que pourraient subir d’autres membres. L’Iran avait aussitôt interprété l’accord comme étant une embuscade tendue par l’Arabie saoudite, l’accusant de vouloir mettre à profit un engagement peu compréhensible pour récupérer les parts de marché d’autres membres. La production de l’Iran, troisième plus grand producteur de l’Opep, pourrait reculer d’entre 2,5 et un million de barils par jour sous l’effet du rétablissement des sanctions américaines contre son secteur pétrolier. Des producteurs à l’image de l’Arabie saoudite et de la Russie vont assurément en profiter, étant donné qu’ils sont les seuls pays à pouvoir compenser de telles pertes.

Ali Titouche

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Guelma: Un enfant de 18 mois meurt écrasé sous les roues d’une voiture

Sat, 08/25/2018 - 13:24

Un terrible accident a eu lieu le premier jour de l’Aïd dans l’après-midi vers 16h30, à la cité Smaïn-Ghaffar à Aïn Makhlouf.
La victime de sexe masculin et qui n’avait que dix-huit mois, est décédée après avoir été fauchée par un automobiliste.  Celui-ci, pour des raisons non encore élucidées, a perdu le contrôle de son véhicule, avant de percuter la victime, qui de l’aveu des témoins jouait devant la maison de ses parents.  Grièvement blessé, le nourrisson a été évacué dans un véhicule particulier vers les urgences de la polyclinique de Aïn Makhlouf. Il a succombé à ses graves blessures au niveau du crâne, juste après son admission, indique une source hospitalière, précisant que la dépouille mortelle a été transportée vers la morgue de l’EPH Emir-Abdelkader de Oued Zenati. Nous apprenons par ailleurs qu’une enquête est ouverte pour élucider les circonstances exactes de ce drame qui a causé émoi et consternation au sein de la population.
Noureddine Guergour

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La Bédouinisation d’Hassan Aribi et le cholera !

Sat, 08/25/2018 - 03:40

Retour au moyen âge avec le retour du choléra, en 2018, il faut encore nous alerter à travers les chaines de télévision de la nécessité de se laver les mains, de se nettoyer pour se prévenir de cette maladie. L’humiliation en directe devant le monde entier pour nous dire que le choléra n’est pas le malaise qui nécessite une thérapie mais plutôt l’hygiène !  Au cœur des maladies sociétales, l’Algérie des ‘’ discours religieux radicaux’’ qui embrassent  la Bédouinisation et menacent  la civilisation, abandonnée aux fatwas d’Ali Belhadj, Cheikh Belahmar, et le takfirisme, député intégriste Hassan Aribi qui regrette les années des ‘’terros’’ et menace l’écrivain Amine Zaoui pour avoir exhorté la population dans l’une de ses chroniques d’arrêter la bédouinisation, a fait dérouler le tapis rouge devant le Cholera. L’hygiène de l’appel d’Amine Zaoui est un discours destructeur selon l’Imam député du parti du Front de la justice et du développement. Non ! Se laver avec du savon, du champoing, nettoyer devant sa maison, enlever la saleté des quartiers, ne pas jeter les peaux de moutons dans la rue, et le pain dans la poubelle, c’est de la ‘’Bédouinisation’’ et un ennemi de l’islam ! Mais forcer les femmes à porter du hidjab, prier dans les mosquées sur des tapis sales et applaudir le discours des wahhabites, pleurer le FIS et glorifier les massacres de Bentalha et Ami Moussa, acclamer Erdogan et damner les intellectuels (porteurs de microbes de la civilisation), c’est Hallal !
Ce pseudo-député, bédouin  l’ami de ‘’rab Dzeir’’ par excellence, connu notoirement pour son intégrisme, qui active en fonction des instructions de ses maîtres Orientaux a dévoré par ses menaces le chroniqueur Amin Zaoui pour la seule raison,   lui avoir  conseillé de se laver !
Faut-il Rappeler au ministre de la santé que l’Algérie à une histoire légendaire avec le choléra comme cette décennie noire d’Hassan Aribi qu’il glorifie tout le long de son passage sur Facebook.
Le cholera déclenchera sa première épidémie en septembre 1834 avec un bilan de plus de 3000 victimes, la majorité des décédés étaient des arabes. Elle a été détectée au port d’Oran et en  quelques jours,  tous les bateaux venant d’Oran étaient mis sous quarantaine, alors qu’en 2018, il a fallu deux semaines pour diagnostiquer cette maladie moyenâgeuse ! Le fruit de l’incompétence, 41 cas de choléra et 88 cas suspects se sont avérés à travers les wilayas de Blida, Alger, Tipaza, Bouira, sans citer un cas décès et des dizaines de cas sous traitement depuis le 7 août. Une incompétence remarquée par les internautes qui ont fait part de leur indignation et  qu’ils trouvent  inconcevable que l’Institut Pasteur mette autant de temps à diagnostiquer cette épidémie connue dans le monde depuis le moyen âge.
Heureusement que le ridicule ne tue pas comme le choléra, sinon, le ministère de la santé n’aurait jamais du comparer l’Algérie du pétrole avec un Yémen en guerre et un Tchad en sous nutrition .En toute fierté et avec honneur, le directeur de l’institut de Pasteur lance aux journalistes : ‘’ L’Algérie n’est pas le seul pays touché par le Choléra en 2018, il y a aussi le Yémen et le Tchad !»

