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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 23 hours 42 min ago

Maroc: Des milliers de personnes marchent en soutien aux détenus du Hirak

Mon, 07/16/2018 - 15:51

Des milliers de personnes ont manifesté hier à Rabat pour dénoncer la condamnation des meneurs du mouvement de protestation «Hirak», qui avait agité la région du Rif (nord), en 2016 et 2017, ont constaté des journalistes de l’AFP.
«Le peuple boycotte la justice», «liberté aux détenus» ou «non à la militarisation du Rif», ont notamment scandé les manifestants venus participer à cette «marche nationale» à l’appel du comité de soutien au Hirak.
Sous l’oeil des forces de l’ordre, la foule a défilé de la place Bab el-Had, près de la médina, vers le Parlement, en brandissant des portraits des meneurs de la protestation dans le Rif.
Certains ont affiché leur soutien à la cause amazighe, d’autres au Mouvement du 20-Février, né au Maroc dans le sillage du Printemps arabe en 2011.
La présence du mouvement islamiste Al Adl Wal Ihsane (Justice et dignité), interdit mais toléré, était notable.
Considéré comme le plus important mouvement islamiste du pays, le groupe est très actif dans les quartiers populaires et sur les réseaux sociaux.  Le ministère de l’Intérieur n’a donné aucune estimation chiffrée sur le rassemblement, qui s’est déroulé sans incident.
«Le mouvement Al Adl Wal Ihsane n’a réussi à mobiliser qu’entre 6 000 et 8 000 personnes», ont de leur côté déclaré les autorités locales à l’AFP.
Quelques milliers de personnes — «quelques centaines» d’après les autorités locales — avaient déjà manifesté dimanche dernier à Casablanca, la capitale économique du royaume.
Le 26 juin, la justice marocaine avait condamné 53 militants du mouvement de protestation appelé Hirak («mouvance») à des peines comprises entre un et 20 ans de prison.
Le leader du mouvement Nasser Zefzafi et trois de ses compagnons avaient écopé de 20 ans pour «atteinte à la sécurité de l’Etat».
Le journaliste Hamid el Mahdaoui avait, lui, été condamné à trois ans d’emprisonnement pour «non-dénonciation d’une tentative de nuire à la sécurité intérieure de l’Etat», après sa couverture des événements.
Tous les détenus ont décidé de faire appel du verdict, qui a suscité des réactions d’incompréhension et d’indignation dans le royaume.
Les autorités marocaines ont assuré que le procès était équitable et mis en exergue l’avancement des chantiers de développement dans la région.  La contestation dans le Rif avait été déclenchée par la mort d’un vendeur de poissons, broyé dans une benne à ordures en octobre 2016 alors qu’il s’opposait à la saisie de sa marchandise.
Au fil des mois, la protestation a pris une tournure plus sociale et politique, pour appeler à davantage de développement et à la fin de la marginalisation.

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Categories: Afrique

Khemis Miliana: La rentrée universitaire prochaine suscite des appréhensions

Mon, 07/16/2018 - 15:42

Le projet de réalisation de 8 000 places pédagogiques supplémentaires pour faire face à l’afflux de plus en plus grand d’étudiants a été annoncé à la fin de la première décennie des années 2000 par le ministre de l’ESRS de l’époque, Rachid Harraoubia et inscrit dans le cadre du plan quinquennal 2010-2014.
Ce projet comprenait aussi la construction d’une nouvelle bibliothèque, du rectorat, d’un restaurant et du siège de la Direction des œuvres universitaires qui fonctionnait dans l’hôtel Dahra à Aïn Defla puis par la suite, sur décision du même ministre, il a été transféré à Khemis Miliana.
Une décennie après la prise de cette décision de réaliser ce projet, où en est-on de sa réalisation, entamée seulement en 2013. Car une première enveloppe n’avait servi qu’ à couvrir le coût de l’étude qui a demandé plus de 2 années.
Où en est actuellement ce projet ?
La dernière visite des différents chantiers ouverts, effectuée par le ministre de l’Enseignement supérieur, Tahar Hadjar, a permis de constater que le projet dans son ensemble souffre d’importants retards car selon les exposés présentés par le DEP, le taux d’avancement global est de l’ordre de 52%, ce qui fait que sa livraison pour la rentrée prochaine relève de la gageure et même d’un défi quasiment insupportable.
Et pour cause, en ce qui concerne la réalisation des 8 000 places pédagogiques, la construction de 6 000 sur les 8 000 a été lancée. Sur les 6 000 en chantier, seulement 3 000 connaissent un taux d’avancement moyen et sur ces 3 000 ; seulement 1 000 pourraient être livrées si toutefois ce lot venait à être isolé car la population estudiantine qui y serait affectée serait gênante et pour les étudiants et pour l’activité des chantiers. Même pour ce lot, le DEP a sollicité une prolongation des délais de quelques mois.
Pour ces 1 000 places pédagogiques, selon nos informations recueillies sur le site lors de la visite ministérielle, les équipements (mobilier entre autres) seraient disponibles avant la rentrée.
Si la bibliothèque centrale connaît un taux de réalisation acceptable, la bibliothèque pour le lot des 5 000 places est en plein chantier. Il en est de même pour le rectorat.
La question clé qui a été à l’origine de ces retards a été soulevée par le DEP (directeur chargé de la réalisation des établissements publics). Selon l’exposé présenté, le rajout de travaux supplémentaires a généré bien des créances dont le montant a atteint les 58 milliards de centimes au 30 juin dernier. De plus, d’autres CP (crédits de paiements) s’avèrent indispensables pour poursuivre les travaux, crédits indispensables à prévoir estimés à 50 milliards pour le mois de juillet en cours, 52,5 milliards pour le mois d’août, 52,5 milliards pour la fin septembre avec en plus une enveloppe projetée pour couvrir le 4e trimestre jusqu’en décembre 2018, d’un montant de 120 milliards.
S’agissant de l’achèvement des travaux de construction du siège de la Direction des œuvres où le taux d’avancement des travaux est très satisfaisant, là aussi, il s’avère qu’une rallonge de près d’un milliard de centimes est nécessaire.
Pour ce qui est de ces sollicitations de CP qui pourront contribuer au respect des délais de livraison de ces structures, aucune décision n’avait été prise.
A noter cependant que les 110 logements du personnel enseignant de l’Université, des appartements du type F5, le ministre en compagnie du wali ont présidé conjointement la cérémonie d’attribution de décisions d’attribution aux bénéficiaires présents.
Karim O.

