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Updated: 6 hours 32 min ago

Tlemcen: Une bande de malfaiteurs neutralisée

Thu, 08/09/2018 - 17:15

Les services de sécurité appartenant à la Sûreté du 7e arrondissement urbain ont pu mettre fin aux activités d’une bande de malfaiteurs, qui sévissait dans le quartier populaire d’El Koudia, au nord du Grand-Tlemcen.
Cette bande, composée de 5 personnes, tous des repris de justice, dont une femme, âgés entre 30 et 60 ans, ont  agressé une famille dans leur domicile, qui fut incendié par des cocktails Molotov.
Cette bande de dangereux malfaiteurs  n’a pas hésité à attaquer les forces de sécurité avec des bouteilles incendiaires  et de jet de pierres.
Les éléments du 7e arrondissement ont pu finalement mettre hors d’état de nuire  ce gang qui ne reculait devant rien.
M. Zenasni

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Palestine: Le coordinateur de l’ONU appelle Israël à permettre l’entrée immédiate du carburant à Ghaza

Thu, 08/09/2018 - 17:13

Le coordinateur des Nations-Unies pour les affaires humanitaires, Jimmy McGoldrick, a appelé hier les autorités d’occupation israéliennes à permettre l’entrée immédiate du carburant d’urgence acheté par les Nations-Unies dans la bande de Ghaza, a rapporté l’agence de presse palestinienne Wafa.
«Les restrictions à l’entrée du carburant d’urgence à Ghaza sont une pratique grave», s’est indigné Jimmy McGoldrick dans un communiqué. Le responsable, redoute «des conséquences catastrophiques» sur les droits et le bien-être de deux millions de Palestiniens dont la moitié sont des enfants. Ghaza, a-t-il indiqué, «a besoin de toute urgence de solutions à plus long terme pour pouvoir surmonter ce cycle de crises récurrentes qui ne cessent de s’aggraver, dont la priorité à donner au carburant».
Le responsable onusien estime qu’«Israël doit mettre un terme aux restrictions imposées», y compris celles liées au carburant d’urgence.
Selon le communiqué, il est urgent de «disposer de carburant pour alimenter les régulateurs électrogènes nécessaires dans le contexte de la crise énergétique chronique à Ghaza».
Les organisations, partenaires des secteurs de la santé, de l’eau et de l’assainissement ont indiqué qu’au moins 60 000 litres de carburant d’urgence devraient être distribués à environ 46 installations vitales dans la bande de Ghaza pour assurer le fonctionnement des hôpitaux essentiels et des services d’eau et d’assainissement nécessaires, pendant les quatre prochains jours.
Le stock de carburant n’est actuellement disponible que dans 40 stations sur les 132 existantes. Outre la réduction des activités des stations d’épuration des eaux usées de la ville-conclave, la collecte des déchets solides a, elle aussi, été retardée «laissant environ 15 000 tonnes de ces déchets dans les rues», a indiqué le communiqué. La réduction des opérations d’approvisionnement en eau et d’assainissement menace quant à elle, «d’accroître et de propager les maladies d’origine hydrique». Les hôpitaux et les autres services de santé essentiels ont eux aussi réduit leurs activités.
«Cinq hôpitaux risquent de fermer dans les trois prochains jours si le carburant d’urgence n’est pas autorisé», a dénoncé le responsable onusien, sachant que quelque «2 000 patients qui se trouvent actuellement dans les hôpitaux de Ghaza, utilisent des appareils électriques» .
Les services médicaux dispensés au profit de plus de 1,6 million Palestiniens «pourraient souffrir d’une pénurie de carburant dans 54 grands centres de santé». La situation s’est encore «aggravée», selon le responsable onusien, par le fait que le financement d’urgence du carburant «sera épuisé» dans toutes les installations vitales d’ici à la mi-août en cours.
Il a appelé en terme de son document onusien, les donateurs à «intervenir et à financer» le carburant d’urgence, afin d’éviter «la propagation» de maladies ou d’autres problèmes de santé publique majeurs.
Juillet dernier, le coordinateur des Nations-Unies pour les affaires humanitaires, avait déjà mis en garde contre l’épuisement rapide du carburant d’urgence offert par l’ONU au profit des installations vitales dans la bande de Ghaza notamment au niveau des structures de santé.
Le ministère palestinien de la Santé a été contraint, selon Wafa, d’appliquer des mesures strictes d’austérité dans les hôpitaux.
Depuis le 30 mars dernier, des Palestiniens manifestent régulièrement à Ghaza sur la ligne du siège imposé par Israël à Ghaza pour réclamer la levée du blocus israélien imposé depuis plus de dix ans à l’enclave, qui souffre d’une pénurie chronique d’eau et de carburant, et où plus des deux tiers de la population dépendent de l’aide humanitaire.
Au moins 160 Palestiniens ont été tués et plus de 16 000 autres blessés par des tirs à balles réelles de l’armée israélienne depuis cette date.

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Syrie: Près de 35 000 candidats aux premières élections locales depuis 2011

Thu, 08/09/2018 - 17:12

Les autorités syriennes ont validé la candidature de près de 35 000 prétendants aux premières élections locales en Syrie depuis 2011, prévues le mois prochain, a rapporté hier un journal local.
«Les comités chargés des candidats ont validé 34 553 candidatures parmi 55 164 postulants, qui se disputeront 18 478 sièges» contre 17 000 sièges lors des dernières élections, a indiqué le président de la Haute commission pour les élections, Sleiman al-Qaëd au quotidien Al-Watan. «Un grand nombre des villages se sont transformés en municipalités, d’où l’augmentation du nombre de sièges (au sein des conseils locaux)» et par conséquent du nombre de candidats, a-t-il expliqué.
Aucune candidature n’a, en revanche, été soumise dans certaines provinces  comme Deir Ezzor (est), Hassaké (nord-est) et Deraa (sud).  Les forces gouvernementales syriennes contrôlent la moitié ouest de la province de Deir Ezzor et sa capitale, mais dans la province de Hassaké, elles ne détiennent que quelques positions dans les villes de Qamichli et de Hassaké.  Elles ont, en outre, repris le mois dernier la totalité de la province de Deraa, considérée comme le berceau de la révolte contre le régime en 2011.
Le gouvernement contrôle désormais près de deux tiers du pays, tandis que les terroristes et les milices kurdes se partagent le reste du  territoire.
Selon l’agence officielle syrienne Sana, le gouvernement pourrait mettre en place des centres électoraux spécifiques dans la ville de Hama afin de permettre aux candidats potentiels des zones qui échappent au contrôle du gouvernement — notamment dans les provinces d’Idleb (nord-ouest) et de Raqa (nord) — de s’enregistrer.
Le pays a organisé des élections législatives en 2016, tandis que le dernier scrutin présidentiel remonte à 2014, à l’issue duquel le président Bachar al-Assad a été reconduit pour un nouveau mandat de sept ans.
Les prochains conseils locaux qui seront élus le 16 septembre auront des responsabilités accrues, selon le secrétaire général du conseil provincial de Damas, Bachar al-Haffar.
«Ils devront établir des plans de développement, suggérer des projets d’investissements et prendre des décisions concrètes concernant la phase de reconstruction», a-t-il ajouté.
Fort de ses conquêtes militaires, le président Assad a déclaré le mois dernier que la «reconstruction» de la Syrie constituait désormais sa principale priorité.
Le conflit syrien, déclenché il y a plus de sept ans, a mis à mal de nombreux services publics de base comme l’approvisionnement en eau et en électricité — inexistants dans de nombreuses régions — et a gravement endommagé les infrastructures civiles, notamment les hôpitaux et les écoles.

