Moncef Wafi
Le déficit commercial de l’Algérie a reculé de 56,71% sur les trois premiers trimestres de 2018, se chiffrant à 3,69 milliards de dollars (md usd) contre 8,52 milliards durant la même période de l’année dernière, a rapporté l’APS, citant des sources douanières.Lors des neuf premiers mois, les exportations, avec les hydrocarbures comme principale locomotive, ont connu une hausse de 4,31%, (+16,8%), grimpant à 30,012 md usd contre 25,697 md sur la période de référence, précise le Centre national des transmissions et du système d’information des Douanes (Cntsid). Les hydrocarbures ont encore représenté l’essentiel des ventes algériennes à l’étranger, soit 93,08% du montant global des exportations, pour 27,93 md usd contre 24,32 md usd, en hausse de 3,61 md usd (+14,86%).
Par contre, les exportations hors-hydrocarbures demeurent marginales avec 6,92% du montant global des exportations, pour 2,08 md usd, même si elles ont connu une hausse de près de 51% par rapport à la même période de 2017. Elles sont composées des demi-produits (+69%), des biens alimentaires (-2,51%), des produits bruts (+43,14%), des biens d’équipements industriels (+13%), des biens de consommation non alimentaires (+62,5%) et des biens d’équipements agricoles (+81%).
Quant aux importations, elles ont légèrement baissé de 1,52% pour 33,703 md usd contre 34,224 md usd aidées par le recul de la facture des produits énergétiques et lubrifiants (dont les carburants notamment) en baisse de 626 millions usd (-44,8%), selon la même source. Elle est passée à 772 millions usd entre janvier et septembre 2018 contre 1,4 md usd à la même période de 2017. Les biens d’équipements agricoles et industriels ont également connu une tendance baissière s’établissant respectivement à 421 millions usd (-11,55%) et 9,64 md usd (-8%). Les groupes des biens alimentaires, des produits bruts, des biens de consommation non alimentaires et des demi-produits ont enregistré respectivement des hausses de 1,11%, 32,03%, 9,13 % et 0,04%.
Par ailleurs, en terme de mode de financement des importations, sur la facture globale, 20,2 md usd ont été payés par cash, les lignes de crédit ont financé les importations à hauteur de 12,3 md usd (36,5%), tandis que le reste des importations a été financé par le recours à d’autres moyens de paiement pour un montant de 1,2 md usd, et aux comptes devises propres des importateurs pour trois millions de dollars. Concernant les partenaires commerciaux de l’Algérie, la Chine est toujours le premier fournisseur du pays avec 5,52 md usd (16,4% des importations globales algériennes), suivie de la France avec 3,45 md usd (10,25%), de l’Italie avec 2,80 md usd (8,32%), de l’Espagne avec 2,57 md usd (7,64%) et de l’Allemagne avec 2,25 md usd (6,7%).
Quant aux clients de l’Algérie, l’Italie s’est encore classée première avec 4,43 md usd (14,75% des exportations globales algériennes), suivie de la France avec 3,58 md usd (11,93%), l’Espagne avec 3,56 md usd (11,88%), les Etats-Unis avec 2,88 md usd (9,61%) et la Grande-Bretagne avec 1,88 md usd (6,3%).
