Le coup de tête de Samuel Umtiti a permis à la France de s’imposer 1-0 face à la Belgique à Saint-Pétersbourg et d’accéder ainsi à sa troisième finale de Coupe du monde en 20 ans.
Le ciel s’éclaircit… La France, en quête d’une seconde étoile, s’est qualifiée pour la finale du Mondial-2018, au terme d’une demi-finale à suspense contre la Belgique (1-0), mardi à Saint-Pétersbourg. Il reste une victoire aux Bleus pour s’élever une nouvelle fois sur le toit de la planète après 1998: dimanche à Moscou, ils partiront, certes, favoris sur le papier, mais le match se jouera sur le rectangle vert. La comparaison entre la jeune génération de Paul Pogba et celle de ses glorieux aînés tient toujours: il y a vingt ans contre la Croatie, Lilian Thuram avait inscrit un doublé venu de nulle part pour envoyer les siens en finale. En 2018, c’est encore un défenseur, tout aussi inattendu, qui a libéré son pays: Samuel Umtiti a placé sa tête, sur un corner d’Antoine Griezmann, pour tromper Thibaut Courtois, le gardien qui avait dégoûté le Brésil au tour précédent (2-1). Alors que son collègue de charnière centrale Raphaël Varane lui avait volé la lumière contre l’Uruguay en quarts (2-0), le joueur du FC Barcelone, jusque-là en retrait et moqué pour avoir provoqué un penalty contre l’Australie en poules, a pris une éclatante revanche, à l’image de son équipe qui a encore prouvé du caractère.
Si les dribbles de Kylian Mbappé ou le charisme de Pogba captent les attentions, ce succès porte le sceau de la solidarité défensive française, du travail de l’ombre de N’Golo Kanté ou de Blaise Matuidi. Car la Belgique, avec ses géniaux Eden Hazard et Kevin de Bruyne, lui a posé bien des problèmes. Longtemps, le petit pays a rêvé de sa première finale mondiale, dans une rencontre qui a ressemblé à une guerre des nerfs plutôt qu’à une chaleureuse fête des voisins.
Mais la «génération dorée» belge, jamais titrée, va devoir encore attendre son tour.
Sur une lancée de 24 matches consécutifs sans défaite avant les Bleus, les Diables semblaient pourtant mûrs pour ramasser l’or en Russie. Ca sera peut-être pour l’Euro-2020… Déjà décisif contre l’Uruguay, Hugo Lloris a de nouveau sorti des parades salvatrices. D’abord sur un tir en pivot de Toby Alderweireld (21′) après un corner, dans une période de domination belge. Puis sur une frappe sèche d’Axel Witsel (82′), lors d’une fin de match à suspense. Marouane Fellaini, avec son 1,94 m, ou Romelu Lukaku ont aussi laissé planer une menace constante dans les airs. «Une finale, cela se gagne, oui, a lancé Deschamps. Parce que celle qu’on a perdue il y a deux ans (Euro-2016 face au Portugal) on ne l’a toujours pas digérée».
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Quelques semaines à peine après le meurtre d’un père de famille devant ses enfants, voilàque les loueurs de parasols remettent ça !
Une véritable guerre de tranchées a, en effet,opposé dans l’après-midi d’avant-hier mardi, deux bandes rivales ! Des témoins, nous rapportent, qu’ils n’étaient pas moins de 35 personnesarmées de diverses armes blanches àse rentrer dedans sur les côtes de Coralesdépendant de la commune de Bousfer à Oran.Bilan, deux blessés graves au couteau, l’un d’eux au niveau du cou.Pour ces bandes, la moindre étincelle se transforme en bagarre générale.
Très souvent à l’arme blanche. Ainsi, avant-hier mardi, le motif était qu’un des jeunes d’une bande rivale a embêté la petite amie d’un autre. Et les hostilités ont démarré. Au milieu des familles qui n’en peuvent plus de cette violencequi les menacent et menacent leurs enfants ! A Corales, on tue pour 1.200 dinars ! Le 20 juin, sur cette même plage, un père de famille, fonctionnaire à l’aéroport d’Oran,s’est fait poignardé à plusieurs reprises. Il est mort parce qu’il avait refusé de payer 1.200dinars à ces mêmes loueurs de parasols.
Ainsi, pour ces derniers, il n’était pas question que cette famille ramène son propre parasol. La règle qu’ils imposent, au vu et au su de tous, est de louer un parasol pour 1.200 DA.
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Par Kebdi Rabah.
Nous sommes en plein « Mondial » de Foot. Dans moins d’une semaine on connaitra l’heureux vainqueur. Bien après que les clameurs se seront tues, on parlera encore de ceux qui auront marqué cet évènement pas seulement au sens footballistique du terme.Le Foot a en effet atteint une telle notoriété que tout ce qui contribue à marquer (avant, pendant et même après) l’évènement, sera indélébilement comptabilisé comme faisant partie de son histoire. C’est dire que depuis sa création en 1930, en vingt éditions, un passé formidable a eu le temps de s’écrire, de se densifier et de passionner des milliards de gens de toutes conditions, de toutes professions. Des légendes ont été écrites, des livres ont été édités, des films produits à profusion. Bien sûr cette histoire réserve ses faveurs en priorité aux grandes nations qui se sont partagé les 20 trophées, aux grands acteurs qui se sont illustré balle aux pieds, mais il serait erroné de penser qu’ils en ont l’exclusivité. Certains pays qui ne l’ont jamais remporté, ni même réussi à dépasser les tours primaires, ont quand même laissé leur empreinte, à leur manière, au point qu’il est impossible aux historiens de parler de l’épreuve sans les citer. L’Algérie, avec quatre modestes participations, en est l’un d’eux. Elle fera parler d’elle à trois reprises dont une seule fois en tant qu’acteur direct.
D’abord en 1958 lors de la sixième édition organisée en Suède. Remportée par le Brésil, elle a vu la consécration pour la première fois de son histoire d’une « Nation-Foot » avec un jeu de rêve et la naissance d’un jeune prodige, sans doute le plus grand à ce jour, nommé Pelé. L’Algérie n’existait pas en tant que Nation, c’était un département de la France de près de sept millions d’indigènes qui s’étaient mis dans la tête que près de cent trente ans de présence coloniale suffisait amplement pour une « mission civilisatrice ». Aussi prirent-il la résolution d’en découdre par les armes avec la « mère patrie » et se lancèrent dans une insurrectionle premier novembre 1954. Pour la France métropolitaine, loin du champ de bataille, il s’agissait de troubles mineures internes, à traiter fermement sans trop d’inquiétude ni de publicité. Au demeurant, il y avait plus important que quelques fellagas : toute une équipe à préparer en vue de la coupe du monde dont la France est partie prenante pour la phase finale. Elle se doit de faire bonne figure, il y va de la renommée du coq gaulois pas tout à fait remis de la débâcle du 10 Mai 1940. L’équipe de France renferme en son sein des éléments de valeur, issus de la grande équipe de Reims, deux fois finalistes de la coupe d’Europe des Clubs Champions.
Elle avait aussi deux perles originaires de la colonie : Mustapha Zitouni et Rachid Mekhloufi, évoluant respectivement à l’AS Monaco et à l’AS Saint Etienne. Deux joueurs exceptionnels parmi tant d’autres titulaires dans les autres équipes du championnat de France.