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Afghanistan: Six civils tués dans l’explosion d’une bombe en bord de route

Thu, 08/09/2018 - 17:10

Six civils ont été tués et sept autres blessés hier dans l’explosion d’une bombe placée en bord de route dans la province afghane de Balkh (nord), a indiqué un responsable local.
«L’incident s’est produit dans le village de Quch Qazal, dans le district de Sholgara, vers 05h30 heure locale, lorsque le véhicule a touché un engin explosif improvisé placé sur une route poussiéreuse», a déclaré Munir Ahmad Farhad, porte-parole du gouvernement local, cité par l’agence Chine Nouvelle.
«Au total, treize personnes ont été touchées par l’explosion et on compte parmi les victimes quatre enfants et deux femmes», a-t-il précisé.
Les autorités locales accusent les rebelles talibans d’avoir placé des engins explosifs improvisés pour cibler les forces de sécurité dans le district.
Lundi, au moins 50 civils et membres de forces de sécurité ont été tués dans l’est de l’Afghanistan lors d’un affrontement avec des talibans dans la province afghane de Logar (est).
Les talibans, qui ont contrôlé le pays avant d’être évincés fin 2001, ont repris leurs attaques armées en tuant des troupes gouvernementales et des civils. Ils ont intensifié leurs attaques contre les forces de sécurité à travers le pays depuis le 25 avril.
Les chiffres de l’ONU ont récemment fait état de 1 700 civils tués au courant du premier semestre de l’année en cours, selon des médias.

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Iran: Berlin met en garde Washington contre une déstabilisation au Moyen-Orient

Thu, 08/09/2018 - 17:04

Le chef de la diplomatie allemande a mis en garde hier les Etats-Unis contre une déstabilisation du Moyen-Orient en raison de la reprise des sanctions américaines contre Téhéran, dont Washington exige un changement de comportement.
«Celui qui espère un changement de régime ne doit pas oublier qu’il pourrait (…) nous causer des problèmes bien plus importants», a déclaré le ministre des Affaires étrangères Heiko Maas dans un entretien au journal régional Passauer Neue Presse .
«Un isolement de l’Iran pourrait justement favoriser la montée en puissance de forces fondamentalistes et radicales», a ajouté le ministre social-démocrate. «Le chaos en Iran — comme nous l’avons vu en Irak ou en Libye — ne ferait que déstabiliser davantage une région déjà instable», a-t-il insisté.
La veille, Washington a repris ses sanctions économiques contre l’Iran, après son retrait unilatéral de l’accord historique sur le nucléaire conclu en 2015 entre l’Iran et les grandes puissances.
Ces mesures «intensifient la pression sur Téhéran pour qu’il change de comportement», avait estimé lundi le président Donald Trump, qui n’a cessé de critiquer l’accord depuis son arrivée au pouvoir et adopté une attitude très hostile envers l’Iran.
Il reproche notamment à Téhéran son soutien au dirigeant syrien Bachar al-Assad, aux rebelles Houthis au Yémen ou encore au Hamas à Ghaza et au Hezbollah libanais.
«Nous continuons à penser que d’abandonner l’accord nucléaire avec l’Iran est une erreur», a déclaré M. Maas. Même s’il n’est pas parfait, mieux vaut avoir ce texte que rien du tout, a-t-il réitéré.
Les Etats-Unis ont également exigé des entreprises européennes qu’elles mettent un terme à leurs relations commerciales avec l’Iran, sous peine elles aussi de subir des sanctions.
Le constructeur automobile Daimler a annoncé mardi suspendre ses maigres activités sur place. Les autres entreprises allemandes engagées dans le pays -pour la plupart à petite échelle- ont soit gardé le silence, soit indiqué qu’elles observaient l’évolution de la situation.
Après l’annonce de Daimler, l’ambassadeur américain à Berlin Richard Grenell s’était déclaré dans un tweet «satisfait de voir des sociétés allemandes arrêter leur commerce avec l’Iran, conformément aux sanctions américaines»

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Tizi-Ouzou: Une saison estivale sous le signe de fêtes locales

Thu, 08/09/2018 - 16:58

Chaque saison estivale, durant cette dernière décade, la wilaya de Tizi-Ouzou vit au rythme de fêtes locales qui mobilisent l’ensemble des communautés villageoises concernées, suscitant un intérêt populaire indéniable ; elles bénéficient même du soutien des pouvoirs publics et des élus qui se font un point d’honneur à prendre part à la ferveur populaire suscitée autour de ces événements.
Une ambiance constatée successivement, durant la dernière quinzaine du mois de juillet, à Aït Khir, Maâtkas et Ath Yenni qui ont célébré, respectivement, les fêtes de la poterie et du bijou. Du 9 au 13 août, ça sera autour du village Aït Hichem, dans la daïra de Aïn El Hammam, d’organiser la fête du tapis. Au-delà de son caractère festif, l’événement offrira l’occasion de réfléchir sur la portée socioéconomique de ce segment de l’artisanat et du savoir-faire local. L’accompagnement des tisseuses, par la mise en place d’un circuit de commercialisation du produit, la disponibilité de la matière première et à des prix attractifs, la protection et la promotion du tapis par la création d’un label, la vulgarisation du tissage par la formation et la réflexion autour des arts du tissage, figurent parmi les revendications que les professionnelles et les organisateurs de ce rendez-vous estiment nécessaires pour pérenniser ce patrimoine et ce métier qui a toujours constitué une source de revenus pour beaucoup de familles.de la région.
Lundi dernier, le même élan festif a été constaté, à l’occasion, du lancement de la fête de la forge à Ihatossène, un village de la commune de Bouzeguène qui doit son nom à ses fondateurs célèbres pour l’exercice du métier de la forge et de la maréchalerie. A travers le temps, les forgerons d’Ihatossène ont essaimé à travers une vingtaine de wilayas du pays, pour exercer leur savoir-faire, qui, malheureusement aujourd’hui est en voie d’extinction.
Lors de son intervention à l’ouverture de cet événement, le président de l’APW de Tizi-Ouzou a souligné «l’urgence de prendre en charge et de protéger ce métier ancestral du déclin, un métier qui reflète l’attachement de l’homme à sa terre et qui, au delà de la dimension symbolique qu’il peut avoir, cet événement revêt un aspect économique qui n’est pas des moindres.»
S. A. M.

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Ministre tunisienne du tourisme: «Le touriste Algérien est roi»

Thu, 08/09/2018 - 12:57

La ministre du Tourisme et de l’Artisanat tunisienne Selma Elloumi, tient, tout comme le reste des responsables tunisiens à nier en bloc les informations qui font depuis quelques jours, les unes dans la toile.

L’affaire est liée à une éventuelle expulsion de touristes algériens de certains hôtels en Tunisie, en faveur de plusieurs ressortissants étrangers, voire des russes et européens !

La responsable du tourisme en Tunisie a assuré, lors d’une déclaration accordée à « Radiomad » ,que les informations qui ont suscité la colère des Algériens ne sont que d’allégations tendancieuses , s’appuyant sur le communiqué émis par des agences touristiques algériennes ,prouvant que nos ressortissants sont bien accueillis par nos voisins de l’est !

Elloumi a notamment estimé que le problème réside dans un nombre d’agences de voyages ayant commis des contraventions en effectuant des réservations pour un certain nombre de touristes algériens sans s’assurer auparavant de la disponibilité des chambres vacantes dans les hôtels.

