La Confédération africaine de football (CAF) informe, dans un communiqué, que tous les joueurs participant aux tournois de qualification de la CAN Total U17, sont tenus à passer un test d’éligibilité d’âge. Il est indiqué également dans le communiqué que “tout joueur qui échouera au test ne sera pas autorisé à prendre part à la compétition et il ne pourra pas être remplacé par un autre joueur”.
Cette mesure, figurant dans l’article 135 du code disciplinaire de la CAF, a été prise le 5 mai 2018, suite à la réunion du comité d’urgence tenu au Maroc.
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Au moment où les autorités parlent de modernisation de l’administration, synonyme aussi de rapidité dans la délivrance de documents, le service d’état civil de la commune de Draria, à Alger, continue de tourner au ralenti. Une dame, qui s’est présentée devant le guichet pour renouveler son permis de conduire, a eu la désagréable surprise d’apprendre qu’elle ne peut obtenir le document qu’au bout… d’une semaine. Puis, le préposé au guichet a refusé de lui délivrer un récépissé de dépôt de dossier. À la dame qui demandait comment elle allait faire sans permis durant une semaine, un agent a répondu négligemment : “Vous n’avez qu’à ne pas conduire” ! Au bout d’une longue insistance, la citoyenne a fini par obtenir son permis de conduire. Mais d’autres citoyens n’ont pas eu la même chance !
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Air Algérie a décidé de ne pas affréter d’avions pour la saison estivale 2018, apprend-on de sources bien informées. Ainsi, la compagnie nationale entend compter grandement sur sa flotte afin de faire face à la demande de transport de passagers qui, globalement, augmente pendant la haute saison. C’est la première fois depuis longtemps qu’Air Algérie décide de ne pas recourir à l’affrètement. Ce faisant, elle espère faire des économies en ces temps de crise financière qu’elle traverse.
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Plus de 4 000 participants nationaux et internationaux activant dans les domaines des technologies modernes et des startups, ainsi que des leaders dans l’investissement des villes intelligentes, prendront part, les 27 et 28 juin prochain à Alger, à un sommet international des «Smart cities» (villes intelligentes), a-t-on appris dimanche auprès de la wilaya d’Alger.
Alger accueillera les 27 et 28 juin prochain au niveau du Centre international de conférence (CIC) un sommet international des villes intelligentes 2018, dédié aux nouvelles technologies et stratégies d’investissement. Ce sommet réunira plus de 150 conférenciers internationaux et 4 000 délégués et responsables de grandes entreprises villes intelligentes de par le monde, rapporte l’APS citant la conseillère à la wilaya d’Alger et responsable des investissements des projets Alger smart-ville et startups, Fatiha Slimani.
«L’objectif essentiel de ce sommet est de favoriser la mise en place de partenariats internationaux et l’échange de connaissances en matière de développement de ville durable et d’investissement dans le cadre des hautes technologies», a souligné Mme Slimani, précisant que cette rencontre sera aussi «une occasion pour présenter les dernières nouveautés en technologie et stratégies d’investissement».
Ce sommet permettra également la coordination entre les différents experts et l’attrait de la diaspora algérienne afin de transférer leurs compétences et savoir-faire et en faire profiter la jeunesse estudiantine
Des maires de villes d’envergures internationales, des ministres, des leaders dans l’investissement de villes intelligentes, des dirigeants des secteurs de la télécommunication, des technologies, des infrastructures, des finances, de l’énergie, de la sécurité et bien d’autres prendront part à ce sommet pour partager leurs expériences dans le domaine de la conception des villes intelligentes.
«Le rôle du gouvernement dans la stimulation des investissements dans les nouvelles technologies et les «smart cities» sera parmi les thèmes phares de ce sommet car, il sera abordé lors de plus de 50 sessions par des professionnels et experts nationaux et internationaux.
Deux thèmes, en particulier, et au regard à leur importance stratégique dans le succès des projets de villes intelligentes dans les pays émergeants, seront mis en avant lors de ce sommet. Il s’agit du «développement d’écosystèmes des startups et d’innovation et la valorisation de la diaspora ou la stratégie d’inversion de la fuite des cerveaux comme un outil de développement rapide en termes de technologie et d’innovation».
A l’occasion de la tenue de ce sommet international, organisé sous le haut patronage du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, deux salons professionnels, l’un sur la diaspora algérienne de par le monde, et l’autre sur les startups, seront aussi organisés dans la même enceinte (CIC), afin, de présenter les solutions innovantes développées par nos startups locales et aussi valoriser l’apport de la diaspora dans le cadre de la conception d’Alger «ville intelligente», a souligné Mme Slimani.
