Appelé à la rescousse pour mettre sur pied, en un laps de temps, une sélection nationale de basket-ball pour prendre part au Championnat arabe des nations, qui s’est achevé vendredi 16 novembre au Caire, avec la consécration de l’Arabie Saoudite champion arabe devant le Cinq national, l’entraîneur national Mohamed Yahya, après avoir coaché la sélection U18 au dernier championnat d’Afrique (Afro-basket U18) au Mali, affirme qu’il a le sentiment du devoir accompli.
«Avec du recul, je dirai que nous avons accompli notre mission. Nous avons rassemblé une équipe en un temps record, car nous n’avions pas assez de temps pour effectuer une bonne préparation hormis un mini-stage à Alger et un autre en Egypte la veille du championnat arabe, d’autant plus que le championnat national a connu un mois de retard ; ce qui aurait permis aux joueurs d’avoir plusieurs matchs dans les jambes. Dans l’urgence, avec la Fédération algérienne de basket-ball, que je remercie au passage pour sa confiance, nous avions décidé de mettre sur pied une sélection composée de joueurs expérimentés d’un certain âge (30 et 31 ans) ménagé à d’autres éléments plus jeunes (22, 23 et 25 ans) pour former un groupe compétitif issu du championnat national. Nous n’avons pas pu convoquer les professionnels évoluant en Europe à cause de l’absence d’une fenêtre Fiba, hormis Touhami, un ancien du GSP, qui joue actuellement en Arabie Saoudite qui nous a rejoints, malheureusement, il n’a pas terminé la compétition à cause du décès de son frère. Je profite de cette occasion pour lui présenter mes sincères condoléances.
Dans l’ensemble nous avions réussi un bon championnat devant des sélections d’un bon niveau telles que l’Egypte, l’Arabie Saoudite ou encore le Bahreïn», nous dira Mohamed Yahya, contacté par nos soins, qui devrait retrouver son poste au sein de la barre technique du NB Staouéli et qui explique que son objectif était surtout de remettre la sélection nationale sur rails après plusieurs mois d’inactivité. «Nous avons réussi à atteindre la finale du championnat arabe que nous avions perdue, hélas, devant l’Arabie Saoudite. C’est déjà un acquis. Il ne faut pas oublier que la sélection était à l’arrêt depuis presque 20 mois. Maintenant, nous devons continuer sur ce rythme pour réactiver notre équipe nationale et préparer les prochaines échéances internationales.
Certes, ce sera pour fin 2019 et 2020, le prochain championnat d’Afrique des nations qualificatif pour le Mondial 2023. Avec la Fédération et la DTN, nous allons tracer une feuille de route qui va permettre à notre discipline de relever la tête avec l’intégration des jeunes joueurs issus des U18 notamment. Nous suivons quelques jeunes éléments évoluant en Europe qui pourraient à l’avenir apporter un plus à la sélection», ajoute Mohamed Yahya qui précise, toutefois, qu’il n’a encore rien signé avec la Fédération algérienne de basket-ball quant à son avenir à la barre technique du Cinq national. A ce propos, M. Ali Slimani, président de la FABB nous a affirmé que Mohamed Yahya est bel et bien l’entraîneur de la sélection nationale.
«Certes, nous n’avons pas encore signé avec lui, mais je le dis Mohamed Yahya est notre entraîneur national. Il a fait du bon travail aussi bien avec les U18 qu’avec les séniors. Nous n’avons pas d’échéances dans l’immédiat, mais notre objectif est de relancer la sélection nationale. Nous n’allons pas nous arrêter en Coupe arabe, nous allons organiser des stages périodiques pour ne pas laisser la sélection inactive», nous a-t-il assuré.
Ahmed Ammour
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Lors d’un conseil de l’exécutif, la première responsable de la wilaya a demandé aux présidents des APC de la wilaya de Aïn-Témouchent de veiller rigoureusement et d’une façon continue aux différents programmes de développement qui se réalisent sur le territoire de la wilaya, de même qu’elle leur a demandé de consommer dans le cadre de la loi, les subventions de l’Etat destinées à la réalisation des programmes et plans communaux de développement (PCD) et plans sectoriels de développement.
Madame le wali et en marge de l’étude du degré de consommation de ces subventions relatives aux 28 communes de la wilaya ,elle dira que le taux de consommation devra être revu à la hausse en vue d’améliorer le cadre de vie des citoyens, par contre, les communes qui ont consommé toutes les subventions étatiques sont appelées à bénéficier de nouveaux projets dans le cadre de l’encouragement du processus de développement.Il faut organiser des sessions ordinaires locales pour les commissions techniques des daïras en vue des études des projets à travers toutes leurs phases de réalisation jusqu’à leur réception, et ce, une fois par semaine, et d’organiser des sorties fréquentes sur le terrain en vue d’avoir une idée très précise sur le taux d’avancement de ces projets.