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K. Assia
La délocalisation des minibus et des bus desservant le suburbain vers la nouvelle gare routière de Haï Es-Sabah s’est déroulée, hier matin, en présence des responsables du secteur et des syndicats. Ce transfert, reporté à maintes reprises, a ciblé six destinations qui sont Hassi Ben Okba, Béthioua, Boufatis, Arzew, Gdyel, Hassi Bounif, autrement dit toute la partie ’Est » d’Oran. Grâce à ce projet de délocalisation qui vient en application du nouveau plan des transports de la wilaya d’Oran, les autorités locales ont pu récupérer plusieurs sites où l’on signalait un véritable goulot d’étranglement, notamment à Dar El Beïda, à la cité des HLM et à l’USTO, entre autres. Pour ce qui est de la station El Morchid, celle-ci a été évacuée, hier matin, de tous les bus qui relient Oran à Gdyel et Arzew. Ainsi et pour une meilleure réorganisation du transport, celle-ci servira de station aux bus 41 et 42 et qui desservent Sidi El Bachir et douar Boudjemaâ, a-t-on appris auprès de M. Baghdad, président du bureau local de l’Organisation nationale des transporteurs algériens d’Oran (ONTA). Ces bus sont stationnés le long de l’axe routier qui longe la cité des HLM, ce qui libérera la voie publique et facilitera la circulation à l’intérieur du tissu urbain. Outre le transfert de ces bus, il sera procédé également à la délocalisation des taxis qui relient Oran aux localités d’Arzew, Gdyel et Béthioua vers la station d’El Morchid, apprend-on.Ceux-ci sont également domiciliés dans un terrain vague à la cité des HLM. Par ailleurs, outre ce transfert qui vient en application du nouveau plan de transport, la direction des transports a mis en place des lignes de rabattement à la disposition des usagers, afin d’éviter tout désagrément relatif à ce transfert. L’usager, une fois arrivé à la gare routière de Haï Es-Sabah, peut rallier le centre-ville ou M’dina J’dida à partir des nouvelles extensions opérées sur les itinéraires de quatre lignes urbaines et qui sont le 11, le 51, le 102 et le G52. Ces bus de transport urbain sont donc chargés de desservir la gare routière Haï Es-Sabah à destination de la place Valéro pour le bus 11, le Palais des sports pour la ligne 51 et 102 et la gare El Bahia pour le bus G52. D’autre part, une étude est lancée par le service technique de la direction des transports afin d’identifier les besoins et voir s’il est possible d’injecter de nouvelles lignes et ce, toujours en fonction des nécessités. Le but de cette délocalisation est, selon le directeur des transports, la réorganisation du transport, la séparation entre l’urbain et le suburbain et surtout faciliter la circulation à l’intérieur du tissu urbain. Une fois ce transfert opéré, les responsables locaux pourront récupérer ainsi plusieurs sites, à l’exemple de la station d’El Morchid, le rond-point de Dar El-Beïda et le site de l’USTO. La nouvelle gare routière de Haï Es-Sabah a été réalisée et dotée de toutes les commodités de sorte que ce projet vienne en application des directives du wali d’Oran visant à améliorer le transport et faciliter la fluidité de la circulation, notamment en prévision des jeux Méditerranéens qu’abritera Oran en 2021.
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M. Nadir
Après avoir fait appel de leur condamnation, en première instance, à 20 ans de réclusion pour des faits de trafic de drogue, trois accusés ont été rejugés hier par le tribunal d’appel et ont écopé de 15 ans.B. Samir, 35 ans, L. Djillali, 47 ans, et M. Djamel, 55 ans, avaient été interpellés en septembre 2015 à proximité d’un café près de Belgaïd. La voiture occupée par les deux premiers contenait 25 kilogrammes de résine de cannabis que Samir a reconnu avoir transportés depuis Maghnia pour le compte d’un certain S. Abdelkader. Suspecté d’être impliqué dans ce trafic de drogue, Djamel, qui se trouvait à l’intérieur du café en compagnie de Samir quelques instants plus tôt, sera arrêté un peu plus tard en possession d’un faux permis de conduire.
Alors que Samir fait des aveux complets et reconnaît avoir transporté la drogue en contrepartie de 25 millions de centimes, les deux autres nient toute implication dans le trafic de drogue. Djillali, commerçant d’habillement à M’dina J’dida, soutient que sa relation avec Samir est strictement professionnelle (il lui fournit parfois de la marchandise en provenance de Maghnia). Quant à Djamel, originaire d’Aïn Ouessara, il affirme être venu passer quelques jours de congé et avoir sollicité Samir parce qu’il avait besoin d’un peu d’argent.
Après instruction, les trois hommes ont été inculpés et mis en détention pour transport, possession et mise en vente de produits stupéfiants en bande organisée, suivant l’article 17, alinéas 1 et 3, de la loi relative à la prévention et à la répression de l’usage et du trafic illicites de stupéfiants et de substances psychotropes. M. Djamel sera également poursuivi de faux et usage de faux, selon l’article 22 du code pénal.
Jugés le 27 mai 2018 par le tribunal criminel de première instance, ils seront déclarés coupables des faits retenus et condamnés à 20 ans de réclusion criminelle. Ils interjetteront appel deux jours plus tard.
A la barre, hier dimanche, Samir a maintenu ses déclarations et affirmé que Djillali et Djamel n’étaient pas impliqués dans le trafic de drogue et que son rôle à lui s’était limité au transport des 25 kilogrammes. Djillali a nié toute les accusations portées contre lui et déclaré s’être trouvé en compagnie de Samir à titre amical : «Quand je vais à Maghnia, il m’honore et quand il vient à Oran, je fais de même», a-t-il expliqué.
