Le père du milieu de terrain allemand Mesut Özil estime que son fils est devenu un «bouc émissaire» après l’élimination de la Mannschaft dès le premier tour du Mondial-2018 et qu’il doit en conséquence quitter la sélection.
«Quand on perd, on perd à cause d’Özil ? Il se fait maintenant siffler, il est devenu un bouc émissaire. Je peux comprendre qu’il se sente insulté», déclare Mustafa Özil dans un entretien publié hier par Bild am Sonntag. «Si j’étais à sa place, je dirais merci beaucoup, mais ça suffit !», ajoute le père d’Özil. Le joueur d’origine turque, aux 92 sélections, avait été très critiqué et sa loyauté envers l’Allemagne remise en cause, avant même le début du Mondial pour avoir posé sur une photo avec le président turc Recep Tayyip Erdogan. Ces critiques sont devenues encore plus virulentes depuis la Coupe du monde où l’Allemagne, championne du monde en titre, a terminé dernière de son groupe. Et jeudi, le manager général de la sélection allemande Oliver Bierhoff a remis de l’huile sur le feu en déclarant qu’il aurait fallu envisager un renvoi de Mesut Özil de l’équipe avant le Mondial en raison du scandale. Bierhoff est revenu sur ses propos en affirmant s’être «mal exprimé», mais Mustafa Özil ne décolère pas. «Cette déclaration est une insulte. A mon avis, elle a pour but de sauver sa propre peau», accuse-t-il dans l’édition dominicale de Bild. Selon lui, son fils a accepté «par politesse» d’être sur cette photo désormais controversée, sans jamais vouloir y donner de connotation politique. Pourtant, le président de la Fédération allemande (DFB) Reinhard Grindel continue de réclamer des explications publiques au joueur. Le fait qu’il ne se soit pas expliqué «a déçu de nombreux fans car ils se posent des questions et attendent des réponses», déclare Grindel au magazine spécialisé Kicker à paraître aujourd’hui. «Ils ont raison d’attendre ces réponses. C’est pourquoi il est absolument évident pour moi que, dans son propre intérêt, Mesut devrait s’exprimer (sur cet incident) lorsqu’il rentrera de vacances», ajoute le dirigeant. Mais Mustafa Özil considère que son fils a bien fait de ne pas s’exprimer sur la polémique née de cette photo. «Il ne veut plus s’expliquer, il ne veut plus avoir à se défendre tout le temps. Ça fait neuf ans qu’il joue pour la sélection allemande (…) et il est même devenu champion du monde avec elle. Il a beaucoup aidé son pays. Et ça a toujours été : si on gagne, on gagne ensemble», note Özil père. Alors aujourd’hui, «la blessure est trop grande», estime Mustafa Özil. «Qui sait ce qu’il se passera au prochain match ? A la place de Mesut, je me retirerais. Mais ce n’est que mon opinion», conclut le père.
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Il semble bien que la CAF ne badine plus avec les affaires liées à la corruption dans ces compétitions. Celle qui a secoué l’instance continentale au lendemain du scandale qui a emporté un de ses membres, le président de la Fédération ghanéenne Kwesi Nyantakyi et non moins vice-président de la CAF, a poussé la structure dirigée par le Malgache Ahmad-Ahmad à frapper fort.
En effet, le jury disciplinaire de la CAF réuni le 7 juillet a prononcé la suspension de 11 arbitres, dont une suspension à vie et deux de 10 ans ! 11 arbitres supplémentaires sont également suspendus à titre provisoire. Dans un documentaire diffusé en juin dernier, le journaliste d’investigation Anas Aremeyaw Anas, a mis en évidence un système de corruption à l’œuvre dans le football ghanéen et même africain. L’enquête avait débouché sur l’implication directe de Kwesi Nyantakyi, contraint à la démission.
Le dirigeant ghanéen n’était pas le seul officiel impliqué dans ce scandale. La vidéo du journaliste ghanéen de la BBC apportait la preuve que des arbitres touchaient des pots-de-vin aux fins d’arranger l’issue des matchs du championnat ghanéen et des compétitions africaines. C’est ainsi que, filmé en train d’accepter 600 dollars de la part d’un journaliste se faisant passer pour un dirigeant de club ghanéen, l’arbitre assistant Marwa Range (Kenya), pourtant retenu pour le Mondial-2018 (il a dû y renoncer à cause du scandale), a été exclu à vie « de toute activité liée au football de la CAF» !
D’autres referees à l’exemple du Togolais Yanissou Bebou et l’arbitre assistant Jallow Ebrima (Gambie) écopent de 10 années de suspension. Des arbitres ivoiriens, maliens, burkinabè, mauritaniens et nigériens en ont eux aussi pris pour des peines allant de 2 à 6 ans. Enfin, 11 arbitres sont provisoirement suspendus «jusqu’à l’examen de leur cas par le jury disciplinaire le 5 août 2018». Au total, ce sont 22 officiels potentiellement sanctionnés. Et l’affaire ne fait que livrer ses premières conclusions. Il faut juste rappeler les aveux faits par l’arbitre sud-africain Victor Gomez à l’issue du match Plateau United (Nigeria)-USM Alger, en match de la Coupe de la CAF.