Concernant le club du CRTémouchent, madame le wali a ordonné de préparer une fiche technique du projet de réalisation de vestiaires, et un projet de réalisation de tribunes au stade Embarek-Boucif conformément aux normes pour que ce stade soit hissé au niveau d’un petit complexe sportif. Pour le deuxième volet de ce conseil exécutif, des orientations relatives à l’environnement et l’aménagement urbain ont été données aux chefs de daïra et présidents des APC pour qu’elles soient appliquées dans toutes les communes de la wilaya, et ce, suite aux instructions du ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales qui a insisté sur cela, de même sur les espaces verts pour réunir les meilleures conditions de cadre de vie aux citoyens, la sécurité, le divertissement et aussi la réalisation des manifestations et activités fréquentes visant la protection de l’environnement, l’éclairage public au niveau des agglomérations, et la généralisation de l’utilisation de l’énergie solaire dans les différents lieux publics, l’ouverture des accès vers les plages de la wilaya et la réalisation d’un réseau routier dans les milieux urbains, des toilettes publiques dans le tissu urbain et plusieurs autres réalisations qui garantissent la sécurité et le bien-être des citoyens.
S. B.
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Hier à l’occasion du lancement des travaux de viabilisation de la zone d’activité au niveau de Tafraoui, avec l’ouverture des voies, assainissement et AEP, le wali d’Oran dira qu’il sera intransigeant envers ceux qui n’entament pas les travaux dans le cadre de leurs investissements. A défaut, les affectations de terrains leur seront retirées.
Amel Bentolba – Oran (Le Soir) – Le chef de l’exécutif a rappelé que «toutes les facilitations en matière de bureaucratie et de viabilisation sont prises en compte, les investisseurs n’ont plus d’excuse afin d’honorer leurs engagements».
La zone d’activité de Tafraoui, qui s’étend sur 87 ha, a bénéficié d’un investissement de 60 milliards de centimes pour la viabilisation. Suivra celle de Bethioua pour laquelle la wilaya a consacré une enveloppe financière de plus de 5 milliards de DA, pour la viabilisation de cette zone, l’étude étant terminée, la prochaine étape consiste en la désignation des entrepreneurs.
Présent durant cette première journée de lancement des travaux de viabilisation, le directeur de l’industrie et des petites et moyennes entreprises et de la promotion de l’investissement de la wilaya, M. Abderrahim Khaldoun, dira que «cette zone de Tafraoui est constituée de 87 ha, répartis sur près de 153 lots, affectés en totalité pour des projets liés avec une dominance pour l’agroalimentaire, les industries métalliques, les matériaux de construction, et, bien évidemment, tout ce qui est industrie plastique, caoutchouc, etc.».
La particularité de cette zone, c’est la mise à disposition du foncier au profit des jeunes entrepreneurs relevant de l’Ansej, et ce, suivant la directive du ministère du Travail, dira M. Khaldoune, qui précise que «le ministère du Travail insiste sur le fait que cela concerne les jeunes relevant du système Ansej et Cnac qui ont réussi et se sont acquittés de leurs prêts et créé des postes d’emploi».
Au total, ce sont 7 jeunes ayant bénéficié de terrains au niveau de la zone d’activité de Tafraoui. Au départ, ils étaient une quinzaine à postuler.
Une zone qui comprend près de 71 investisseurs avec une prévision d’emploi de 6 000 personnes, d’où la mise en œuvre de tous les moyens pour faciliter et encourager les investissements. Toutefois, la wilaya a mis en place depuis une quinzaine de jours une commission chargée du suivi et de l’évaluation du taux de réalisation des projets d’investissement. La commission est chargée d’enquêter sur le démarrage effectif des projets dont les promoteurs ont bénéficié de terrains industriels.
A. B.
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Depuis ce dimanche, et ce pour une durée de deux jours, l’Université Oran 1 Ahmed-Ben-Bella, en partenariat avec la firme de gestion conseil publique SAJE Montréal Centre, a procédé au lancement de la première session de formation en gestion-conseil et le transfert d’expertise en management entrepreneurial.
L’introduction au programme de formation en gestion-conseil en abordant des thèmes comme les principes fondamentaux de la gestion-conseil appliquée à la création et au développement d’entreprise ainsi que la pédagogie entrepreneuriale dans le cadre d’une démarche contractuelle par objectifs constituent un préambule à cette première session de formation. L’on saura que «la session de novembre (la première d’une série de 7 sessions sur l’année universitaire 2018-2019) réunit trente enseignants-chercheurs des différentes familles de disciplines présentes à l’Université Oran 1 : les sciences médicales, les sciences exactes, les sciences et techniques, les sciences de la nature et de la vie mais également les lettres, les arts et les sciences humaines».
La session est animée par le docteur Abderrahmane Bénariba, directeur général du développement et de la gestion des projets auprès de la firme de gestion conseil publique SAJE Montréal Centre, conseiller senior et expert international en développement d’entreprise.
L’université fait savoir qu’une séance d’information sur des programmes de formation mini-MBA en gestion d’entreprise, toujours en partenariat avec la firme SAJE, sera organisée le jeudi 22 novembre à partir de 9h dans la salle de réunions du rectorat de l’Université Oran1 (ex-IAP).
Une journée à laquelle sont conviés les responsables des ressources humaines des entreprises.