Djamel a, lui aussi, rejeté les accusations de trafic de drogue en expliquant qu’il se déplaçait avec des faux papiers parce qu’il faisait l’objet d’un mandat d’arrêt : «On m’a dit que j’étais recherché dans une affaire de trafic de drogue. J’avais peur», a-t-il tenté de justifier.
Sans s’embarrasser de présenter le moindre élément de preuve, le représentant du ministère public se contentera d’affirmer que les accusations étaient fondées avant de requérir la perpétuité.
Affirmant que seule la charge de transport avait été prouvée contre son client, l’avocat de Samir demandera l’acquittement pour les autres accusations et implorera le tribunal d’accorder les circonstances atténuantes pour son mandant qui a été manipulé par le vrai coupable, S. Abdelkader : «Il a profité des conditions sociales précaires de notre client pour l’appâter avec de l’argent facile».
L’avocat de Djillali, lui, appuiera sa défense sur l’absence de preuves incriminant son client : «Aucune drogue n’a été retrouvée sur Djillali lors de son interpellation et il n’a pas été pris en train de vendre des substances illicites; quant au transport, le premier accusé a tout reconnu. Où sont les preuves qui accablent mon client ?» s’interrogera-t-il en réclamant l’acquittement.
Quant à l’avocate de M. Djamel, elle s’interrogera sur ce qui fonde l’accusation de bande organisée, aucune entente n’ayant été conclue entre les accusés, et priera le tribunal d’acquitter son client des charges liées au trafic de drogue et de lui accorder les circonstances atténuantes pour l’accusation de faux et usage de faux.
Après délibérations, les trois accusés seront condamnés à 15 ans de réclusion criminelle.
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Rachid Boutlélis
Sous le principal chef d’accusation de non-assistance à personne en danger, cinq individus ont été présentés, hier, devant le magistrat instructeur près le tribunal correctionnel d’Aïn El Turck. Selon les résultats de l’enquête de la police judiciaire de la Sûreté de daïra, les faits de cette affaire remontent à une semaine auparavant avec la découverte du corps sans vie d’une jeune femme, non identifiée, ne portant aucune trace de violence, au niveau des escaliers accédant à la plage de la localité de Bouiseville. La malheureuse, qui n’était en possession d’aucun document d’identité, portait uniquement un pyjama. Les investigations des enquêteurs de la PJ ont été entamées ainsi sans aucun indice. De fil en aiguille, en interrogeant les riverains demeurant dans les abords immédiats de la découverte macabre, les policiers ont réussi à glaner des informations sur la marque d’une voiture, suspectée d’avoir transporté le cadavre de la jeune femme. Son propriétaire a été identifié et aussitôt interpellé.Ce dernier n’a pas tardé à avouer et à dénoncer ses complices. Selon des sources policières, les cinq mis en cause dans cette affaire, âgés entre 20 et 24 ans, parmi lesquels figure un mineur âgé de 16 ans, ainsi que la victime âgée de 18 ans, ont loué une habitation dans la localité de Trouville où ils auraient passé la soirée. La jeune femme aurait eu un malaise le lendemain et décédera sur les lieux. Pris de panique, les mis en cause ont décidé de transporter son corps jusqu’à Bouiseville où ils l’ont abandonné.
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La Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH) peine, depuis quelque temps, à honorer ses dettes auprès de ses fournisseurs. Cette situation perdure depuis notamment que le ministère de la Santé s’est désengagé du financement de la PCH. Le Premier ministre Ahmed Ouyahia a promis récemment un produit financier spécial pour l’ensemble des entreprises publiques endettées, dont la PCH. Néanmoins, apprend-on d’une source très au fait de ce dossier, aucune instruction écrite n’est parvenue à ce jour aux banques concernées dont la BNA chargée de prendre en charge, sur ordre de paiement, les factures la PCH auprès de ses fournisseurs. Ces derniers, dont des laboratoires étrangers, apprend-on de même source, menacent désormais de ne plus approvisionner la PCH avant la récupération de leurs créances estimées “importantes”. Voilà qui risque de provoquer une pénurie de médicaments à travers l’ensemble des hôpitaux.