Celui-ci a révélé avoir été approché par des dirigeants du club nigérian qui lui ont proposé 30 000 dollars aux fins de «faciliter» la tâche de leur équipe. L’affaire révélée par le correspondant nigérian de la BBC a débouché sur la suspension de l’arbitre «intermédiaire», en l’occurrence le nigérian Joseph Ogabor suspendu par la Confédération pour une année pour «tentative de manipulation du match» Plateau United- USMA, disputé le 7 avril dernier à Lagos. «La décision fait suite aux enquêtes menées et aux preuves présentées par les officiels de match sud-africains de ladite rencontre, qui ont été contactés par Ogabor pour fournir une «assistance technique à l’équipe nigériane», précisait le communiqué de la CAF qui a sommé le club nigérian de «s’abstenir de pratiquer des cadeaux d’hospitalité qui ont tendance à créer une mauvaise impression».
M. B.
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Après l’assemblée générale pour la présentation des bilans moral et financier tenue il y a une dizaine de jours où, les membres de l’assemblée générale ont approuvé par une majorité écrasante les deux bilans présentés par l’équipe dirigeante de la saison sportive 2017/ 2018, voilà venu le tour de l’assemblée générale élective tant attendue par les fans des Haracta.
Pour rappel, juste après la levée de la séance de l’assemblée générale des bilans et comme le veut l’usage, une commission a été dégagée pour recueillir les dossiers des candidatures pour les prétendants à briguer un mandat à la tête de l’équipe phare des Haracta, l’USMAB. Entretemps, des rumeurs ont circulé dans les milieux sportifs de cette ville, des rumeurs avançant çà et là des noms de personnes. Mais, aucun dossier n’a été officiellement déposé, gardant le suspens jusqu’aux ultimes minutes de la date de clôture de dépôt, c’est le nom de Berkani Halim qui fut retenu par la commission de candidature. Le dépouillement qui s’est déroulé au scrutin à bulletins secrets, a donné les résultats suivants : sur les 33 adhérents devant participer à cette élection, 30 ont répondu présents, 26 voix se sont déclarées favorables à l’élection de Berkani, 3 se sont manifestés par un non et un bulletin a été annulé. Pour rappel, le désormais futur patron de l’USMAB, en l’occurrence M. Berkani Halim, très connu dans les milieux sportifs de la région, puisqu’il a déjà présidé la destinée du club. Ce même président a été appelé à la rescousse par les supporters de l’équipe vers la fin de la saison écoulée où l’équipe était au bout du purgatoire, à 6 matchs avant la fin de la saison, l’équipe était dernière et tous les espoirs étaient presque perdus. Berkani a répondu favorablement à l’appel des supporters en engageant de fortes sommes d’argent de ses propres fonds. Heureusement que les résultats positifs étaient là et, victoire sur victoire, le pire a été évité grâce au soutien financier de ce président. Aujourd’hui, il ne reste qu’à tracer des objectifs à la hauteur de cette équipe qui a fait vibrer les stades des grands clubs, comme le MCA, la JET, le WA Tlemcen, l’USMA même une équipe d’Afrique. Moussa Chtatha
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La paire algérienne composée de Sid-Ali Hamidi et Youcef Belkhiri a été retenue par la Fédération internationale de handball (IHF) pour arbitrer au Championnat du monde féminin des moins de 20 ans qui se déroule actuellement en Hongrie, a-t-on appris auprès des concernés. Jusqu’à maintenant, les deux hommes ont arbitré trois matchs du tour préliminaire et le quatrième l’a été hier entre l’Espagne et la Croatie pour le compte de la 5e et dernière journée du groupe D. Les trois autres rencontres sont Roumanie – Japon (32-30) du groupe C ainsi que Croatie – Allemagne (25-24) et France – Suède (19-15) dans le groupe D. Hamidi (29 ans depuis samedi) et Belkhiri (27 ans le 25 juillet) avaient tapé dans l’œil de la Confédération africaine de handball et de l’IHF en janvier dernier, quand ils ont dirigé pour la première fois de leur jeune carrière arbitrale des matchs de la Coupe d’Afrique des nations Gabon-2018, dont la grande finale Tunisie-Egypte (26-24). En mars dernier, ils ont été invités par l’instance internationale, sur demande de la Fédération qatarie de handball, à diriger des matchs jugés importants et décisifs du Championnat du Qatar 2017-2018 qui était entré dans sa dernière ligne droite. La Fédération algérienne de handball considère que Hamidi, master 2 en éducation physique et professeur dans un lycée, et Belkhiri, doctorant en informatique à l’Université des sciences et de la technologie Houari-Boumediene (USTHB) représentent le futur du sifflet algérien. Elle leur a confié ainsi la dernière finale de Coupe d’Algérie féminine entre le HBC El-Biar et le GS Pétroliers, remporté par ce dernier (18-17), quelques semaines après avoir été victimes d’une agression lors du match entre l’AB Barika et l’OM Annaba, pour le compte de la dernière journée du Championnat de Nationale 1 (messieurs) et décisif pour l’accession en Excellence.
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Trois individus parmi les dix impliqués dans le détournement d’un camion-plateau de marchandises transportant un conteneur de 40 pieds qui devait être transféré du port commercial vers le port sec de H’djar Eddis (Annaba) ont été placés par le procureur de la République du tribunal d’El-Hadjar sous mandat de dépôt et écroués à la prison de Bouzaâroura, indique un communiqué de la cellule de communication de cette institution.
Il s’agit d’un douanier, du chauffeur propriétaire du camion, et du propriétaire d’une maison en construction.
Les sept autres individus impliqués dans cette affaire ont été placés sous contrôle judiciaire. Après la découverte par les éléments de la brigade judiciaire du Groupement de la Gendarmerie nationale de Annaba du conteneur, abandonné vide au lieudit Zourami, dans la wilaya d’El-Tarf, les gendarmes ont poursuivi leurs investigations afin d’arriver aux malfaiteurs.