A. B.
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En marge de la désignation des nouveaux chefs de daïra de la wilaya de Tipasa récemment installés dans le cadre du mouvement partiel décidé récemment au sein des structures de l’administration locale, par le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales, le wali de Tipasa, M. Bouchemma Mohamed vient de présider à une cérémonie d’installation en l’honneur de la nouvelle chef de la daïra de Hadjout. Ce fut au sein de la salle officielle de la ville de Hadjout qu’a été organisée la cérémonie d’installation de la nouvelle chef de daïra de Hadjout , en l’occurrence Mme Hibet Allah Mekka qui a été désignée recemment à la tête de la daïra de Hadjout (Tipasa), en remplacement du précédent chef de la daïra de Hadjout.
H. L.
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Les résidents universitaires affiliés à la Ligue nationale des étudiants algériens se sont massés dimanche devant le siège de la Direction des œuvres universitaires, situé au centre de l’université Djilali-Liabès de Sidi-Bel-Abbès, pour décrier, selon eux, leurs conditions et porter leurs revendications. Ils demandent l’amélioration des conditions d’hébergement, le renforcement des moyens de transport au profit des résidents vers leurs facultés respectives, ajoutant qu’ils se seraient acquittés à la rentrée des frais d’abonnement dans ce but. Ils demandent la dotation d’internet au niveau de leur résidence, l’amélioration de leurs repas en qualité et quantité. Ils dénoncent aussi le comportement des agents de sécurité des cités envers la gent féminine. Et pour clore leur plateforme de revendications, ils indiquent que la cité Attar-Belabbès garçons, accuse une surcharge de résidents alors que cinq autres résidences pour filles sont presque inoccupées.
Un autre point aussi demandé, l’accélération des travaux de la nouvelle résidence dont la livraison de son projet était prévue pour septembre dernier. Le nouveau directeur installé il y a 5 mois, est allé au-devant des résidents protestataires et a écouté leurs doléances, leur promettant de pallier cette situation dans les meilleurs délais.
A. M.
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Les habitants de la daïra de Boussemghoun interpellent les autorités locales de la wilaya d’El-Bayadh pour un éventuel réaménagement de la route menant de Chellala à Boussemghoun sur une distance d’une vingtaine de kilomètres. En effet, ce chemin vicinal (CV) à grand trafic routier est en piteux état. Très étroit et plein de nids-de-poule, il est loin d’accueillir les camions de grands tonnages.
Devenu une RN de transit reliant le nord au sud du pays, très fréquenté par les usagers de la route, ce tronçon ne répond plus aux normes de la circulation et ne permet plus aux conducteurs de circuler dans de bonnes conditions. D’ailleurs, plusieurs accidents mortels se sont produits sur cet itinéraire considéré comme le tronçon de la mort, nous dit-on. Un projet très ambitieux, plus que nécessaire d’ailleurs, pour un avenir plus exigeant et pour les usagers de la route en transit en provenance ou en partance du ou vers le Nord et pour le développement du tourisme dans la région, puisque la ville de Boussemghoun a toujours été un lieu de prédilection et d’attraction pour les visiteurs et les touristes qui s’y rendent, même de l’étranger.
Pour rappel, cette localité relève de la chaîne des monts des Ksour, mais administrativement, elle relève de la wilaya d’El-Bayadh et dispose d’un ksar datant de plus de 6 siècles, d’une palmeraie, de gravures rupestres, mais abrite aussi le mausolée de la zaouïa de Sid-Ahmed Tidjani, visitée souvent par la confrérie Tidjania opérant dans plusieurs pays.
B. Henine
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Revenant sur ces récentes déclarations à la presse au sujet de la carte Chifa, le ministre en charge de la Sécurité sociale a précisé qu’«elles ont été mal interprétées», affirmant que «le droit aux soins est garanti par la Constitution et que la prise en charge des diabétiques et des personnes atteintes d’autres maladies chroniques est un droit garanti par l’Etat quels que soient les circonstances et les coûts». Il a annoncé, à ce propos, la constitution d’un groupe de travail avec le secteur de la santé afin de mettre en place des mécanismes permettant le recensement des citoyens bénéficiant de la carte Chifa, faisant état de mesures coercitives à l’égard des indus bénéficiaires.
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Les spécialistes de santé publique sortent de leur réserve. Leur syndicat interpelle le Premier ministre. Le SNPSSP s’insurge contre la manière avec laquelle a été instituée la prime d’installation au profit des jeunes spécialistes. Si rien n’est fait, avertit-il, l’hémorragie des spécialistes va s’aggraver. La base décidera dans quelques jours des actions à mener.
Nawal Imès – Alger (Le Soir) – La publication récente du décret portant modalités d’octroi de la prime d’installation des médecins résidents suscite l’indignation du Syndicat national des spécialistes de la santé publique (SNPSSSP). Son président estime que cette mesure va en l’encontre du principe de la continuité des soins.