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À l’initiative de la coordination des opérateurs économiques de la wilaya de Tizi Ouzou, en collaboration avec le wali de cette même collectivité et son homologue de Tamanrasset, Djilali Doumi, une campagne de circoncision collective au profit de 600 enfants issus de familles démunies sera menée, jeudi prochain, dans les communes d’Idelès et Tazrouk, respectivement située à 200 et 270 km du chef-lieu de la wilaya de Tamanrasset. L’opération, rendue possible grâce à la précieuse contribution de la direction de la Santé et de la Population de la wilaya de Tizi Ouzou, du président de la JSK, du concessionnaire automobile Racinauto et du P-DG de l’entreprise Tifralait, sera ainsi chapeautée par deux chirurgiens et cinq paramédicaux du Centre hospitalier universitaire de la ville des Genêts.
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Le projet des 50 logements confié au promoteur Hidja Azzedine dans le cadre de la 3e tranche du plan quinquennal 2005-2009 a fait couler beaucoup d’encre.
Entre la revendication incessante des souscripteurs qui demandent instamment la remise des clés pour pouvoir mettre à l’abri leurs enfants selon les conditions initiales et les difficultés pratiques rencontrées par le promoteur pour pouvoir le faire, il y a encore beaucoup de choses à dire pour éclairer l’avis du promoteur, qui a pris contact avec nous suite aux nombreux mouvements de protestation des souscripteurs. M. Hidja relève les difficultés rencontrées sur le terrain qui l’empêchent de livrer définitivement le projet et sortir de cet imbroglio.
Il commence d’abord par interpeller le wali et le ministre de l’Habitat afin d’ordonner aux autorités concernées de lui délivrer le permis de réaménagement manquant exigé pour réaliser une conduite d’assainissement, comme il lui a été demandé de le faire pour pouvoir obtenir un certificat de conformité, lequel lui permettra d’établir les actes de propriété et de remettre les clés aux bénéficiaires, dont certains ont, selon lui, squatté des logements avant même que les travaux soient finis. M. Hidja déplore, en outre, le fait que la tranchée qui a été creusée pour réaliser une conduite d’assainissement a été colmatée par des souscripteurs, qui n’ont pas cherché à connaître les raisons de ces travaux supplémentaires. Selon lui, « ces derniers m’ont enfoncé au lieu d’être de mon côté », nous dit-il. « Leur aide est précieuse si l’on veut terminer les travaux rapidement et pouvoir établir des actes de propriété, mais les souscripteurs ne comprennent pas les difficultés d’ordre bureaucratiques que je rencontre à ce jour », souligne-t-il.
Relatant les péripéties de ce projet, le promoteur rappelle qu’il a déposé en 2007 son permis de construire mais que l’APC lui avait vite notifié un ordre d’arrêt des travaux au motif que le projet ne cadrait pas avec le plan d’occupation du sol car devant recevoir les équipements publics. Néanmoins, un arrêté avait été approuvé par la wilaya entre-temps et la liste des souscripteurs avait été validée. Le promoteur a entamé alors les travaux de terrassement mais le projet a vite été retardé par des pluies diluviennes en 2008, contraignant le promoteur à revoir l’étude après le passage du CTC. Ceci, a-t-il rappelé, a nécessité un avenant qui dépasse 45% du montant du marché initial. L’étude de génie civil n’a finalement été remise au promoteur qu’une année plus tard. La modification du permis de construire, conformément aux nouvelles exigences du CTC, a buté de nouveau sur des blocages. Le promoteur a obtenu quand même un permis de construire valable 18 mois. Le permis d’achèvement a été prolongé à mars 2015, soit de 12 mois, suite à la réclamation du promoteur. Une commission mixte de la wilaya s’est déplacée sur place pour voir la réalisation des travaux de voirie et des réseaux divers (VRD). L’initiateur du projet a obtenu toutes les autorisations, exceptée celle de l’hydraulique, qui avait émis une réserve technique nécessitant la réalisation d’un sous-sol et d’un entre-sol pour le branchement et l’entretien du réseau des eaux usées, qui permettraient également l’accès aux logements. Il a déposé alors un permis de réaménagement et a obtenu tous les avis favorables, cependant, il manquait toujours l’avis de la direction du logement. Le promoteur a introduit tous les recours possibles pour débloquer la situation, sans succès. Et suite à la colère des souscripteurs, lesquels avaient tenté de squatter les logements, une réunion avait été convoquée par l’ex-wali et avait rassemblé les différents acteurs et les représentants des souscripteurs. Le promoteur s’était engagé alors à livrer les logements dans un délai très court mais avec l’obtention rapide d’un permis de réaménagement. Un document qu’il n’a pas
pu obtenir. Le promoteur s’interroge sur le pourquoi d’un tel blocage car même après les recours introduits auprès de la justices, rendus en sa faveur, son projet est toujours bloqué. Il demande au wali et au ministre de l’Habitat d’intervenir et de mettre fin à cette situation. Notons que l’apport financier des souscripteurs dans la première fiche technique est de 16% avec un avenant de la nouvelle fiche technique de 4,90%, mais celle-ci n’a pas encore été validée. Ce blocage, selon lui, coûte très cher avec la bonification du taux d’intérêt de la banque, qui lui impose de lourdes pénalités de l’ordre de 6 millions de dinars par trimestre. Le montant cumulé à ce jour s’établit à plus de 10 milliards de centimes. La banque lui réclame ainsi un total de 30 milliards de centimes, qu’il se doit d’honorer. Aujourd’hui, le promoteur interpelle les autorités centrales du pays afin d’intervenir et de débloquer la situation en vue de livrer enfin le projet.