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Aïn-Témouchent: La cité Sorecor de Hammam-Bou-Hadjar croule sous les immondices

Mon, 07/16/2018 - 15:31

Bâtie dans les années quatre-vingt, la cité Belebna connue sous l’appellation de sorecor dans la cité des thermes Hammam-Bou-Hadjar, croule sous les immondices, les herbes sauvages et les déchets issus des modifications domestiques qu’effectuent les locataires constituent le décor quotidien de cette cité qui est située à l’entrée de la ville de Hammam-Bou-Hadjar en venant de Aïn-El Arba. Cette cité est victime de l’incivisme de ses habitants qui ne se soucient guère de son hygiène et sa propreté, en plus, se trouve délaissée par les responsables locaux. Elle abrite une grande population estimée à plus de 5 000 habitants et envahie par des immondices qui jonchent ça et là les immeubles, des bacs d’ordures jetés à tort et à travers, des sacs de déchets de constructions domestiques sont jetés un peu partout entre les blocs de cette cité, défigurant son paysage qui fut un modèle de propreté dans un passé récent.
Les herbes sauvages poussent un peu partout au point où on dirait que ce n’est pas une cité dans une ville touristique, car ces herbes qui entourent le stade de proximité de la cité abritent, disent les mêmes habitants, des moustiques, insectes et autres animaux rampants qui menacent la santé des citoyens et particulièrement les enfants en cette période des grandes chaleurs.
Concernant le ravalement des murs des différents blocs, on peut dire qu’ils sont jaunis par le temps et le laisser-aller. D’après les habitants de cette cité, les immeubles n’ont pas été repeints depuis leur réception dans les années 1980 , soit plus d’une trentaine d’années, toutes les cités des différents quartiers ont été repeintes sauf celle de Sorecor, les habitants ne savent pas pourquoi leur cité n’a pas été restaurée et réhabilitée ; surtout qu’elle est implantée dans un site admirable qui est l’entrée de la ville de Hammam Bou-Hadjar, autrement dit le visiteur peut avoir une idée sur la ville en scrutant des yeux la cité Sorecor car elle est la devanture de la ville et elle doit être prise en charge comme toutes les autres cités de la ville, un appel lancé aux responsables locaux pour qu’ils daignent lui accorder toute l’attention qu’elle mérite.
S. B.

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Categories: Afrique

Rumeurs et spéculations autour du mouton de l’Aid: Un sacrifice à quel prix?

Mon, 07/16/2018 - 15:29

Une seule question préoccupe, si ce n’est torture l’esprit de nombreux Algériens qui se demandent si le budget d’un citoyen lambda sera à la hauteur du prix du mouton de l’Aïd.

L’Aïd Al Adha est à nos portes. En attendant son arrivée, une seule question préoccupe si ce n’est torture l’esprit de nombreux Algériens qui se demandent si le budget d’un citoyen lambda sera à la hauteur du prix du mouton de l’Aïd.
Une interrogation récurrente qui, à juste titre, se pose à chaque période précédant l’approche de cette fête religieuse. Toutefois, il y a lieu de signaler que cette année s’est distinguée par l’apparition récente de la fièvre aphteuse qui a touché une bonne partie des troupeaux de moutons, un peu partout dans le pays. Cet état de fait n’a d’ailleurs pas mis longtemps à donner lieu à la propagation de diverses spéculations sur le prix de ces bêtes, qui, d’après les citoyens, battra sans nul doute des records de hausse. Ces derniers se sont inquiétés par ailleurs, quant à la disponibilité de ces cheptels, se demandant là aussi, si l’offre sera abondante afin de correspondre à une demande croissante. A toutes ces hantises et inquiétudes qui sont actuellement au coeur des débats publics, la réponse du gouvernement est formulée, comme à l’accoutumée, avec confiance et assurance. En effet, le ministre de l’Agriculture et de la Pêche, Abdelkader Bouazghi, lors de sa dernière sortie médiatique, ne voulant pas être alarmiste, a minimisé les conséquences de la fièvre aphteuse. Celui-ci a ainsi affirmé que cette fièvre «n’est pas une épidémie». Pour étayer ses déclarations, Abdelkader Bouazghi a fait état de l’existence de seulement 40 cas sur un nombre global qui avoisine les deux millions de têtes. Ce qui par conséquent, ne devrait, selon lui, donner lieu à aucune inquiétude ni à aucune polémique, bien au contraire. Dans ce sens, il a encore garanti que la situation est sous contrôle et que son département a pris les mesures nécessaires pour en venir à bout. Pour ce qui est de l’offre, les mêmes assurances ont émané du même responsable qui a indiqué que celle-ci sera prospère. A ce propos, il a balayé du revers de la main toute éventualité d’importer ces bêtes, comme relayé ici et là, compte tenu de la quantité suffisante de moutons. Pour rappel, le département de l’agriculture a effectivement pris des dispositions afin d’empêcher la fièvre aphteuse de toucher davantage de cheptels à travers le territoire national. Par ailleurs, dans le but d’instaurer un climat propice à la vente normale des moutons, le département de l’agriculture a instruit les walis de consacrer des espaces en faveur des vendeurs pour «faciliter les opérations de contrôle». Relevant en outre, que les services du ministère veilleront au grain et seront présents pour inspecter le bétail au niveau des marchés.
Ce qu’il faut savoir, c’est qu’en dépit de toutes les garanties du gouvernement face à cette problématique, les angoisses du citoyen ne disparaissent pas pour autant. Ce qui est pour ainsi dire, largement justifié, lorsque les mêmes discours sont tenus lors de la même période par les officiels, lesquels promettent comme chaque année que les prix des moutons seront abordables et à la portée de tous. Malheureusement, cela s’est révélé à la fin n’être que de vaines promesses des autorités.
Autre point, c’est que le prix du mouton, ou encore son abondance (ou pas) sur le marché demeure à l’heure actuelle un sujet brûlant au sein de la société. Et pour cause, on annonce que cette année, le prix d’un mouton moyen vacillerait entre 46.000 et 49.000 DA. Des chiffres qui, pour beaucoup d’Algériens, donnent le tournis et suscitent de grandes appréhensions. Ils se disent pour la plupart incertains, quant à pouvoir faire face à de telles dépenses, notamment pour les familles nombreuses, qui plus est à faibles revenus et dans un contexte économique qui ne fait qu’accentuer les peurs des Algériens. D’un autre côté, le fait de la contamination des troupeaux de moutons par la fièvre aphteuse commence sérieusement à inquiéter les citoyens, en sachant par ailleurs que, malgré les assurances du ministre de l’Agriculture, de nouveaux cas continuent d’apparaître. Ce qui met les principaux concernés par la question en bien fâcheuse posture.

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Premier bilan de la saison estivale : 752.000 estivants recensés à travers les plages d’Alger

Mon, 07/16/2018 - 13:03

Les services de la Protection civile de la wilaya d’Alger ontenregistré, du 1er juin écouléjusqu’au 11 juillet en cours,l’affluence de quelque 751.900estivants ayant fréquenté lesdifférentes plages autoriséesà la baignade, au nombrede 66.

Les services de la Protection civile de la wilaya d’Alger ont recensé l’affluence de quelque 752.000 estivantsayant fréquenté les plages d’Alger, depuisle début du mois de janvier écoulé jusqu’àla 2e semaine du mois de juillet en cours,tandis que 3 décès par noyade ont été enregistrésau niveau des plages :

Sablettes,Reghaïa et Plage d’Or de Chéraga, a indiquéle lieutenant Khaled Benkhelfallah,chargé de la communication à laProtection civile.Les services de la Protection civile de lawilaya d’Alger ont ainsi enregistré, du 1erjuin écoulé au 11 juillet en cours, l’affluencede quelque 751.900 estivants ayant fréquenté les différentes plages autorisées à la baignade, au nombre de 66, et la mort par noyade de 3 victimes âgées de 13 à 31ans, au niveau des plages Sablettes, Reghaïa et Plage d’Or à Chéraga, a indiquéà l’APS, le lieutenant Benkhelfallah.

Le 1er cas de noyade durant cette saison estivale 2018, a été enregistré, le 13 juin dernier, au niveau de la plage des Sablettes, la victime était âgée de 13 ans, a déploré M. Benkhelfallah qui précise que cette plage est interdite à la baignade.Le 2e cas est survenu le 19 juin au niveau de la plage de Réghaïa, où un jeunehomme âgé de 19 ans a trouvé la mort,tandis que le 3e cas (un jeune âgé de 31 ans), s’est produit,le 5 juillet courant, au niveau de la Plage d’Or.