Pour le Dr Yousfi, il est inconcevable d’octroyer une prime juste pendant la durée du service civil et d’espérer voir le spécialiste en question se projeter dans la ville où il a été affecté. Pire encore, il considère que cette prime crée une situation «inédite» où des spécialistes exerçant dans des conditions identiques percevront des salaires différents, au profit du dernier arrivé. Plus grave, dit-il, le spécialiste qui arrive à la fin du service civil et qui voit son salaire amputé de cette prime pourrait difficilement envisager de rester dans la ville où il a été affecté.
Pour le SNPSSP, cette mesure «est contraire à l’esprit de justice et à la logique». Elle constitue «un véritable coup de fouet aux démissions des spécialistes du secteur public». Pire encore, elle risque d’achever de «déstructurer la prise en charge des soins spécialisés à travers le territoire national, en institutionnalisant l’instabilité des spécialistes dans le secteur public».
Animant une conférence de presse, hier, à l’issue d’un conseil national extraordinaire, le Dr Yousfi affirmait que cette situation risquait de mener vers des démissions collectives au moment où le secteur souffre déjà du départ de près de 7 000 spécialistes en dix ans soit vers l’étranger soit vers le privé. Une tendance, dit-il, qui est en train de s’aggraver avec le risque de voir certaines spécialités totalement disparaître.
Les membres du conseil national, s’adressant directement au Premier ministre, ont brandi pas moins de quatre revendications toujours en suspens et relevant des prérogatives du Premier ministre. Il s’agit de l’organisation du concours de passage de grade qui accuse un retard de trois mois mais également l’ouverture d’un nombre suffisant de postes budgétaires. Ce retard accusé, déplorent-ils, décourage les spécialistes à rester dans le secteur public.
Les membres du conseil national appellent également à mettre en conformité la prime d’intéressement avec le statut particulier du médecin spécialiste. Le dossier est ouvert depuis 2002 sans aucune avancée. Dernière revendication, l’arrêt de la discrimination en matière d’imposition qui frappe les primes versées aux médecins spécialistes.
Le SNPSSP en appelle au sens des responsabilités des députés afin que cette injustice soit levée et qu’elle soit rectifiée dans le cadre de la loi de finances.
Pour le président du SNPSSP, cette situation d’impasse est causée par la fuite en avant du Premier ministère. Si le SNPSSP a épuisé tous les moyens de revendications, il demande aujourd’hui une intervention urgente du Premier ministre et appelle sa base à se mobiliser.
Des assemblées générales seront tenues au niveau local pour décider des actions à mener avant que le conseil national ne tranche. Ce dernier maintient ouverte sa session.
N. I.
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ALGER – Treize incendies ont été enregistrés à travers le pays, dont neuf à Alger, suite à l’utilisation des produits pyrotechniques lors de la célébration de la fête du Mawlid Ennabaoui Echarif, selon un bilan des dernières 24 heures rendu public mardi par les services de la Protection civile.
Les éléments de la Protection civile sont intervenus pour l’extinction de 13 incendies d’arbres, palmiers, broussailles, ainsi que d’habitations, notamment à Alger qui a enregistré neuf incendies à Bordj El Bahri, Les Eucalyptus, Kouba, Baraki, El Maqaria, El Achour, Bab El Oued, Bordj El Kifane et Rouiba.
Selon le même bilan, deux incendies ont été enregistrés dans la wilaya de Guelma et deux autres à Blida impliquant un bus et un véhicule.
Par ailleurs, huit personnes ont été incommodées par le monoxyde de carbone (CO) émanant des appareils de chauffage et chauffe-bain dans leurs domiciles, dont quatre dans la wilaya de Sétif, et quatre à El Bayadh), tandis les secours de la Protection civile sont, également, intervenus suite à l’explosion d’une bombonne de gaz butane à l’intérieur d’une maison, à Guelma, causant des brûlures de 2ème degrés deux personnes.
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Le forcing exercé sur l’Algérie pour l’amener à s’exprimer publiquement au sujet de «l’offre» de Mohammed VI est resté vain. La lettre adressée par le Président Bouteflika au roi du Maroc à l’occasion du 63e anniversaire de l’indépendance de son pays n’a pas alimenté un débat dans lequel Alger refuse de s’inscrire.
Abla Chérif – Alger (Le Soir) – A peu de nuances près, le message parti d’El-Mouradia est identique à celui reçu par Rabat tout au long des dernières années. Celui de 2018 marque la différence sur un seul point : «Le respect mutuel» sur lequel, précise le texte, doit se baser le travail bilatéral pour «(…) consolider les relations de fraternité et de solidarité qui unissent nos deux pays (…)». Et cette différence fait justement partie de l’argumentaire développé par de nombreuses parties et sources autorisées algériennes pour expliquer «l’inconcevabilité», voire l’impossibilité d’aller vers la mise en place de mécanismes de stabilisation tant que la partie marocaine continue à verser dans «l’invective, les accusations mensongères et les tentatives de déstabilisation». Sur ce volet, les exemples que l’Algérie garde en mémoire sont légion et les derniers épisodes du déchaînement du voisin encore trop frais pour pouvoir se permettre l’oubli.