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La lucidité en ce mois de Ramadhan n’est visiblement pas le fort du premier secrétaire du FFS, Hadj Djilani. Dans sa communication écrite, lue, jeudi en soirée, devant les élus du parti réunis à Alger, il a écrit rien moins que : “Au FFS, nous militons pour l’abrogation de toutes les lois salutaires, particulièrement le code des collectivités locales afin de renforcer vos prérogatives”. Le service communication du parti a du boulot.
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Une vache bulgare passée par mégarde en Serbie, hors de l’UE, doit être abattue car les règlements européens lui interdisent de séjourner à nouveau en Bulgarie, s’est indigné jeudi son propriétaire en suppliant qu’elle ait la vie sauve.
Penka, une vache rousse au sixième mois de gestation, s’était offert une petite fugue le 12 mai, non loin de la frontière avec la Serbie.
Mais ses pérégrinations l’ont conduite dans le pays voisin, où elle a pu pénétrer sans être interceptée par les gardes-frontières. Recueillie par un fermier serbe qui l’a identifiée grâce à son badge, elle a été rendue à son propriétaire. Malgré un certificat vétérinaire serbe attestant de la parfaite santé de la vache, les autorités bulgares ont exigé qu’elle soit abattue sans délai.
“Le motif est qu’elle a quitté les frontières de l’UE en pénétrant en Serbie, et qu’elle ne peut pas être réimportée dans l’Union européenne, dont la Bulgarie fait partie.”
Les autorités sanitaires bulgares ont confirmé l’incident, soulignant n’avoir aucune marge de manœuvre malgré les appels à la clémence que le récit de l’éleveur a suscités à travers le pays. “La décision n’est pas de notre ressort. Nous ne faisons qu’appliquer les règlements européens”, a expliqué un expert vétérinaire.
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La Tunisie a augmenté la taxe d’entrée sur son territoire à 14 000 DA soit l’équivalent de 200 dinars tunisien, indique la chaine de télévision Ennahar TV.
Selon la même source cette mesure sera appliquée dans les postes frontaliers de l’Est du pays à compter d’aujourd’hui.
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Les voyageurs sont soumis à l’obligation de déclarer, auprès du bureau des Douanes, à l’entrée et à la sortie du territoire national, les billets de banques et/ou tout instrument négociable, libellés en monnaies étrangères librement convertibles, qu’ils importent ou exportent et dont le montant est égal ou supérieur à l’équivalent de 1.000 euros », note le règlement 16-02 de la Banque d’Algérie. L’importation de billets de banques et/ou de tout instrument négociable en devises librement convertibles reste « autorisée sans limitation de montant » sous réserve de satisfaire à l’obligation de déclaration pour les montants d’une valeur égale ou supérieure à 1.000 euros, précise le règlement. Un exemplaire du formulaire de déclaration visé par le bureau des Douanes est conservé par le voyageur. Aussi, les voyageurs non-résidents peuvent exporter les billets de banques et/ou de tout instrument négociable en devises librement convertibles, importés et non utilisés en Algérie, sur présentation, au bureau des Douanes, du formulaire de déclaration d’importation. Ce formulaire, qui doit être visé par un guichet de la Banque d’Algérie, un guichet d’une banque, un intermédiaire agréé ou un bureau de change constatant les opérations de change effectuées durant le séjour en Algérie, n’est toutefois valable que pour un seul séjour. Pour ce qui est du seuil maximal des devises à exporter de l’Algérie par voyage, le même règlement le fixe à 7.500 euros prélevés d’un compte devises ouvert en Algérie. Les voyageurs sont également autorisés à exporter de l’Algérie tout montant couvert par une autorisation de change de la Banque d’Algérie.
Les Douanes annoncent un service en ligne qui n’existe pas
Le service en ligne de déclaration de devise et objet de valeur décidé dans le cadre du plan stratégique des Douanes 2016-2019 vient d’être mis en service en prévision de la saison estivale, avait annoncé, mardi 9 mai 2017, les responsables de la direction régionale des douanes algériennes de Constantine auprès de l’agence officielle. “Ce système moderne devrait faciliter les procédures douanières et assurer un gain de temps considérable aux voyageurs“, a affirmé Omar Hamlaoui, le directeur chargé de l’informatique et de la communication à la direction régionale des Douanes. “Les personnes désirant entrer au territoire national dans le cadre des vacances estivales notamment, peuvent dès maintenant faire, via le net, la déclaration des devises et autres objets de valeurs qu’ils comptent ramener et réduire les procédures douanières à effectuer le jour ‘J’”, avait souligné le même responsable, a précisé l’agence officielle. La déclaration en ligne de devise et objets de valeur permettra davantage de “confort et de souplesse” pour les voyageurs et garantira une “lutte efficace contre le blanchiment d’argent issu des trafics illicites“, a encore souligné le même responsable, qualifiant ce nouveau procédé de “preuve tangible” de la modernisation de cette institution. Mais sur le site des Douanes, on ne trouve aucune trace de ce nouveau service. La seule chose qu’il propose est le téléchargement de la déclaration de devise qui doit ensuite être imprimée.