Le nombre d’interventions des agents de la Protection civile au niveau des plages de la capitale, sur cette période, a atteint 921 cas ayant permis de sauver 223 personnes de la noyade : 161 enfants, 117 hommes et 46 femmes, ce qui représente plus de 50 % des personnes secourues, outre 62 individus, alors que le nombre des secourus sur place a atteint 135 individus et 136 personnestransférées vers les centres de santé. Benkhelfallah a mis en garde contre la baignadedans les plages interdites à la baignade et non surveillées.Benkhelfallah a appelé les parents à faire preuve de vigilance et de prudence et à surveiller, de près, leurs enfants , pour éviter tout accident potentiel. La direction de la Protection civile de la wilaya d’Alger a mobilisé, au titre de la saison estivale 2018, « tous les moyens humains et matériels nécessaires, à savoir 685 agents, surveillants et plongeurs au niveau desplages, ainsi que des bateaux de sauvetage et des ambulances, pour assurer la sécurité des estivants », a rappelé M. Benkhelfallah.

A noter que les services de la wilaya d’Alger ont consacré, au titre de la saison estivale en cours, 66 plages autorisées à labaignade et interdit la baignade au niveau de 21 autres pour des raisons relatives àl’insuffisance d’aménagement, à la difficulté d’accéder auxplages, à la pollution,ainsi qu’à la qualité des eaux qui ne sont pas conformes aux normes de la santé publique et de l’hygiène.

Par : RAYAN NASSIM

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JSM Tiaret: Qui de Osmane ou Khelladi entraînera l’équipe ?

Mon, 07/16/2018 - 12:48

Par Kamel Lezoul.

La question qui taraude les esprits à Tiaret est de savoir qui sera le futur entraîneur de la JSMT ? A ce propos, les supporters attendent avec impatience le retour du président Feghouli de l’étranger pour qu’il puisse se pencher sur le sujet. Dans l’entourage du club, on estime que l’avenir de la barre technique de la JSMT va se jouer entre les techniciens Osmane Abderrahmane et Khelladi M’himda, même si le premier cité semble plus proche pour prendre les rênes de la barre technique d’Ezzerga. Côté recrutement, on signalera l’arrivée de deux nouveaux joueurs, Dekhouche (ex-CSC) et Bahri (ex-NRB Telaghma), qui complètent ainsi l’effectif de la JSMT, composé désormais de 26 éléments. Par ailleurs, nous avons appris que la reprise des entraînements est fixée au 23 du mois en cours, avec un premier regroupement consacré à la préparation physique à Tiaret pendant une douzaine de jours. En suite, l’équipe se rendra en Tunisie, à Aïn Draham plus précisément, pour un second stage bloqué de deux semaines, où la JSMT devrait disputer par moins de cinq matches amicaux sur place, comme nous l’a confirmé le manager général Djillali Rahim. « Je vous informe que la préparation va débuter dans les jours à venir, après l’engagement d’un nouvel entraîneur. Nous avons déjà tout organisé pour la bonne marche de la préparation et les conditions dans lesquelles le groupe devra évoluer lors cette phase préparatoire. Si on veut jouer l’accession en Ligue 2, nous devons commencer par assurer une bonne préparation à l’équipe. Permettez-moi au passage de remercier au nom du président, les autorités locales de la ville et à leur tête le premier responsable de la wilaya pour son soutien moral et financier », dira notre interlocuteur.

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IRB Sougueur: Les bilans moral et financier approuvés

Mon, 07/16/2018 - 12:47

Par Kamel Lezoul.

  Reportée une première fois en raison du quorum non atteint, l’AGO de l’IRBS a finalement eu lieu en début de semaine au siège de l’Ittihad. Après la lecture des bilans moral et financier, les 15 membres de l’assemblée qui étaient présents à cette AGO, n’ont pas hésité à approuver les bilans en question, d’autant qu’ils estiment que les dirigeants ont réalisé un travail remarquable avec le peu de moyens dont ils ont disposé. En effet, les dirigeants de l’IRBS ont géré une saison complète avec seulement 106 millions de centimes, soit ce qui restait des 900 millions de centimes de la subvention accordée par l’APC, car comme tout le monde le sait, la majorité de l’argent a été empochée par les quatre créanciers qui détenaient des décisions de justice.

La question qui s’impose maintenant est de savoir s’il est imaginable qu’un club comme l’IRBS puisse gérer une saison complète avec seulement 106 millions de centimes ? Difficile à comprendre, d’autant que les spécialistes estiment que cela relève du miracle si l’équipe n’a pas rétrogradé en Régionale 2. Dans le camp des supporters, c’est l’incompréhension du moment qu’ils ont le sentiment que le club est complètement abandonné. Le président Bakhti, les larmes aux yeux, nous a avoué qu’il défierait quiconque de prendre en charge le club dans les conditions actuelles. « Je me demande pourquoi cette fuite en avant et pourtant l’IRBS est un club au passé glorieux. Où sont passés les hommes de Sougueur ? Je leur lance un appel de détresse pour qu’ils s’unissent autour du club au risque de le voir disparaître à jamais. Aussi, je demande aux hommes d’affaires et aux investisseurs de la région de venir en aide à l’IRBS, car les portes sont grandes ouvertes et ils sont toujours les bienvenus », dira en conclusion le président.

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NC Magra: Le premier cycle de la préparation bouclé

Mon, 07/16/2018 - 12:41

Par A. Mallem.

  Le Nejm Chabab Magra (NCM), pensionnaire de la Ligue 2 professionnelle, vient de boucler son premier cycle d’entraînement qu’il a débuté le 7 juillet et qui s’est déroulé localement durant une semaine. Le président Azzedine Bennacer, que nous avons contacté, nous a indiqué que l’équipe a bénéficié de deux jours de repos avant la reprise du travail. Il n’a pas manqué de préciser que le recrutement est désormais clos au NCM avec une liste de 24 joueurs dont 8 nouveaux éléments recrutés cet été. Ajouter à cela l’engagement d’un nouvel entraîneur en la personne de Ghimouz Amine, qui a travaillé par le passé avec la JS Saoura et le CA Bordj Bou Arréridj, avant de terminer la saison écoulée avec l’Amal Bousaâda.

Bennacer a également indiqué que les entraînements se poursuivront à Magra jusqu’à la fin de semaine, avant que l’équipe ne se rende en Tunisie, à partir du 20 juillet, pour un regroupement d’une dizaine de jours. Questionné à propos de l’aide promise par les autorités communales et les autorités de la wilaya de Msila, Bennacer a répondu que ces dernières lui ont donné des assurances fermes et lui ont demandé d’assurer la préparation et l’entame du championnat par ses propres moyens comme il le faisait au cours des saisons précédentes, en attendant que l’aide de l’Etat suivra. Côté sponsoring, le NCM, qui se présente cette saison comme le porte-drapeau de la wilaya au sein de l’antichambre de l’élite, a signé un contrat de sponsoring avec la laiterie Hodna, mais l’aide financière qu’apportera cette société industrielle au NCM ne sera déterminée et versée qu’au mois de septembre prochain. Il révélera encore que la chose essentielle qu’a obtenue pour le moment le NCM est « l’assurance de pouvoir continuer à recevoir les équipes visiteuses dans notre stade de Magra et ce, en dépit des réserves formulées par la commission de la ligue », a-t-il indiqué. Et d’ajouter : « Le stade de Magra, d’une capacité d’accueil de 6.000 places, répond parfaitement aux exigences de la Ligue 2 professionnelle, qui fixe la condition d’octroi de l’agrément de domiciliation à égale ou plus de 5.000 places ». Pour la précision, les services de la commune ont commencé à travailler pour lever toutes les réserves formulées par la commission d’homologation des stades.

