La fête de l’Aïd El Fitr, marquant la fin du mois de jeûne, a été célébrée à Béjaïa dans la joie, la solidarité et la sérénité.
Après un mois de jeûne et d’abstinence, les habitants de la basse Kabylie ont accueilli l’Aïd El-Fitr selon les traditions perpétuées de génération en génération à travers les rituelles visites rendues aux proches et aux malades dans les hôpitaux, le recueillement dans les cimetières à la mémoire des disparus et le rituel du sacrifice collectif. Les fidèles se sont réunis tôt le matin dans les mosquées pour la prière de l’Aïd tandis que d’autres ont entrepris de se préparer pour les déplacements et les visites des proches.
La compassion, la tolérance et la solidarité étaient les maîtres-mots de cette fête religieuse qui reste une occasion de mise en quarantaine des rancunes et autres désaccords. N’est ce pas là l’importance de cet événement religieux? A cette occasion, les imams n’ont pas manqué de rappeler les fidèles à rester attachés aux valeurs de fraternité, d’entraide et de solidarité, tel que préconisés par l’Islam. Les imams ont, par ailleurs, mis en exergue, la portée de l’Aïd qui est une occasion pour renforcer et raffermir les liens sociaux. La fête a été aussi celle des enfants. Parés de leurs habits neufs, les enfants ont donné à cette journée, une touche particulière de gaieté et de bonheur en investissant fièrement les rues des villes et villages. Il n’y eut pas trop de pétards cette année. Serait-ce en raison de la cherté ou d’une quelconque précaution? Dans tous les cas de figure, les pétards n’ont pas eu la place qui était la leur jusque-là. Par contre, le mouvement des gens y était fort.
Au premier jour, tôt dans la matinée, les citoyens se sont déplacés aux cimetières pour se recueillir sur les tombes de leurs défunts proches, puis c’est au tour des retrouvailles. Les gens se son rendus mutuellement des visites consolidant ainsi les liens familiaux. Les rencontres des proches et amis, ponctuées par des échanges de voeux, reste cette autre facette d’une date que beaucoup attendent dès le début du mois sacré.
Les malades hospitalisés ont, quant à eux, vécu la même ambiance de l’Aïd. Les habitants de la ville, en famille et accompagnés de leurs enfants, ont fait le déplacement pour rendre visite à d’autres citoyens retenus dans les hôpitaux par la maladie. A travers l’ensemble de la région, l’Aïd, n’a pas été du tout altéré par la vie moderne.
Béjaïa a renoué à l’occasion avec l’ambiance d’antan. La place Gueydon, quartier populaire s’il en est, redevient lors de chaque Aïd, la destination préférée des Béjaouis qui aiment à s’y retrouver au milieu des piaillements des tout-petits, la brise de mer, le parc de Gouraya, Tichy, tous ces lieux ont connu une animation particulière. Des nuées d’enfants ont accaparé, dès potron-minet, les ruelles de ce vieux quartier pour prendre des photos en exhibant leurs habits tout neufs achetés pour l’occasion.
La grande maison, celle qui dans le temps réunissait des générations sous un même toit renaît de ses cendres le temps d’une journée, celle de l’Aïd, les enfants mariés partis vivre seuls et ailleurs, retournent au lieu de leur naissance avec les soeurs et les parents pour rassembler de nouveau la grande famille dans la grande maison.
C’est le cas particulièrement dans les villages, les membres de la famille au foyer parental pour souhaiter y passer la fête de l’Aïd, une tradition assez respectée encore en Kabylie. On en a profité pour voir même les premiers matchs du mondial en Russie.
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La reprise du trafic au niveau du téléphérique reliant la ville de Blida à la région touristique de Chréa est intervenu hier, suite à un arrêt de trois semaines en raison de travaux de maintenance, a annoncé jeudi la chargée de l’information auprès de l’Entreprise de transport algérien par câbles (Etac). Lancés le 25 mai dernier, ces travaux de maintenance réalisés de façon périodique, ont concerné les câbles du téléphérique en plus de ses 138 cabines, a indiqué Zahra Badjou.
Elle a, également, signalé un changement attendu dans les horaires d’exploitation de ce télécabine, à partir de ce vendredi. «Entre lundi et jeudi, le trafic sur cette ligne sera ouvert de 8h00 à 18h00, au moment où la ligne sera ouverte à partir de 8h30 jusqu’à 18h00 les week-ends (vendredi et samedi).