Il y a quelques semaines encore, le représentant du Maroc auprès des Nations-Unies avait fait de la session de New York une véritable tribune à travers laquelle il avait appelé la communauté internationale à faire pression sur Alger afin que cette dernière soit amenée à régler le problème du Sahara Occidental avec la partie marocaine. Ce discours faisait suite à l’envoi d’une lettre d’une rare virulence adressée par Mohammed VI au secrétaire général de l’ONU et dans laquelle il inversait les rôles en accusant l’Algérie d’être principalement à l’origine du blocage dans le dossier sahraoui. Les faits cités ont été enregistrés à un moment déterminant pour les Marocains désireux de peser sur les décisions de l’ONU au sujet du Sahara Occidental. Mais «la provocation, l’attaque, ne datent pas d’aujourd’hui», rappellent d’autres sources qui expliquent ainsi les raisons pour lesquelles l’offre du roi «est un non-évènement pour l’Algérie» qui appelle au «respect mutuel».
Il faut savoir aussi que les spécialistes du dossier ont interprété la démarche marocaine comme une «nouvelle manœuvre destinée à piéger les Algériens en les amenant à entamer des discussions bilatérales autour du Sahara Occidental, mais aussi à tenter une nouvelle fois d’inverser les rôles en nous faisant passer pour la partie responsable de la mauvaise qualité des relations bilatérales». «Entre les deux pays, règne une situation de guerre froide» avait laissé entendre Alger suite au déchaînement du roi du Maroc et rien n’indique, nous dit-on, que cette partie semble animée de meilleures intentions compte tenu de la persistance de nouvelles opérations de désinformation.
De nombreuses rumeurs, relayées par la presse marocaine proche du palais royal, font, en effet, croire depuis un moment à l’existence de «contacts politiques entre Algériens et Marocains pour baliser le terrain en vue de la mise en place du mécanisme proposé par Mohammed VI». «Mais il n’en est rien», ont affirmé des sources bien au fait du dossier. Ces dernières tiennent également à rappeler que même la tentative du PJD (Parti pour la justice et le développement) marocain a échoué.
Le 10 novembre dernier, ce dernier avait publié un communiqué annonçant que des formations politiques marocaines allaient entreprendre une visite auprès de la classe politique algérienne pour des discussions sur le sujet.
Un refus catégorique a été signifié par de nombreux chefs de partis algériens, y compris ceux de la mouvance islamiste.
A. C.
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Le mouvement Nahda prépare-t-il sa «mue» pour un nouveau cap en se mettant dans le giron du pouvoir et ainsi abandonner l’opposition comme l’a fait son frère-ennemi de mouvance, El Islah ?
M. Kebci – Alger (Le Soir) – La résolution politique adoptée par les participants au sixième congrès du mouvement tenu le week-end dernier laisse penser, par certains de ses passages, une «velléité» de rompre avec l’opposition pour rejoindre le camp de l’allégeance comme vient de le faire son frère ennemi de mouvance, El Islah, qui, après avoir été au sein de l’Instance de suivi et de coordination issue de la fameuse conférence de l’opposition de Mazafran, a opéré une profonde mue pour adopter, au final, la continuité, appelant le président de la République à poursuivre sa mission.
«Nous appelons le pouvoir à revoir ses comportements et ses attitudes tout comme nous exhortons l’opposition à adopter un discours plus rationnel qui permettra un climat serein et un confort intellectuel pour la société en butte à de sérieux problèmes et à de terribles tensions, ce qui n’a fait qu’encourager son désespoir et sa démission de la pratique politique», pouvons-nous lire dans cette résolution finale. Ce qui est interprété par certains comme l’«amorce» d’un changement dans la ligne politique du mouvement, allant jusqu’à y voir le premier pas vers un rapprochement avec la périphérie du pouvoir.
Une «perspective» que récuse le secrétaire général sortant du mouvement. «Les congressistes n’ont fait que reprendre ce à quoi nous n’avons cessé d’appeler depuis quelque temps pour dépasser le blocage et le statu quo dans lesquels est plongé le pays», affirmait, hier, Mohamed Dhouibi.
Excluant toute tentation de «changement de camp», notre interlocuteur soutient que Nahda est un mouvement de militants convaincus et dont le discours, l’attitude et l’engagement quotidien ne courent que l’intérêt suprême du pays et pas ceux personnels étroits». Ce qui semble constituer une «flèche» lancée contre la direction du mouvement El Islah qui a opéré récemment un revirement spectaculaire dans ses positions.
Dhouibi, qui dit «demeurer militant du mouvement indépendamment de la position», n’exclut pas l’idée de se présenter à sa propre succession lors de la prochaine réunion des 165 membres du conseil consultatif national du parti issus du dernier congrès. Des membres qui, en conformité avec les amendements apportés aux statuts du mouvement, ont été élus au prorata du nombre des congressistes de chaque wilaya, qui obéit, lui, à la force organique locale. Jusqu’ici, la composante de cette instance légiférant entre deux congrès était élue sur la base d’une liste commune.