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LACRIM revient sur la scène algérienne pour un concert exclusif pour le bonheur de ses fans algériens le 19 juillet au Théâtre de verdure d’Alger et le 21 juillet au Club Hippique d’Annaba

Mon, 07/16/2018 - 12:41

à la date du 19 juillet 2018, à partir de 21h30, le célèbre rappeur français  d’origine algérienne LACRIM animera un concert exceptionnel et exclusif au Théâtre de verdure, Laadi Flici, d’Alger et au club Hippique de Annaba le 21 juillet 2018 à partir de 21h30 en la compagnie d’autres artistes.

Cet artiste tant attendu par les jeunes algériens va se produire avec le DJ BELLEK et AM LA SCAMPIA et aussi le DJ R-ONE  et DIDINE KALASH qui feront l’ouverture de son concert  à Alger. Quant au concert de Annaba, LACRIM sera accompagné toujours de DJ BELLEK et AM LA SCAMPIA et l’ouverture se fera avec le DJ R-ONE et AZZOU ainsi que PRINCE POLO et AJ DYNAMITE pour son concert à Annaba.

A propos de LACRIM :

De son vrai nom Karim Zenoud, L’artiste est un rappeur français de parents algérien né à Paris le 19 avril 1985. Il s’est officiellement lancé dans le monde de la musique en 2009 en débutant par le biais de featurings avec Mister You. Lacrim qui compte de nombreux fans en Algérie a composé et produit de nombreux titres qui ont cartonné et qui lui ont permis de remporter le prix de « meilleure révélation » au festival de Trace Urban Music Awards en 2014.

Vente de billets :

ALGER

Prix du billet 2000 Da / VIP 5000 Da

Billetterie : Mégastore => Sidi Yahia / Sensation DVD => Dely Brahim / La maison de l’homme => Golf / Coffe Box => Hydra, Val d’Hydra, Sacré Cœur / Kiffen Club (stand Limoncetto) => Borj El Kiffen / Tornado => Staoueli / L’Escalier des artistes => Alger Centre.

ANNABA  (les billets seront disponibles à partir du Samedi 14 juillet)

Prix du billet 1500 Da / VIP 4000 Da

Billetterie : Méga Pizza => Annaba / Brown Burger => Boulevard / Mamounia Lounge => Corniche (EX Big Ben)

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L’égalité financière pour les agricultrices d’Afrique

Mon, 07/16/2018 - 12:37

Par Shiro Wachira*

NAIROBI – Autour du monde, les mouvements sociaux comme #MoiAussi et #TimesUp suscitent des débats importants portant sur les pratiques inéquitables que les femmes doivent subir dans tous les aspects de leurs vies. Dans certains cas, ces discussions ont entraîné des changements quantifiables du traitement de droits des femmes au travail, à la maison et ailleurs dans la société. Malheureusement, on s’est peu préoccupé de l’égalité des sexes pour les femmes habitant en région rurale, particulièrement les agricultrices démunies de l’Afrique subsaharienne. Or, pour que la disparité entre les sexes disparaisse un jour du continent africain, il faut discuter mondialement des obstacles uniques auxquels les Africaines sont aux prises.

L’Afrique subsaharienne est une des régions du monde où l’inégalité des sexes est des plus élevées. Selon le Programme de développement des Nations unies (PDNU), les perceptions, attitudes et rôles de genre traditionnels limitent l’accès des femmes aux soins de santé et à l’éducation et entraînent des niveaux disproportionnés de responsabilité familiale, de ségrégation des emplois et d’agressions sexuelles.

Mais l’argent demeure le plus grand obstacle à l’égalité des sexes en Afrique subsaharienne; en bref, les femmes en ont moins. Selon la Banque mondiale, 37 % des femmes de la région ont un compte en banque, comparé à 48 % des hommes. Et même si le pourcentage est faible pour les deux sexes, il est quand même troublant que l’écart se soit élargi ces dernières années, alors même que l’offre de financement globale aux populations démunies n’a pas cessé de croître.

Aujourd’hui, les femmes dominent l’agriculture africaine, l’activité économique la plus importante du continent. Mais elles n’ont pas droit au chapitre en ce qui concerne les finances. Les taux d’intérêt des prêts personnels sont une bonne mesure de cette lacune; en Afrique de l’Est, où œuvre l’organisme où je collabore, les femmes empruntent 13 % moins d’argent pour les mêmes activités agricoles effectuées par des hommes. L’analphabétisme, la propriété foncière limitée et les restrictions d’agence et de mobilité mènent forcément à réduire l’accès au financement agricole pour les exploitantes.

Ces barrières ont lourdement pesé sur le progrès social et économique. En premier lieu, le manque de capital fait en sorte que les femmes ont de la difficulté à acheter des semences et des engrais de qualité, ou même d’avoir accès à des terres agricoles, ce qui en retour réduit la productivité agraire. Le rendement des récoltes dans la région est encore à la traîne des moyennes mondiales, en partie parce que les femmes ne peuvent pas assez investir dans leur exploitation.

L’inégalité des sexes est également coûteuse au niveau macroéconomique. Le PDNU estime que le fait de ne pas intégrer les femmes dans les économies nationales coûte au pays d’Afrique subsaharienne des pertes combinées de 95 milliards $ en productivité par année. Lorsque les femmes vivant sous le seuil de pauvreté sont empêchées de travailler ou de contribuer socialement, la croissance stagne.

D’autre part, lorsque les agricultrices ont accès à du financement, les retombées positives se propagent bien au-delà des champs. En fait lorsqu’on octroie des prêts aux femmes, il est démontré qu’elles participent davantage aux décisions communautaires. De plus, l’inclusion financière des femmes aide à la lutte à la marginalisation sociale et améliore le bien-être familial; car lorsque ce sont les mères qui dans le ménage tiennent plus ou moins les cordons de la bourse, leurs enfants risquent moins de mourir de malnutrition et au contraire ont plus de chance de prospérer.

En vertu de ces retombées positives, la question n’est pas de savoir s’il faut élargir l’accès aux fonds destinés aux activités des femmes de l’Afrique rurale, mais plutôt de savoir comment distribuer ce capital. Une solution est de concevoir des programmes qui tiennent compte des disparités en matière d’éducation et de mobilité à l’octroi des prêts. Pour que les jeunes filles et les femmes tirent pleinement avantage de ce financement, il est essentiel de prendre en compte la présence de la discrimination sociale. Une autre option consiste à s’appuyer sur les initiatives de médiation efficaces qui aident les femmes à discuter avec leur époux pour qu’elles participent davantage aux décisions financières du ménage.

Mais l’un des changements les plus importants serait que les sociétés financières s’engagent à prendre les devants. Si les banques et les services de crédit offraient des produits qui comblent vraiment les besoins des femmes, elles auraient plus accès aux ressources financières. Par exemple, les banques pourraient concevoir des programmes de crédit destinés aux cultures où la coutume veut que ce soient des agricultrices qui s’en occupent — comme les arachides ou le tournesol. Les sociétés financières pourraient aussi encourager la nomination de femmes à des postes de direction dans les coopératives agricoles et venir en aide aux marchés publics où les femmes vendent leurs récoltes.