«Le nombre de touristes Algériens ayant visité la Tunisie dans cette année a enregistré une hausse de 14%, plus les 1.1 millions ayant pénétré le sol tunisien depuis le début de l’année en cours .Ceci est une preuve irréfutable que le touriste Algérien s’y sent très bien ici »,ajoute la ministre.

La Ministre du Tourisme, a souligné que les relations entre les deux peuples sont fondées sur la fraternité, rappelant que les Algériens ont été les premiers à soutenir la Tunisie quand elle a été confrontée à une crise touristique après la révolution de 2011.

La même source affirme notamment que son département accorde une grande importance aux touristes algériens dont l’affluence s’étend tout au long de l’année et non uniquement durant la saison estivale.

La Tunisie avait prévu l’avènement de 3 millions de touristes algériens cette saison contre 1.8 millions l’année précédente vu les prémices d’une bonne saison estivale qui ont été détectées. 6.5 millions de nuitées ont également été réservées cet été en dépit du choix des deux tiers de ces touristes.

A.s / version française: Rachel Hamdi

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Emploi: l’Etat déterminé à soutenir toutes les initiatives d’investissement

Thu, 08/09/2018 - 12:50

RELIZANE – Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui a affirmé, mercredi à Relizane, que l’Etat est déterminée à soutenir et à accompagner toutes les initiatives d’investissement visant à créer des postes d’emploi.

Présidant une rencontre avec les représentants de la société civile au terme de sa visite dans la wilaya, le ministre a souligné « il nous faut déployer tous les efforts de création de l’emploi, pour laquelle l’Etat est déterminé à soutenir l’accompagnement de toutes les initiatives d’investissement et les encourager ».

Noureddine Bedoui a ajouté, dans ce contexte, que l’objectif est de permettre à toutes les communes de développer des zones d’activités et des mini zones industrielles, faisant savoir qu’en première étape, ces zones seront concrétisées au niveau des communes sièges de dairas.

A la même occasion, il a valorisé les moyens mis en oeuvre par l’Etat pour améliorer le climat d’investissement, appelant les élus locaux à fournir davantage d’efforts et à exploiter tous les moyens pour attirer les investisseurs.

Abordant l’effort d’amélioration du cadre de vie des citoyens en réponse à des préoccupations soulevées par les représentants de la société civile, le ministre a souligné qu’ »en dépit de la crise financière que traverse le pays, le gouvernement veille à préserver le rythme de financement social conformément aux orientations du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika ».

Il a ajouté que « tous les chiffres et indicateurs prouvent et confirment la réalisation de projets de développement dont s’est engagé le président de la République en 1999 ».

Par ailleurs, Noureddine Bedoui a annoncé que « toutes les communes pourront avoir des piscines dans les trois prochaines années ».

Pour rappel, le programme de la visite du ministre dans la wilaya de Relizane a comporté l’inauguration d’un groupe scolaire doté de l’énergie solaire (école pilote), baptisé au nom du chahid Miloud Ameur Mohamed, ainsi qu’une unité de la brigade mobile de la police judiciaire et une unité principale de la protection civile.

Il a procédé également à la mise en service du projet de dessalement de l’eau de mer (Mostaganem-Relizane), visité le complexe de textile « Tayal » réalisé dans le cadre du partenariat algéro-turc et posé la première pierre d’une station d’assainissement et d’épuration des eaux dans la daira d’Oued Rhiou, en plus de l’inauguration et de la baptisation d’un complexe sportif de proximité dans la daira de Sidi M’hamed Benali et d’un CEM à Mazouna.

Il a, en outre, visité la zaouia de Sidi M’hamed Benaouda dans la commune éponyme et la vieille mosquée de Mazouna, avant de présider une cérémonie de remise symbolique de logements de différents programmes et d’actes de concession à des promoteurs de projets.

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Tiaret: Déchets ménagers incinérés, le calvaire des habitants

Thu, 08/09/2018 - 12:44

Par El-Houari Dilmi

L’incinération des déchets ménagers évacués vers le centre d’enfouissement technique d’Aïn Mesbah, sur la route de Sougueur, se transforme en une véritable catastrophe écologique pour les habitants du village de «Pommel» mais aussi pour les usagers de la route nationale N° 23 entre Tiaret et Sougueur. En effet, depuis plusieurs semaines, les déchets ménagers et autres, transportés jusqu’au centre d’enfouissement technique, ne sont plus enfouis mais carrément incinérés avec des panaches de fumée toxique, visibles à plusieurs centaines de mètres à la ronde.

Dans une lettre adressée sous le sceau de l’urgence au wali de la wilaya et au directeur de l’environnement, les habitants de la région, soucieux pour leur santé et celle de leurs enfants, exigent l’arrêt de l’incinération des ordures et appellent plutôt à leur recyclage et enfouissement «comme cela se fait dans les autres centres d’enfouissement technique», écrivent-ils dans leur missive. Avec les températures caniculaires de ce mois d’août, l’incinération des déchets en tous genres est vécue comme un véritable calvaire par les habitants des villages et douars environnants, obligés de fermer volets et fenêtres pour ne pas respirer des odeurs nauséabondes et subir l’invasion des insectes comme les mouches et les moustiques.

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Maghnia: La daïra veut revivre

Thu, 08/09/2018 - 12:43

Par Cheikh Guetbi

  Malgré le grand potentiel culturel, agricole et artisanal dont dispose la daïra de Maghnia, celle-ci est en passe de perdre ses repères et de sombrer dans la monotonie culturelle.

En plus des activités culturelles qui y ont connu un déclin significatif, rien n’est actuellement entrepris pour la valorisation et la promotion des autres atouts qu’elle recèle et qui pourraient être un salut en ces temps de crise. « Malgré le peu de moyens d’alors, Maghnia connaissait des animations culturelles et sportives intenses, telle l’organisation sur le principal boulevard de la ville de la kermesse annuelle, la fête de la pomme de terre, les courses hippiques, les régulières méga-soirées musicales au stade communal et au centre-ville, les courses cyclistes, les pièces théâtrales et sketchs à l’unique salle de cinéma… », se remémore ce sexagénaire avant de constater, « actuellement, mis à part quelques rares représentations de pièces théâtrales grâce à la seule volonté d’une talentueuse troupe qui se démène sans moyens contre vents et marées et des expositions régulières de toiles organisées par un collectif d’artistes peintres de renommée internationale lequel a réussi à s’imposer malgré l’environnement hostile et l’indifférence générale, les animations et activités diverses se font très rares, voire inexistantes même en périodes où celles-ci sont nécessaires comme durant Ramadhan et la période estivale ». Malgré les grands efforts consentis par le nouveau chef de la daïra pour mobiliser le potentiel local en termes de culture et les grands moyens financiers mis en branle ainsi que les multiples équipements culturels dont dispose la ville, l’activité demeure bien en deçà des résultats escomptés. « En collaboration avec l’APC nous œuvrons pour une prise de conscience générale de l’intérêt et des retombées positives des activités culturelles et sportives et la valorisation des produits locaux sur l’économie locale et sur le bien-être de la population.

Nous tentons d’amorcer ceci par la mobilisation des forces vives de la société civile que nous avons incitées par ailleurs à s’intéresser à la promotion de l’important potentiel agricole, artisanal et de terroir que la région renferme». Dans le volet économique, mis à part l’art acquis par une frange de la population dans la préparation des épices et le pain traditionnel lequel réussit à drainer les touristes durant toute l’année avec un pic à la veille de Ramadhan, aucune volonté de mettre à profit le savoir-faire et les nombreux atouts locaux, n’est perceptible.