L’Algérie, colonie de la France, n’avait pas le droit de figurer parmi les prétendants au voyage en Suède. Et bien qu’à cela ne tienne, elle fera parler d’elle autrement, autant sinon plus que n’importe laquelle des nations disputant cette coupe du monde. Comment ? D’une façon tout à fait remarquable et inattendue : Le FLN (Front de Libération Nationale) donna l’ordre à tous les footballeurs professionnels « indigènes » jouant en France de quitter leur club employeur et de rejoindre Tunis pour former la fameuse équipe FLN. Lorsque la France découvrit brutalement le départ massif de tous ces joueurs, à la veille du coup d’envoi du Mondial de 1958, ce fut un séisme pour l’opinion Française et internationale qui prit conscience enfin qu’on ne joue plus sur leur terrain, qu’il y a un pays engagé dans une guerre pour un idéal de liberté qui surclasse toutes les joutes et les médailles. C’était cela le message des joueurs qui abandonnèrent richesse et carrière pour former la glorieuse équipe du FLN. L’équipe de France quant à elle se classa troisième à cette coupe du monde et Just Fontaine, doublure de Rachid Mekhloufi, établit son record de buts inscrits (13) inégalé à ce jour. Mais de ce Mondial c’est l’Algérie qui en tira le plus grand profit car, en plus d’être à l’origine de la constitution d’une « dream team » qui porta haut les couleurs nationales à travers le monde, ce fut pour sa cause un vecteur amplificateur d’une puissance plus grande que toutes les clameurs des stades réunies. Aujourd’hui encore cet évènement ressort comme fait majeur chaque fois que des historiens parlent de cette l’édition de 1958. Le meilleur joueur de ce tournoi, Raymond Kopa envoya même une carte postale de Suède à Tunis pour dire à ses ex équipiers qu’il les comprenait parfaitement.
Il y eut ensuite 1982 : Cela faisait vingt ans que l’Algérie est indépendante et que la Méditerranée a cessé de couper la France en deux. Désormais l’Algérie a un drapeau, un hymne national et une compagnie Aérienne. Elle a également une équipe de Foot Ball pétris de grands talents dont quelques-uns évoluent en France eh oui ! Cette équipe se qualifie brillamment et gagne son billet pour la première fois pour l’Espagne organisatrice de cette douzième édition. Tout un peuple, qui a plus que doublé depuis 1958, épris de culture Foot, est derrière son équipe surnommée les fennecs ou les verts. Malgré la valeur du onze Algérien, à l’exception des chauvins, tous sont conscients qu’en terme de niveau, on ne peut rivaliser avec les grosses cylindrées. Représentant,en compagnie du Cameroun,le continent Africain, l’essentiel pour nous est de faire bonne figure et éviter de rééditer « l’exploit » du Zaïre en 1974 qui perdit 0/9 contre la Yougoslavie. Ce serait honorable de perdre dignement contre l’Allemagne que le tirage au sort a placé dans notre groupe en compagnie du Chili et de L’Autriche. Contre toute attente l’Algérie fut à l’origine de deux faits majeurs qui ont fait le buzz dirait-on aujourd’hui. Le premier : celui d’avoir battu l’imbattable Mannshaft, futur finaliste de l’épreuve, et le second de l’avoir obligée à une parodie de match avec les Autrichiens (que tous appelaient dès lors Autricheurs) pour leur permettre de se qualifier au deuxième tour. L’Algérie fut éliminée, la seule à l’être après avoir gagné deux matchs sur trois, mais elle en est sortie grandie en donnant l’occasion à tous les observateurs de démystifier ceux qui se voulaient donneurs de leçon en matière d’éthique sportive. Depuis, la FIFA résolut de faire jouer les rencontres de troisième journée de chaque groupe en même temps. Etre à l’origine de la modification du règlement de la FIFA, peu d’équipes peuvent se targuer de le faire. Et bien l’Algérie l’a fait, elle a inscrit son nom dans la jurisprudence de la FIFA et c’est une manière de marquer la scène aussi bonifiant qu’une victoire.
Enfin, deux ans avant la fin du vingtième siècle, c’est à notre ex « mère patrie » que revient le privilège d’organiser le Mondial. L’Algérie n’y est pas, malgré les quatre places réservées à l’Afrique. En pleine décennie « rouge et noire », elle avait les bombes et les meurtres de masses à gérer. Les quatre places sont donc prises par le Maroc, le Cameroun, le Nigéria et l’Afrique du Sud. Mais l’Algérie toute absente avait un représentant sur place et pas des moindres. Ce sera le vainqueur du trophée et sera aussi élu meilleur joueur du tournoi. Ce Monsieur n’est autre que le grand .Zinedine Zidane. Le meilleur footballeur que la France ait connu et il est de père et de mère Algériens, Kabyles de la région de Bejaïa plus précisément. Aux yeux de la presse et du grand public, ça ne passe pas inaperçu et rien ne pouvait l’extraire du sillon de ses origines. Bien au contraire il mit un point d’honneur à le revendiquer,ce qui eut pour effet de voir se déployer le drapeau Algérien dans les stades au point où même la presse s’est vu obligée de l’intégrer dans son corpus médiatico-informatif. La victoire de l’équipe de France sur le Brésil fut aussi celle des beurs avec tout ce que cela sous-tend comme implication sur l’émigration et leur patrie d’origine. Un acronyme « BBB »: blancs, blacks, beurs fut inventé et mis à l’honneur pour clouer le bec à tous les racismes. Les Algériens ont supporté la France parce qu’il y avait Zidane, ils ont fait la fête, tous les ingrédients de l’émotion étaient là. N’est-ce pas le but même du mondial ? Huit ans plus tard, lors de la dix-huitième édition en Allemagne, ce même joueur, en finale, donna le coup de tête le plus célèbre de sa carrière. C’est Marco Materazi, un joueur Italien, qui le reçut en plein sternum. On ne saura jamais pour quelle raison exacte.
Zidane, l’auteur, le Franco-Algérien, refusa de s’expliquer, se contentant de dire que Materazi avait attenté à ce qu’il avait de sacré. Quand il a fallu donner une explication à ce geste, c’est dans les origines culturelles, familiales et Algériennes de son auteur que les spécialistes ont cherché à décrypter les motivations profondes d’une telle réaction.Malgré l’enjeu et son expulsion par l’arbitre, sachant l’attachement viscéral des Algériens à la protection de leur honneur « nif », il y eut très peu de gens à le condamner. Le Président de la République Français lui-même dit le comprendre.Présentement, l’affaire Benzema aurait pu prolonger en filigrané le souffle de l’Algérie sur l’actuelle édition, mais il est trop tôt pour en parler.
Ainsi, puisque l’état déliquescent de notre en Football nous empêche une fois de plus de vibrer et de battre la mesure au son du « one twothree », contentons-nous de penser que l’histoire retiendra qu’une présence mémorielle dans un Mondial équivaut à crever le petit écran balle au pied. Comme dans nombre de domaines, s’il est indispensable d’être, il n’est pas toujours nécessaire d’y être.
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Par Moncef Wafi.
200 à 300 Algériens figurent actuellement dans les rangs de Daech, selon un rapport d’une commission d’enquête du Sénat français. Ils font partie des 40.000 terroristes étrangers et plus recensés dans l’armée d’El Baghdadi, présents en Irak et en Syrie au même titre que les Tunisiens (2.000 à 3.000), les Marocains (1.600 à 1.700), les Indonésiens (700), ou encore les 600 Égyptiens. Selon le même rappoart, l’Europe reste le premier fournisseur en ressources humaines de Daech puisque 5.000 terroristes sont issus de l’Union européenne, la France étant à la première place de ce podium avec plus de 1.300 combattants suivie ex-æquo par le Royaume-Uni et l’Allemagne avec 800 terroristes chacun. Egalement présents sur les fronts syriens et irakiens 500 Belges, 250 Espagnols et 100 Italiens.