Poursuites judiciaires contre les voyageurs détenant plus de 1000 euros
Les voyageurs résidents et non-résidents en Algérie doivent, donc, déclarer aux services douaniers les devises en leur possession dès que le montant atteint le seuil des 1.000 euros à l’entrée ou à la sortie du pays. Selon la direction générale des Douanes, «toute infraction à cette mesure expose le voyageur à des poursuites judiciaires.» L’instruction adressée aux services des douanes au niveau des ports et aéroports du pays par la direction générale, ordonne d’appliquer à la lettre les mesures prises par la Banque d’Algérie concernant le transfert de devises. «Toute somme excédant de 35 euros la somme autorisée sera confisquée et des poursuites judiciaires seront également engagées contre chaque voyageur ne respectant pas la consigne», indiquent les Douanes algériennes. Pour ce qui est des voyageurs non-résidents en Algérie, ils peuvent faire sortir les devises importées et non utilisées dans le pays sur présentation d’un exemplaire du formulaire de déclaration d’importation visé par le bureau des Douanes et ce, à leurs arrivée sur le sol algérien. Les voyageurs non-résidents sont également autorisés à exporter d’Algérie tout montant couvert par une autorisation de change de la Banque d’Algérie.
L’allocation touristique glisse de 115 à 100 euros en quelques mois
Les Algériens désireux de voyager à l’étranger doivent se satisfaire d’une allocation touristique de 100 euros. Une allocation de « misère » qui a chuté de 20 euros en deux ans. L’allocation touristique continue de glisser. Elle est fixée et se stabilise actuellement à 100 euros, mais rien ne garantit qu’elle se maintienne à ce niveau. Entre 2016 et 2018, cette allocation a fondu de 20 euros pour se stabiliser autour de 115 euros l’été dernier puis 100 euros début janvier. Cette inexorable baisse est justifiée par la chute de la valeur du Dinar face à l’Euro sur le marché de change en plus des autres facteurs liés à la crise. Mais cela n’enlève rien au fait que l’allocation touristique accordée aux Algériens est la moins importante dans la région. En comparaison, l’allocation touristique octroyée aux Marocains et Tunisiens se chiffre respectivement à 3500 et 3000 euros. Le gouvernement continue d’opposer un niet catégorique à sa réévaluation. Le gouverneur de la Banque d’Algérie, Mohamed Loukal, l’avait d’ailleurs bien expliqué il y a quelques jours. À son sens, il est impossible de la revoir à la hausse. Pour les raisons suivantes : la baisse de la valeur du dinar face à l’Euro et l’érosion des réserves de change de l’Algérie. Les 100 euros octroyés représentent donc une maigre allocation. Les Algériens désireux de voyager sont obligés de se tourner vers le marché noir pour acheter des devises à des prix mirobolants. Le taux fixé actuellement est de 208 DA pour un euro.
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Les fortes chutes de pluies ayant affecté plusieurs régions de l’Ouest et du Centre du pays ces dernières 24h, ont été à l’origine de gros dégâts et plusieurs interventions des éléments de la protection civile.
Ils ont dû porcéder à près de 2000 interventions notamment à Alger, Tissemsilt, Blida, Chlef, Médéa, Ain Defla et Mascara, selon les déclarations à la Radio chaine 3 de Nassim Bernaoui, chargé de la communication à la Protection civile.
A Chlef, deux personnes, cernées par les eaux, ont été sauvées in extremis.
A Ain Defla, 42 interventions ont été effectuées au total par les services de la Protection civile de la wilaya dans la soirée de samedi suite aux pluies torrentielles qui se sont abattues sur la wilaya, rapporte par ailleurs, ce dimanche, le chargé de communication de la direction locale de ce corps constitué.