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Le président de l’Association El Amane de protection des consommateurs, Hacène Menouar, a plaidé ce dimanche pour la réduction de l’utilisation du sucre et du sel dans l’industrie alimentaire par voie règlementaire, soulignant que tous les acteurs doivent être impliqués puisqu’il s’agit bien d’un problème de santé publique.
Considérant que le sucre et le sel constituent un additif pouvant entraîner un impact néfaste sur la santé du consommateur, il s’avère impératif et fondamental de réduire leur utilisation dans l’industrie alimentaire par voie règlementaire, a indiqué M. Menouar, lors de son passage au Forum d’El Moudjahid. Il a fait savoir que certains producteurs ont déjà mis sur le marché des produits moins sucrés, mais, selon lui, un grand travail de sensibilisation reste à faire par l’implication de tous les secteurs. Le président de l’association El-Amane regrette le manque de contrôle et l’absence de sanctions. Pourtant, poursuit-il, « l’Algérie dispose d’une réglementation très stricte ». M. Menouar a tenu à rappeler le danger que représente l’utilisation excessive du sucre et du sel dans les produits alimentaires, avec des maladies comme le diabète et l’hypertension artérielle. Selon lui, l’Algérien consomme des produits avec un excès qui dépasse les normes admises à l’échelle mondiale. « Pour cela, il est indispensable que les producteurs portent à la connaissance du consommateur la valeur nutritive des aliments préemballés », a-t-il ajouté. Hacène Menouar évoque également le transport des boissons, notamment de l’eau minérale, dans des camions non aménagés, exposant ainsi cette marchandise au soleil. Il plaide pour la création d’une police sanitaire. « Dans les différents points de contrôle des services de sécurité, on vérifie le port de la ceinture de sécurité et le respect d’autres dispositions du code de la route.
Pourquoi n’intervient jamais- on lors du passage d’un camion chargé de bouteilles de boissons ou d’eau et dont la marchandise est exposée au soleil ? », s’interroge-t-il. Il signale également l’« indifférence » des services de sécurité face à toutes ces installations de grillades ou de frigos sur la voie publique. « Les policiers sont à cheval sur le respect du code de la route par les automobilistes mais n’accordent aucune attention à toutes ces rôtisseries de fortune, frigos et présentoirs qui squattent les trottoirs à longueur de journée, pourtant interdits par la loi », dit-il encore, rappelant que cette demande a été maintes fois exprimée auprès des autorités publiques par son organisation sans qu’elle soit prise en considération. Pour la signalisation de tout dépassement, M. Menouar a fait savoir que l’association El-Amane a ouvert ses guichets dédiés à l’écoute et au traitement des doléances des consommateurs, regrettant « l’absence de l’esprit de signalement » chez ce dernier.
L’association El Amane organise à longueur d’année des campagnes de sensibilisation au profit des citoyens, mais Hacène Menouar regrette, toutefois, toutes les entraves administratives que rencontre l’association afin de tenir ses initiatives qui, souvent, font l’objet de refus de la part des responsables.