Et moins de 48 heures après la découverte du conteneur, ils ont pu faire la lumière sur les tenants et les aboutissants de cette affaire.
Arrêté près de son domicile à Bouzaâroura, le chauffeur propriétaire du camion, répondant aux initiales de Z. A., un récidiviste, a essayé de mettre le feu au camion dans le but d’intimider les gendarmes. Mais ces derniers, imperturbables, lui ont, en fin de compte, fait avouer son forfait et le lieu où il avait caché la marchandise. Elle était chez un de ses amis et complice propriétaire d’une maison en construction dans la commune de Chbaïta-Mokhtar (El-Tarf).
La totalité de la marchandise a été récupérée et remise aux services de la douane de Annaba.
Pour rappel, la marchandise du conteneur détourné faisait partie d’un convoi d’une dizaine de camions qui devait rallier le port sec de H’djar Eddis, à partir du port commercial de Annaba.
Le chauffeur, profitant de la longueur du convoi, a faussé compagnie à ses collègues chauffeurs, en prenant une route autre que celle qui mène au port sec. Cette affaire a intrigué plus d’un à Annaba, laissant libre cours aux rumeurs les plus fantaisistes. Certains évoquaient une affaire de drogue, d’autres d’armes, alors qu’il s’agissait tout simplement de fournitures scolaires et bureautiques d’une importante valeur qui avaient quand même tenté les individus mis en cause dans ce vol un peu spécial.
A. Bouacha.
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Au cours de la semaine écoulée, agissant sur des informations et après plusieurs plaintes déposées par des victimes faisant état de vols perpétrés dans des propriétés privées et sur chantiers de construction, selon des sources dignes de foi, le Groupement de la gendarmerie de Aïn Defla a entrepris des investigations pour faire la lumière sur ces méfaits qui portent atteinte aux biens d’autrui.
Toujours selon des sources concordantes, les éléments des brigades locales des communes de Miliana et de Aïn Torki, à l’issue des investigations, ont fini par identifier progressivement, l’un après l’autre, les éléments d’un trio de repris de justice qui s’était spécialisé dans les vols par effraction dans des domiciles, des commerces et dans différents chantiers de construction.
Des sources locales concordantes indiquent que ce trio avait établi son repaire dans la zone forestière de Sidi Sbâa au sud-est du quartier Zougala dans la commune de Miliana.
Après l’arrestation des éléments du trio, originaires respectivement de la commune de Aïn Torki, de Miliana et du quartier Zougala, une fois le repaire découvert, les gendarmes, sur autorisation du procureur de la République, y ont opéré une perquisition et y ont découvert un important lot de pièces détachées, des outils dérobés dans les chantiers, de l’argent, des armes blanches.
Tout le butin volé a été saisi en même temps que 600 bouteilles de boissons alcoolisées, destinées à la vente sauvage, appartenant à un quatrième individu. A la fin de la semaine écoulée, les quatre éléments du groupe qui écumait toutes les localités aux alentours de Miliana ont été déférés au parquet du tribunal de Miliana.
Selon les informations que nous avons pu récolter sur cette affaire, après instruction du dossier, lors du procès, le procureur de la République a requis contre chacun des quatre prévenus une peine de 3 années de prison ferme.
Après les délibérations, le magistrat qui a jugé l’affaire en première instance a retenu 18 mois de sursis pour chacun des mis en cause.
Selon des témoignages présents à l’audience, des youyous ont été poussés dans l’enceinte du tribunal par les membres des familles des justiciables.
Karim O.
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Selon une source policière confirmée, le casse de la pharmacie sise avenue de l’Indépendance à El Attaf a eu lieu dans la nuit de mardi à mercredi dernier.
Dès que la Sûreté de la daïra a été avisée par un appel téléphonique donné par le voisinage de la pharmacie, une équipe d’enquêteurs des services de la police judiciaire s’est déplacée sur les lieux et a entamé les investigations.
Selon les premières constatations, les policiers se sont doutés que l’auteur du vol par effraction qui s’est introduit par le plafond de l’officine n’avait pratiquement pas eu le temps de s’éloigner du lieu de son forfait. L’idée n’a pas été vaine puisque en grimpant sur la terrasse, les agents ont découvert l’individu armé d’armes blanches et en possession du butin volé : 6 378 comprimés psychotropes et une somme de 400 millions de centimes, caché en attendant le départ des policiers pour disparaître.
Poursuivant leurs investigations, les enquêteurs ont pu identifier deux complices qui avaient pris part au casse. Ils ont été arrêtés à leur tour, et la moto utilisée pour commettre ce vol et la drogue destinée à être injectée dans les circuits de commercialisations ont été saisies.
Les trois individus, âgés de 25 à 31 ans, tous les trois résidant à El Attaf, ont été déférés au parquet en fin de semaine. Après les avoir entendus, le magistrat instructeur les a placés en détention provisoire en attendant d’être jugés pour les charges qui ont été retenues contre eux.
K. O.
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L’ambassadeur de France à Alger Xavier Driencourt a réagi hier suite aux informations concernant la réduction du nombre de visas accordés par la France aux Algériens. « Il n’y a pas de réductions », a-t-il déclaré sur la chaîne El Bilad.
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Par O. Hind.
La place de la Grande-Poste a accueilli dans la matinée de samedi dernier la 5e édition de la manifestation «L’art dans la rue» organisée par l’association «Mawaheb wa Afaq» d’Alger et Go Event.