Les terroristes originaires de Russie et des pays russophones forment le plus gros des troupes de l’EI avec 4.000 à 4.500 djihadistes, «dont beaucoup originaires d’Asie centrale et du Nord Caucase», note le rapport. Les Américains, quant à eux, sont une centaine.
En février 2018, le fichier de traitement des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT) a recensé 19.725 «signalements actifs» dont 4.000 relevant du «haut du spectre», en d’autres termes «des personnes s’inscrivant dans une logique de pré-terrorisme». Près de 30% de ces profils résident en Ile-de-France. Sur les 19.725 fichés, plus de 3.000 sont de nationalité étrangère avec une majorité d’Algériens qui représentent 24% du total, 21,5% de Marocains, 16% de Tunisiens, 11% de Russes tchétchènes et 2,7% de Turcs, ajoute le rapport. Et c’est justement ce que craint l’Europe avec les risques de ces retours. En effet, ce sont environ 5.600 combattants étrangers dans les rangs de Daech qui sont retournés dans leur pays d’origine.
L’info donnée par le cabinet américain de conseil en sécurité, The Soufan Center, a de quoi sérieusement inquiéter ces 33 pays pourvoyeurs de terroristes, les mettant face à un défi sécuritaire de taille. Les différents services de renseignements ont déjà tiré la sonnette d’alarme quant à ce retour des hommes d’El Baghdadi, encore plus aguerris aux combats, le considérant comme la plus grande menace sur la sécurité intérieure des pays d’origine et de l’Europe en général. Le cabinet de consulting, qui évoque 53.781 terroristes qui ont rejoint les camps de Daech en Syrie, citant les chiffres établis par les autorités turques sur la base de données compilées par plusieurs pays, précise que 5.319 sont issus du Maghreb. La Tunisie et le Maroc étant les principaux pourvoyeurs de l’organisation avec respectivement 2.926 et 1.623 «combattants terroristes» alors que l’Algérie est relativement épargnée par ce phénomène avec quelque 170 recrues, parties combattre ailleurs.
Pourtant ces chiffres sont loin d’être exhaustifs puisqu’ils ne prennent pas en charge les autres voies du djihad international. Pour autant, les systèmes de défense mis en place par les capitales européennes, basés principalement sur le travail des renseignements et le fichage systématique des potentiels suspects n’a pas été concluant dans la mesure où les attaques terroristes ayant ciblé Barcelone, Berlin, Stockholm, Londres, Nice sont l’œuvre de loups solitaires. Le cabinet américain l’a bien compris lorsqu’il souligne toute la difficulté d’évaluer la menace terroriste suite à l’appel de Daech à survivre à sa disparition. Par ailleurs, les conséquences d’une défaite militaire des troupes d’El Baghdadi seront, à n’en pas douter, désastreuses pour la sécurité intérieure des pays du Maghreb, la Tunisie et le Maroc en tête d’affiche, dont les nationaux ou bi représentent les plus grands contingents de l’armée à la bannière noire.
Tous les rapports des services secrets étrangers convergent vers cette vérité et le dernier en date émanant de Moscou confirme cette tendance. La Russie avait prévenu d’une série d’attaques et d’attentats meurtriers durant cette période qui peuvent aussi concerner l’Asie mineure et les Républiques de Russie.
La menace est à prendre au sérieux surtout que le processus a réellement commencé, à en croire les services russes, avec le retour des hommes de Daech dans leurs pays respectifs sous de fausses identités, à bord de vols long courrier.
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Par M’hammedi Bouzina Med.
Déploiement des emblèmes nationaux, hymnes nationaux chantés avant la confrontation sur le terrain. Le football est-il un antidote à la guerre ? Comme celle dite « la guerre des cent heures » qui opposa le Honduras et la Salvador en juin 1969 suite à un match de foot?Les rencontres de football, particulièrement entre nations, soulèvent une multitude de passions, de comportements et d’engagements des supporters qui ritualisent sous forme de violence et de joie le caractère belliqueux et inné enfoui dans nos consciences depuis la nuit des temps, celui de la « domination de l’autre ». Tout y est: hymnes nationaux des deux belligérants annonçant le début de » l’affrontement », cris de guerre des supporters dans les tribunes, hurlement de slogans de ralliement des supporters, explosion de joie aux buts marqués contre l’adversaire, batailles rangées jusque hors des stades avant et après la rencontre pour les plus fanatiques. Mais pas que puisque les leaders des pays, chefs d’Etat compris assistent aux rencontres décisives pour exprimer la hauteur de l’enjeu qui se joue sur le terrain.
Au delà de la rencontre qui se veut être purement sportive et amusante se cache une confrontation, un affrontement, une bagarre où l’égo, le « moi », l’envie de dominer l’autre et de le battre est présente durant tout le match. Et pour peu que l’on perde son sang froid, on admet difficilement la défaite et la violence n’est jamais loin jusqu’entre pays, Etats et peuples. Rappelons-nous la « guerre des cent heures » en 1969 entre le Salvador et le Honduras lors d’un match de qualification pour la coupe du monde de 1970 qui eut lieu au Mexique. Les deux pays en sont venus aux armes, avions et chars d’assauts déployés qui ont fait près de 3.000 morts et 15.000 blessés, le renvoie de près de 100.000 salvadoriens du Honduras et un état d’alerte général dans les deux pays. Il a fallu attendre 10 ans pour que les deux pays signent un « traité de paix » ! Tout ça pour ça, pour un math de football. Et en ce qui nous concerne, a-t-on vite oublié « l’épopée de Oum-Dourmane » et le match qualificatif de l’Algérie face à l’Egypte en novembre 2009? Les deux pays ont failli rompre totalement leurs relations diplomatiques, des Algériens résidents en Egypte, notamment des étudiants, ont été contraints de quitter le pays et leurs études sans parler de l’hystérie qui s’est accaparée des deux peuples où l’insulte et la haine avaient atteint un seuil paroxystique. Un match de football n’est donc pas une simple rencontre festive ou sont magnifiés l’effort, l’endurance et… l’art de manier une balle ronde. C’est un « affrontement » inconscient et conscient à la fois entre les « Hommes » où il est question de force, de ruse, de domination. Le jargon du football est truffé de vocabulaire de guerre: on y parle sans cesse de stratégie, de tactique, de défense, d’attaque, de meneur, de capitaine, de force mentale etc. comme dans une bataille sur un champ de guerre. Le rituel est semblable à celui d’un combat entre deux parties engagées pour un enjeu de « domination » de l’autre. Le football, invention anglaise du 19ème siècle a réinventé les cirques de l’antiquité où se battaient à mort les gladiateurs sous les hurlements jouissifs et hystériques du peuple et de ses chefs.