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L’Etat maintient sa stratégie de la planche à billet et ce pour les 3 années à venir. Le ministre des finances Abderhamane Raouya était auditionné ce matin par la commission des affaires économiques et des finances de l’Assemblée Populaire Nationale (APN) pour exposer le projet de loi de finance pour 2019, « le financement du déficit du trésor entre 2019 et 2020 sera sous pression » et cela « malgré les instruments de financement non conventionnels et la ressource du Fonds de régulation des recettes» sur lesquels l’Etat compte faire face. « le besoin au financement durera encore durant toute la période de 2019 et 2020 tout en enregistrant une baisse de ce besoin qui passe de 1874,4 Mds de dinars en 2019 à 746,5 Mds de dinars en 2020 pour s’établir à 796,5 Mds de dinars en 2021 », affirme Raouya.
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Le futur de la mobilité a pris son envol à Hagen en Allemagne, où l’entreprise technologique The Mobility House, le fournisseur d’énergie ENERVIE, le gestionnaire de réseau de transport Amprion et le constructeur Nissan ont fait un pas de plus vers l’énergie et la mobilité zéro émission.
Grâce à la Nissan LEAF et à des technologies innovantes de recharge et gestion de l’énergie, les partenaires du projet ont réussi à obtenir un agrément pour un véhicule électrique pour le réglage primaire de l’alimentation. Cela signifie que le véhicule peut être intégré en tant qu’unité de stockage régulatrice et suppléer le réseau électrique allemand. C’est une avancée majeure dans le développement de la technologie Vehicle-to-Grid (V2G) en Allemagne.
De nouvelles solutions permettant de stabiliser le réseau électrique sont nécessaires afin de répondre à la volonté universelle de transition vers une production d’énergie décentralisée à partir de ressources renouvelables. L’utilisation croissante d’énergies renouvelables entraîne au sein du réseau des variations qui doivent être contrebalancées par un réglage primaire, afin de prévenir les coupures électriques.
Les véhicules électriques, tels que la Nissan LEAF, équipés de la technologie de recharge bidirectionnelle ont un rôle important à jouer. Grâce au connecteur de recharge CHAdeMO, la LEAF peut à la fois extraire de l’énergie du réseau, la stocker dans sa batterie et, si besoin, la réinjecter dans le réseau. Il s’agit là du concept Vehicle-to-Grid.
Cette technologie de recharge bidirectionnelle du véhicule électrique Nissan constitue la base de son intégration au projet pilote sur le site d’ENERVIE à Hagen. Les processus de recharge et de décharge peuvent être contrôlés et surveillés grâce aux technologies innovantes et intelligentes de gestion de l’énergie et de recharge mises au point par The Mobility House (TMH).
Source : Nissan
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La nouvelle Ford Focusest dotée d’une nouvelle technologie d’éclairage capable d’analyser le marquage au sol et les panneaux de signalisation même la nuit, afin d’assurer confort et sécurité au conducteur.
Alors que se profile le passage à d’hiver et avec lui l’augmentation de la circulation la nuit, nombreuses sont les personnes pour qui conduire de nuit est une source de stress. Les nouvelles technologies d’éclairage Ford ont été conçues pour rassurer ces conducteurs et leur assurer une sécurité maximale.
Avec la nouvelle Focus, Ford est le premier constructeur disposant d’une technologie capable de lire les panneaux de signalisation et le marquage au sol la nuit, afin d’adapter les feux et illuminer de façon optimale la route. Cela permet, par exemple, d’élargir le faisceau lumineux à l’approche d’un rond-point ou d’une intersection. Ainsi, le conducteur peut mieux voir cyclistes et piétons à chaque croisement.
Plutôt que de s’appuyer sur le GPS, qui n’intègre pas toujours les derniers aménagements routiers, le nouveau système d’éclairage adaptatif de la Focus permet de faire directement la lumière ce qui se passe en amont de la route. En s’appuyant sur la caméra avant et sa technologie d’éclairage intelligent, le nouveau système de phares adaptatifs analyse le marquage au sol pour diriger les feux dans chaque virage, avant même que le conducteur ne tourne le volant.