La journée qui devait débuter à 11h et s’étendre jusqu’à17 h a dû commencer en fait à 9h et s’est terminée à 14h en raison de la diffusion d’un match de football qui devait débuter à 15h au niveau de la Grande-Poste comme c’est le cas depuis le début de la Coupe du monde. Cette année force est de constater qu’il n’y a pas assez de monde, ou peut-être que l’engouement des artistes algérois a faibli? Peut-être. Beaucoup d’artistes issus des différentes régions du pays ont pris part en tout cas à cette journée, ce qui n’est en rien négatif. Un jeune dessinateur de Relizane témoigne que chez lui il n’y a rien. Il a fait le déplacement avec ses propres moyens pour participer à cette journée et prendre des contacts. En effet, le but essentiel, d’après les organisateurs, étant celui de faire rencontrer les artistes entre eux, partager et échanger des idées sur leurs activités respectives, d’où notre reproche sur le manque d’artistes professionnels connus à cette journée.
Néanmoins, sans vouloir être fataliste, on peut souligner tout de même que cette édition fut tout aussi riche que la précédente et a vu le passage sur scène de nombreux artistes, que ce soit des chanteurs, des acrobates, des amateurs de beat boxing, jongleurs ou autres disciplines artistiques dispatchées à travers les espaces verts de la Grande-Poste comme l’art plastique, entre dessin et peinture, sur enfant ou sur papier, ou encore la photo sans oublier la présence de quelques artistes amateurs de musique acoustique telle que celle de la guitare. Une ambiance bon enfant régnait au niveau de la Grande-Poste malgré la chaleur estivale qui régnait. De la bonne humeur aussi dans la bouche des organisateurs que l’on a interrogés et qui ont su remplir leur mission malgré les soucis qu’ils ont dû affronter et ce, jusqu’à la veille de la manifestation. Des problèmes liés essentiellement au manque de budget alloué à cette association affiliée au ministère de la Jeunesse et des Sports. Un manque de logistique et de matériel qui a pu être réglé à temps grâce à Kamel Haddad qu’on on a tenu à remercier chaleureusement. Ce dernier a mis à leur disposition de la peinture pour que les artistes puissent créer in situ. Pour Louagui Nassira responsable de l’association Mawaheb wa Afaq, elle a fait savoir que l’APC a mis les moyens entre sono, tables, chaises et le lieu bien sûr. «Nous avons déjà travaillé sur cette manifestation. La première date de 2016. L’APC nous avait donné la possibilité de le faire.
Ce genre d’événement est très demandé par la jeunesse car il y a beaucoup de talents dans tous les domaines, pas seulement les musiciens qui veulent s’exprimer. C’est très important pour eux. Le but principal est de faire rencontrer les jeunes, faire connaissance, partager leur talent. Dans les éditions précédentes nous avons été aussi aux Sablettes, au parc Dounia qui fut une très belle expérience au printemps. C’est très beau car c’est le partage d’un moment ensemble. Ils forment des groupes aussi. Ça permet à certains, qui hésitent, de pouvoir s’exprimer. C’est un tremplin pour les jeunes artistes de franchir des caps en s’exprimant devant un public par exemple. Nous avons eu beaucoup de demandes d’artistes des autres wilayas qui voulaient être hébergés, mais par manque de moyens, nous n’avons pas pu le faire. Il y a eu beaucoup de rapprochements et des choses qui se sont faites entre artistes.» Pour sa part, Abada Fatma Zohra, étudiante en archéologique et membre de l’association soulignera pour sa part que cet événement a été créé grâce à l’association qui a connu plusieurs lieux de déroulement, mais la Grande-Poste reste l’endroit de prédilection. «Il y a pas mal d’artistes comme vous voyez ou jeunes groupes qui se sont formés suite au lancement de la première édition de cette manifestation, car le but c’était vraiment de favoriser les rencontres. Il faut rappeler que certains de ces jeunes artistes sont venus de partout. Je citerai de Constantine, Mascara. Nous avons reçu énormément de demandes pour les héberger mais malheureusement nous n’avons pas les moyens. C’est pourquoi je lance un appel aux sponsors pour qu’ils nous aident la prochaine fois, etc.» Sur scène on a dénombré une vingtaine d’artistes mode solo ou par groupe avec un temps de passage très réduit pour laisser la majorité passer.
Le public assis dans les escaliers a passé en tout cas un bon moment. Certains se sont levés spontanément pour danser. Certains jeunes chanteurs n’ont pas démérité et ont su vraiment mettre de l’ambiance. Une initiative en tout cas à encourager vivement et à soutenir. Aux artistes aussi de s’engager davantage par leur présence et notamment pourquoi pas en donnant un coup de main effectif. Car le militantisme c’est ça aussi. Beaucoup d’artistes vous diront qu’ils aiment faire sortir l’art dans la rue sauf que ces derniers n’étaient pas présents, à cette journée bien particulière et c’est bien dommage.
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Le Festival international de la bande dessinée d’Alger (Fibda) reviendra du 2 au 6 octobre 2018 pour une 11eédition placée sous le signe del’érable.
C’est, en effet, le Canada,pays ayant énormémentapporté au 9e art, dont un certainSuperman, qui sera àl’honneur cette année. Des bédéistes et scénaristes canadiens,francophones et anglophonesseront présents à cette11e mouture, du côté desconférences ou/et des ventesdédicaces.