Le stade de football n’est rien d’autre que le cirque d’antan avec son arène et ses gradins. Les meilleurs gladiateurs étaient célébrés, couverts de présents et libérés lorsqu’ils étaient esclaves. Aujourd’hui on les appelle les « stars » du football, ils sont adulés, vénérés, enrichis comme crésus et adorés comme des dieux: les Cristiano Ronaldo, Messie, Hazard et avant eux les Cruijf, Pelé, Mardonna etc. ont leurs statues de cire dans des musées à Londres, Paris et ailleurs et pour certains des statues sur des places et les entrées des stades et des villes qui les ont eu dans leurs clubs. Du coup, l’incontournable lien entre la politique et le football ( et autres sports populaires) est inévitable. La passion populaire du sport le plus populaire qu’est le football ne peut échapper aux appétits des politiques en quête de pouvoir. Cela va du club local jusqu’au team national.
Des stars du football se sont vues propulsées à des postes politiques ou à défaut servir des missions au service de politiques. Mieux, en Afrique l’ex-star du football du Libéria, Gorge Weah s’est présenté aux élections présidentielles dans son pays et a gagné les élections. Il est depuis janvier de cette année président de la république. Admiré dans son pays pour son art du football, sa réussite hors de son pays et son patriotisme sincère, George Weah est devenu le symbole de tout un peuple, un « messie » porteur de leurs espérances. » Le football est l’opium des peuples » pour paraphraser la célèbre citation de karl Marx dans sa « critique de la philosophie du droit de Hegel ». Parce que la passion du football fait oublier au peuple ses problèmes, sa misère et voile sa lucidité dans la compréhension de sa condition de « dominé ». Du coup, le paradoxe de la passion du football devient plus complexe: le football rassemble tous, peuples et dirigeants alors qu’il exprime un rapport de force entre dominants et dominés. La même logique fonctionne à l’échelle des clubs locaux. Les batailles et violences qui suivent les rencontres entre clubs traduisent des confrontations entre régions, départements, clans et même ethnies. A ce titre le « derby » exprime encore plus la guéguerre entre groupes sociaux de la même ville ou région. Les plus célèbres ont désormais une appellation d’origine protégée: « Classico » pour le réal de Madrid et le FC Barcelone; Pour Le PSG de Paris et l’OM de Marseille et chez nous entre L’USMA et le Mouloudia d’Alger ou entre Le MCO d’Oran et son rival l’ASMO. A l’échelle des nations, la rivalité est encore plus intense et passionnée. Les défaites des équipe habituellement stars lors des coupes du monde telles le Brésil, l’Espagne, L’Allemagne, L’Argentine lors de l’édition russe sont vécues comme une revanche des éternels outsiders comme la Croatie, la Belgique ou l’Angleterre. La Russie , pays organisateur, donnée perdante dès les qualifications de matchs de poule a su conjurer le sort et aller jusqu’aux quart de final malgré un effectif de joueurs moyens et peu expérimentés au grand rendez-vous de ce type. Les Russes donnés perdant dès l’entame du tournoi ont usé d’une force mentale et d’une résistance physique exceptionnelles pour en arriver au quart de final. Les Russes plus que les autres pays jouaient chez eux, devant leur public et leur… responsables politiques. Il fallait donner tout ce qu’ils avaient dans les tripes pour sauver l’honneur russe.
Finalement, et avec la complexité des relations entre nations, les enjeux politiques et la violence qui dominent la vie dans ce monde, les peuples se sont inventés un remède efficace pour dégoupiller l’envie d’en découdre par les armes: ils ont inventé et adopté le football comme dérivatif de tous leurs fantasmes, colères, envies, jalousies et violences. Comme dérivatif à la guerre. En lieu et place des armes, affrontons-nous autour d’un simple ballon et crions ensemble » que le meilleur gagne » , même si on souhaite au fond toujours être ce « meilleur qui gagne ». En attendant le lauréat de cette édition russe, les peuples du monde entier font la fête et célèbrent la paix en lieu et place de la guerre. Rien que pour cela, vive le football !
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Yacine Brahimi a repris l’entrainement avec le FC Porto en cette fin de semaine
L’international algérien a débuté sa préparation pour la saison 2018-2018 par deux séances d’entrainement lors de la journée du mardi, avant de participer à une rencontre amicale mercredi face à Varzim et qui a vu le FC Porto l’emporter sur un score large de 8-0. Yacine Brahimi a inscrit un but lors de cette rencontre.
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Il a raté le premier match amical
Hilal Soudani a enfin rejoint sa nouvelle équipe, le Nottingham Forest. L’ancien attaquant du Dynamo Zagreb a en effet entamé les entraînements avec sa nouvelle équipe avant-hier à Marbella lors du stage de préparation qu’effectue le club anglais sur le sol espagnol. Le joueur était resté au repos pendant quelques jours en Croatie où il s’est entraîné en solo. Le natif de Chlef a rejoint directement le groupe et s’est entraîné avec ses coéquipiers.The post Soudani a entamé les entraînements appeared first on .
Hachoud rassure et ne ressent plus de douleurs
A deux jours de la fin de la préparation de l’équipe à Vichy, le capitaine du Mouloudia a contracté une blessure de la cheville qui ne lui a pas permis de prendre part au match livré face aux Girondins de Bordeaux. Bien que déçu de rater ce match référence que tout les Mouloudéens attendaient. Hachoud a tout de même retrouvé le sourire, du fait que cette blessure n’était pas si méchante comme il le redoutait. Il a bénéficié seulement de trois jours de repos, tout en étant soumis à des soins intensifs, afin qu’il puisse se rétablir. Si Hachoud sera présent à la reprise des entrainements prévue, il reste tout de même qu’il continuera à être soigné. Le staff médical du Mouloudia a enclenché une course contre la montre, afin que Hachoud soit complètement rétabli avant le match du TP Mazembe, puisque Casoni souhaite que chacun de ses joueurs jouisse de tous ses moyens.The post MCA : Course contre la montre pour récupérer Hachoud appeared first on .
Les loueurs ne semblent pas être inquiétés outre mesure, et leurs tables et parasols sont toujours plantés dans le sable.
Au lendemain de la déclaration du directeur du tourisme de la wilaya d’Alger sur la gratuité des services fournis sur les plages de la capitale, une simple virée à ces dernières dément ses propos. Les équipements sont toujours payants sur les plages des communes de Aïn Taya et de Réghaïa. Le prix du parking a même augmenté. Le ticket d’entrée est fixé aujourd’hui à 150 DA, alors qu’il était de