M. K.
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J. Boukraa
Les services de la wilaya d’Oran ont procédé durant la matinée de dimanche à la démolition de constructions et extensions illicites érigées dans la cour des immeubles du quartier El Makkari. Selon un bulletin de la cellule de communication de la wilaya d’Oran, après avoir été informé de la situation, on a dépêché sur les lieux des représentants de la cellule technique du cabinet, accompagnés du directeur de l’annexe du secteur urbain El Makkari, pour un constat de visu. «Après avoir constaté des infractions sur les lieux, le wali d’Oran a donné instruction pour l’éradication de ces constructions et extension », lit on dans ce communiqué. Par ailleurs, les services de la wilaya affirment qu’«ils se réservent le droit d’ester en justice toutes les personnes impliquées dans ces infractions qui menacent la sécurité des citoyens et défigure le tissu urbain ». En dépit de toutes les lois l’interdisant, l’urbanisation illicite se poursuit dans la wilaya d’Oran. Dans le cadre de la lutte contre toutes les formes de dépassement dans ce domaine, il y a quelques mois, une vingtaine de locataires ayant entrepris des transformations qui ont touché l’intérieur et les parties extérieures des appartements ont été mis en demeure par les services concernés -à leur tête les services communaux- en collaboration avec la police de l’urbanisme. Les locataires avaient effectué des modifications ou des aménagements sans autorisation. Un délai leur a été accordé pour la remise en l’état initial de leurs logements. Une fois le délai expiré les dossiers devraient être transférés en justice. A ce titre, il faut signaler que beaucoup de caves d’immeubles, notamment dans les cités qui ont vu le jour durant les années 80, sont occupées illicitement par des familles qui y habitent ou par des particuliers qui y ont établi des commerces, voire des ateliers, souvent clandestinement. Ces derniers jours, plusieurs extensions illicites ont vu le jour dans la commune d’Ain El-Turck, Hai Essabah, Yaghmoracen Le but de ces modifications est évidemment de réaliser une terrasse, un garage ou carrément pour avoir un accès individuel. Ces modifications, illégales, se font sans la moindre intervention des services concernés. Des habitants ont squatté carrément l’espace public, une situation qui peut se généraliser à d’autres logements sans l’intervention de l’APC. Chacun tente de s’approprier une parcelle, assuré que son voisin, qui l’a déjà fait il y a quelques années, n’a jamais été inquiété ! Et c’est la course des propriétaires des rez-de-chaussée pour confisquer les terrains alentours ou les concavités des immeubles pour y construire garages ou cours.The post Les contrevenants traduits en justice: Démolition de constructions érigées dans les cours des immeubles à El Makkari appeared first on .
Ali Chabana
La ligne 17 de transport public, desservant la rocade et 10 autres quartiers du chef-lieu reste suspendue jusqu’à nouvel ordre. C’est la décision prise par la direction de l’entreprise publique de transport urbain de Tébessa. Pour beaucoup d’usagers la situation est très embarrassante et perdure depuis deux mois. Les actes de vandalisme ont entraîné l’incendie d’un bus de l’entreprise, un moyen de transport évalué à quelque 30 millions dinars. Conséquence, le retour à la normale risque de prendre encore du temps, d’autant que le directeur de l’entreprise attend que l’affaire soit réglée avec sérieux. C’était dans les mêmes conditions presque qu’un premier bus avait été incendié au quartier El Djorf il y a 5 ans déjà. Le directeur se dit conscient de la situation des usagers, quand on connaît les difficultés de transport dans ces quartiers périphériques, notamment les personnes âgées souvent sans ressources et les écoliers tenus à rejoindre leurs établissements éducatifs dans le temps. Les usagers eux aussi, très pénalisés, sont dans l’expectative, d’autant que les transporteurs privés font dans la surenchère et profitent de l’aubaine.The post Une ligne de transport suspendue pose problème appeared first on .
Tayeb Zgaoula
«Le diabète concerne chaque famille» et pourriez-vous le prévenir dans la votre ? ce sont là le thème et le slogan des travaux développés par les spécialistes en diabétologie et membres des associations lors de l’inauguration de cette campagne de sensibilisation lancée samedi par le wali Mezhoud Toufik à partir du cours de la révolution, en présence du DSP, Mr Damache, l’ambassadrice du Danemark, la représentante du ministère de la Santé, Djamila Nadir Zirou, les autorités locales et cadres de la santé.Dans son allocution de bienvenue, le DSP de Annaba a exprimé ses remerciements au ministère pour le renforcement du centre polyclinique de Larbi Krouf par les nouveaux équipements, tout en appelant la société annabie à se faire dépister. Le wali a souligné, quant à lui, la nécessité du dépistage précoce et les gros moyens consentis par l’Etat pour ces campagnes. Malheureusement, dira-t-il, 10% de la population est touchée. Dans son intervention, la représentante du ministère, Dr Nadir, a expliqué que cette pathologie est la plus répandue dans le monde avec 425 millions de cas en 2017. En Algérie on estime aujourd’hui à 1,7 million le nombre de diabétiques. Enfin dans leurs différentes communications, les conférenciers ont souligné l’importance de la prévention et de la détection précoce de la pathologie pour une meilleure prise en charge.