Désormais tradition du Fibda, les concours internationaux etnationaux sont pour leur part d’ores et déjà lancés, entreconcours de jeunes talents,d’espoirs scolaires et des professionnels.Tout comme lors de la 10e édition,le Fibda se dérouleracette année sur deux emplacementsen simultané, à savoirl’Esplanade Riad El-Feth (El-Madania) et le Palais de la cultureMoufdi-Zakaria (lesAnnassers), où nombre d’activitéssont à retrouver (gaming, projections, concerts…). Desstands seront également aumenu, dont une nouveauté : la boutique officielle du Festival.
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Deux noyades annoncées pour ces dernières 24 heures par le service de communication de la Protection civile au niveau des plages de Béjaia et de Skikda et quelque 1172 personnes sauvées hier dans un bilan élargi où l’on a enregistré 26 noyades depuis l’ouverture de la saison estivale dont 14 dans des plages surveillées.
La Protection civile rappelle que son dispositif de surveillance et de sauvetage a effectué 14660 interventions de sauvetage durant lesquelles 9000 personnes ont été sauvées.
Aussi, les noyades dans les plans d’eau ne cessent d’augmenter, ajoute la même source au micro de la radio Chaine 3. A ce titre, la même source rapporte qu’il y a eu 36 décès dont la plupart dans des marres d’eau et 9 dans des retenues colinéaires d’eau suivies des oueds avec 6 personnes noyées et en fin 4 personnes ayant trouvé la mort au niveau des barrages.
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Roberts sera cédé à Leicester pour 11M€
Le feuilleton du transfert de Riyad Mahrez à Manchester City est terminé. En effet, selon nos informations, les deux clubs (Leicester City et Manchester City) ont trouvé un accord final au sujet de cette transaction qui aura tenu tous les Algériens en haleine durant plusieurs mois. L’international algérien peut désormais souffler, puisque son rêve de rejoindre un très grand club européen s’est enfin concrétisé. Les négociations ont été longues et difficiles, mais le plus important est qu’un accord a été conclu hier. Ne reste que quelques détails minimes à finaliser avant d’annoncer à l’opinion publique ce deal..
L’officialisation du transfert devrait se faire aujourd’hui ou demain
Et justement, et selon une source proche du dossier que nous avons contacté hier, l’officialisation du transfert de Mahrez à Manchester City devrait se faire aujourd’hui ou demain au plus tard. Le joueur qui était à Paris ces derniers jours en compagnie de sa petite famille et qui était attendu dans un premier temps hier du côté d’Evian afin d’entamer la préparation avec Leicester, devrait se rendre aujourd’hui en Angleterre pour apposer sa signature sur le nouveau contrat. Un contrat avec les Citizens qui devrait s’étaler jusqu’en juin 2023, soit pour cinq années.
La visite médicale se fera dans la foulée
Pour ce qui est de la traditionnelle visite médicale, nous avons appris que celle-ci se fera une fois l’officialisation du transfert actée. Le joueur effectuera cette visite médicale dans un centre spécialisé qui appartient aux Citizens et une fois que celle-ci sera terminée, il posera avec le maillot de son nouveau club. Une image qu’auront longtemps espérée et attendue les fans du joueur à travers le monde et en particulier, les Algériens.
Le montant de la transaction estimé à près de 68M€
Pour ce qui est du montant de ce transfert, il serait de 60 millions de livres sterling, soit près de 68 millions d’euros. Dans un premier temps, la direction de Leicester City demandait 90 millions d’euros pour laisser partir son meilleur joueur. Une somme exagérée, refusée illico par les Citizens. Cela qui a bloqué durant un bon moment les négociations avant que celles-ci reprennent. Les Foxes ont finalement revu à la baisse leurs exigences, eux qui savent bien que le joueur n’a plus envie de poursuivre l’aventure avec eux une saison de plus. Donc, pour l’intérêt de tous, ils ont accepté de le céder pour près de 68 millions d’euros.
Roberts sera cédé à Leicester pour 11M€
Dans l’accord conclu entre les deux parties au sujet du transfert de Riyad Mahrez, la formation de Leicester va enregistrer l’arrivée prochainement dans ses rangs du joueur Patrick Roberts qui a évolué la saison passée au Celtic Glasgow, mais qui, contractuellement, appartient à Manchester City. Le jeune attaquant anglais arrive chez les Foxes pour un montant estimé à 11 millions d’euros. La direction de Leicester a finalement bien étoffé son effectif pour pallier le départ de l’ancien Havrais, puisque, en plus de Roberts, le club a déjà engagé le très prometteur ailier, James Maddison. Les Foxes pourraient même recruter l’attaquant de Lyon, Bertrand Traoré, à en croire certains médias anglais.
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Un hommage a été rendu samedi au cimetière chrétien de Diar-Essaâda (El Mouradia) à Alger, au chahid Henri Maillot lors d`une cérémonie de commémoration à l’occasion du 56ème anniversaire de sa mort, le 5 juin 1956, sous les balles des forces d`occupation coloniale.
La cérémonie de recueillement s`est déroulée en présence du ministre de la Communication, Djamel Kaouane, et d’anciens moudjahidines et moudjahidates.
M. Kaouane a souligné que « c’était au titre du devoir de mémoire que nous nous recueillons aujourd’hui à la mémoire d’Henri Maillot », relevant que « c’est un hommage rendu à tous les fils et filles de l’Algérie qui ont consenti des sacrifices suprêmes pour la libération de notre cher pays ».