Ceux-ci contribueront à l’essor de l’activité économique dont l’impact est salutaire pour la population frontalière en ce lendemain des grandes mesures appliquées par les pouvoirs publics et qui ont relativement réussi à contrecarrer le trafic transfrontalier. Tout comme « les épices de Maghnia » et « Khobz Maghnia », deux labels dont la notoriété a dépassé les frontières du pays, les produits du terroir, artisanaux, la diversité des produits agricoles et les spécificités locales peuvent être, pour peu qu’ils soient valorisés pour le développement du tourisme, un vecteur économique, et pas des moindres, qui contribuera grandement à l’amélioration de la croissance économique par la création d’emplois en cette région où le chômage bat son plein. Ainsi, l’organisation d’événements populaires et typiques, telles les foires, journées ou fêtes thématiques, est par excellence une des alternatives pour la promotion et la valorisation des produits locaux et donc pour le développement local.

En plus des grands efforts que consentent les responsables locaux pour raviver, stimuler et relancer les activités culturelles et sportives, le chef de la daïra de Maghnia, sûr de l’impact positif des évènements populaires sur l’amélioration du niveau de vie de la population locale, lance un appel à la société civile, aux dignitaires, aux producteurs, aux élus… pour que des manifestations économiques soient organisées.

«Maghnia recèle d’énormes potentialités agricoles et de terroir. Il est important qu’on se penche dessus pour en faire un vecteur d’accélération économique locale. Aussi, j’appelle toutes les forces vives de la daïra à adhérer à l’idée de promouvoir les produits locaux par l’organisation d’évènements populaires économiques. Tous les moyens matériels et humains seront fournis et le principal boulevard de la ville est tout indiqué pour de telles manifestations » tient à dire le chef de la daïra lors d’une de ses rencontres avec les associations locales. Il tient même à citer quelques exemples d’activités économiques, « la fête de la figue de Bejaia, la foire agricole de Drâa El-Mizan, la fête du pain traditionnel de Médéa ou encore le salon des saveurs et des produits du terroir de Tizi Ouzou, des exemples à suivre pour attirer le touriste afin que soit stimulée l’activité économique locale ». De par les potentialités agricoles, artisanaux et de terroir que la daïra de Maghnia recèle, les évènements économiques à thème peuvent être organisés à longueur d’année. On peut citer celui relatif aux épices, aux dizaines de variétés de pain traditionnel, à l’escargot, à l’olive et ses dérivés, au lait et ses dérivés, au miel, aux sucreries, galettes et autres gâteaux traditionnels, à la pomme de terre, à la poterie, à la tomate, à la pastèque et le melon… tous les évènements seront, bien entendu, accompagnés par des festivités et des animations culturelles et artistiques ainsi que par des spectacles folkloriques, une occasion qui aiderait par ailleurs à la relance culturelle. Une fois que ces évènements auront gagné en maturité, les produits et l’expérience d’autres communes ou villages de la région peuvent être mis à contribution tels ceux de Beni Snous, Msirda… pour en faire des évènements régionaux. L’enthousiasme relatif à cette idée est apparent chez une bonne partie de la société civile laquelle trouve plus sage l’organisation, dans un premier temps, d’une seule foire qui englobe tous les produits et dont la date doit coïncider avec la disponibilité d’un maximum de produits. Une fois l’expérience acquise, les journées à thème pourront être organisées aux saisons de disponibilité des différents produits et durant lesquelles les autres produits accompagneront celui phare.

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Tighennif: Un adolescent de 17 ans arrêté pour homicide

Thu, 08/09/2018 - 12:41

Par Mohamed Belkecir

Les services de la police judiciaire de Tighennif, dans la wilaya de Mascra, ont arrêté un mineur âgé de 17 ans, impliqué dans une affaire d’homicide dont la victime est son propre ami. Les faits remontent à la fin de semaine écoulée, lorsque le commissariat a été appelé par l’hôpital indiquant avoir reçu le cadavre d’un individu présentant une blessure au niveau de la poitrine. Les inspecteurs ont alors ouvert une enquête ayant abouti à l’arrestation du suspect.

Le mobile du crime relève d’un litige entre la victime et le suspect ayant débouché sur une dispute fatale. Le présumé meurtrier a été incarcéré.

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Tizi Ouzou: Encore un autre sacrifice…pour les bourses

Thu, 08/09/2018 - 12:25

Par Aomar MOHELLEBI

Devant le prix du mouton qui ne cesse de flamber, de nombreux pères de familles ont décidé de faillir à la règle en optant seulement pour l’achat d’une quantité raisonnable de viande.

Dans de nombreux villages, il sera procédé au sacrifice collectif, non pas de moutons comme le veut la religion musulmane, mais de boeufs. Une chose est toutefois sûre à Tizi Ouzou: il est difficile traverser cette fête de l’Aïd El Adha dans un tel contexte de cherté de la vie. Surtout quand on sait que les parents doivent d’ores et déjà se serrer la ceinture car la rentrée scolaire est à nos portes. Il s’agira donc, non pas de gérer son minuscule budget, mais de trouver des échappatoires juste pour ne pas gâcher la fête aux enfants. A ces derniers, il n’est pas du tout facile d’expliquer combien la vie est chère. L’aïd el adha leur est sacré, plus sacré que la rentrée scolaire, faut-il le rappeler.
En tout cas, avec un prix minimal de 50 000 DA, le mouton est devenu presque inaccessible aux bourses moyennes. Ajoutez à ces 50 000 DA, 50 000 autres DA pour l’achat des vêtements aux enfants et les autres frais engrangés systématiquement par la fête de l’Aïd El Adha, on risque de se retrouver presque avec une sale facture de 10 millions de centimes. Il vaut mieux donc même pas y penser, diront certains pères de familles qui ont par ailleurs mille et un autres soucis financiers à gérer en ces temps de crise.
En tout cas, dans les quelques marchés à bestiaux de la wilaya de Tizi Ouzou, ce n’est pas encore la grande ruée. Même si certains acheteurs potentiels n’hésitent pas à y faire des tournées, il n’en demeure pas moins que pour mettre la main à la poche, rien ne semble plus difficile. En dépit des informations qui font état de la réapparition de la fameuse fièvre aphteuse, ceci n’a pas du tout influé sur les prix élevés du mouton partout dans la wilaya de Tizi Ouzou.
Les maquignons, qui attendent pendant toute l’année l’arrivée de la période de l’Aïd El Adha pour réaliser leurs meilleurs chiffres d’affaires, n’ont pas failli à la règle cette fois-ci. Ceux qui ont été interrogés par nos soins semblent ne guère ignorer les règles du jeu du marché. «Ce n’est pas de notre faute, quand la demande sur le mouton augmente, les prix augmentent également et automatiquement», répond presque naïvement un maquignon rencontré au marché des bestiaux de Tala Atmane, l’un des plus connus et des plus fréquentés de la wilaya de Tizi Ouzou. Une petite tournée dans ce marché fait ressortir qu’on ne peut pas avoir un mouton «respectable» à moins de 60 000 DA et encore! Il faut d’abord négocier de manière ardue et patiente avec le vendeur, autrement on repartirait bredouille.
Cette cherté fait que les acheteurs potentiels ne font que passer et repasser interminablement dans leur majorité. Mais les maquignons ne désespèrent guère. Ils sont là, patients et ils savent que la majorité écrasante de ceux qui se rendent au marché, la veille de l’Aïd El Adha, finiront inéluctablement par céder et ce, quel que soit le prix. «Ceux qui n’ont pas l’intention d’acheter le mouton de l’Aïd ne se rendent jamais au marché la veille de l’Aïd», révèle, avec assurance, un éleveur de bétail qui connaît bien les règles du jeu puisqu’il a une expérience de plus de 30 ans dans le domaine.
Les éleveurs, pour leur part, trouvent tout à fait logique cette hausse des prix. Ils rappellent que ces augmentations sont liées au fait que tous les prix ont augmenté ces derniers temps dans notre pays. Y compris l’aliment et le fourrage. Donc, aux yeux des dizaines de vendeurs qui émaillent les différentes marchés à bestiaux de la wilaya de
Tizi Ouzou, il n’ y a rien de plus normal que la hausse du prix du mouton, surtout à la veille de la fête du Sacrifice. Il faut rappeler dans ce sillage, que le prix de l’aliment frôle actuellement les 6000 DA alors que la botte de foin est à plus de
600 DA.
Les éventuels acheteurs qui tentent de patienter pour tâter l’évolution du marché à bestiaux ont totalement tort. Plus le jour de l’Aïd El Adha approche, plus les prix du mouton enregistrent des hausses. En plus, le choix devient de plus en plus minime et limité. Il faut rappeler, en outre, qu’une grande partie des familles dont le revenu est très faible a carrément fait le deuil du rituel de l’Aïd El Adha depuis plusieurs années dans la wilaya de Tizi Ouzou. Ce choix n’a pas été fait de gaieté de coeur, mais par contrainte. Ces familles n’ont tout simplement même pas le choix. Quand bien même elles brûleraient de désir de célébrer comme il se doit cette fête religieuse, elles ne le pourraient pas car elles n’en ont pas les moyens. Même pour acheter une petite quantité de viande rouge le jour «J»., il faudrait chercher des ressources insoupçonnées.
C’est dire que l’Aïd n’est pas toujours synonyme de bonheur. Sauf si la foi, la véritable foi, est tellement ancrée dans le coeur. Elle serait dans ce cas en mesure de remplacer amplement ce côté festif de la croyance. Celui qui tient à Dieu pourra aisément se passer d’un mouton.