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Placardée à l’entrée de toutes les plages, annoncée dans les médias, la gratuité des plages reste quand même menacée. Les panneaux sur les plages de l’est d’Alger annoncent que l’accès à la plage est gratuit, et que le kit incluant, entre autres, un parasol, est gratuit. Or il n’en est rien! Le prix du parking y est à 100 dinars, sans parler du fait qu’aucun ticket n’est remis. Les parasols ne sont pas encore implantés, mais les tables sont facturées 800 dinars avec quatre chaises, et 100 dinars de plus pour la chaise supplémentaire. Agréable est la surprise en voyant les panneaux garantissant tout cela, mais le désenchantement est au rendez-vous quand le baigneur se rend compte que les panneaux ne disent pas vrai. Ou pas encore vrai, espérons-le!
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Par Abdelkrim Zerzouri,
Guérir le mal par un autre mal de moindre gravité, c’est toujours intéressant pour celui qui souffre sur le plan physique, moral, ou sur celui des convenances. Mais ce n’est pas le remède que chercherait tout malade, sauf bien sûr celui qui se trouverait dans un état désespéré. Ainsi, pour traiter le cauchemar de la triche à l’examen du baccalauréat, les autorités n’ont pas évolué dans leur stratégie durant trois ans au moins, gardant le même principe thérapeutique du «bouton Internet» pour se soulager de ce casse-tête, quitte à rendre malades d’autres personnes qui n’ont rien à voir ni de près ni de loin avec cette histoire de fraude au bac.
Les mesures prises, donc, cette année, pour sécuriser le baccalauréat, prévu du 20 au 25 juin, ne diffèrent pas de celles mises en place lors des deux dernières éditions, à la coupure de l’internet et l’interdiction au niveau des centres d’examen des téléphones portables et autres tablettes, des outils numériques et objets connectés, afin d’éviter les tentatives de fraude. On parle d’une coupure de l’Internet pendant une heure au début de chaque épreuve du baccalauréat, mais il faut imaginer la profonde perturbation que cela entraînerait pour les utilisateurs, les professionnels notamment. Une heure avant chaque épreuve, c’est déjà trois à quatre heures de coupure si l’on parle de trois ou quatre épreuves par jour, et durant les moments les plus forts de l’activité professionnelle. Pis encore, on doit s’attendre, par expérience, que cet outil technologique indispensable dans de nombreux secteur, soit mis à l’arrêt durant toute la période de l’examen du bac. Le rétablissement de l’Internet est généralement opéré quelques petits moments dans la journée, juste pour éviter qu’on parle de black-out total’. Parfois, la coupure intervient hors des horaires des épreuves du bac, en pleine nuit, pour empêcher la diffusion sur les réseaux les sujets des épreuves programmées le lendemain. Et, comme il n’y a pas de fuite avant l’heure des sujets du bac, des faux sujets sont postés sur les réseaux sociaux, parfois à des heures tardives de la nuit, laissant veiller tout bêtement les candidats devant leurs ordinateurs, au lieu d’aller se reposer pour être frais le matin, à l’examen. Il faut en conséquence se préparer à vivre l’enfer cinq jours durant de censure Internet. Facile à dire, à faire, quand on est aux commandes pour appuyer sur des boutons qui plongent la toile dans un sale état, soit dit «pour instaurer un climat favorable aux candidats au baccalauréat». C’est que le blocage, aussi temporaire soit-il, des réseaux sociaux les plus fréquentés en Algérie n’est pas sans répercussions néfastes sur la vie professionnelle. La censure Internet, qui réduit grandement la fraude, certes, sans l’éviter totalement puisque des substituts » d’accès aux réseaux sociaux existent, pénalise les internautes accrocs à la communication sur la toile d’une part, et d’autre part porte un grave préjudice, morale et financier, aux opérateurs économiques dont les activités sont intimement liées aux prestations du service Internet. D’autres solutions existent, pourquoi n’y a-t-on pas eu recours ? Dans des pays en Scandinavie, non seulement Internet garde son très haut débit durant les examens du bac, mais les candidats ont tout loisir d’introduire avec eux leurs micros portables, dans les salles d’examen même. Tout repose sur le genre de questions données aux candidats.