Pour le ministre de la Communication, « Henri Maillot, à l’instar de Fernand Yveton, Maurice Audin et le couple Chaulet sont des Algériens, des martyrs pour certains et des moudjahidines pour d’autres, donnant l’exemple du couple Chaulet qui ont participé activement à l’oeuvre de la reconstruction du pays ».
« C’est un hommage justifié à ces fils de l’Algérie, qui ont contribué à la libération de notre pays », a-t-il soutenu
Pour sa part, la moudjahida Ighilahriz a indiqué que « les Français qui ont défendu l’Algérie, dont Henri Maillot, étaient nos frères, des chouhadas. Ils ont été arrêtés et torturés comme nous ».
Une gerbe de fleurs a été déposée devant la tombe d’Henri Maillot, dont les qualités, notamment son engagement pour la liberté, son humanisme et son combat pour l’indépendance de l’Algérie ont été soulignées.
Né le 11 janvier 1928 à Alger, d`une famille européenne, Henri Maillot rejoint très tôt le PCA (Parti communiste algérien) après avoir été secrétaire général de l`Union de la jeunesse démocratique algérienne.
Employé en tant que comptable au quotidien Alger Républicain, il est mobilisé par l`armée française comme aspirant en 1956 dans la région de Méliana. Le 4 avril de la même année, il déserte et prend le maquis en détournant un camion d`armes. Il meurt sous les balles de l`armée coloniale le 5 juin 1956 à Chlef.
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L’importante réunion des walis et des présidents d’APC au niveau des wilayas frontalières a été annulée. Prévue samedi prochain au Centre international des conférences (CIC), Abdelatif Rahal, au Club des pins, consacrée à l’examen du développement local et de la gestion administrative de ces localités, en présence des ministres concernés, a été reportée à une date ultérieure. Le ministère de l’Intérieur, qui organise ce conclave, aurait informé les walis et les P/APC de cette décision motivée par une instruction des plus hautes autorités. Ce report de dernière minute pourrait être justifié par un mouvement imminent dans le corps des walis et des services de sécurité dans les prochains jours. Ce qui rend parfaitement normal la mesure qui consiste à attendre que les nouveaux walis des régions et localités concernées soient installés, avant de les convoquer à ce type de réunion consacrée à des problèmes de gestion locale dans des zones frontalières particulièrement sensibles.
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Par Arezki Slimani.
La fermeture de route serait-elle devenue le moyen de revendication le plus indiqué. On est tenté de le penser à Béjaïa tant ce fléau est récurrent.
La région de Béjaïa s’est de nouveau réveillée hier pour découvrir à ses dépens et à ceux de ses habitants et visiteurs un de ses plus importants axes routiers obstrué à la circulation. C’est loin d’être un fait naturel mais c’est humain. Des citoyens, non contents d’un cadre de vie qui tarde à s’améliorer sont venus encore une fois «empester» la vie à ceux qui n’ont aucun tort dans l’affaire mise en avant. La RN 26 est restée coupée à la circulation dans les deux sens durant toute la journée d’hier. Des citoyens ont déversé leur colère dans la rue revendiquant l’aménagement urbain d’une cité. Cela est suffisant pour bouleverser le quotidien des milliers d’usagers de la route contraints à un détour tout aussi compliqué par la commune de Tifra pour rejoindre Béjaïa dans les deux sens. Un calvaire aggravé par une température très élevée qui perdure depuis trois jours.
Une chaleur caniculaire qui porte le nombre d’interventions de la Protection civile à quelque 13.193 cas recensés depuis le premier semestre de l’année en cours. Dans son dernier bilan, la Protection civile de Béjaïa précise que 5982 malades, 1281 blessés (chutes, diverses causes…) ont été évacués vers les différents centres de soins. Sur les routes, outre les coupures, dont on a fini par ne plus s’étonner, pas moins de 793 accidents de la circulation routière s’y sont produits, engendrant 911 blessés et 10 décès», selon le même bilan.
La Protection civile fait état également de 196 accidents, 237 blessures et 10 morts rien que pour le mois de juin dernier. En matière de lutte contre les incendies, les pompiers de Béjaïa sont intervenus 481fois avec les sorties d’engins pour éteindre pas moins de 331 incendies. Les secours de la Protection civile ont été sollicités pour éteindre 109 feux, tous types de feux confondus durant le mois de juin seulement.
Afin de faire face à un été qui s’annonce des plus chauds, une colonne mobile a été installée hier, pour la lutte contre les feux de forêts, un renfort particulier en moyens humains et matériels, sept engins de type 4×4, un CCI, un camion-ravitailleur, un bus, une ambulance médicalisée, un effectif d’une cinquantaine d’éléments.
Le bilan de la Protection civile, qui reste dans la moyenne par rapport aux deux dernières années, n’est pas aussi inquiétant que le fléau de fermeture des routes qui tend à devenir une règle. Un état de fait qui inquiète autant les usagers en particulier et les citoyens en général, que les opérateurs qui pensaient enfin avoir désengorgé quelque peu les routes après l’ouverture de l’échangeur des Quatre Chemins. Mais il était dit que l’enfer sur les routes de Béjaïa sera de règle tant que les élus portés aux commandes locales ne versent pas dans l’anticipation. La fermeture de la Route nationale 26 a été pourtant largement médiatisée sur les réseaux sociaux, mais cela n’a pas pour autant suscité une quelconque initiative de la part des autorités locales administratives ou élues pour s’enquérir du pourquoi de l’action et tenter éventuellement de l’étouffer dans l’oeuf. Ainsi vu la gestion des affaires locales à Béjaïa. Une gestion qui se singularise par un laisser-aller partout. La situation de la collecte des ordures à Béjaïa parle d’elle-même pour illustrer cette léthargie qui colle à la peau des responsables locaux qui ne s’empêchent pas toutefois de s’exhiber sur facebook à la moindre initiative, aussi futile soit-elle.