Les interventions des pompiers ont touché notamment, la trémie située à l’entrée Est du chef-lieu de wilaya submergée par les eaux et la boue, la cité Souamaâ de Khémis Miliana et le village agricole d’Arrib dont nombre de maisons ont été complètement inondées par les eaux, a indiqué le capitaine Kamel Hamdi, précisant que ces inondations n’ont pas causé de perte humaine. Elles ont également concerné le douar El Haddad (Bourached) situé sur la CW 42, la cité Saâd d’El Abadia, la région de Sidi Hamou (Rouina) et la cité Akaïdi de Djendel, a-t-il ajouté, faisant état du déploiement de toutes les unités de ce corps constitué jusqu’à une heure tardive de la nuit.
Les précipitations enregistrées sur le chef-lieu de wilaya ont été de 45 mm durant les dernières 24 heures, selon les données fournies par la station météorologique de Aïn Defla.
A Tiaret, les services de la Protection civile de la wilaya de Tiaret ont effectué 129 interventions à cause des précipitations orageuses enregistrées samedi, a-t-on appris dimanche du chargé de la communication de la protection civile.
Le capitaine Rabah Boukhari a indiqué que ces opérations ont consisté au pompage des eaux qui ont envahi les habitations et inondé les routes. Les éléments de la protection civile ont procédé au pompage des eaux ayant inondé la trémie de Hai Ali Bakhtou et des immeubles de Hai Mohamed Bouhenni et autres quartiers ainsi qu’à Frenda.
Ils ont également dégagé les grandes quantités de grêles accumulées sur la RN 111, également inondée d’eaux pluviales, notamment du tronçon reliant la localité de Sidi Abderrahmane à El-Bayadh.
Les autres interventions ont permis d’assister certains usagers de la route bloqués par les pluies. La wilaya de Tiaret a enregistré, samedi, de fortes pluies accompagnées de chutes de grêle, phénomène climatique rare dans la région et en cette période de l’année, suscitant l’appréhension des agriculteurs, qui craignent pour leurs cultures avant le lancement de la campagne de moissons-battages.
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Un réseau international spécialisé dans le trafic et la contrebande de véhicules a été démantelé à Bouira suite à une vaste opération menée par les équipes de brigade de recherche et d’intervention (BRI) de la wilaya, a indiqué dimanche un responsable de la Sûreté de la wilaya.
Composé de 58 individus âgés entre 20 et 50 ans, ce réseau activait dans plusieurs wilayas, dont Oran, Alger, Tissemssilt, Djelfa, Bordj Bou Arréridj, Sétif et Béjaia, a précisé le commissaire de police, Rabah Dainèche, lors d’un point de presse.
Les membres de ce réseau introduisaient sur le sol algérien des véhicules avec de faux numéros de châssis et de faux documents, a-t-il ajouté.
« Cette opération d’ampleur a été menée conjointement entre la BRI et les unités de lutte contre la contrebande et vol de véhicules. Les 58 individus impliqués sont accusés de crime de vol et de contrebande de voitures, de détournement de la marchandise de sa source privilégiée, de faux et usage de faux dans l’élaboration de documents administratifs et d’attestations, abus de pouvoir, usurpation et usage irrégulier de la fonction », a tenu à préciser le commissaire de police.
Les mis en cause sont poursuivis également pour fausses déclarations ainsi que pour utilisation de faux sceaux de l’Etat et adoption de fausses identités.
Selon les détails fournis par l’officier de police, 18 voitures de différents types ont été saisies et présentées par les services de sécurité dans le cadre de cette opération, et toutes les procédures et mesures judiciaires ont été prises en collaboration avec le procureur de la République près le tribunal de Bouira. APS
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Par Tahar Mansour,
Le portefeuille des pères de familles continue de subir des attaques en règle durant ce mois de Ramadhan censé être celui de la piété, de l’entraide et du jeûne. En effet, après les errements de la mercuriale des fruits et légumes durant les deux premières semaines, ce sont les produits destinés à la fabrication des gâteaux ainsi que l’habillement qui subissent une véritable razzia de la part des citoyens, malgré des prix de plus en plus élevés. Les magasins sont pris d’assaut dès la moitié de la matinée et continuent de l’être jusqu’à une heure tardive de la nuit avec une accalmie relative le temps du f’tour.