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Annaba: Le bélier vend trop cher sa peau

Thu, 08/09/2018 - 12:23

Par Wahida BAHRI

Les familles désirant sacrifier un mouton à l’occasion de l’Aïd El Adha, sont contraintes et par obligation de la Souna, de subir une autre saignée pour acheter le bélier symbole du prophète Ibrahim El Khalil (sls).

Après les dépenses faramineuses du mois de Ramadhan et l’achat des vêtements de l’Aïd Et Fitr, voilà que la fête du Sacrifice du mouton pointe du nez. A moins de trois semaines de ce rite religieux, l’appréhension et la tension se font de plus en plus sentir à Annaba, où, le mouton vend cher sa peau. Cette hausse inexpliquée des prix, semble au fil des jours angoisser les ménages. Une situation qui s’explique par le faible pouvoir d’achat des familles appelées à faire face outre l’achat du mouton de l’Aïd, celui des vêtements pour leurs enfants, mais surtout, préparer la rentrée scolaire. Une équation difficile à résoudre, quand on considère la dévaluation du dinar, les faux arguments des maquignons et le diktat des revendeurs. Puisque faut-il le noter, malgré la disponibilité des bêtes, les prix semblent être source d’angoisse. Ainsi les prix pratiqués à Annaba, par la plupart des maquignons ou des revendeurs questionnés à ce sujet confirment que les prix pratiqués sont inaccessibles pour le commun des mortels. Les nombreux points de vente, ouvert, dans la clandestinité à travers le territoire de la wilaya de Annaba où nombreuses personnes se sont improvisées maquignons ou revendeurs, sont parvenus à imposer une fourchette de prix indiscutables.

Les prix pratiqués actuellement sur le marché oscillent entre 50 000 dinars et 90 000 dinars la tête. Il y a même des têtes qui ont franchi le seuil des 100 000 DA. La situation actuelle est profitable seulement aux spéculateurs et à une certaine couche sociale. Cette dernière, en se ventant d’avoir payé cher le mouton de l’Aïd, ne fait que cautionner le diktat des maquignons et des revendeurs. Devant cette hausse du prix du mouton, les ménages aux maigres revenus ont préféré ne pas franchir le pas. Beaucoup d’entre eux devront attendre l’ouverture officielle des points de vente, prévus en fin de semaine courante. D’ailleurs, selon certains observateurs, la hausse des prix du mouton est due, nous dit-on, au retard enregistré dans l’ouverture des points de vente de proximité. Ces derniers permettront de stabiliser un tant soit peu, les prix à des niveaux abordables.

En outre et selon plusieurs pères de familles questionnés sur les prix du mouton de l’Aïd, l’unanimité a été adoptée quant à un plafonnement des prix. «C’est à l’Etat de réagir, il doit imposer des prix à même de ne pas léser les éleveurs, les maquignons, et permettre du coup aux familles aux faibles revenus de célébrer l’Aïd», a proposé M. Segman, retraité de la fonction publique. Évoquant les années les années 70, où l’Etat ouvrait des points de vente publics «il y’a quelques années Eddaoula vendait elle même le mouton de l’Aïd. Je me rappelle en 1976, j’ai acheté mon mouton à 5500 DA», s’est rappelé l’homme qui a déploré la démission de l’état en pareille occasion. En espérant que la belle époque revienne un jour, il faut dire que le principe de l’offre et la demande n’ont pas d’impact sur le prix du mouton de l’Aïd, du moins pour cette année où l’Algérie compte un cheptel ovin de près de 28 millions de têtes. Chiffre avancé par le ministère de l’Agriculture dont les efforts consentis oeuvrent pour augmenter l’offre par rapport à la demande et mettre à la disposition du consommateur un vaste choix qui va se répercuter sur les prix de la viande rouge. Pour l’heure, même l’abondance du cheptel n’est pas parvenue à faire baisser les prix du mouton. La bête qui vend cher sa peau, va certainement mettre dans l’embarra des milliers de familles qui auront des difficultés à faire le Sacrifice, cette année encore….

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Bouira: Le marché toujours fermé

Thu, 08/09/2018 - 12:19

Par Abdenour MERZOUK

L’Aïd, c’est une ambiance faite de bêlements des moutons depuis les balcons, le foin étalé partout et les enfants qui débattent autour du mouton le plus cornu.