Au rythme actuel de l’inclusion financière, le monde ne verra l’avènement de l’égalité des sexes que dans 200 ans. Cette lenteur est inacceptable. Une si lente évolution de la participation des femmes à la vie économique n’est pas inéluctable. En fait, si les États nationaux, les intervenants internationaux et les secteurs financiers s’entendaient pour élaborer des politiques concertées en soutien à l’avancement des femmes, les progrès en ce sens seraient beaucoup plus rapides.

Traduit de l’anglais par Pierre Castegnier
*Une spécialiste de projet au sein de l’équipe des partenariats en microfinance du One Acre Fund.

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Une Europe trop complexe

Mon, 07/16/2018 - 12:34

Par Harold James*

PRINCETON – L’Union européenne doit aujourd’hui relever des défis plus compliqués que ne le fut la crise de la dette, qui menaça de couler la zone euro au début de la décennie. Les tensions Nord-Sud et Est-Ouest n’ont cessé de monter en Europe, et elles menacent aujourd’hui de s’aggraver avec l’incertitude qui entoure l’avenir politique du gouvernement de la chancelière allemande Angela Merkel. Pourraient-elles aboutir au démantèlement de l’UE ?

L’UE ne court apparemment aucun risque de destruction. Non seulement un accord stable sur la dette grecque a finalement été obtenu, mais l’Agence des Nations unies pour les réfugiés a enregistré cette année 42 213 arrivants, – ce qui n’a rien à voir avec le chiffre de plus d’un million de réfugiés qui s’étaient présentés en 2015 aux frontières de l’UE.

Cette année a pourtant marqué un sommet des angoisses concernant l’immigration, dans ce qui apparaît comme une réaction à retardement non seulement à l’arrivée en masse des réfugiés voici trois ans, mais aussi au sentiment d’insécurité distillé par la crise financière mondiale de 2008. Les Européens s’inquiètent plus pour leur avenir qu’il y a dix ans, en partie parce qu’ils ne sont pas convaincus que leurs dirigeants politiques soient capables de répondre de façon conséquente aux défis qui se posent aujourd’hui.

Ceux-ci vont bien au-delà des migrations et du continuel débat sur l’euro. Ils s’étendent aux questions de sécurité soulevées par les combats qui se poursuivent en Ukraine, à la coordination de la politique énergétique, aux négociations en panne sur le Brexit et à la menace d’une guerre commerciale mondiale. Sur aucun de ses problèmes, et même sur le commerce (le seul domaine d’action qui entre pleinement dans les compétences juridiques de l’Union), l’UE n’a montré qu’elle était à la hauteur de la tâche.

En théorie, toutes ces questions pourraient être résolues ensemble, dans une sorte de «grand accord». Les avantages en sont évidents : dans un monde incertain, l’appartenance à une communauté plus large garantit de précieuses protections. Tous les pays ne gagneront pas sur tous les points, mais globalement, chacun s’en portera mieux.

Si l’Italie et la Grèce devraient continuer, par exemple, à enregistrer les demandeurs d’asile et à leur fournir une aide médicale et sociale, leur partenaires européens soutiendraient leur effort, car ils tireraient eux-mêmes profit d’une frontière plus sûre, gardée par une force européenne. De même, tous les pays européens renforceraient leur résilience énergétique si des investissements plus importants étaient consentis à l’amélioration des réseaux de transport d’énergie.

Il n’en reste pas moins qu’un grand accord est un peu l’éternelle chimère de l’Europe. Le principal problème demeure la complexité de l’édifice européen, mal équipé pour fonctionner en plein chaos, à l’image de l’équipe allemande de football, fort disciplinée, mais peu préparée à résister, lors du premier tour de cette Coupe du monde, aux assauts frénétiques de leurs adversaires mexicains. (Ce n’est pas la première fois qu’un match de football acquiert, pour l’UE, valeur de symbole : l’été 2012, au plus fort de la crise de la dette qui frappait la zone euro, le sommet de la dernière chance se tint en même temps que le match de Coupe d’Europe entre l’Italie et l’Allemagne.)

Dans le monde de 2018, la partie est chaotique. Il n’est qu’à considérer le récent G7 de Québec, où les échanges commerciaux figuraient à la première place dans l’ordre du jour. Voici bien un domaine où l’UE devrait avoir un pouvoir considérable pour décider des questions qui doivent être abordées. Mais ses représentants ont manqué une opportunité en or lorsque le président des États-Unis Donald Trump, qui pourrait tout aussi bien avoir écrit lui-même le scénario de ce chaos, a proposé, en guise de solution de rechange aux guerres commerciales qu’il avait lui-même lancées, un démantèlement complet des barrières douanières. Les Européens auraient dû saisir la balle au bond et se débrouiller pour conclure rapidement un accord de principe sur le niveau des droits de douane au sein du G7.

C’est exactement ce genre d’initiative, rappelons-le, qui permit de mettre fin à la guerre froide. En 1990, à la Maison-Blanche, le dirigeant soviétique Mikhaïl Gorbatchev suggéra contre tout attente l’entrée d’une Allemagne réunifiée dans l’OTAN pour stabiliser le continent. George H. W. Bush, alors président des États-Unis, et ses collaborateurs bondirent sur l’occasion, poussant Gorbatchev à conclure rapidement l’accord.

Dans le cas de Trump au G7, un engagement en faveur d’une suppression des droits de douane eût été pour le monde entier une bonne chose, même si le risque existait que Trump y renonce ultérieurement. Telles quelles, les barrières douanières ne sont pas particulièrement élevées : pondérés, les droits de douane moyens pour l’ensemble des produits américains et européens ne sont que de 1,6%. Les réduire à zéro serait relativement aisé, et enverrait un signal fort, garantissant qu’il n’y aura pas de mesure de représailles ni d’escalade, que les chaînes d’approvisionnement mondiales ne seront pas désorganisées et que l’économie planétaire est en sécurité.

Bien sûr, un tel accord soulèverait pour l’UE des difficultés. Certaines activités, notamment dans le secteur agricole, jouissent aujourd’hui d’un niveau élevé de protection. La suppression des droits de douane redistribuerait les intérêts des États au sein de l’UE (mais aussi aux États-Unis).

Le problème fondamental des dirigeants européens lors du sommet fut pourtant leur incapacité à se passer le ballon suffisamment rapidement pour répondre à temps. L’Europe est une machine délibérément complexe, où les pièces ont du jeu, afin de permettre la coordination d’une large variété d’intérêts nationaux. En temps normal, cette complexité est une bonne chose, mais elle devient un problème dans les moments exceptionnels, lorsque la partie s’emballe. À ces moments-là, l’UE ressemble plus à l’ancien empire des Habsbourg – une mosaïque complexe de nationalités, où l’on pouvait prétendre, non sans esprit, que la situation, si désespérée qu’elle fût, n’avait jamais rien de grave.

L’Empire austro-hongrois eut lui aussi la possibilité d’un grand accord – une réorganisation politique d’ampleur qui eût modifié le poids politique de ses nationalités –, mais celui-ci ne fut jamais conclu. Au contraire, l’élite politique en vint à penser que seule une réponse à la question extérieure – en l’occurrence par une guerre courte – pouvait résoudre le problème. Mais la Première Guerre mondiale ne fut pas un conflit court et, loin de sauver l’Empire, elle le détruisit.