Les femmes et les enfants constituent le gros du contingent d’acheteurs et ne lésinent devant aucune dépense bien que nous entendions certaines d’entre elles se plaindre de la cherté de l’habillement destiné aux enfants. Les robes pour fillettes entre deux et dix ans coûtent de 2.000 à 12.000 DA selon la provenance (algérienne, turque ou européenne), les souliers sont cédés pour la même tranche d’âge entre 700 et 5.000 DA, une large fourchette de prix où la qualité n’est pas toujours conforme aux prix pratiqués. Pour les garçons, un pantalon et une chemisette ou un tricot valent entre 1.200 et 6.000 DA alors que les sous-vêtements ont connu, eux aussi, des hausses significatives atteignant parfois les 50%.
Toujours côté vêtements, les prix des robes, pantalons, liquettes, jeans, souliers pour jeunes filles sont très élevés, allant de 3.000 à 17.000 DA pour les produits made in l’étranger, même si, là aussi, la qualité n’est pas toujours de mise. Les jeunes hommes ne sont pas en reste et la multitude des magasins qui ont ouvert pour eux ces derniers temps attestent de la bonne santé de ce marché où les jeans déchirés’ aux genoux et ailleurs le disputent aux tricots quelconques portant des effigies de chanteurs ou de footballeurs connus constituent le gros des achats avec des prix variant entre 2.500 et 8.000 DA, selon la provenance. Les costumes sont aussi demandés par une certaine catégorie de jeunes mais coûtent entre 12.000 et 25.000 DA, les chemises et les tricots étant aussi vendus entre 3.000 et 6.000 DA. Pour les souliers, il faut compter entre 4.000 et 12.000 DA la paire alors que les baskets de marques multinationales coûtent si cher que l’on s’étonne qu’ils trouvent preneurs, avec des prix allant de 8.000 à 18.000 DA.
Pour les gâteaux, les amandes sont les plus demandées mais elles sont cette année trop chères pour cause de non-importation avec des prix compris entre 2.000 et 2.500 DA le kilo, les autres fruits secs (pistaches et autres) sont vraiment hors de prix à partir de 2.800 DA le kilo et les autres ingrédients prennent aussi une part considérable du budget familial. Mais il faut dire que malgré les prix élevés les Algériens ne ratent rien et les étals des vêtements comme ceux des produits pour les gâteaux sont pris d’assaut à partir de la matinée. Il y aura aussi une ruée finale vers les produits alimentaires les derniers jours du Ramadhan pour constituer la réserve des journées de l’Aïd où tout est fermé malgré les assurances que les autorités répètent chaque année.
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Par Wahib Ait Ouakli,
La saisie, par l’Armée algérienne, des 701 quintaux de cocaïne prouve, encore une fois, que cette glorieuse armée est au service du peuple dans toutes les circonstances.
Quels sont les desseins réels de l’importateur des 701 quintaux de cocaïne dissimulés dans le conteneur chargé de la viande surgelée provenant du Brésil? Pour le moment, toutes les informations, pour les besoins de l’enquête, ne filtrent pas des murs des bureaux des enquêteurs investissant davantage le terrain pour tirer au clair une telle affaire peu ordinaire. Cependant, le fait est présentement là. Autrement, il n’y a pas de fumée sans feu.
Le trafic de drogue est indissociable du terrorisme même après l’avoir vaincu militairement et politiquement. Ces deux phénomènes, contre lesquels tous les fronts les combattant sont en place, constituent une véritable menace pour la stabilité.
Les différents communiqués diffusés, ces dernières années, par le ministère de la Défense nationale, sont plus que révélateurs d’une relation très étroite liant les deux actes hautement criminels: le terrorisme et le trafic de drogue.
La meilleure preuve est l’opération réussie qui a été menée, en fin de semaine, par les Forces armées algériennes (gardes-côtes et la Gendarmerie nationale) dans les eaux territoriales algériennes. Cette offensive a abouti à la saisie de quoi empoisonner toute une nation:
701 quintaux de cocaïne dont le point de débarquement ciblé n’est autre que le quai du port d’Oran. Cette opération d’envergure constitue un signe avant-coureur annonçant que le phénomène, rampant, est passé à la vitesse supérieure pour prendre des allures déstabilisantes, voire plus: ravageurs. Il s’agit là d’un nouveau front de bataille interpellant plus d’un à faire preuve de vigilance, mais aussi de prise de conscience du devoir national en faisant face à ce phénomène destructeur, tout comme l’a été l’Algérie durant les années 1990 en faisant face au terrorisme barbare.