100 DA au début de la saison.
50% d’augmentation… sachant que la région n’est pas ou peu desservie par les transports publics, les estivants viennent quasi exclusivement en voiture. La route séparant Surcouf des plages de Kadous et de Tarfaya semble interminable pour ceux qui l’empruntent à pied. Les loueurs ne semblent pas inquiétés outre mesure, et leurs tables et parasols sont toujours plantés dans le sable. Ils semblent avoir enfoncé des racines solides, impossibles à déterrer. La direction du tourisme de la wilaya d’Alger, outre l’extrême difficulté rencontrée pour la joindre, n’a fourni que des réponses évasives et plutôt éloignées de la réalité. Cette même direction a prétendu que la totalité des plages à haute affluence, c’est-à-dire 66 plages, étaient équipées et gratuites. Force est de constater que ces dires relèvent du fantasme. Selon elle, les seules plages à ne pas jouir des équipements de la wilaya sont les petites criques peu fréquentées. L’explication donnée quant à la présence des squatteurs des plages qui imposent leur diktat, est la «mentalité des quartiers». Chaque quartier aurait une mentalité différente. L’interlocuteur a prétendu que des sorties d’inspection ont été organisées, et le seront encore durant toute la saison estivale, sans toutefois pouvoir fournir de statistiques quant à celles qui ont déjà été effectuées. Concernant les sorties d’inspection à venir, le calendrier est déjà bien avancé et la moitié de l’été se sera bientôt écoulée. Les plages seront-elles semi-gratuites? puisqu’elles ne le seront que durant la moitié de l’été. Encore faut-il que l’inspection soit effectuée et qu’elle porte ses fruits? Dans l’éventualité de fraudes constatées, les services de la direction du tourisme établiront un procès-verbal qu’ils transmettront à la tutelle, c’est-à-dire à la wilaya. Ces derniers le transmettront à leur tour aux services concernés par les fraudes constatées. Il reste à savoir à qui ces services le transmettront par la suite. La personne contactée a également indiqué que les parkings aux abords des plages sont gérés par une Epic, et que cette dernière est seule compétente dans la fixation des prix, qui restent quand même étudiés. Ce qui sous-entend qu’il n’y a aucune coordination entre les différents services. Il devrait y en avoir pourtant dans ce cas. Les revenus générés par ces activités clandestines sont considérables. 150 DA pour le parking, 700 DA pour le parasol, 800 DA pour la table et les chaises. Même si les plages ne sont pas gratuites, ces sommes devraient bénéficier aux collectivités locales, sommes qui pourraient servir au nettoyage des plages ainsi qu’à leur sécurisation. Le «slogan» de la saison estivale, c’est-à-dire la gratuité, reste un long combat à mener. La propreté et la sécurité viendront peut-être ensuite. Voilà une trinité sur laquelle on devrait jurer. Gratuité, sécurité, propreté. Trois mots à habiller de sainteté. Trois mots pour un bel été.
Par Zakaria ZEMRI
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1er entraînement hier pour Mahrez Ses nouveaux coéquipiers lui ont déjà souhaité la bienvenue
Transféré de Leicester City vers Manchester City pour la modique somme de 60 millions de livres sterling, soit près de 68 millions d’euros, Riyad Mahrez devient le 2e joueur africain le plus cher de l’histoire, après le Congolais Cédric Bakambu, transféré l’hiver dernier de Villarreal vers le club chinois de Beijing Guoan pour 74 millions d’euros. L’Algérien dépasse respectivement le Gabonais Aubameyang (63M€, Borussia Dortmund-Arsenal), le Guinéen Naby Keita (54M€, RB Leipzig-Liverpool) et enfin l’Égyptien Mohamed Salah (42M€, AS Rome-Liverpool). Évidemment, Riyad devient aussi de loin le plus cher joueur algérien et arabe de l’histoire.
Le 3e joueur le mieux payé de Manchester City
En plus d’un transfert très coûteux, Riyad Mahrez touchera à MAN City un salaire annuel mirobolant estimé à près de 11 millions d’euros. Ça fait de lui actuellement le 3e joueur le mieux payé du club derrière respectivement Kévin De Bruyen (18,7M€) et Sergio Aguerro (14,6M€). Il touchera donc un peu plus que Rahim Sterling et d’autres stars de l’équipe. Au niveau mondial, Riyad demeure aussi l’un des joueurs les mieux payés. Une véritable consécration pour lui.
Jamais MAN City n’avait déboursé autant d’argent pour recruter un joueur
Ce qu’il faut savoir, c’est que jamais jusque-là la direction de MAN City n’avait déboursé autant d’argent pour le transfert d’un joueur. En effet, avec 60 millions de livres sterling (soit 68M€), Riyad Mahrez vient en tête, suivi de près de Kévin De Bruyen, avec 54 millions de livres sterling (en été 2015, moment de son recrutement, le livre sterling avait plus de valeur que maintenant, ce qui explique qu’à cette période-là, en euros, le transfert se chiffrait autour de 72 millions). En troisième position, on retrouve le défenseur Aymeric Laporte (52M£), recruté l’été dernier en provenance de Bilbao. Étant donné que MAN City paie ses transferts en livre sterling, on prend donc en compte cette monnaie pour établir le classement des joueurs les plus chers du club.
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MAN City a réservé un accueil de star à Riyad
La direction de MAN City a fait les choses en grand pour garantir à sa nouvelle star le meilleur accueil possible. Sur les différents comptes du club sur les réseaux sociaux, l’arrivée de l’international algérien a été suivie d’une campagne de communication digne des grandes stars internationales. Les Citizens étaient fiers de présenter le joueur qui leur a coûté le plus d’argent de leur histoire.
Conférence de presse aujourd’hui
Comme indiqué dans notre numéro d’hier, Riyad Mahrez passera en conférence de presse cet après-midi afin de répondre aux questions des journalistes au sujet de ce transfert à MAN City.
Il sera présenté aux supporters cet après-midi
Plus tard, vers 18h, le désormais ancien joueur des Foxes sera présenté aux supporters des Citizens au cours d’un gala programmé pour l’occasion. Les fans auront l’occasion de se rapprocher de leur nouvelle recrue.
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1er entraînement hier pour Mahrez
Même pas 24 heures après sa signature du contrat, Riyad Mahrez a pris part hier matin à son tout premier entraînement sous sa nouvelle équipe de Manchester City. Une séance de reprise qui s’est déroulée dans la bonne humeur pour l’Algérien, très ravi de débuter enfin son aventure avec les Ciel et Blanc.
En attendant le retour des stars de l’équipe
Pour l’instant, il n’y a pas vraiment les grandes stars de l’équipe à l’entraînement de MAN City. Ces joueurs ont eu droit à davantage de jours de repos en raison de leur participation à la Coupe du monde. Riyad appréciera certainement plus les entraînements quand le groupe se complétera.
Il affrontera aux USA Dortmund, Liverpool et le Bayern en amical
Après quelques jours d’entraînement à Manchester, Riyad Mahrez et ses nouveaux coéquipiers iront aux États-Unis pour une tournée de préparation ponctuée par le déroulement de plusieurs matchs amicaux entrant dans le cadre de l’International Champions Cup. Le club affrontera le 21 juillet Dortmund, puis Liverpool le 26 juillet et enfin le Bayern Munich, le 29 du même mois.
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Ses nouveaux coéquipiers lui ont déjà souhaité la bienvenue
Quelques heures seulement après l’officialisation du transfert de Riyad Mahrez à Manchester City, certains de ses nouveaux coéquipiers chez les Citizens, à l’image notamment du défenseur français, Aymeric Laporte, ont tenu à lui souhaiter la bienvenue au club à travers les réseaux sociaux. Pep Guardiola a lui aussi tweeté à propos de cette arrivée de l’ancien Havrais, tout comme des anciens joueurs, à l’image de Garry Lineker qui s’est dit heureux de voir Riyad intégrer enfin un grand club, lui souhaitant bonne chance pour la suite.
Les joueurs de l’EN n’ont pas manqué de le féliciter pour son transfert
Évidemment, les joueurs de la sélection nationale ont été les premiers à envoyer des messages de félicitations à l’adresse de Riyad Mahrez quant à son transfert. Ainsi, Yacine Brahimi, Nabil Bentaleb, Islam Slimani se sont empressés de congratuler leur camarade en sélection et lui souhaiter que du bonheur pour la suite de sa carrière.
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Après les épreuves du bac, les candidats et leurs parents passent l’épreuve du stress. Jusque-là, aucune date n’a été fixée pour la publication des résultats, ce qui laisse libre cours à la rumeur.