Après 1918, on se prit de nostalgie pour le vieil empire. Il apparaissait meilleur, plus tolérant, et même plus efficace que le groupe d’États-nations rivaux qui lui succédèrent. Aujourd’hui, les Européens devraient s’en souvenir. S’ils laissent les peurs du présent paralyser leur action, ils pourraient bientôt soupirer eux-mêmes après une occasion manquée.

Traduit de l’anglais par François Boisivon
*Professeur d’histoire et d’affaires internationales à l’université de Princeton et senior fellow au Center for International Governance Innovation.

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Monsieur Kamal KHOUFACHE, nouveau directeur général de la Société Nationale de Leasing SNL

Mon, 07/16/2018 - 12:34

Le Conseil d’administration de la Société Nationale de Leasing SNL a nominé Monsieur Kamal KHOUFACHE, à compter du 25 juin 2018 comme nouveau Directeur général de la SNL, Il succède à Monsieur Samir MEDJKANE dont le mandat est arrivé à terme.

Monsieur Kamal KHOUFACHE compte plus de 28 ans d’expérience dans le domaine de la banque, en l’occurrence la Banque de Développement Local (BDL), passant de l’exploitation, au commercial, puis aux risques pour terminer dans la gestion du capital humain.

« C’est un honneur pour moi d’être désigné à la tête de cette jeune société que j’ai eu le plaisir de connaitre à sa création. La SNL m’inspire par son organisation moderne, son modèle de management et la qualité de son capital humain ».

La SNL a déjà prouvé sa réussite et son succès grâce à l’engagement de ses dirigeants et collaborateurs, tous pour satisfaire sa clientèle. Il s’agit d’une entreprise d’avenir pour l’économie du pays.

Créée en 2010, la Société Nationale de Leasing est le premier établissement financier public en Algérie porté par deux grandes banques ; la banque de développement local (BDL) et la Banque Nationale d’Algérie (BNA). La SNL est spécialisée dans le financement par le crédit-bail mobilier et immobilier des entreprises en développement dans différents secteurs d’activité, notamment, l’industrie, le transport, le médical, les services, le tourisme, l’immobilier et les travaux publics.
En plus de son siège social situé au centre de Zéralda, la SNL est présente à travers des espaces dédiés au niveau des agences commerciales de la BDL et La BNA.

Le crédit-bail ou leasing, est un mode de financement souple, rapide et adapté aux besoins des PME/PMI.

La relation commerciale avec la clientèle se déroule et se pratique aussi bien au niveau du siège de la SNL où sont pratiquées toutes les opérations et fonctions de l’entreprise, qu’au niveau du réseau agence de la BDL et la BNA.

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Blida: Les cortèges nuptiaux, un autre danger

Mon, 07/16/2018 - 12:28

Par Tahar Mansour.

Malgré les appels divers lancés par les citoyens à travers les réseaux sociaux, malgré les rappels des imams, malgré les divers accidents parfois mortels, les cortèges nuptiaux continuent d’être une menace à l’ordre public et de constituer une menace mortelle pour les piétons, les automobilistes et même les gens chez eux. En effet, de jeunes écervelés, sous le prétexte de manifester leur joie lors du mariage d’un parent ou d’un ami, roulent à des vitesses effarantes en plein centre-ville, slaloment entre les voitures, opèrent des dépassements dangereux, se rabattent brusquement devant d’autres voitures et, souvent, le drame arrive. Nous nous étonnions que des gens puissent conduire leurs voitures de cette manière jusqu’à ce que nous apprenions que, dans la majorité des cas, ce sont des voitures de location. En effet, pour 3000 DA, le jeune loue une voiture récente et se permet toutes sortes de manœuvres tout aussi dangereuses les unes que les autres, usant les pneus et mettant à rude épreuve aussi bien la mécanique que la tôle de la voiture. Outre cette conduite très dangereuse, il y a les feux d’artifice, plus connus sous l’appellation de ‘boq’ par les Algériens et qui sont utilisés là aussi de manière très dangereuse. En effet, ce sont des adolescents qui tiennent ces tubes d’où sortent à intervalles réguliers des feux d’artifice en produisant de grandes explosions avant de monter haut dans le ciel, ceci au milieu de bâtiments et de convives.

Les accidents sont légion mais rarement déclarés et les incendies sont vite arrivés quand la véritable petite bombe pénètre par la fenêtre d’un appartement et y met le feu. Pourtant tous ces produits pyrotechniques sont interdits d’entrée en Algérie mais nous pouvons les trouver partout à des prix très élevés compris entre 5 000 et 50 000 DA la pièce. Imaginez quelqu’un prenant une liasse de billets de banque de 5 millions de centimes et y mettre le feu !! C’est exactement ce qui arrive avec, en plus, le bruit et le risque. Les services de sécurité devraient interdire ces pratiques qui nuisent à la quiétude des habitants et constituent un danger certain pour leur santé, en agissant à l’amont par l’interdiction véritable de commercialiser ce genre de produit et la poursuite pénalement de ceux qui passent outre la loi. Les jeunes qui conduisent dangereusement devraient aussi être lourdement pénalisés afin de préserver la vie des citoyens et éviter des accidents stupides qui mettent en danger la vie des gens.

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Constantine – Hadj: Journées de sensibilisation des futurs pèlerins

Mon, 07/16/2018 - 12:27

Par A. E. A.

En prévision du hadj saison 2018, la direction de wilaya des Affaires religieuses organise, depuis hier et pendant trois jours, des journées de sensibilisation et d’entraînement en direction des futurs hadjis, au palais de la culture Al Khalifa, et ce avec la participation de représentants du secteur de la Santé, de la Protection civile, des enseignants et des imams.

Selon la responsable du bureau «El-Irchad Eddini» à la direction en question, ces journées font suite à la caravane du hadj, qui est arrivée à Constantine le 30 juin dernier. Le programme concerne pour le 1er jour le volet préparation spirituelle et matérielle du pèlerinage de cette année, dira-t-elle. Et d’expliquer qu’il s’agit surtout de sensibiliser les futurs hadjs, théoriquement et pratiquement, et leur communiquer les différents aspects du rite pour en faire un bon ambassadeur de l’Algérie aux Lieux saint de l’islam. «Nous avons invité à cet effet des représentants de la Santé et de la Protection civile, pour des interventions à faire dans le cadre de ces préparations», dira-t-elle. Le 2e jour sera celui des explications avec détails des divers rites du hadj, alors que le 3e jour sera consacré au volet pratique avec exposition de maquettes de la «Kaaba» et des autres lieux du pèlerinage. Il y a aussi des projections de vidéos, montrant le voyage depuis l’aéroport Mohamed Boudiaf de Constantine à La Mecque et à Médine, et retour des Lieux saints. Toujours selon notre interlocutrice, «nous avons en sus des dépliants sur les différents rites du hadj et de la Omra et d’autres encore sur la moralité du pèlerin».

Par ailleurs et pour ce qui les concerne, les agents de la protection civile ont présenté un ensemble de conseils et d’orientations afférents au comportement à prendre face à tout éventuel évènement important survenant lors du hadj. C’est que ne manquera pas d’indiquer le représentant de ce corps constitué, le capitaine Lagraa, qui a indiqué que le pèlerinage est une affaire trop sérieuse pour qu’elle ne soit pas codifiée, d’où la nécessité de faire montre d’une entraide à toute épreuve, dira-t-il. Et cela, ajoute-t-il, surtout en cas d’incendie où il faut faire preuve de solidarité même envers des hadjs ressortissants d’autres pays. De même que nous leur recommandons de se conformer strictement aux conseils qui leur ont été dispensés, aussi bien ceux relatifs à leur santé que ceux relatifs à leur sécurité ainsi que de leurs relations avec le reste des pèlerins.