Une guerre, faut-il le rappeler qui a été menée par ll’Algérie en solo et parfois même contre la complaisance de certaines chancelleries étrangères qui, au mieux jouaient le rôle de spectateurs devant un peuple algérien dans la douleur. A cette époque, l’Algérie n’a, dans tous les concerts mondiaux, pas cessé de mettre en garde la communauté internationale l’invitant à prendre leurs dispositions s’imposant pour se protéger contre le terrorisme en s’associant dans la lutte lancée à son encontre. Souvenons-nous-en, plus d’une capitale européenne a servi de lieu de repli et de bases arrières à ces semeurs de l’horrible horreur. Il aura fallu l’avènement du 11 septembre pour que les consciences des politiciens soient bousculées, pour se réveiller et réaliser l’existence de cette hydre monstrueuse avant de se mettre à la besogne en contrecarrant ce fléau aux ramifications mondiales. Pourtant, l’Algérie n’a jamais été à l’écart des événements fâcheux sévissant dans toutes les situations, et frappant les pays composant ce globe. La saisie, par l’Armée algérienne, des 701 quintaux de cocaïne prouve, encore une fois, que cette glorieuse armée du peuple est au service du peuple dans toutes les circonstances et sans répit. Cette armée, forte de sa longue expérience dans la lutte contre le terrorisme, a, dans sa stratégie défensive, anticipé tous les évènements en prenant en compte l’ensemble des mutations mondiales.
D’ailleurs, la saisie spectaculaire de la fin de la semaine dernière est survenue alors que le plus grand pays infesté par les cartels spécialisés dans ce trafic, multiplie ses appels quant à doubler d’efforts pour stopper ce phénomène, la Colombie. Le dernier en date remonte à la dernière Assemblée générale des Nations unies.
«Le trafic de drogue est la principale menace à la paix, souvenons-nous-en», a affirmé le président colombien Juan Manuel Santos. Lors de son discours, il a appelé à repenser la lutte mondiale contre ce fléau. «Si nous voulons protéger la paix en Colombie, dans la région et dans le monde, nous devons changer de stratégie face au problème de la drogue», a-t-il plaidé. Lors des travaux de cette Assemblée générale, le président colombien a appelé également à la «coresponsabilité», à travailler pour réduire la demande et à punir les organisations criminelles transnationales». «A défaut, il y aura davantage d’arrestations, plus de morts et davantage de mafias plus fortes», a-t-il averti.
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par El-Houari Dilmi
Le comité de wilaya du Croissant rouge algérien (CRA) est au four et au moulin en ce mois sacré de Ramadhan. En effet, près de 300 bénévoles du CRA sont mobilisés pour servir des repas complets dans quatorze restos de la Rahma ouverts à travers le territoire de la wilaya, apprend-on du président du comité de wilaya du Croissant rouge, M. Kharroubi Abdelaziz.Au 15ème jour du Ramadhan, près de 28.000 repas à emporter ont été distribués au profit de 900 familles nécessiteuses, selon le même responsable. Des kits repas crus à emporter ont également été distribués au profit de 463 familles contre 1.233 repas servis à table dans les locaux du CRA, soit quelque 51.000 repas au total distribués à ce jour. «La nouveauté, cette année, est la distribution de repas crus à emporter dans plusieurs communes de la wilaya, une opération qui consiste en la distribution en lieu et place des repas cuisinés à emporter par un kit de produits alimentaires de longue conservation au début du mois de Ramadhan, accompagné de deux poulets crus et un lot de fruits et légumes distribués chaque semaine pour chaque famille qui a le loisir de cuisiner à sa guise dans sa maison», nous explique M. Kharroubi Abdelaziz. «La réussite de cette opération auprès des familles qui tiennent à préserver leur dignité nous encourage à généraliser cette action lors des prochaines années», a ajouté notre interlocuteur. Toujours selon ce dernier, la contribution financière de la wilaya a permis aux bénévoles du CRA de distribuer de la viande rouge deux fois par semaine aux familles démunies. Le montage financier de l’opération de solidarité durant le mois de Ramadhan a permis de dégager près de 17 millions de dinars entre la subvention de la wilaya, les apports des bienfaiteurs, «ce qui nous a permis d’ouvrir 14 restos de la Rahma à Tiaret, Frenda, Sougueur, Rahouia, Medroussa, Oued Lilli, Ksar Chellala, Aïn El Hadid, Aïn Dzarit, Takhmaret, Medrissa, Naïma, Mellakou et Djillali Benamar», nous apprend M. Kharroubi Abdelaziz, véritable cheville ouvrière du comité de wilaya du CRA qui regrette, néanmoins, le refus de la majorité des contrôleurs financiers des communes d’accepter des subventions et autres aides financières des bienfaiteurs au profit du CRA.