C’est l’examen du bac qu’on devrait songer à remodeler de fond en comble si on veut sortir de cette hantise de la triche au bac. Une triche usant de l’outil Internet qui s’est généralisée dans tous les examens, y compris les concours de recrutement des enseignants et ceux organisés par l’enseignement supérieur. Pourtant, Internet n’est coupé que durant l’examen du bac. Est-ce à dire que la fraude est tolérée ailleurs ?
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Selon le site UBR l’Algérie est le troisième plus grand pays importateur de bière ukrainienne, précédé de la Biélorussie et de la Moldavie.
En effet plus de 17,7% des exportations ukrainiennes étaient destinées au marché algérien en 2017, avec 18 millions de litres de bière par année.
LDJ. Sarah
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Par J B.
Un enfant de 8 ans est mort noyé dans une retenue d’eau de 5 mètres de profondeur où il avait chuté avant-hier, avons-nous appris de la Protection civile. Le drame a provoqué un choc profond parmi les habitants de Hai Bouamama dans la commune de Gdyel. Le temps que l’on s’inquiète et s’aperçoive de la disparition de l’enfant, il était déjà trop tard. La dépouille a été transportée à la morgue de l’hôpital d’El Mouhgoun. Une enquête a été ouverte par la Gendarmerie nationale pôur déterminer les circonstances du sinistre.
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Par S. M.
Une distance de 140 m du projet de la pénétrante 28 sépare, encore, les cités AADL Aïn El Beida, de la zone ouest d’Oran. Le chantier de la route d’accès entre le CW 73 (Oran-Aïn El Beida) et les nouvelles cités AADL, livrées récemment, est à l’arrêt depuis plusieurs mois, en raison d’un tronçon de 140 m. Cette partie de la route est en souffrance à cause des besoins des chantiers de construction de logements location-vente menés par une société chinoise. Les délégués des habitants des cités AADL montent au créneau pour exiger la relance, en urgence, par la direction des Travaux publics (DTP) de la wilaya d’Oran de cette partie de la route. Le problème du chantier, en souffrance, de la pénétrante 28 a été ainsi soulevé par les représentants des habitants, lors de la dernière sortie sur le terrain des responsables de la direction du Logement de la wilaya d’Oran. La première responsable de cette direction s’est engagée à mettre tout en œuvre pour relancer ce chantier en souffrance. Des instructions ont été ainsi, données pour finaliser ce chantier dans les plus brefs délais.
Les délégués des habitants ont, également, pris contact avec la direction des Transports de la wilaya d’Oran pour le prolongement de la ligne 16, vers les cités AADL. «Cette direction a dépêché ses cadres pour étudier le tracé de la future ligne qui sera desservie par des bus de l’ETUSO », affirment les représentants des habitants. Il faut préciser que l’arrêt du chantier de cette route d’accès pénalise, lourdement, les habitants des cités AADL contraints de faire un long détour via le 4ème Bd périphérique pour rejoindre la ville. Cette route d’accès qui avait été réalisée en 2017, après le relogement de centaines de familles qui occupaient le bidonville, communément appelé le «Virage» est le seul accès direct entre les cités AADL de la localité d’Aïn El Beida et la zone ouest de la ville. Les nouvelles cités AADL construites dans un couloir long et étroit se trouvent coincées entre le cimetière et le 4ème Bd périphérique, sans aucune issue directe pour rallier la ville. L’arrêt du chantier de cette route, pour les besoins des chantiers de la société chinoise, chargée de la construction des logements location-vente, semble perdurer ce qui pénalise les habitants et en particulier les ménages non motorisés.
Un trajet en taxi entre la ville et ces nouvelles cités AADL revient au triple pour les personnes non véhiculées. Il faut aujourd’hui, emprunter un long détour pour se rendre aux nouvelles cités AADL, de cette zone au lieu de passer directement, par la Glacière’ et l’Hôpital militaire. Les quelques bus qui desservent ces nouvelles cités sont aussi obligés de passer par l’avenue des Martyrs de la Révolution, la RN 24, puis le 4ème Bd périphérique pour rallier leur terminus situé à la cité AADL de Aïn El Beida. Conséquence de cette situation, le trajet entre M’dina J’dida et les nouvelles cités AADL dure au minimum 45 minutes. Durant les heures de pointes ou les embouteillages, la durée du trajet peut s’allonger pour atteindre en moyenne une heure et ceci sans compter le temps d’attente du passage du bus dans les arrêts.