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Un policier a été accidentellement tué, samedi soir, par balle au cours d’une fête de mariage à Béni Slimane dans la wilaya de Médéa. A l’origine du drame, une balle sortie accidentellement de l’arme d’un autre policier convié à la célébration d’un mariage qu’abritait une salle des fêtes, selon les premiers éléments d’information. La victime S. Bachir (27 ans), exerçant au niveau de la sûreté de la wilaya de Laghouat, a succombé à ses graves blessures lors de son admission à l’hôpital de Médéa. Le défunt natif de Ouled Maârouf (Médéa) assistait au mariage d’un collègue. Ce drame remet en question la présence des armes dans des fêtes familiales qui requièrent une certaine sérénité.
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Par Ilhem Terki.
«Les dernières techniques adoptées par les réseaux de trafic et de falsification des voitures, causent des préjudices à plusieurs citoyens victimes du vol de leurs véhicules…»
Les criminels sont de plus en plus actifs, plus créatifs et rusés. De nouvelles méthodes sont adoptées par les criminels qui ne cessent de développer leur technicité afin de mieux structurer leur crime. Cette semaine, deux dangereux réseaux de vol de véhicules ont été démantelés par les services de sécurité. Les coupables ont été déférés par-devant le parquet. Selon une source sécuritaire, ces derniers mois les services de sécurité ont démantelé plusieurs réseaux spécialisés dans le vol de véhicules. Cette criminalité a pris de l’ampleur. «La Police nationale démantèle régulièrement des réseaux spécialisés dans ce domaine», a indiqué la même source, sous couvert de l’anonymat. «Les dernières techniques adoptées par les réseaux de trafic et de falsification des voitures, causent des préjudices à plusieurs citoyens victimes du vol de leurs véhicules», ajoute la même source.
Les automobilistes, impuissants, devant cet état de fait continuent à être surpris par la disparition de leurs véhicules, ou des pièces de la voiture, tels que les sièges, la radio et autres. Il s’agit d’un fléau qui préoccupe aussi bien les citoyens motorisés, que la police qui travaille afin de mettre fin à ces pratiques criminelles. Dans ce même sillage, les services de la sûreté de la wilaya d’Alger ont arrêté deux individus spécialisés dans le vol de véhicules sur l’axe Alger-Blida et récupéré trois véhicules volés, selon un communiqué, publié récemment par ce corps de sécurité.
«La section de lutte contre le trafic de véhicules de la brigade criminelle de la police judiciaire du centre a récupéré un véhicule volé dans son territoire de compétence et identifié l’auteur après le constat technique et le prélèvement des empreintes», précise la même source qui ajoute que le présumé coupable «accusé du vol d’une deuxième voiture, retrouvée à l’intérieur du parking d’un centre commercial, a reconnu les faits qui lui étaient reprochés et la perquisition de son domicile a permis la récupération des passe-partout utilisés dans le vol de voitures». Notre source ajoute que les investigations menées par les éléments de la police ont permis d’identifier son acolyte et de récupérer la troisième voiture. «Après la finalisation des procédures juridiques, les prévenus ont été présentés par-devant le procureur de la République territorialement compétent». Dans ce même ordre d’idées, un autre réseau criminel a été démantelé par les services de sécurité à Mostaganem. «Les éléments de la sûreté de la wilaya de Mostaganem ont démantelé un réseau criminel composé de huit individus qui ont escroqué 46 victimes et subtilisé des véhicules et des équipements de travaux publics acquis dans le cadre des dispositifs du soutien à l’emploi», selon ce corps constitué. Une enquête a été diligentée suite à une plainte d’un individu au sujet du vol de son véhicule. Les policiers ont très vite retrouvé la voiture recherchée. Poussant plus loin leurs investigations, ces derniers ont découvert que l’auteur du vol avait accompli ce méfait en représailles à la disparition de son camion acquis dans le cadre de l’Ansej. «La fouille du véhicule récupéré a permis la découverte de 62 dossiers comprenant des papiers d’identité, des chèques barrés et autres documents appartenant à d’autres personnes», indique la source sécuritaire, qui fait savoir dans ce contexte que, l’enquête a révélé que l’associé du principal suspect, originaire de la wilaya de Ouargla, avait utilisé de fausses identités pour convaincre les 46 victimes de Mostaganem à louer leurs véhicules et engins de travaux publics avant de disparaître. Malheureusement, jusqu’à présent, les policiers n’ont pu récupérer qu’un camion, découvert dans la wilaya de Tamanrasset.
Les recherches se poursuivent pour retrouver le reste des engins. «Pour constitution d’une bande de malfaiteurs, faux et usage de faux, escroquerie et usurpation d’identité, trois membres du réseau ont été placés sous mandat de dépôt alors que les recherches se poursuivent pour retrouver le principal membre du réseau», selon la même source.
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Par Massiva Zehraoui.
Si Dame nature a décidé d’offrir aux estivants tous les ingrédients leur permettant de passer d’agréables moments en famille ou entre amis en bord de mer, on ne peut en dire autant du staff travaillant sur ces mêmes plages.