La valeur et la portée religieuse de la circonstance tend à partir laissant la place à une célébration où il est plus question de viande, de barbecue, de grillades,…hélas! ils sont nombreux les enfants qui, le jour de l’Aïd, n’auront pas la chance de voir se débattre leur mouton.
Suite à l’apparition de l’épidémie de fièvre aphteuse, 22 cas recensés dans trois points précis, Taghzout, Aghbalou et M’Chedallah et parce que le marché de bétail de Bouira reste une plaque tournante nationale, le wali a décrété sa fermeture jusqu’à nouvel ordre. Cette décision qui représente un manque à gagner énorme à l’approche de l’Aïd, les habitués ont manifesté samedi dernier pour exiger la réouverture de l’espace.
En attendant le dénouement, beaucoup de maquignons n’ont pas hésité à recourir aux abords de ce marché pour effectuer leurs transactions commerciales.
La disponibilité des bêtes est essentiellement due au fait que la la partie sud de la wilaya de Bouira a toujours été une destination pour les éleveurs. Réputée pour sa production céréalière, toute la zone située entre El Hachimia et Dirah accueille les bergers en provenance de Sidi Aïssa et ses environs.
Les déplacements vers le nord sont une habitude en raison du manque de nourriture d’une part-mais aussi en raison des grandes chaleurs. L’après moisson libère des espaces immenses de paille. Les éleveurs qui louent ces espaces s’y installent quelquefois en famille avant de repartir au Sud à l’approche de l’hiver. La coïncidence de la célébration de l’Aïd avec cette période de transhumance reste bénéfique pour les acheteurs qui dénichent de bonnes affaires auprès de ces éleveurs. Un autre facteur influe sur le prix. La décision des pouvoirs publics de contrôler le flux vers la capitale a aussi sensiblement réduit le cout.
Par un passé récent, les intermédiaires, surtout eux, transféraient les ovins à bord de camions entiers vers les villes en périphérie d’Alger et dictaient leur loi. En interdisant ce genre de transfert, les autorités ont coupé l’herbe sous les pieds de ces maquignons circonstanciels.

L’alternative du boeuf collectif
L’esprit communautaire et l’esprit associatif sont les deux facteurs qui poussent de nombreux Algériens à cotiser et à sacrifier un bovin. Dans la partie nord de la wilaya et plus précisément les régions accrochées le long du flanc sud du Djurdjura on aime le taureau. La bête qui vit en montagne à l’état sauvage est très prisée.
«Médicalement parlant, le bovin est préférable au mouton en raison du fort taux de cholestérol dans la viande ovine», nous confie un médecin. Cet argument n’est pas le seul à être pris en compte par les citoyens. «Un bon mouton de 50.000 DA donnera au maximum 30 à 35kg de viande. Pour la même dépense vous aurez le double du poids en égorgeant un taureau», commente Ali, un retraité qui chaque année s’associe avec ses voisins. En marge de ces habitudes et us, de nombreux commerces prolifèrent. Déjà pour le boucher, il fallait s’inscrire il y a un mois. Les abattoirs et les professionnels du couteau ont leurs carnets pleins. Les jeunes, eux, acquièrent une motte de foin qu’ils revendent en petits lots. Les aiguiseurs des couteaux «tournent» à plein régime. L’Aïd c’est aussi cette ambiance faite de bêlements des moutons depuis les balcons, le foin étalé partout et les enfants qui débattent autour du mouton le plus cornu.

Les portefeuilles saignés une nouvelle fois.
Après les dépenses des fêtes, les vacances de l’été pour les plus chanceux, la rentrée scolaire qui se profile à l’horizon, une nouvelle fois les bourses seront mises à rude épreuve.

La loi des spéculateurs
L’approche de l’Aid El Adha a simplement fait flamber les prix. De la pomme de terre pour ne citer que ce légume, bas de gamme, au mouton, tout a subi une augmentation. La courgette, le haricot vert, la carotte, l’aubergine, la tomate… le raisin, la poire, la prune… ont tous connu une révision à la hausse de leurs coûts respectifs. Ces hausses sont différemment justifiées. Si pour le mouton, les arguments peuvent tenir la route, pour la pomme de terre c’est simplement une preuve de l’échec de tout un département. Les promesses d’une baisse du prix avec l’arrivée des récoltes de la saison et celles de l’après-saison, les chiffres importants d’une production avoisinant les 2 millions de tonnes, les facilités accordées aux producteurs, la gratuité de l’eau par exemple… n’ont pas affaibli le diktat des spéculateurs qui dictent leur loi sur le consommateur.
Pour revenir à l’évènement du moment, une virée dans les divers points circonstanciels de vente des bestiaux découragera le plus téméraire. Il est loin l’engagement du ministre de baisser le prix des bêtes à 20.000 DA. La canicule qui aura dominé les derniers mois, le manque d’aliment, les difficultés des éleveurs d’une région l’interdiction de transfert des bêtes d’une wilaya à une autre, ont fait qu’un mouton qui a coûté 35.000 DA l’année dernier est proposé à 45.000 cette année. Pourquoi ce bond avons-nous demandé aux vendeurs? Les réponses sont, comme pour les autres produits non convaincantes. Pour les éleveurs ces prix sont le fait des revendeurs. «Certes, l’aliment a beaucoup manqué, les dépenses et les frais ne sont plus ce qu’ils étaient, mais l’arrivée sur le circuit d’intermédiaires demeure la raison principale de cette flambée des prix.» Sur place, au marché à bestiaux de Bouira, ils étaient nombreux à proposer des moutons. Des fonctionnaires de l’administration, des enseignants, des commerçants jusque-là plongés dans d’autres filières se sont reconvertis en maquignons. Selon une source, ils s’alimentent auprès des petits éleveurs du sud de la wilaya, des régions de Sour El Ghozlane et même de Sidi Aïssa. Le fait de proposer trois à quatre ovins démontre qu’ils ne sont pas des spécialistes mais des intermédiaires, circonstanciels. Un éleveur de Aïn Ouassara nous confirmera la thèse selon laquelle. «J’ai cédé une dizaine de moutons au prix de gros; mes moutons je les ai retrouvés, mais avec des marges de plus de 10 000 DA ici à Bouira.» L’ouverture de l’autoroute et la réduction sensible dans la liaison entre Bouira et la capitale est un autre élément qui a influé sur les prix. La grosse demande est une aubaine saisie par les intermédiaires.

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Accidents de la route à Bouira: Qui arrêtera l’hécatombe?

Thu, 08/09/2018 - 12:17

Par Abdenour MERZOUK

En moins de 48 heures, on a enregistré trois morts et cinq blessés dont deux se trouvent dans un état critique.