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Le feuilleton des scandales de l’autoroute Est-Ouest revient cet été, avec un ancien acteur qui refait son apparition sur la scène. Il s’agit du groupe japonais Kojal, chargé de la réalisation des travaux sur 87 km à El Tarf, qui menace de divulguer des preuves accablant le ministère des Travaux publics.
Les japonais qui réclament depuis plusieurs années un montant de 84 milliards de dinars aux autorités algériennes ont durci le ton ces derniers temps et menacent de porter l’affaire devant les tribunaux internationaux. Ils affirment avoir à leur disposition des preuves tangibles sur l’implication de hauts responsables du ministère des Travaux publics dans le détournement de ce montant en faveur d’entreprises et de personnes haut placées.
Le journal ‘’El Khabar’’ qui a révélé cette information affirme que les autorités algériennes « auraient acceptés un arrangement à l’amiable avec l’entreprise japonaise pour éviter l’éclatement de cette affaire. ». Pour sa part, l’entreprise chinoise SINIC qui a repris le projet a, affirme la même source, exigé des autorités algériennes le versement du même montant pour la réalisation du projet en question à condition de ne pas s’ingérer dans le cours des travaux.
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Le wali d’Oran a instruit mercredi dernier l’entreprise chinoise, réalisatrice du projet du stade olympique de 40.000 places à Belgaïd, à coordonner son travail avec les différents intervenants dans la réalisation de ce projet.
Au cours d’une visite d’inspection du chantier du nouveau stade relevant du complexe olympique de Belgaïd (Est d’Oran), le chef de l’exécutif a instruit l’entreprise chinoise de prendre en charge certains segments du projet notamment la zone d’aménagement jouxtant le nouveau complexe.
Dans une déclaration à l’issue de la visite du chantier du stade, le wali d’Oran , a souligné que le projet est en cours de réalisation avec un taux d’avancement de 80%, mais Il existe, toutefois, un problème de coordination entre tous les intervenants dans la réalisation de ce projet, a-t-il ajouté. Ce n’est pas seulement le problème du maître de l’ouvrage qui réalise ce projet, ce n’est pas uniquement le problème de l’entreprise chinoise, ni le problème du bureau d’études, c’est aussi le problème des concessionnaires des réseaux, les secteurs des travaux publics, de l’énergie, de l’hydraulique », a-t-il expliqué, assurant qu’il n’existe aucun problème lié aux finances ou à la logistique. Dans ce contexte, le wali a estimé que tous les intervenants doivent se réunir autour d’une table, se fixent des échéances et travaillent ensemble.
Sur place, la décision a été prise pour coordonner avec le comité de pilotage et de suivi du projet qui est composé de tous les intervenants et doit se réunir quotidiennement pour contrôler les travaux et leur avancement. « C’est un projet de l’Etat algérien. C’est un engagement de l’Etat algérien vis-à-vis des institutions internationales et il ne faut pas jouer avec les engagements de l’Etat », a-t-il fait savoir, ajoutant qu’à partir des réunions quotidiennes du comité de pilotage, les intervenants vont mettre le doigt sur tous les problèmes et trouver des solutions qui s’imposent séance tenante.
Par ailleurs, il a noté que le taux d’avancement du projet a atteint 80% et que le stade sera réceptionné fin 2019.Il est à rappeler que le projet a été lancé en 2009. Sa réalisation a été confiée à l’entreprise chinoise Metallurgical China Construction (MCC).Le montant du contrat avoisine les 10,5 milliards de dinars (120 millions d’euros).
La construction de ce stade a été lancée dans le cadre du plan de soutien à la croissance économique, initié par le Président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Des stades similaires sont en cours de réalisation ou en voie de lancement à Tizi Ouzou, Sétif et à Alger. Le directeur local des équipements publics (DLEP), a indiqué que les travaux de la zone jouxtant le nouveau complexe a été lancée dans les délais requis quoique sa réception était prévue en mars dernier 2018, d’ailleurs c’est ce qu’a indiqué le wali d’Oran l’année dernière durant le mois de mars 2017, assurant qu’il suivait personnellement l’évolution des travaux de réalisation du futur complexe sportif d’Oran.