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S. M.
La remise des clefs des 4.100 logements location-vente du programme AADL 2 prévue le 11 décembre prochain aura-t-elle lieu ? La question tourmente les souscripteurs concernés par cette opération en raison du retard «injustifié» pour l’ouverture du site officiel de l’Agence d’amélioration et de développement du logement pour le retrait des ordres de versement des troisième et quatrième tranches de l’apport personnel du prix du logement. Les procédures administratives pour l’attribution des 4.100 unités location-vente, qui sont éparpillées sur plusieurs sites à Aïn El Beïda et à Es-Senia, n’ont pas été entamées à ce jour par la direction locale de cette agence ce qui soulève une vague de panique parmi les souscripteurs concernés.Le mécontentement général des souscripteurs risque de déborder dans les jours à venir dans la rue. Des voix s’élèvent parmi les concernés pour organiser un sit-in devant la direction régionale de l’AADL surtout que les logements en question devaient être attribués initialement le 1er novembre en cours avant que la cérémonie soit reportée le 10 novembre puis le 11 décembre prochain. Le report de la remise des clefs a été justifié par les lenteurs des travaux de voies et réseaux divers et ceux de raccordement des appartements au gaz de ville et au réseau AEP. Sur les 4.100 unités, seuls 2.400 logements sont totalement achevés, alors que les 1.700 autres unités affichent un taux d’avancement de 90%. Dans certains chantiers à l’exemple des sites 355/328/322, les travaux ne devront être finalisés que dans quinze jours, selon des estimations optimistes.
Des délégués des souscripteurs s’étaient déplacés à Alger récemment pour s’enquérir de l’état d’avancement des traitements des dossiers des futurs bénéficiaires, mais ils sont rentrés bredouilles. Le chef de l’exécutif local a également contacté la direction générale de l’AADL pour accélérer les procédures de retrait des ordres de versement des troisième et quatrième tranches du prix des logements, cependant rien n’a été fait dans ce sens. Des promesses ont été certes données pour l’ouverture du site officiel de l’agence avant la fin du mois en cours, mais pour de nombreux souscripteurs l’atermoiement dans le versement des dernières tranches de l’apport personnel aura des répercussions sur les dates de remise des clefs. Les souscripteurs redoutent en effet que la cérémonie d’attribution des 4.100 logements ne se réduise à une remise symbolique des clefs.
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K. Assia
Un important lot de produits pyrotechniques soit une quantité de 83 812 unités de pétards et de feux d’artifice ont été saisis par les services de la sûreté de la wilaya d’Oran à la suite d’une campagne de lutte contre la commercialisation de ces produits prohibés. Cette opération a été menée dans plusieurs quartiers à l’exemple de Hai En Nour, Ibn Sina, Hai Belgaid et la localité de Hassiane Ettoual. Cinq personnes âgées entre 30 et 40 ans ont été arrêtées dans le cadre de cette affaire, ont indiqué, hier des sources policières pour détention et commercialisation de produits dangereux et prohibés. Plusieurs cas d’accidents notamment des brulures parfois graves et même des incendies ont été occasionnés par l’explosion de ces produits.The post Plus de 80.000 pétards saisis appeared first on .
K. Assia
La gestion de l’ascenseur électrique reliant la gare maritime au boulevard de l’ALN (ex-Front de mer) de la ville d’Oran a été confiée à l’Entreprise des transports urbains de la wilaya d’Oran (ETO), a-t-on appris hier auprès de M. Berber, directeur général de l’ETO. Cette décision vient en application des directives du wali d’Oran de sorte qu’un dispositif de maintenance sera mis en place afin d’assurer la maintenance et l’entretien de cet équipement qui vient à point nommé améliorer l’accès et surtout s’inscrire dans le cadre de la modernisation des infrastructures.Dans ce registre, on saura que cet ascenseur électrique sera inauguré le 11 décembre prochain, un véritable acquis qui va améliorer et faciliter l’accès au profit des voyageurs citoyens, et autres usagers parmi les travailleurs de cette infrastructure portuaire au port d’Oran et vers la ville. Ce moyen de transport moderne, situé dans le voisinage immédiat du port d’Oran et très attendu par la population, sera doté d’autres écrans tactiles qui renseigneront sur le déplacement, les délais d’attente et autres informations utiles pour aider les usagers sur un certain nombre d’itinéraires et moyens de transport à utiliser, a ajouté le même responsable. Il indique que la réalisation de cet équipement d’excellence et d’autres équipements ne pourra que renforcer l’attractivité en matière touristique de la ville d’Oran qui attend des rendez-vous internationaux dont les Jeux méditerranéens de 2021, citant à titre d’exemple la dotation en perspective des écrans tactiles au niveau des stations des bus qui renseignent sur le temps d’attente et l’arrivée des bus et ce pour améliorer les conditions d’attente. L’opération de modernisation des stations de bus est inscrite à l’actif de l’ETO en partenariat avec une société slovène, a-t-on signalé de même source.