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2498 décès par le choléra en 1834 à Mostaganem : Les mensonges du directeur de la santé de Mostaganem !

Sat, 08/25/2018 - 03:30
Faut-il rappeler au directeur de la santé que Mostaganem a une longue histoire avec le choléra, et ne peut être épargnée , si les responsables de la santé de Mostaganem continuent à semer les mensonges et le doute et vanter des promesses populistes pour hypnotiser une population en quête d’une vérité, d’une alerte, de conseils pour se protéger de cette maladie mortelle !

Mostaganem, la première ville d’Algérie qui a enregistré plus de mortalité en 1834, date de l’apparition de cette épidémie en Algérie ; avec un bilan de 2498 décès. Rappeler l’histoire de cette épidémie à Mostaganem aux responsables de la santé, c’est les inciter à sonner l’alerte et mettre en exergue un plan d’urgence pour barrer à toutes éventualités ‘’ Mieux vaut prévenir que guérir’’. Il y’a quelques jours, le journal réflexion avait signalé une étrange maladie ayant provoqué le décès d’une fille et l’hospitalisation de son frère et son père dans un état grave, dans le douar d’Ouled El- Bachir à Mostaganem, ainsi que l’évacuation de 17 autres personnes atteintes d’une intoxication alimentaire. Cette maladie inconnue, provoquant à priori les mêmes symptômes qu’une intoxication alimentaire, à savoir des vomissements et une diarrhée comme le Cholera. D’après des témoignages des membres de la famille, tous les malades hospitalisés présentaient les mêmes symptômes, vomissements et diarrhées.  Cependant, le directeur intérimaire du DSP, au lieu d’enquêter sur ses cas et prendre des mesures nécessaires, sombre dans la désinformation et les insultes gratuites contre les députés et présidents d’APC, insinuant que ces élus qui n’ont même pas le niveau de Bac percevaient des dizaines de millions de cts mensuellement, alors qu’un médecin ne dépasse pas les 7 millions de cts …  Ainsi, Mohamed Ben Ahmed  en sa qualité de DSP qui assure l’intérim du DSP en congé parasite le débat sur l’état comateux de la santé de Mostaganem qui dégringole de jour en jour, et les épidémies de la rougeole et du choléra qui guettent la population, se noie dans les chiffres jusqu’à tomber dans la contradiction.  Faut-il signaler encore que Mostaganem n’est pas à l’abri, et que cette épidémie peut faire des ravages si la wilaya, DSP, et les collectivités locales n’enfilent pas la tenue de travail.  En effet,  Mostaganem est plus proche d’une catastrophe , parce que 390 douars sur les 590 douars existants à Mostaganem ne sont pas gérés par l’ADE  (l’algérienne des eaux), ce qui veut dire, que leurs habitants boivent de l’eau non traitée, qui arrive directement du château d’eau de la commune qui n’est pas traitée elle non plus , ceci sans parler des puits , et canalisations d’eau potable mitoyennes aux canalisations des eaux usées et des champs de légumes et fruits irrigués par les eaux usées. Effectivement, l’eau de l’ADE est traitée mais dès qu’elle arrive à la canalisation principale du château de la commune, elle n’est pas prise en charge. Pourquoi ? Parce que les communes ne payent pas les factures de l’eau et l’ADE  ne les gère plus. A part, les 10 communes chefs-lieux daïra, toutes les autres communes sont en danger ! S’ajoute à cette problématique, les bureaux d’hygiènes et de prévention des communes qui sont inactifs. En conclusion, la responsabilité directe des maires, des chefs de daïras et la DSP qui devraient alerter le wali et l’ADE quotidiennement sur la qualité de l’eau ! Mais on croit qu’ils n’ont pas du temps pour cette corvée !