Le chef de l’exécutif a, en outre, signalé que lors de sa dernière visite d’inspection du site, il a constaté avec satisfaction l’évolution des travaux, à une cadence qui permettra de réceptionner le projet dans les temps. Pour faciliter la tache à l’entreprise réalisatrice, le wali d’Oran a instruit les services concernés pour lever toutes les entraves administratives, en matière d’importation des différents équipements.
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Un collectif anonyme créé par des syndicalistes d’Air Algérie fait des révélations fracassantes dans une lettre obtenue par Algérie Part et adressée au ministère des Transports : le PDG d’Air Algérie est, de loin deux fois mieux payé que vous, Monsieur le Ministre et peut être mieux que son excellence Monsieur le Président de la République.
Plus grave, il aurait réussi ce tour de passe-passe en se faisant payer en qualité de Commandant de bord qui accompli mensuellement des dizaines d’heures de vol ». Les causes de cette lettre est que le PDG d’Air Algérie a adressé il y a quelques mois une lettre au personnel dans laquelle il a appelé les travailleurs à renoncer à toute revendication salariale en raison de la situation financière de l’entreprise. L’opinion publique et la presse ont salué l’initiative du PDG la compagnie nationale pour avoir révélé des vérités toutes crues.
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La banque africaine de développement (BAD) a approuvé un investissement en fonds propres de 15 millions de dollars dans le Fonds africain pour la sécurité alimentaire, a indiqué cette institution sur son site web.
« Le Conseil de la BAD a approuvé un investissement en fonds propres de 15 millions de dollars dans le Fonds africain pour la sécurité alimentaire (AFSF), afin de soutenir les entreprises dans les PME agro-industrielles et d’améliorer la sécurité alimentaire en Afrique », a précisé la bnque.
L’AFSF est un fonds de deuxième génération qui vise une capitalisation totale de 100 millions de dollars, explique la BAD.
Le Fonds investira dans des petites et moyennes entreprises à forte croissance opérant dans les chaînes de valeur alimentaires et agricoles en Afrique subsaharienne.
Il vise à répondre aux besoins des opérateurs les moins bien desservis du segment des PME agricoles qui ne sont pas des cibles des grands fonds de capital-investissement et des banques commerciales.
Le gérant du fonds « Zebu Investment Partners » est expérimenté dans la production et la transformation des produits alimentaires au niveau des PME.
Considérant les besoins largement sous-financés du financement agricole en Afrique, la politique d’invetissement du Fonds implique « le dépoilement d’instruments de capitaux propres ou de quasi-capitaux pour fournir des capitaux d’expansion dans la majorité des cas avec un ticket moyen de 6 millions de dollars », selon la BAD.
En se concentrant davantage sur l’Afrique subsaharienne et en s’appuyant sur sa présence en Afrique du Sud, au Ghana et à l’île Maurice, le Fonds investira dans des pays mal desservis tels que le Sénégal, le Mail et le Rwanda, souligne la Banque africaine de développement.
Il est prévu que le Fonds créera au moins 20 emplois directs pour 1 million de dollars investis au profit de plus de 14 000 petits exploitants, les femmes occupant au moins 40% des emplois créés.
En plus de ses investissements, le Fonds fournira un soutien post-investissement par le biais d’une facilité d’assistance technique aux sociétés émettrices.
La stratégie d’investissement du Fonds est pleinement alignée sur la Stratégie décennale de la Banque (2013-2022), ainsi que sur la politique et stratégie d’intégration régionale (2013-2024) en particulier sur ses activités inclusives.
Les sociétés pipelinières potentielles actuelles sont alignées sur les objectifs du programme « High 5 – Feed Africa » de la Banque (grâce à des investissements dans les entreprises de transformation des aliments, des boissons et de l’agroalimentaire), industrialiser l’Afrique (en investissant dans des entreprises de transformation), intégrer l’Afrique (à travers des investissements dans des entreprises qui répondent aux économies régionales) et améliorer la qualité de vie des africains (grâce à la mise à disposition d’une facilité d’assistance technique).
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La Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) a mis en place pour la couverture sécuritaire des examens du Baccalauréat 2018, prévus du 20 au 25 juin en cours, un plan portant mobilisation de plus de 18.000 policiers de différents grades, a indiqué samedi la DGSN dans un communiqué.