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Blida: La menace des chiens errants

Mon, 07/16/2018 - 12:26

Par Tahar Mansour.

  Le problème des chiens et chats errants dure et perdure malgré les dangers certains qu’ils représentent pour la santé publique, surtout en cette période estivale où ils se mettent en groupe de plusieurs individus pour, la nuit venue, se déplacer de quartier en quartier à la recherche de nourriture, abondante dans les poubelles. Les habitants, toujours à cause de la chaleur, sont nombreux à sortir de chez eux et se retrouvent donc nez à nez avec ces hordes de chiens qui attaquent sans prévenir.

Le danger est plus grand à l’aube quand le fidèle se rend souvent seul vers la mosquée pour faire la prière et qu’il trouve sur son chemin plusieurs chiens qui, faut-il le rappeler, attaquent les êtres humains dès qu’ils se sentent en nombre important et donc en position de force. Les statistiques ne sont pas toujours fiables car la plupart des citoyens mordus ne le déclarent pas et se contentent de se faire soigner. Nous avons appris, de la part de citoyens, qu’un habitant d’une cité de la wilaya de Blida a failli mourir et sera peut-être handicapé à vie à cause de chiens errants qui l’ont attaqué.

Ce ne sont pas les chiens qui l’ont mordu mais c’est alors qu’il se sauvait de cette horde qui menaçait sa vie et qu’il tenta de monter dans une voiture à l’arrêt avec son propriétaire à l’intérieur qu’il se fit écraser par ladite voiture.

En effet, croyant avoir affaire à un agresseur qui voulait monter dans la voiture pour la lui dérober, le chauffeur démarra en trombe, faisant tomber le malheureux et le heurtant violemment. Pourtant il existe au niveau de chaque APC un bureau d’hygiène chargé justement de ces questions et qui doit programmer des campagnes périodiques d’éradication des chiens et chats errants ainsi que divers rongeurs mais qui, apparemment, les a oubliées. Les autorités de la wilaya avaient déjà donné des instructions fermes pour des campagnes d’éradication mais elles n’ont pas été partout suivies d’effet. Enfin, il faudrait peut-être profiter de la présente campagne de nettoyage menée à travers toutes les communes pour y intégrer l’élimination de ces hordes qui contribuent à salir l’environnement et constituent un danger pour les habitants.

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Constantine – Rareté et rupture de produits: Les grossistes en médicaments sur le banc des accusés

Mon, 07/16/2018 - 12:22

Par A. Mallem.

Les sonnettes d’alarme tirées par des malades chroniques, qui manquent singulièrement de certains médicaments essentiels, ont tendance à se multiplier ces derniers temps. Particulièrement en ces journées de canicule.

D’abord, ce sont les asthmatiques qui se plaignent des difficultés qu’ils rencontrent pour se procurer des médicaments qui leur sont indispensables, notamment la ventoline, le bédécort, le flixodide, médicaments qui sont très peu disponibles en ce moment. «Cela tombe mal, car nous sommes énormément gênés par les chaleurs qui sévissent de jour comme de nuit», nous ont expliqué hier des malades rencontrés au niveau d’une pharmacie du centre-ville de Constantine.

Confirmant l’indisponibilité de certains médicaments, le pharmacien a cité les bandelettes pour les diabétiques, les médicaments Alpha 025 et 1 Alpha pour les malades qui souffrent de déficit sérieux en calcium, le médicament bédélix qui sert de pansement intestinal. Ajoutant à cela des médicaments rentrant dans le traitement de la prostate et les médicaments anti-vertige. Et de terminer en signalant aussi que les collyres sont indisponibles dans une proportion de 70%.

Alertés par ces informations, nous avons pris contact avec le porte-parole du bureau de wilaya du Syndicat national des pharmaciens d’officine (SNAPO), M. Abdelkrim Bouherid. Et ce dernier a confirmé les informations données par les malades et par ses confrères, affirmant que les médicaments cités sont effectivement en rupture. Notamment ceux du système respiratoire et ce manque provoque l’angoisse chez les asthmatiques indisposés par les chaleurs. «Actuellement, les officines pharmaceutiques arrivent difficilement à couvrir les besoins des malades», a ajouté le responsable du SNAPO. Pour les diabétiques, M. Bouherid a confirmé que, mis à part une ou deux marques de bandelettes, toutes les autres sont en rupture. Mais là, notre interlocuteur a tenu à tempérer la gravité de la situation «puisque, dit-il, le problème résulte uniquement d’une accoutumance aux marques de bandelettes utilisées. Et nous arrivons difficilement à convaincre le malade de prendre les nouvelles marques que nous proposons». Mais pour les médicaments de traitement «du manque de calcium, la situation est vraiment grave pour les malades qui risquent l’hospitalisation pour refaire le schéma de traitement s’ils ne prennent pas à temps leur médicament».

Selon M. Bouherid, l’explication de ces ruptures de médicaments en série se trouve au niveau des distributeurs en gros des médicaments, lesquels persistent toujours à pratiquer la vente concomitante. «Pour obtenir un minimum de 5 boîtes d’un médicament en rupture, ils vous exigent de passer une commande de 5 millions de centimes dans un autre registre de médicaments qui, eux, ne sont pas en rupture, mais connaissent plutôt une mévente», a expliqué le représentant du SNAPO qui a déclaré avoir fait un rapport complet sur cette situation qu’il a adressé au bureau national du syndicat.

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Constantine – Education: Rassemblement des enseignants inscrits sur la liste de réserve

Mon, 07/16/2018 - 12:19

Par A. El Abci.

Les enseignants «réservistes», figurant sur des listes d’attente pour être recrutés, se sont rassemblés devant la direction de l’Education pour protester contre les lenteurs incompréhensibles, dans l’affichage des noms de ceux qui seront convoqués pour recrutement, sachant que c’est demain la date limite fixée pour l’opération.

Selon la représentante des protestataires, Mme Wassila, «nous représentons les candidats ayant passé, avec succès, le concours du mois de juillet 2017 et nous pensons que c’est notre tour d’être concernés par un recrutement. C’est autant dire, poursuit-elle, que cela fait, exactement, une année que nous attendons le jour ‘J’ de l’affichage des listes, avec la convocation des concernés pour un recrutement, faire une formation avant de rejoindre nos postes, à la prochaine rentrée scolaire. Malheureusement, nous sommes à la veille de la date limite du 16 juillet fixée pour l’opération, sans que la direction de l’Education ne bouge d’un iota et sort les listes de la wilaya, qui végètent toujours dans ses tiroirs», selon elle.