A noter, enfin, les dix quintaux de viande, jugés consommables après un examen vétérinaire, et issus des saisies des services du Commerce, ont été remis contre procès-verbal au Croissant rouge et autres associations caritatives activant durant ce mois sacré de ramadhan.
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A. Djabali,
Le «MAB DAY» est la nouvelle version de recrutement des jeunes universitaires que la direction du groupe Amor Benamor a entamé pour l’évaluation d’abord par une dizaine de managers d’étudiants fraîchement moulus de l’université.Il s’agit de procéder à la collecte d’un millier de curriculum vitae. Pour, ensuite, l’intégration professionnelle de la plupart d’entre eux dans des filières conformes à leur profil. La première édition de cette nouveauté socio-professionnelle a été organisée il y a quelques jours à l’université de Guelma. Dans cette wilaya, sont implantées les unités de production alimentaires du groupe «Moulins Amor Benamor». La deuxième rencontre est prévue pour être lancée le 4 juin prochain à l’université de Annaba. Selon le grand patron du groupe «Moulins Amor Benamor» Mohamed Laïd Benamor, les universités de Constantine et Skikda sont appelées à abriter le même événement.
Il s’agit, en quelque sorte, d’une journée porte ouverte dédiée à chacune d’elle où candidats à l’emploi en fin de cycle d’études et managers travailleront en interaction. Cette journée permettra à une centaine de participants de réfléchir en interaction, sept heures durant, sur diverses questions liées à des sujets qui n’ont pas été révélés. Elles seront certainement vouées au développement durable. Telle est, en tout cas, l’option vers laquelle penchent plusieurs enseignants universitaires du fait du développement de la production, du commercial et de la valorisation des ressources humaines. Contacté, le responsable en charge de l’opération à MAB s’en est tenu au strict minimum sur l’opération. Il n’en est pas de même du côté des enseignants universitaires. Ces derniers ont estimé que cette nouvelle façon de faire pour procéder à des recrutements de jeunes fraîchement moulus de l’université est très pertinente. «Cette journée qui mettra en interaction des jeunes étudiants en fin de cycle d’études n’est pas à évaluer par le nombre de participants. Elle est à considérer de par la diversité de leur provenance, doublée de la richesse des communications et de la contribution des managers dans la compréhension des objectifs de développement de la société MAB».
Lu entre les lignes, le communiqué impose l’idée que cette journée porte ouverte est faite à base d’informations et de sensibilisation sur les offres d’emplois ou de formations localement ou à l’étranger avec bourse. En fait, MAB s’en remet à des enseignants universitaires pour le rôle de recruteurs qui, certainement, puiseront leurs offres de formations dans les départements et instituts. Il faut rappeler au passage que l’université de Annaba compte plusieurs facultés ainsi que des départements dont ceux des langues. Elle compte aussi des instituts et laboratoires. Il est certain que le lancement de la journée portes ouvertes sera présidée par le recteur de l’Université le Pr Ammar Haiahem et le Président-directeur général des «Moulins Amor Benamor». L’on s’attend à une grande participation des étudiants. Nombre d’entre eux ont reconnu la pertinence de la démarche retenue pour le recrutement des étudiants en fin de cycle d’études. «MAB a déjà mené des actions courageuses dans le domaine du développement de son entreprise. Cette nouvelle démarche dans le recrutement de ses effectifs dénote que le groupe se positionne aujourd’hui comme une entité socioprofessionnelle incontournable.
Cette journée portes ouvertes au profit des étudiants pour leur recrutement en est une preuve», a affirmé un des enseignants managers. Affirmation que reprend à son compte un des animateurs de cette approche université/employeurs/étudiants. Il a indiqué : «Cette opportunité de fructueux échanges entre étudiants en fin de cycle, managers et employeurs, est un sujet fédérateur. Il interpelle chaque étudiant dans le rôle qu’il est appelé à jouer dans le développement de l’entreprise.» Contacté, Mohamed Laïd Benamor a estimé quant à lui : «Je reste convaincu que cette journée portes ouvertes apportera des solutions durables aux défis du développement de notre pays.» Rappelons que l’initiative des «Moulins Amor Benamor» vise à favoriser l’insertion professionnelle des jeunes diplômés des Universités. Après celle de Guelma, il y a quelques jours, Annaba le 4 juin prochain, l’objectif que vise l’équipe entrepreneuriale organisatrice de cette rencontre est d’accueillir par la suite la 3e et 4e édition à Constantine et Skikda de «MAB DAY» placée sous le thème qualification professionnelle et vie active des jeunes synonymes d’emplois.