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Défense : l’Algérie acquerra 18 chasseurs russes ultra-modernes

Fri, 08/24/2018 - 20:42

L’Algérie devrait acquérir prochainement 18 chasseurs russes ultramodernes de type Sukhoï Su-35, selon ce qu’indique le site italien spécialisé Analisi Difesa.

Selon la même source, l’Algérie aurait ainsi passé commande de 18 chasseurs Sukhoï Su-35 russes. Ces avions de génération 4++ mis en service en 2012 sont notamment équipé de deux radars à l’avant et à l’arrière, ainsi qu’un système de détection permettant de repérer des cibles difficilement visibles au radar.

Le Sukhoï Su-35 a ainsi la capacité de repérer et de détruire des cibles aériennes comme des cibles au sol. Cet avion a déjà été testé en 2015 par l’Algérie, qui devient le troisième pays de la région MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord) à le commander après les Émirats Arabes Unis et l’Égypte.

Le même média italien, citant plusieurs sources russes précise enfin que les chasseurs commandés par l’Algérie devraient porter le nom de Sukhoï Su-35DZ.

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Un puissant séisme de magnitude 7,1 secoue le sud-est du Pérou

Fri, 08/24/2018 - 20:35

Un puissant séisme de magnitude 7,1 sur l’échelle ouverte de Richter a secoué vendredi la région d’Iberia dans le sud-est du Pérou, a annoncé l’Institut d’études géologiques des Etats-Unis (USGS). L’épicentre du tremblement de terre, d’une profondeur de 609,48km, a été initialement localisé à 138km au nord-ouest d’Iberia. Le séisme s’est produit à 248 kms de la ville péruvienne de Puerto Maldonado, dans le sud-est du pays, selon l’USGS. Aucune bilan de victimes ou de dégâts matériels, n’a pour l’heure été déploré

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Le baril de pétrole à plus de 76 dollars !

Fri, 08/24/2018 - 20:35

Les cours du pétrole montaient à nouveau vendredi en cours d’échanges européens. Dans l’après midi, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en octobre valait 76,35 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 1,62 dollar par rapport à la clôture de jeudi. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de « light sweet crude » (WTI) pour la même échéance prenait 1,45 dollar à 69,28 dollars une heure après son ouverture. Dans l’après midi, le Brent a touché son plus haut niveau en près d’un mois et demi à 76,42 dollars. « Le pétrole a reçu un coup de fouet du marché des changes », alors que le dollar reculait, ont commenté des analystes.

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