Malgré les appels à la prudence, les campagnes de sensibilisation organisées principalement par la Gendarmerie nationale, le dressage de barrages de contrôle, le recours à la verbalisation et à la répression… nos routes continuent à endeuiller quotidiennement des familles.
En moins de 48 heures, la wilaya de Bouira a enregistré trois décès et cinq blessés dont deux dans un état critique. Dans la matinée d’avant-hier aux alentours de 8h45 sur la RN 8 reliant Sour El Ghozlane à Dirah au sud de la wilaya, deux véhicules touristiques et un véhicule utilitaire se sont percutés. Selon les premiers éléments de l’enquête, le véhicule utilitaire aurait effectué un dépassement dans une zone où la visibilité était réduite. Dans son élan il aurait percuté les deux voitures qui roulaient en sens inverse.
Les victimes, deux hommes de 25 et 32 ans, ont immédiatement été transportées vers la morgue de l’hôpital de Sour El-Ghozlane, quant aux blessés, ils ont été admis au service des soins intensifs du même hôpital. Précisons encore que cette partie de la wilaya et cette route vers le sud a la triste réputation d’être très dangereuse. Cette énième hécatombe vient allonger la liste des catastrophes routières.
Le jeudi 19 juillet dernier a été une journée noire avec un bilan global de trois morts et 12 blessés. 11h45 au lieu-dit Betous commune de Ahl El Ksar, la collision entre un fourgon et deux véhicules légers a fait un mort et neuf blessés. Le corps et les victimes ont été transférés vers les EPH de M’Chedallah et Bouira. Un peu plus tard sur l’axe de la RN5 qui longe le super-marché du chef-lieu au lieu-dit «les Kessouri» une 308 Peugeot a percuté violemment les balises de sécurité faisant un mort. A 20h45, à l’entrée d’El Asnam, sur la RN5, un semi-remorque a percuté trois véhicules. Le bilan de la Protection civile faisait état d’un mort et de trois blessés parmi les passagers. Même si la cause essentielle de ces catastrophes reste le manque de prudence et de vigilance, l’état des routes a son pesant dans la cause. En cette période estivale caniculaire, le tronçon entre Bouira et Lakhdaria connaît des bouchons en raison des travaux d’un grand groupe national qui accumule retard sur retard dans ce projet de réhabilitation de l’autoroute. Le calvaire des usagers du tronçon autoroutier Lakhdaria- Bouira continue et prend des allures de plus en plus dramatiques. Il faut plus de trois heures pour sortir de ces embouteillages de plus en plus longs et qui durent toute la journée.
La canicule en été et le froid en hiver, ajoutent un grain de tension à des familles prises en otage par des travaux qui s’éternisent. Les deux entreprises en charge des actuels travaux sont l’Erthb et la société Altro. Nous confirmons le mécontentent des usagers qui, à chaque fois, nous interpellent, pour nous demander d’alerter qui de droit. Les travaux de réhabilitation de cet axe routier devenu dangereux à la circulation s’étalent dans le temps. Pour mémoire, le projet a été lancé en septembre 2013 pour un délai de 18 mois. Après plus de cinq années les travaux restent timides et le délai de livraison s’étire comme un élastique.
Le prolongement dans le temps de ces travaux se répercute sur les autres projets annexes que sont les aires de stationnement, les relais et autres stations de carburant. Ces projets aussi tardent à voir le jour. En matière de record absolu, les travaux de renforcement, après un glissement du terrain, engagés à la sortie du tunnel Aïn Chriki (réalisés par les Turcs) a été réalisé après plus de 7 ans.
La patience des usagers est mise à rude épreuve avec des embouteillages qui amènent les automobilistes à mettre des heures entre deux villes distantes d’une trentaine de kilomètres. Au moindre changement climatique ou en cas d’accident et ils sont nombreux, la file se prolonge jusque sur le territoire de la wilaya voisine de Boumerdès. Même la solution qui consiste à dévier par Tablat, wilaya de Médéa, ou par Draâ El Mizan dans la wilaya de Tizi Ouzou pour rejoindre l’est du pays est quelque fois un mauvais choix, surtout quand tout le monde pense de la même manière.
Concernant toujours le cahier des charges du secteur il est utile de préciser que d’autres projets méritent qu’on s’y attarde.Le périphérique qui contourne par le nord le chef-lieu de la wilaya réalisé il y a moins de 3 ans est déjà totalement dégradé et subit lui aussi des travaux de réfection. La double liaison entre Bouira et Haizer ouverte récemment à la circulation connaîtra le même sort eu égard aux travaux réalisés.
La double voie entre Bouira et Sour El Ghozlane donne la même impression. Devant autant de défaillances, il est temps peut- être d’ouvrir une enquête sérieuse pour assainir une situation qui met en péril la patience des usagers de la route.

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16es rencontres cinématographiques de Béjaïa: « Etre à la hauteur des attentes… »

Thu, 08/09/2018 - 12:10

Par O. HIND

Organisée du 1er au 6 septembre, cette édition qui sera marquée par plusieurs nouveautés aura, comme film d’ouverture, le documentaire Des figues en avril de Nadir Dendoune, qui sera projeté en présence de l’héroïne du film, c’est-à-dire la mère du réalisateur.

Organisées annuellement depuis 2003 par l’association Project’heurts, les Rencontres cinématographiques de Béjaïa qui sont la plus ancienne manifestation cinématographique internationale en Algérie, reviennent très bientôt. Au fil des années les RCB se sont imposées comme une manifestation incontournable et destination privilégié pour voir et se retrouver autour d’un film, sans prétention à décrocher un trophée. Les RCB ont pour objectif de réconcilier le public algérien avec le cinéma en lui proposant des films récents en provenance de plusieurs pays. Ces rencontres offrent un véritable espace d’échange et d’expression aux professionnels du cinéma et aux spectateurs pour voir des films ensemble, débattre de problématiques esthétiques, techniques et économiques propres au cinéma et envisager le développement d’actions cinématographiques. Les RCB ont l’ambition de développer un esprit critique face à l’image (éducation à l’image) et proposent des formations ponctuelles (écriture de scénario, réalisation, animation de ciné-clubs…). Elles sont aussi actives au sein d’un réseau de ciné-clubs et d’associations de cinéma.

Interrogée sur les grandes lignes de la programmation, Leila Aoudj, la directrice artistique des RCB, indiquera qu’ «au programme cette année, en plus des projections/débats entre le public et les réalisateurs, les «café-ciné» traditionnels qui se veulent être la poursuite au petit matin des débats de la veille, un master class, une Rencontre nationale des ciné-Clubs ainsi qu’une rencontre entre différents festivals méditerranéens.» et d’ajouter qu’en plus de cela «une journée focus sur Afac (The Arab Fund For Art and Culture) est prévue et pour la première fois les RCB se poursuivront trois jours à Alger à travers Afac Film Week, cette activité est prise en charge par le collectif Cinuvers très actif dans la vie cinématographique algéroise.». Côté films Leila Aoudj fera remarquer avoir reçu «plus de 500 films, encore un nouveau record, nous en sommes très heureux» et de souligner: «Ce qui ressort pour cette 16e édition c’est surtout le nombre de longs métrages reçus, nous en avons plus qu’a l’accoutumée et forcément ça a influencé la programmation ou contrairement aux éditions précédentes, ou le court métrage était très présent. Cette année c’est le long qui prend le dessus, et sur 24 films programmés, 21 passent en avant-première algérienne.» A notre question «quant à l’ouverture ou pas à d’autres pays participants» la directrice artistique estime que «nous avons des films de différents pays évidemment, mais la sélection se fait en fonction des films qui nous ont touchés pour une raison ou pour une autre, la nationalité du film ne peut être ni une limite ni un atout pour la sélection, même si nous sommes toujours heureux de pouvoir montrer des films algériens». Des nouveautés dans le cadre de l’édition 2018, il y en a plusieurs, a-t-elle fait savoir.

Nous apprenons ainsi que le Béjaïa Film Lab se tiendra désormais tout les deux ans. «Cette activité représente un budget conséquent pour les RCB, nous ne pouvons pas nous permettre de le reconduire chaque année» et de relever: «La nouveauté est que nous avons mis en place une activité qui nous tient à coeur, c’est la Rencontre nationale des ciné-clubs. Des séances de travail sont prévues entre les différents ciné-clubs actif et réguliers du pays, ainsi que d’autres ciné-club de la région du Maghreb prêts a partager leur expérience. L’idée est de créer durant la semaine des RCB un espace qui regroupe toutes ces initiatives indépendantes les unes des autres, de trouver des passerelles, mais surtout, nous l’espérons, que ça donne naissance à des actions communes à court ou à moyen terme.» Autre nouveauté que Leila Aoudj nous a révélée, est l’invitation de pas moins de 10 festivals méditerranéens, «toujours dans la même idée de créer des ponts, des discussions et des échanges, Donner ainsi aux «Rencontres» tout leur sens.» Enfin, à notre question quant à savoir dans quel état d’esprit sont les organisateurs au moment où se prépare actuellement cette édition, Leila Aoudj, enthousiaste avouera tout de go l’on devine bien: «Du bonheur évidemment, des appréhensions toujours. Notre équipe a toujours le même moteur, celui qui consiste à être à la hauteur des attentes du public de Béjaïa.» Voici un événement cinématographique qui préfère grandir doucement, mais sûrement sans se la raconter, ni inviter des centaines de personnes dont il ne pourra assumer la charge. Un événement qui marche sur des roulettes depuis des années et ce grâce entre autres à une équipe de jeunes bénévoles faut- il le répéter chaque année, des jeunes mus par l’amour du cinéma et du partage, non pas par celui de la vue des starlettes comme à Oran. Un événement où la rigueur et la qualité des rencontres sont la clé de sa réussite, sa crédibilité et sa pérennité.