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Pour ce faire, ont été conviés à cette réunion les imams des mosquées de la wilaya de Tipasa, les présidents d’APC des communes de la wilaya, le directeur de la Sonelgaz de Tipasa qui nous a fait part de sa crainte quant à l’absence de certaines structures conviées à cette conférence. Présents aussit à cette rencontre, la Protection civile, la presse ainsi que des organismes officiels. Lors de son allocution, M. Brahimi, le directeur de la Sonelgaz de Tipasa, a rappelé «le rôle joué par les agents d’intervention de Sonelgaz et les efforts considérables consentis pour faire face à toutes les situations d’urgence en vue d’assurer l’approvisionnement régulier des citoyens en électricité et en gaz, lors des hivers froids et glacials à l’origine d’accidents où nos agents, forts d’une grande expérience d’intervention, ont permis d’éviter toute rupture intempestive d’énergie en raison de la forte demande sur l’énergie causée par l’utilisation excessive de la climatisation et du refroidissement par divers types d’appareils à forte consommation d’électricité ayant un impact significatif sur la consommation en électricité». M. Brahimi arguera dans ce cas la mosquée qui est «appelée à jouer un rôle majeur dans la sensibilisation du citoyen». Pour ce faire, la direction de Sonelgaz s’est essayée à compromettre les imams pour contribuer à la normalisation et l’utilisation de l’énergie électrique tant à domicile que dans les lieux publics en vue d’attirer l’attention de tous sur les factures excessives générées tant par les mosquées (13 563 kWh en 2017, représentant 13,60 MDA) que par l’éclairage public (21 096 kWh en 2017, représentant près de 138 MDA).
L’option d’éclairages publics intelligents a été évoquée ; ce système fonctionnant à l’aide de capteurs détectant tout type de mouvements pour réguler l’éclairage aux stricts besoins requis. Le directeur de l’Energie de la wilaya de Tipasa mettra l’accent sur la fonction de l’énergie en définissant que «le rôle de la distribution de l’énergie ne se limite pas seulement à la livraison de l’énergie électrique et de gaz dans des conditions idéales, mais il y a aussi un rôle à travers l’organisation de campagnes de sensibilisation pour une consommation rationnelle.» Les différents responsables ont rappelé a ce sujet sur la necessité de prendre en compte «les énergies électrique et gazière qui assurent notre confort de vie, en l’occurrence, pour s’éclairer, sauvegarder ses aliments, (laver son linge, conditionner l’atmosphère ambiante climatisation), se chauffer éventuellement ou encore se distraire». Evoquant la rationalisation de l’énergie, l’orateur insistera : «La rationalisation, c’est l’utilisation optimale de l’énergie au niveau d’un ménage sans compromettre le confort de l’utilisateur, ni endommager les appareils électriques et dont les objectifs permettent de réduire la facture d’énergie du client, de participer activement à la continuité de service, de réduire les charges de puissance au niveau du système électrique (centrales de production, réseau de transport et de distribution).» Lors de cette conférence, plusieurs commentaires et conseils ont été donnés, spécialement sur l’éclairage, la réfrigération, le chauffage, la climatisation, la cuisson, le lavage et repassage. S’agissant de l’éclairage, il a été révélé qu’une étude a été faite et a montré que l’utilisation des lampes LED a pu réduire le montant de la consommation de l’énergie électrique de 87% et de 80% pour les lampes économiques par rapport à la lampe classique pour une installation d’éclairage.
Pour ce qui est de la réfrigération, il est préconisé de respecter les gestes de base pour économiser de l’énergie, notamment placer le réfrigérateur loin des sources de chaleur, régler le thermostat à la température recommandée, dégivrer le congélateur lorsque ses parois sont couvertes d’une couche épaisse de givre, garder la portière du réfrigérateur fermée d’une façon hermétique. Pour l’utilisation du chauffage domestique, il est prescrit d’éviter de surchauffer l’intérieur en limitant la température du chauffage à 20°C, d’opter pour le chauffage à gaz au lieu de l’électricité, ce dernier est plus coûteux, de garder les portes et les fenêtres fermées lors du fonctionnement du chauffage. Pour la climatisation, il est préconisé d’éviter l’excès de froid, de limiter la température de la pièce climatisée à 25°C, de choisir un climatiseur selon le volume d’habitation, de maintenir les portes et les fenêtres fermées afin de limiter la durée de fonctionnement de son climatiseur, d’augmenter sa durée de vie et de conserver la fraîcheur de l’intérieur.
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