Dans une déclaration à la radio Chaine 3, la ministre de l’éducation nationale, Noria Benghabrit, indique que « les résultats ne pourront pas être donnés avant le 20 juillet ». La ministre qui rassure les candidats sur l’avancement des corrections, précise, toutefois, qu' »il y a toute une procédure et une série de démarches » à respecter avant la communication des résultats.
L’absence d’une date précise plonge les concernés dans le flou. « Je suis vraiment stressée », confie une mère. « J’ai entendu la ministre dire [que les résultats] c’est pour la mi-juillet, mais j’entends aussi des rumeurs annoncer la date du 22 juillet », regrette-t-elle.
Plus de 700.000 candidats et candidates étaient convoqués pour passer les épreuves du baccalauréat cette année. D’après les données fournies par le ministère de l’Education, le nombre global d’élèves concernés par le baccalauréat cette année était de 709.448, dont 40% de candidats libres. Le nombre des candidats aux besoins spécifiques avoisinait les 400, soit 216 non-voyants et 169 handicapés moteurs. 849 candidats de nationalités étrangères ont également passé l’examen.
S. B.
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Bugatti développe actuellement un nouveau modèle dénommée Divo et dont la présentation se fera le 24 août prochain à l’occasion du rassemblement « The Quail – A Motorsports Gathering », en Californie.
Ce nouveau modèle doit son nom au pilote français Albert Divo, qui remporta, à la fin des années 1920, deux victoires au volant d’une Bugatti sur le tracé sinueux de la Targa Florio, la célèbre course d’endurance sicilienne.
Aucune information n’a été divulguée sur la Divo ce nouveau modèle si ce n’est que « les qualités dynamiques intrinsèques de la voiture seront soulignées par un nouveau langage stylistique » tout en promettant un comportement dynamique exceptionnel grâce à sa légèreté, sa maniabilité, sa déportance accrue et sa formidable puissance d’accélération. « Le bonheur n’arrive pas après le virage : le bonheur, c’est le virage. La Divo est faite pour avaler les courbes », déclare Stephan Winkelmann, Président de Bugatti Automobiles S.A.S. De quoi s’attendre au modèle le plus radical de la marque.
La production de la Divo sera limitée à seulement 40 exemplaires et son prix de vente net est de 5 millions d’euros, annonce Bugatti.
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Après 9 saisons au Real Madrid, Christiano Ronaldo rejoint la Juventus de Turin faisant le bonheur des supporters du club mais pas celui des salariés de l’usine Melfi de Fiat, appartenant à la famille Agnelli comme le club turinois.
Dans un communiqué envoyé à la presse et relayé par Eurosport ,le syndicat de l’usine estime que « C’est inacceptable de dépenser autant d’argent pour un seul homme » et « qu’on nous demande de faire des sacrifices économiques depuis des années, c’est inacceptable de voir que la société Fiat dépense des centaines de millions pour un joueur de football » en référence au 117 millions d’euros pour le transfert et les 30 millions par an pour un contrat de 4 ans.
Estimant que « pendant que les ouvriers se serrent toujours plus la ceinture, notre propriétaire dépense beaucoup d’argent pour une seule ressource humaine. Est-ce normal tout ça ? Est-ce normal qu’une seule personne gagne des millions pendant que des familles n’arrivent pas à la fin du mois ? », peut-on lire également. « Les ouvriers Fiat ont fait la fortune du propriétaire depuis trois générations en échange d’une vie de misère (…) Pour toutes ces raisons, une grève est prévue du dimanche 15 juillet au mardi 17 juillet », conclut le communiqué.
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Si Opel se consacre beaucoup à devenir une entreprise automobile efficiente au sein du Groupe PSA la marque travaille aussi à fortifier et préciser son image.
Avant la fin de l’année, le Brand Concept Vehicle actuellement en cours de création dans le studio de design montrera la voie vers laquelle se dirige Opel, annonce un communiqué de la marque au Blitz. Une annonce qui est loin d’être une surprise puisquedes fuites avaient dévoilé que la marque au Blitz allait présenter un concept annonçant la voie que le Blitz va prendre en langage stylistique pour les années à venir et à commencer par la nouvelle Corsa.
Une nouvelle identité dénommée « Boussole Opel » qui organise les éléments du design de la future physionomie Opel autour de deux axes forts qui viennent se recouper dans le logo de la marque – qui devient plus que jamais le point focal. La nervure centrale du capot représente l’axe vertical, qui va devenir encore plus affirmé et plus pur dans son exécution. L’axe horizontal est symbolisé par la signature typique en forme d’aile des feux de jour, lequel continuera d’être renforcé et développé sur toutes les futures Opel.
Il y a un élément que l’équipe de design tenait tout particulièrement à exprimer : la façon dont une nouvelle « germanité », plus actuelle, pouvait être illustrée dans les futurs produits, ce qui permettait de préciser le profil de la marque. « Une nouvelle germanité, cela veut dire que nous ne nous définissons pas uniquement par les valeurs allemandes traditionnelles. Bien sûr, le raffinement technique, l’innovation et la qualité restent importants pour nous. Cependant, l’Allemagne moderne est beaucoup plus que cela. Nous sommes ouverts au monde, nous faisons preuve d’ouverture d’esprit et nous avons vraiment un esprit bienveillant – en allemand, cette attitude est appelée « menschlich » – humaine en un mot. Le client, quel qu’il soit, où qu’il vive et d’où qu’il vienne, est notre guide absolu et la boussole de tout ce que nous faisons, » explique Mark Adams.
Deux piliers fondamentaux de la philosophie de design future Opel sont directement dérivés de l’expression de cette nouvelle germanité : « affirmé » et « pur ». « Le design Opel est émotionnel, sculptural et résolu, nous créons des voitures désirables qui savent se démarquer. Nous résumons cela avec le terme « affirmé ». Un deuxième aspect important du design allemand est sa dimension essentielle, intuitive et évidente. Tout cela se retrouve dans le terme pur, » poursuit Mark Adams. Les grands designs iconiques de l’histoire d’Opel se rapportent clairement à ces qualités. Un des exemples les plus remarquables de ces axes « affirmé » et « pur » est l’Opel CD, qui a conquis le monde entier lorsqu’elle a été présentée en première mondiale au salon automobile de Francfort 1969.
Ces éléments forts sont aussi clairement visibles dans la dernière création signée du Centre de Design de Rüsselsheim – le GT Concept, encensé par la critique. « Une identité affirmée, des surfaces simples mais sculpturales, des lignes fortes, des détails rares mais très soignés – le Concept de Marque 2018 que nous préparons continue de développer les principes que nous avons explorés sur le GT Concept.
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A l’automne prochain, Volkswagen disposera d’un nouveau SUV avec le lancement du T-Cross, un modèle d’entrée de gamme qui se veut pratique et cool.
Volkswagen réduit l’attente en montrant un premier aperçu de ce SUV proche du modèle de série et qui disposera de dimensions compactes et adapté à la ville et est prêt pour les petites et grandes aventures à travers la jungle urbaine. Ce cinquième format des SUV Volkswagen avec les T-Roc, Tiguan, Tiguan Allspace et Touareg, le T-Cross sera proposé en version traction avant et offrira une personnalisation maximale, précise le constructeur allemand, ce dernier promettant que son nouveau modèle aura à « offrir plus que d’autres. Sans toutefois coûter plus » pour faire honneur à son slogan « I am More ».