Désormais, l’été est bien installé. Afin d’esquiver les grosses chaleurs, les citoyens affluent en grand nombre et à la moindre occasion, à la plage, pour un séjour ou ne serait-ce que pour une seule journée. Cependant, si Dame nature a décidé d’offrir aux estivants tous les ingrédients leur permettant de passer d’agréables moments en famille ou entre amis en bord de mer, on ne peut en dire autant du staff travaillant sur ces mêmes plages. On constate en effet, qu’aujourd’hui, ce n’est plus l’accès à certaines plages qui pose problème, mais bien les faux frais ou parfois même l’accueil des peu chaleureux qu’on réserve aux personnes venues passer un moment de détente. Ces malheureux faits, nous les avons vécus pas plus tard que vendredi dernier, au complexe touristique «le Grand Bleu», situé à la wilaya de Boumerdès. C’est aux environs de 13 h que nous entrons dans l’enceinte de ce site. Avant d’y accéder totalement, un jeune homme, dans une sorte de cabine et dont on aperçoit uniquement la moitié du visage, nous demande complaisamment de nous acquitter de la somme de 150 DA afin que l’on puisse garer notre véhicule. Une fois le parking payé, nous cherchons une place de stationnement non loin de la plage. Mais à pareille heure, il n’est pas aisé d’en trouver une. Après avoir roulé quelques mètres plus loin, un homme décide finalement de sortir son véhicule et de nous céder sa place. Après cet insignifiant petit désagrément, nous cheminons, les pieds dans le sable fin et brûlant, vers la plage. Le lieu est bondé de monde. En nous apercevant de loin, deux jeunes hommes s’approchent de nous; «vous cherchez une table pour vous installer confortablement?», s’empresse de dire l’un d’eux, grand de taille, le teint foncé, sans doute le résultat d’une trop longue exposition au soleil, et de corpulence moyenne, vêtu d’un short de plage, le torse nu. Il s’agit d’un des membres de l’équipe se chargeant de louer des parasols et des tables aux vacanciers. «On est d’accord pour prendre une table et des chaises mais en ce qui concerne le parasol nous en avons déjà un et nous allons l’installer», avons-nous suggéré. A ce moment là, son compère, moins bronzé et de corpulence moyenne, esquisse une grimace qui traduit son mécontentement. «Vous nous en voyez désolés, mais le règlement est catégorique là-dessus et dit que vous êtes dans l’obligation de payer la somme de 800 DA pour le parasol sinon vous ne prenez carrément pas de table», nous fait-il savoir usant d’un langage beaucoup moins soutenu. «Mais pouvons-nous savoir qui est-ce qui a dicté au juste ce soi-disant règlement?» Après un moment de silence quelque peu embarrassé, le jeune qui nous a abordé en premier, nous répond alors l’air gêné; «heu…eh bien, une chose est sûre, ce n’est pas nous qui fixons les règles». «Ecoutez c’est à prendre ou à laisser, c’est comme ça et ça ne sert à rien de parler», s’emporte un troisième qui a entendu les échanges. Le jeune homme en short, intervient et tente de détendre l’atmosphère, «mais allons, nous sommes tous des citoyens algériens, vous êtes comme mes soeurs, on veut seulement vous trouver une place où personne ne viendra vous embêter», dit-il de façon enjouée. Mais c’est sans compter sur notre détermination à avoir le fin mot de l’histoire. «Oui d’accord, c’est bien tout ça, mais entre citoyens, on doit être solidaires, mais nous avons la vague impression que vous êtes là pour escroquer les gens en leur soutirant de l’argent à tout-va.» C’est par un large sourire que notre interlocuteur nous rétorque; «Non non, loin de nous cette idée, je vous répète pour la énième fois que ce n’est pas nous qui instaurons les règles». «Si vous voulez rouspéter, allez donc vous plaindre à votre gouvernement», assène son «adjoint», beaucoup moins docile, sous les regards curieux des personnes qui étaient assises aux alentours. Nous refusons toujours de lâcher l’affaire, et les «négociations» vont bon train. Nous insistons en leur faisant comprendre qu’il n’est pas normal de payer la somme exigée, sans parler du fait qu’elle soit exagérée pour un parasol, alors que nous en disposons déjà. A cette remarque, ils se font eux aussi insistants; et dans un langage populaire ils nous disent «hna machi la mafia, les vrais bandits agissent dans l’ombre, nous faisons notre job, sans plus». Là encore nous répliquons en leur demandant, si eux trouvent normal d’être obligés de débourser autant d’argent, juste pour passer quelques heures à la plage; «Après tout, elle ne vous appartient pas.» «Oui ce n’est pas normal, mais c’est ainsi, c’est notre pays, rien ne fonctionne dans les normes» nous dit l’un des jeunes avant de couper court et de conclure «vous avez le choix, ou vous payer, ou vous allez vous installer à même le sol et loin du parking». Après «d’âpres tractations», et face à notre insistance, les jeunes hommes acceptent finalement de nous laisser installer notre parasol. «Nous ne sommes pas méchants, on ne fait pas ça pour le plaisir croyez-le, on reçoit des ordres et on exécute», finit par nous dire l’un d’eux, avant que son camarade n’ajoute non sans une pointe de sarcasme «mais que ça ne devienne pas une habitude, hein!» Ce genre d’expérience nous renseigne que ces tristes faits ne sont que le résultat de l’impunité dont jouissent ces groupes, qui n’ont, au fil des années pas cessé de gagner du terrain et dont les membres agissent sans aucun scrupule en arnaquant par tous les moyens envisageables le «petit peuple».
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