« Dans un monde parfait, conduire de nuit sera aussi facile que la conduite de jour », a déclaré Michael Koherr, ingénieur en charge des systèmes d’éclairage chez Ford Europe. « Notre nouveau système d’éclairage adaptatif rapproche la nouvelle Focus de cet objectif. En Europe, 15% du tracer routier change chaque année. Si les GPS sont de plus en plus précis, utiliser l’analyse des panneaux de signalisation s’avère la méthode la plus efficace pour connaître le tracer routier en temps réel. »
Parmi les autres fonctions du système d’éclairage avant adaptatif figure la prévention de l’éblouissement des conducteurs sur la route grâce à une fonction anti-éblouissement, une technologie d’éclairage qui évite d’éblouir accidentellement les autres conducteurs – et qui aide le conducteur à mieux voir la route. Cette technologie évite au conducteur de plonger ses phares en bloquant simplement les rayons qui, habituellement, éblouissent les autres usagers de la route.
Parmi de nombreux autres projets d’éclairage intelligents, Michael Koherr et son équipe développent actuellement une nouvelle technologie d’éclairage par spots utilisant une caméra infrarouge pour localiser et suivre les piétons, les cyclistes et les animaux jusqu’à une distance de 120 mètres.
Source : Ford
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Sarl lynhal trade, distributeur des scooters AS Motors à Alger, lance une campagne de remise sur les A9 125cc en deux finition SP et RS au prix de 160.000 DA.
Les acquéreurs profiteront également d’un casque offert durant cette campagne de remises qui ne durera que sept jours, annonce Sarl lynhal trade.
Par ailleurs et pour tout achat d’un scooter as motors Roma plein de cadeaux sont à gagner (paire de gants, bâche, tablier, assurance d’1 an, casque enfant, ensemble de pluie) ainsi qu’une alarme et première vidange gratuites.
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Sovac, représentant du Groupe Volkswagen en Algérie, fête les dix ans de présence de la marque tchèque Skoda dans son giron et avec 45.000 ventes depuis.
Représentée par « La Maison Tchèque » pendant quelques années, Skoda est passée en 2008 chez Sovac, suite logique de sa représentation du Groupe Volkswagen en Algérie. Depuis cette date, ce sont autour de 45.000 unités vendues, la marque passant de 330 unités à son lancement en 2008, à 11 000 unités en 2014, avant de se voir freinée dans son élan suite aux nouvelles dispositions réglementaires. Un frein qui semble faire désormais du passée avec 4000 Octavia de l’usine Sovac Production écoulée depuis le début de sa commercialisation au mois d’août 2017, la gamme venant de se renforcer avec les lancements commerciaux de la Fabia et de la Rapid et ce en attendant d’autres modèles à l’image du Karoq, remplaçant du Yeti.
D’ailleurs, lors de sa visite, le membre du directoire de la marque Skoda, en charge des ventes et du marketing, M. Alain Favey, a déclaré que « l’Algérie offre des opportunités de croissance significatives pour Skoda. Au cours des prochaines années, nous allons nous appuyer sur notre partenariat solide avec Sovac Algérie, afin de continuer cette croissance et améliorer notre offre envers nos nombreux clients algériens ». de quoi s’attendre à un véritable élargissement de la gamme Skoda.
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Le Salon IAA de Francfort, qui se déroulera du 12 au 22 septembre 2019, se réforme en annonçant la diversification de ses activités, pour proposer 4 formats.
Perdant de leur attrait, les salons de l’automobile traditionnels se renouvellent afin de et ce dans le but de réagir face à un début de « désertion » des constructeurs des différents salons traditionnels (Une dizaine en 2016 et déjà 10 absents confirmés pour Frankfurt 2017) pour s’afficher dans un événements plus technologiques à l’image du Mobile World de Barcelone et autre CES de Los Angeles.
Ainsi et à l’instar de la dernière édition du Mondial de Paris et sa nouvelle approche, le salon IAA de Francfort s’articulera également autour de quatre formats, à savoir IAA Conference, IAA Exhibition, IAA Experience et IAA Career.
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La cour criminelle de Skikda a condamné en référé un jeune homme à 3 ans de prison ferme pour avoir causé la mutité à un ami en l’agressant avec violence. Cela s’est passé à la plage de Kef Fatma (daïra de Ben Azzouz, une cinquantaine de kilomètres à l’est de Skikda). Ce jeune A. A. a causé un handicap permanent à son ami A. S. lors d’une dispute, alors qu’ils se trouvaient dans une journée de baignade durant l’été. La victime avait demandé à l’accusé de lui rendre un emprunt de 15 000 DA qu’il avait contracté. L’accusé qui s’est mis hors de lui a sorti un couteau pour assener un coup à la bouche de la victime lui causant, selon le médecin légal, des perturbations dans la parole et aussi des difficultés pour manger.
A. B.
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