Basé sur la plate-forme MQB-A0 comme la Polo, le T-Cross affiche une longueur de 4 107 mm et une hauteur de 1 558 mm et viendra affronter les Hyundai Kona, Kia Stonic, Peugeot 2008, Renault Captur et autre cousin Seat Arona. Esthétiquement, le T-Cross présente une grande grille de calandre dans laquelle sont intégrés des projecteurs à LED, une hauteur est due au capot-moteur. La zone inférieure de la partie avant est mise en scène par des détails, tels que les projecteurs antibrouillard aux contours marqués. Sur les versions du T-Cross avec projecteurs H7, les feux de jour sont intégrés dans le module des antibrouillards. En cas de projecteurs à LED, les feux de jour se situent en haut dans le boîtier de projecteur. Enfin, une bande de réflecteurs apposée sur toute la partie arrière, encadrée par un écran noir et des jantes 18″ complètent le style t-Cross.
A l’intérieur, le T-Cross proposera panneaux de tableau de bord bicolores, comme sur la Polo et le T-Roc, et un poste de conduite numérique en option avec un écran tactile d’infodivertissement de 8 pouces et de l’Active Info Display (combiné d’instruments) de dernière génération. Quatre ports USB (deux à l’avant et deux à l’arrière) et la recharge sans fil, le système de fermeture et de démarrage sans clé « Keyless Access », l’assistant de feux de route « Light Assist » sont également disponibles. La banquette arrière, coulissante, permet d’obtenir davantage d’espace au niveau des jambes ou dans le coffre à bagages (385 à 455 litres).
Des équipements qui rejoignent une grande gamme de systèmes d’assistance à la conduite comme le système de surveillance périmétrique « Front Assist »,l’assistant de maintien de voie « Lane Assist » ainsi que les autres systèmes d’assistance à la conduite tels que le capteur d’angle mort (signale au conducteur les véhicules qui se trouvent dans l’angle mort), l’assistant de sortie de stationnement (prévient le conducteur si des véhicules s’approchent latéralement à l’arrière du T-Cross), la « fonction de freinage d’urgence en ville avec détection des piétons » et le « système de protection proactive des occupants » (réagit peu avant un accident, entre autres en fermant les vitres et le toit coulissant, en tendant les ceintures et en établissant la pression de freinage).
Sous le capot, le Volkswagen t-Cross est entraîné par quatre moteurs à turbocompresseur. Les véhicules à essence (TSI) sont combinés avec un filtre à particules essence ; ils fournissent 95 ch, 115 ch et 150 ch. Le véhicule diesel présente une puissance de 95 ch.
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ALGER- Le président du Conseil constitutionnel, Mourad Medelci participera, à partir du jeudi à la rencontre scientifique internationale organisée par la Cour constitutionnelle de la principauté d’Andorre sur le thème « les cours constitutionnelles, une garantie pour des sociétés démocratiques qualitatives », a indiqué, mercredi, un communiqué du Conseil.
M.Medelci présentera, lors de cette rencontre qui durera 3 jours, un exposé sur l’expérience du Conseil constitutionnel en la matière et s’entretiendra avec ses homologues venant de plus de 40 pays participants à cette rencontre, a précisé le communiqué.
Lors de ces entretiens, le président du Conseil constitutionnel évoquera, en outre, les relations de la coopération bilatérale et les questions relatives à la Conférence mondiale sur la justice constitutionnelle dont la 5è assemblée générale se tiendra, en 2020 à Alger, a ajouté la même source.
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TIZI-OUZOU – La quinzième (15ème) édition du festival Raconte-Arts aura lieu du 19 au 26 juillet au village Tiferdoud, dans la commune d’Ifarhounène, (70 km au Sud-est de Tizi-Ouzou).
Poursuivant son périple à travers les communes de la wilaya, le festival itinérant de la musique et des arts organisé par la Ligue des arts cinématographiques et dramatiques de Tizi-Ouzou, emplira de ses sonorités et de ses couleurs cette année le village de Tiferdoud, (situé à 1197 mètres d’altitude), par ailleurs, sacré village le plus propre de la wilaya. « Un choix qui s’est imposé à nous par l’engouement et l’enthousiasme du comité de ce village pour accueillir le festival cette année après avoir fait la demande il y a trois ans déjà », a confié à l’APS, Hacène Metref, Directeur du festival.
Intitulée « Tizi n laryah » (Les vents hurlants), cette 15ème édition accueillera pas moins de 420 artistes, dont une centaine (100) d’étrangers, de différentes disciplines artistiques. A ce propos, a précisé la même source, la commission d’organisation du festival a « reçu et examiné plus de 1000 dossiers de projets, mais n’a accepté que 420 dont 100 étrangers faute de moyens conséquents pour accueillir tout le monde ». Les artistes nationaux participant à cette édition « viennent des quatre coins du pays et représentent différentes disciplines, tandis que les étrangers viendront de cinq pays dont la « France, l’Italie, l’Espagne, la Russie et deux (02) artistes du Congo, dont Jaurès Magala, Directeur du festival « la nuit du continent », a indiqué M. Metref.
Au programme, un cocktail riche en sonorités et en couleurs a été concocté pour cette édition comprenant de la musique, du théâtre, de la peinture, du conte, de la poésie et pour la première fois, a-t-on souligné, « un atelier cirque destiné aux enfants qui ont, eux aussi, droit au chapitre ». Plusieurs conférences et tables rondes qui traiteront de divers sujets en relation avec la vie en société et l’actualité sont également prévues tout au long de ce festival. Une conférence sera consacrée aux « modes de structurations traditionnelles dans la société algérienne » avec des intervenants qui esquisseront les parallèles entre ces différentes formes d’organisation dont la Siga, dans l’Ouest du pays, la Azaba, dans la région de Ghardaia, et Thajmaath, en Kabylie.
Comme chaque édition, le festival offre une place aux écrivains dans son coin « un auteur, un livre » qui accueillera, cette année, 22 auteurs dont Amine Zaoui, Daho Djerbal, Karim Younes, Arezki Metref, Ikram Kebir et Leila Aslaoui.
Côté logistique et organisation, « l’essentiel de l’organisation sur le terrain, à savoir, le transport, la restauration et l’hébergement est pris en charge par le village de Tiferdhoth, avec lequel nous collaborons étroitement », a affirmé le responsable du festival. Sur ce plan, et à partir de cette édition, a-t-il indiqué, « nous allons instaurer une nouveauté dans les moeurs du festival en dédiant une journée au village hôte pour se faire connaître auprès de l’ensemble des conviés qui deviendront ses spectateurs d’une journée ». Cette année, ce sera le 22 juillet, soit la 4ème journée du festival, qui sera intitulée « Tiferdoud en action ».
La première édition du festival Raconte-Arts a eu lieu à Ath Yanni en 2004 et la 14ème a été organisée l’année dernière, 2017, dans la commune de Souama.
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BLIDA – Plus d’une décennie après la distribution des logements AADL à Blida, les pannes récurrentes des ascenseurs continuent de figurer parmi les majeures préoccupations des habitants des trois sites d’implantation de cette formule d’habitat dans la wilaya, à savoir Ouled Aich, Soumaa et Blida.
S’il est vrai que ces trois sites AADL ont en commun des problèmes inhérents au manque plus au moins d’hygiène et d’obstruction des regards, entre autres, il n’en demeure pas moins que leur « essentielle » et « plus ancienne » préoccupation est bien les pannes d’ascenseurs.
Un problème doublement ressenti par les habitants des étages supérieurs, surtout quand nombre des immeubles de ces cités culminent à plus de dix étages.