C’est l’unique raison, précisera-t-elle, de ce rassemblement des enseignants d’arabe, de français, de mathématique, de sport ,etc., du Moyen et du Secondaire, qui protestent pacifiquement, en brandissant des pancartes, réclamant entre autres, des «informations relatives à notre recrutement.» Et d’estimer que sachant que les étudiants de l’Ecole supérieure nationale (ENS), ont la priorité pour le recrutement et dont le nombre des retenus est déjà connu, puisqu’on est à la fin de l’année, c’est le tour des enseignants de la liste d’attente de 2017, qui vient juste après, mais alors qu’est-ce qu’attend-on pour en afficher les listes. «Qu’on nous dise, s’il reste des postes pour nous ou pas, c’est tout ce que nous voulons savoir», affirme-t-elle. Pour sa part le directeur de l’Education, M. Bouhali, fera observer que les listes se trouvent sur Internet et à consulter, individuellement, sur la plate-forme du ministère et être fixé, par ailleurs, si l’on est admis à passer le concours oral, de demain, ou pas. Ainsi la direction de l’Education n’a rien à afficher pour le moment et attend que le concours se fasse pour afficher, alors, les résultats définitifs, mais pas avant, conclura-t-il.

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Constantine – Mercuriale: Tendance baissière des prix, en attendant la veille de l’Aïd

Mon, 07/16/2018 - 12:16

Par A. M.

  Les poissonniers des marchés ‘Bettou’ et ‘Boumezou’ du centre-ville de Constantine, étaient, on ne peut plus catégorique, hier, nous affirmant que la bonne sardine, l’espèce considérée comme étant la meilleure, «la vraie sardine», comme ils l’appellent, s’était vendue la veille à 500 DA le kilo, dans la ville de la Marsa, sur le littoral de Skikda. «Alors si on trouve qu’à 400 DA le kilo, la sardine est encore chère, nous ont-ils rétorqué, on se demande jusqu’où peut-on aller pour baisser les prix». Et d’expliquer que les patrons pêcheurs n’en peuvent plus, eux aussi, car ils font face à des «Inputs» importants, notamment le prix du gasoil qui a augmenté, pour mettre sur le marché une sardine de bonne qualité et à des prix raisonnables. Nos interlocuteurs ont ricané aussi, lorsque nous leur avons fait savoir que des informations diffusées, dernièrement, disaient que la sardine s’était vendue à 100 DA le kilo, dans la ville de Jijel. «Voyons, soyons sérieux, vous n’allez, tout de même pas croire cela ? Ce n’était pas de la sardine mais ce qu’on appelait le «menu fretin», tout bon à servir de nourriture aux chats. De plus, ont ajouté nos interlocuteurs, c’était des têtards qui n’avaient pas d’yeux et qui, comme vous le savez, sont interdits de pêche».

Ceci dit, à 350 et à 400 DA le kilo, la sardine à Constantine, c’est quand même, bon marché, ces jours-ci. «Rappelez-vous qu’il y a quelques semaines, seulement, elle se vendait à 600 DA, le kilo», nous a dit un client au marché ‘Boumezou’ qui avait pris un bon kilo de sardines, en nous affirmant que «c’est bon pour les enfants, car elles ne comportent pas d’arêtes et elles sont délicieuses». Pour les autres catégories de fruits de la mer, et à titre d’exemples, les marchands affichent le saurel à 600 DA et les crevettes à 2000 DA le kilo. Pour la suite de la mercuriale, nous avons remarqué que le marché des légumes connaît un certain marasme malgré que les prix ont connu une baisse généralisée avec la pomme de terre et la tomate à 60 DA le kilo, la salade verte à 70 DA, les haricots verts à 140 DA, les poivrons à 100 DA, ainsi que les courgettes. Commentant cette situation, un vieux marchand de légumes, croisant carrément les bras, en s’ennuyant sur son stand, a estimé que la canicule qui sévit, depuis plusieurs jours, a «tué» le marché qui se trouve complètement déréglé en ce moment. «Les clients sont tous partis, constata-t-il, qui en vacances, qui en congé et il faut attendre un peu l’approche de l’Aïd el-adha, vers le 20 août pour que les tarifs remontent un peu». A côté de cela, le marché des fruits, dominé par la «nectarine» à 200 DA le kilo, la pêche jaune et grosse à 220 DA et la pastèque dont la baisse vertigineuse a atteint les 25 DA le kilo. Tous ces articles ne semblent pas être perturbés par l’arrivée du raisin violet proposé à 260 DA le kilo.

Enfin, nous concluons sur les viandes dont les tarifs n’ont pas varié, depuis plusieurs mois, avec la viande de veau à 1200 DA, le bifteck à 1800 DA, le mouton à 1.450 DA. Toutefois, le prix du poulet qui suit la loi du marché reste, parce qu’il est trop demandé, en cette saison de mariages, perché à 370 DA le kilo, avec l’escalope de dinde qui a grimpé à 730 DA le kilo.

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Constantine – Epic d’assainissement de Hamma Bouziane: Les travailleurs sans salaires depuis 3 mois

Mon, 07/16/2018 - 12:12

Par A. M.

  Les 300 travailleurs de l’Epic d’assainissement de Hamma Bouziane n’ont pas perçu leurs salaires depuis trois mois. Les informations recueillies sur la place indiquent que cette situation a conduit les intéressés à observer un arrêt de travail d’une journée, au cours de la semaine dernière, laissant les ordures s’amonceler dans plusieurs quartiers périphériques et au centre de la ville.

Des responsables au niveau de cette entreprise et au sein de l’APC sont intervenus pour leur promettre que leur problème sera réglé rapidement. «Ils avaient alors repris le travail mais sans motivation car jusqu’à ce jour, des quartiers périphériques comme El-Cantolier, Aïn Bensbaa, Bekira et la gare de chemin de fer croulent encore sous les ordures», nous ont expliqué des citoyens de Hamma Bouziane. Nos interlocuteurs ont ajouté que la situation difficile que vivent les centaines de travailleurs de l’Epic communale de l’assainissement, constitués en majorité de chefs de famille, ne date pas d’aujourd’hui. «Il y a plusieurs mois déjà que ces travailleurs souffrent de retards dans le paiement de leurs salaires.

Aussi, l’APC a tenté de redresser la situation, en votant une subvention pour permettre à cette EPIC d’assurer les salaires des travailleurs. Seulement, cette subvention s’est heurtée au refus du contrôleur financier (CF) qui, par deux fois, l’a rejetée», affirment des élus locaux. A plusieurs reprises, nous avons essayé de joindre le directeur de l’EPIC, mais sans résultat. Nous avons alors contacté le président de l’APC de Hamma Bouziane, M. Filali Abderrezak, qui confirmera les problèmes dans lesquels se débat cette entreprise, «confrontée à des difficultés de trésorerie», a-t-il avoué. Lors de sa session du mois de mai dernier, a expliqué le maire, l’APC a délibéré et voté une subvention pour l’EPIC en question. La délibération a été avalisée par le chef de la daïra. Malheureusement, elle a été rejetée par le contrôleur financier pour une question de procédures.

Les élus se sont réunis encore en urgence et dans une session extraordinaire, et nous avons refait la délibération selon les indications données par le contrôleur financier en votant cette subvention, pour garantir 6 mois de salaires aux travailleurs de l’entreprise communale d’assainissement. Bref, les choses ont traîné dans les arcanes bureaucratiques de l’administration locale et le dossier de demande du mandat se trouve présentement au niveau du contrôleur financier». Le P/APC pense, néanmoins, que la situation sera débloquée dans les jours qui viennent et les travailleurs vont être payés.

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La France expulse le terroriste Djamel Beghal vers l’Algérie

Mon, 07/16/2018 - 12:07

Selon les sources de l’AFP, le terroriste Djamel Beghal, mentor des responsables des attentats de janvier 2015 à Paris, est expulsé vers l’Algérie après sa sortie aujourd’hui de prison française.

Djamel Beghal a été conduit vers la frontière, et a décollé à 10h de Roissy vers Alger.

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