Ce plan prévoit la sécurisation de 2108 centres d’examen à travers le territoire de compétence de la Sûreté nationale au niveau de toutes les wilayas du pays, de 14 centres de collecte, 70 centres de correction, deux (2) centres d’impression, 66 centres de conservation des copies, précise la même source.
Les services de la DGSN seront mis également à contribution pour la sécurisation des centres avancés de conservation des sujets.
Par ailleurs, tous les dispositifs de prévention ont été mis en place pour faciliter la circulation à proximité des centres d’examen et assurer la sécurité des candidats à travers des points de contrôle fixes et d’autres mobiles en vue de la réussite de toutes les conditions réunies pour le bon déroulement des épreuves du baccalauréat à travers tous le territoire nationale.
Dans ce cadre, les patrouilles pédestres et mobiles seront intensifiées pour éviter le stationnement anarchique à proximité de ces centres.
La DGSN fait savoir, à cette occasion, que ces services « sont mobilisés jour et nuit pour le bon déroulement des épreuves de cet examen national.
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La cellule d’observation des oiseaux relevant de la conservation des forêts de la wilaya de Mila, en collaboration avec l’association « AquaCirta » de Constantine, a dénombré 15 individus d’une espèce d’oiseau rare, »l’érismature à tête blanche », au niveau de la retenue collinaire du village de Benboulaid, dans la commune de Oued Seguen (Sud de Mila), a-t-on appris, samedi, de la responsable de cette cellule, Manel Haniche.
La même source a indiqué, à ce propos, que 3 mâles et 3 femelles ont été observés en plus de 9 petits oiseaux de cette même espèce rare et menacée d’extinction, soulignant que ce dénombrement s’est opéré dans le cadre d’une opération nationale de recensement des oiseaux nidificateurs, lancée le 28 mai et qui se poursuivra jusqu’au 20 juin en cours.
Relevant que l’observation de ces oiseaux a confirmé la nidification de cette espèce d’oiseau rare et protégée, conformément aux dispositions légales locales et internationales en vigueur au niveau de la retenue collinaire du village de Benboulaid, Manel Haniche a ajouté que des travaux sont actuellement en cours au niveau de la conservation des forêts de la wilaya de Mila pour l’élaboration d’un dossier visant à classer cette région comme « aire de nidification » définitivement interdite à la chasse.
Selon Manel Haniche, d’autres espèces protégées d’oiseaux ont été, par ailleurs, dénombrés comme le Fuligule nyroca, un canard plongeur de couleur généralement brun acajou (36 individus recensés), évoquant en outre la possible nidification de l’Echasse blanche dont 3 individus ont été dénombrés au niveau de la retenue collinaire du village de Benboulaid.
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L’étude d’extension de la piste principale d’atterrissage de l’aéroport international « Messali Hadj » de Tlemcen Zenata a été achevée et transmise au ministère de tutelle pour inscription, a-t-on appris du directeur des travaux publics de la wilaya.
A la faveur de cette étude, confiée à la société d’études techniques d’Oran (SETOR), cette piste sera portée de 2,6 kms actuellement, à 3 kms, ce qui permettra à cet aéroport d’accueillir des avions gros porteurs, a indiqué Mohamed Radjâa, précisant que le prolongement de la piste principale sur un linéaire de 400 m pour atteindre les 3.000 m, permettra l’atterrissage et le décollage des aéronefs porteurs du type Boeing B 747-400 sans difficultés.
L’étude pour laquelle un délai de six mois a été accordé, a porté, également, sur le rattachement de la piste à la voie de circulation existante en la prolongeant et en projetant une bretelle « A Bis », ainsi que l’aménagement des seuils de piste, la projection de chemin de ronde, et le rétablissement des routes existantes, RN 98 et CW 71.
Une fois réalisés, ces travaux adapteront l’aéroport aux besoins d’un aérodrome moderne répondant aux exigences de la navigation aérienne, a-t-on expliqué, ajoutant que le dimensionnement des infrastructures de l’aéroport sera conforme aux normes et aux recommandations de l’Organisation de l’aviation civile (OACI).
Cette extension de la piste vers l’ouest du site sera rentable économiquement, cet aéroport venant d’enregistrer, le 1er mai dernier, l’ouverture d’une nouvelle ligne aérienne vers la ville espagnole d’Alicante. Le renforcement de l’activité aérienne par l’ouverture d’autres lignes sera facilité, a-t-on estimé de même source. APS
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