« Nous avons perdu tout espoir de voir ce casse-tête résolu », a déploré un habitant de la cité AADL d’Ouled Aich, dont l’inauguration remonte à 2005, ajoutant découragé : « Les périodes de pannes dépassent de très loin la durée de fonctionnement des ascenseurs ». Un autre habitant de la cité, habitée par quelque 1.652 familles, a souligné que « les pannes d’ascenseurs ne sont pas une nouveauté », se disant préoccupé par les répercussions du problème sur les enfants, les femmes enceintes, les personnes âgées et les malades chroniques, qui se retrouvent « prisonniers de leurs appartements » à chaque panne d’ascenseur. « J’envisage sérieusement de changer de domicile dés l’amélioration de ma situation financière », a-t-il poursuivi, dénonçant « la longueur des périodes des pannes », dont l’une d’elles a duré, selon lui, « plus de quatre ans ».
Pour lui, il est inacceptable de prendre en considération les motifs invoqués par l’Agence nationale de l’amélioration et du développement du logement (AADL) pour justifier cette situation « aberrante ». Un avis partagé par un jeune résidant dans la même cité, qui a qualifié d' »inadmissible » l’affectation d’un seul ascenseur pour quelque 64 familles, estimant de ce fait « normal » que l’ascenseur tombe en panne « au vue de la charge subie ». Même son de cloche à la cité AADL de Soumaa, inaugurée depuis 2008, où le problème des pannes d’ascenseurs est largement décrié par les résidants. « La vraie surprise serait que l’ascenseur fonctionne », lance un groupe de jeunes moqueurs, visiblement lassés de cette situation répétitive.
Interrogés sur cette situation, les responsables de l’antenne régionale de l’AADL de Blida, ont affirmé que les arrêts répétitifs des ascenseurs sont en « grande partie dus aux habitants de ces cités », qui de façon « intentionnelle ou pas sont à l’origine des pannes et ce par manque de civisme ». Pour leur part, les techniciens de l’AADL, en charge de l’entretien des ascenseurs, ont cité notamment les infiltrations d’eaux dues à des robinets laissés ouverts par des habitants absents, parmi les principales causes à l’origine des pannes d’ascenseurs. Ils ont assuré qu’il faillait « attendre au moins un mois pour évaluer les dégâts causés par les eaux, avant d’engager les travaux de réparation et de remplacer les pièces endommagées, dont le coût de revient est considérable ».
Insuffisance de parkings
L’insuffisance de parkings est un autre casse-tête, et non des moindres, qui vient se greffer à ce problème d’ascenseurs au niveau des cités AADL. « Trouver une place libre pour parquer son véhicule est pour nous un casse tête de tous les jours », ont affirmé des habitants des cités de Soumaà et d’Ouled Aich. « Le même scénario inextricable se répète pour nous chaque soir », ont-ils ajouté, se disant confrontés au quotidien à une « mission quasi-impossible » qui les contraint à garer leurs véhicules loin de leurs immeubles. Ce problème est à l’origine de disputes interminables entre voisins, ont-ils renchéri.
Pour souligner la gravité du problème, un habitant de la cité AADL d’Ouled Aich a assuré que le manque de parkings est « très mal vécu par certains, à tel point qu’ils pensent sérieusement à changer de domicile », relevant que le concernant, il a décidé de ne plus utiliser sa voiture et de recourir au transport public. « Je n’ai plus aucun espoir quant au règlement de ce problème à l’origine de disputes régulières entre les habitants qui en viennent même aux mains », a-t-il dit, non sans avoir signalé les innombrables requêtes « vaines » adressées aux responsables locaux de l’AADL.
Les représentants de l’AADL au niveau de la cité ont affirmé que « chacune des cités AADL dispose d’un parking avec une prévision d’accueil d’un véhicule par appartement ». Mais, la réalité est toute autre, car « nous avons recensé une moyenne d’au moins deux véhicules pour chaque appartement », ont-ils déclaré pour expliquer ce manque.
Outre les problèmes d’ascenseurs et de parkings, les habitants de ces cités AADL, destinés aux familles à revenu moyen, sont confrontés à d’innombrables soucis liés notamment à l’obstruction des regards, et à un manque d’entretien des surfaces vertes à leur niveau. Des préoccupations dont ils espèrent la prise en charge dans les plus brefs délais, afin de bénéficier d’un cadre de vie plus agréable.
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MOSTAGANEM – La manifestation des échanges culturels et touristiques de la wilaya de Mostaganem a été lancée mercredi avec la participation de 800 étudiants de 16 wilayas dans le sud du pays et les Hauts Plateaux.
« Cette manifestation s’inscrit dans le cadre de l’animation culturelle, touristique et sportive entre les étudiants des universités dans le sud et les Hauts plateaux, dans le but de soutenir les activités estudiantines et leur diversification, ainsi que la découverte et l’encouragement des talents dans les différents domaines », a indiqué le directeur des oeuvres universitaires de la wilaya, Hamlaoui Abdelhalim, lors de la cérémonie d’ouverture de cette manifestation, organisée à l’université Abdelhamid Benbadis.
Le programme de cette manifestation comprend trois ateliers de formation dans les arts plastiques, encadrés par les professeurs Saïd Deblaji, Hachemi Ameur et Brahim Abdessadok, a jouté M. Hamlaoui.
Les dramaturges Ahmed Belalem, Ghanem Ilyes Bouadjadj et Sid Ahmed Kara, ainsi que les professeurs Gharbi Abdelkrim (université de Boumerdes) et Mansour Karima (université de Mostaganem) conduiront un stage de formation dans les arts dramatiques comme la mise en scène, la comédie et l’écriture dramatique.
Un autre stage de formation sur les arts cinématographiques sera organisé et sera encadré par des professeurs formateurs des universités de Mostaganem et Mascara, notamment Laïb Lahcen, Sofit Smaïl et Bakloul Amine, entre autres, selon la même source.
Le programme comprend un stage pratique de formation des arbitres et d’entraineurs des sports individuels, ainsi que des sorties touristiques et de loisirs au niveau des plages, ainsi qu’aux zones historiques et monuments culturels, religieux et historiques de la wilaya de Mostaganem, a-t-on ajouté de même source.
Une rencontre d’évaluation pratique de cette manifestation, qui s’étale jusqu’au 16 juillet, sera tenue avec les chefs de services des activités culturelles et sportives des universités et des établissements d’enseignement supérieur, ainsi que les chefs des sections spéciales des activités estudiantines des Directions des oeuvres universitaires.
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Deux (2) personnes ont trouvé la mort et deux (2) autres ont été blessées dans un accident de la circulation, survenu mercredi dans la commune de Ain Zerga (40 km au nord de Tébessa), a-t-on appris de la direction locale de la Protection civile.
L’accident s’est produit à la sortie de la commune d’Ain Zerga sur la RN 82 reliant Ain Zerga et El Meridj, causant la mort de 2 personnes, âgées de 53 et 21 ans, tandis que 2 autres personnes, âgées de 35 et 45ans, ont été gravement blessées, a-t-on indiqué.
L’unité secondaire de la protection civile de la daïra de Ouenza est intervenue pour secourir les blessés, qui ont été ensuite transportés aux urgences médicales du chef-lieu de la wilaya pour être soignés, a fait savoir la même source, ajoutant que les dépouilles des 2 victimes ont été transférées à la morgue du même hôpital.
Une enquête a été ouverte par les services compétents pour déterminer les causes et les circonstances de cet accident. APS
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