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Festival arabe de Djemila : clôture en beauté de la quatorzième édition

Thu, 08/09/2018 - 11:53

La quatorzième (14eme) édition du Festival arabe de Djemila a été clôturée en beauté dans la soirée de mardi à mercerdi avec un programme algérien, où le chanteur du raï, Kader Japoni a surchauffé l’ambiance, sur la scène de l’antique Cuicul.

Venus en groupes de jeunes et en famille, le Cuicul était trop exigüe pour contenir ce public qui n’a  cessé de réclamer la vedette du raï qui a fait son entrée sur scène et salue, à bras ouverts, son public.

Kader, à la voix aiguë et le sourire charmeur, lance, ‘‘ Fi achekek cheft louil’’ et enchaîne avec ‘‘ Ahki ya zeman’’, ‘‘Ma ma mia’’, ‘‘La brigade’’ repris en chúur par une assistance conquise.

Le chanteur entonne encore ‘‘Inti rouhi ou rabi jebli’’ , ‘‘A’alach’’ et tant d’autres tubes,  faisant le bonheur d’une foule en délire.

A l’ouverture de cette soirée,  le chanteur Khaled di di a régalé le public avec ses chansons du genre sahraoui, dans une prestation ovationnée par le public.

Lui succédant,  cheb Mahfoud a repris les chansons à la gloire de l’équipe nationale du football  entonnant ‘‘One, two, three viva l’Algérie’’, ‘‘Bladi hiya Djazair’’ dans une ambiance festive avant de céder la place au chanteur Yacine tiger et cheb  Rochedi qui ont offert au public un voyage au coeur des sonorités staifi présentant un cocktail d’anciennes et de nouvelles chansons du genre staifi.

La soirée de clôture a été également marquée par l’hommage rendu à  plusieurs figures artistiques

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La Colombie, 131 ème pays à reconnaitre l’Etat de Palestine

Thu, 08/09/2018 - 11:52

La Colombie est devenue le 131eme Etat à reconnaitre, mercredi, la Palestine en tant qu’Etat libre, indépendant et souverain, selon un
document officiel publié mercredi à Bogota.

« Je me permets de vous informer qu’au nom du gouvernement de la Colombie, le président Juan Manuel Santos a décidé de reconnaître la Palestine comme
un Etat libre, indépendant et souverain », a annoncé dans un communiqué le ministre Colombien des Affaires étrangères.

Le nouveau président de Colombie, Ivan Duque, a pris ses fonctions, mardi, à la tête de la Colombie, succédant au président de centre-droit Juan Manuel Santos.

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La wilaya d’Alger n’est pas un foyer de la fièvre aphteuse

Thu, 08/09/2018 - 11:51

La wilaya d’Alger n’était pas un foyer de la  fièvre aphteuse, a affirmé le directeur des services vétérinaires au ministère de l’Agriculture,  expliquant que les sept cas enregistrés récemment au  niveau de l’abattoir de Hussein Dey sont des cas exceptionnels de vaches  venues en d’hors de la wilaya.

«Des décisions ont été prises portant fermeture des marchés de bétails dans les wilayas déclarées foyer de la fièvre aphteuse», a fait savoir, mercredi à Alger, M. Bara Khaled

Evoquant la situation de la fièvre aphteuse au niveau national, M. Bara a indiqué que « la situation générale est stable » faisant savoir que  «10 wilayas ont été touchées par cette maladie alors que 150 cas ont été déclarés sur un total de 2 millions de  têtes bovines».

Il a affirmé, qu’il sera procédé dans les prochaines semaines à de larges opérations de vaccinations de bétail.

M. Mebarki avait révélé que le nombre du cheptel bovin dans la capitale se situe entre 9.000 à 10.000 têtes.

Pour rappel, le ministère de l’Agriculture, du Développement rural, et de la pêche avait conclu un marché d’acquisition de deux (2) millions de vaccins dans le cadre des mesures relatives à la lutte contre la fièvre aphteuse, alors que les éleveurs sont tenus à s’abstenir d’acheter les bovins et signaler tout cas suspect de cette fièvre.

S’agissant des procédures prises par le ministère en vue de se préparer à l’Aid Al Adha, le directeur des services vétérinaires a souligné, par ailleurs, l’ouverture officielle de la vente de bétail définie de manière officielle à chaque wilaya.

Il avait été procédé précédemment, a-t-il dit, à la prise de plusieurs  mesures relatives à la mobilisation de l’ensemble des médecins vétérinaires  (1500) au niveau des directions de la santé animale (DSA) et des abattoirs  et au dépôt de la certification sanitaire vétérinaire accompagnant le  déplacement d’animaux vers les lieux de vente aux fins de contrôle  vétérinaire.

Par ailleurs, tous les établissements d’abattage, répartis sur l’ensemble du territoire national seront ouverts pour inciter les citoyens à sacrifier leurs animaux dans une enceinte conforme et contrôlée.

Des permanences seront effectuées par les services vétérinaires de wilaya au niveau des Assemblées populaires communales (APC) et des lieux d’abattages.

Des brigades mobiles composées de vétérinaires et de techniciens  effectueront des tournées dans les différents lieux susceptibles d’abriter  des abattages notamment en milieu rural pour assurer le contrôle.

D’autre part, un vaste programme de prévention et de sensibilisation, destiné aux éleveurs, afin de prémunir le bétail contre les diverses maladies est également mené à longueur d’année, a fait savoir la même source.

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Ghaza: une femme et sa fille victimes d’un raid israélien

Thu, 08/09/2018 - 11:46

Un raid aérien de l’occupant  israélien cible à nouveau  pour faire des victimes. Une Palestinienne et  sa fille de 18 mois ont trouvaient la mort dans la nuit de mercredi à jeudi dans la bande de Ghaza lors de l’attaque, a déclaré le service de santé palestinien dans ce territoire.

Enas Khammash, 23 ans, et sa fille Bayan, 18 mois, ont péri dans un raid qui a touché Jafarawi, dans le centre de la bande de Ghaza, et le mari de cette femme, qui était enceinte, a été blessé, a indiqué ce service.

L’aviation de l’occupant israélien a mené des raids contre 12 sites du mouvement palestinien Hamas dans la bande de Ghaza.

Mercredi, un Palestinien a été tué dans le nord de la bande de Ghaza et six autres ont été blessés par ces raids israéliens.

Cette brusque montée de tensions mercredi intervient alors qu’Israël et le Hamas discutent indirectement d’une éventuelle trêve, par l’intermédiaire de l’Egypte et l’ONU.

Les tensions sont vives depuis des mois entre les deux parties. Les Palestiniens protestent quasiment tous les vendredis depuis le 30 mars à Ghaza sur la ligne du siège pour dénoncer le blocus imposé depuis plus de dix ans à l’enclave et réclamer le droit au retour des Palestiniens qui ont fui ou ont été chassés de leurs terres à la création d’Israël en 1948.

Au moins 163 Palestiniens ont été tués par des tirs israéliens dans la bande de Ghaza depuis le 30 mars.

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