Pour rappel, la mise en service de l’ascenseur du port d’Oran devait avoir lieu le 5 juillet dernier avant d’être reportée pour la journée du 11 décembre prochain.
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Rachid Boutlelis
La grande majorité des rues et des boulevards du chef-lieu de la daïra se transforment au fil des jours et en l’absence d’une opération de restauration en de véritables pistes de montagne. Leur déplorable dégradation, synonyme de la déperdition du cadre de vie, va en effet crescendo au fil des jours sans pour autant susciter une quelconque réaction à même d’arrêter le massacre. Au moindre crachin, les carences sont mises à nu dans les rues et boulevards où le peu de ce qui reste des trottoirs est squatté par des établissements de commerce où certains gérants n’ont pas hésité à opérer des extensions illicites. En effet, en plus de cette flagrante transgression, qui semble avoir encore de beaux jours devant elle, les chaussées défoncées, tapissées de nids-de-poule et de crevasses, impraticables par endroits et les crevasses abandonnées par des sociétés sous-traitantes, exaspèrent grandement la population, notamment les usagers. Ce piteux constat, qui est à l’origine d’un nombre indéterminé d’accidents de la circulation, est également relevé sur les routes à grande vitesse, à l’exemple de la double voie longeant partiellement ladite municipalité. Sur cet important tronçon, les crevasses obligent les automobilistes à freiner brusquement et ce, avec tous les dangers que peut provoquer cette manœuvre. Ce déplorable état de fait est additionné avec le phénomène des ralentisseurs hors normes et autres cordages, devenus un cauchemar pour les usagers, qui a pris de proportions démesurées, notamment dans les quartiers essaimés à travers cette municipalité. « A moins que nos responsables ne se déplacent par la voie aérienne, ils ne peuvent pas ignorer cette infraction. Nous souhaitons beaucoup qu’ils se réveillent de leur hibernation et tenter de sauver le peu de qui reste des meubles » a ironisé un automobiliste du village de Cap Falcon où les rues ressemblent à des pistes carrossables. Toujours est-il qu’un grand nombre d’automobilistes abordés à ce sujet, par le Quotidien d’Oran, ont dénoncé de qu’ils ont qualifié « de laisser faire, qui porte préjudice aux biens d’autrui ». A ce triste état de fait s’ajoute encore les chaussées détériorées par des travaux. La chaussée de la rue Melinnette constitue un exemple parfait en termes de dégradation. Le massacre, qui ne semble à priori pas encore près de cesser, est vivement dénoncé par les usagers notamment, qui se plaignent des gros dommages causés à leurs véhicules. Notons que des riverains de la localité de Saint Germain, domiciliés rue d’Oran et ses trois ruelles transversales ne cessent de revendiquer le lancement de la deuxième tranche des travaux des chaussées de leur lieu de résidence. Les mêmes revendications sont formulées par les habitants de la rue du Maghreb qui débute à hauteur de l’esplanade du 1er Novembre 1954 pour s’achever à la limite du quartier Saint Maurice, en plein cœur de la municipalité d’Aïn El Turck. Ces rues ont, en effet, fait l’objet prés de cinq mois auparavant d’une opération de décapage dans le but d’être restaurées, avant que les travaux ne soient subitement suspendus. Une opération de réfection, avait été lancée avant d’être suspendue dans ces ruelles, sur une distance globale s’étendant sur 1,100 kilomètre.The post Aïn El Turck: Les usagers exaspérés par la dégradation de la voirie appeared first on .
K. Assia
Une étude des marché de fruits et légumes a été lancée, avant-hier, par la direction régionale du Commerce d’Oran, à travers les 5 wilayas qu’elle coiffe : Sidi Bel-Abbès, Mostaganem, Ain Témouchent et Tlemcen a-t-on appris, hier, auprès de M. Ettayeb directeur régional du Commerce d’Oran. Cette étude, qui repose également sur une campagne d’information et de sensibilisation, vient en application des directives du ministre du Commerce. Elle vise tous les intervenants dans le marché des fruits et légumes, entre commerçants de gros, mandataires, détaillants, commerçants de marchés de proximité et même ambulants et porte sur le respect de l’obligation de l’affichage des prix, tel qu’édicté par la loi. Cette action est lancée au niveau national, a noté le responsable précisant qu’elle mobilise, depuis dimanche, plusieurs brigades qui sillonnent tous les marchés de fruits et légumes, avec pour objectif inciter les commerçants à afficher les prix des fruits et légumes. Par ailleurs, le second volet de cette campagne est aussi de s’intéresser, de près, à l’opacité en matière de transactions commerciales autrement dit connaître comment se font les transactions depuis le marché de gros, en passant par le détaillant jusqu’au consommateur. Il est question, donc, de déterminer la traçabilité du produit, veiller aussi au respect de la transparence de la transaction et connaître, par la même, si toutes les procédures réglementaires sont respectées, à savoir : la facturation entre autres. Autant d’éléments qui permettront aux inspecteurs du Commerce d’identifier le circuit et également de mettre en exergue tous les facteurs qui ont conduit à cette hausse des prix. Lors d’une réunion, tenue la semaine dernière, avec l’ensemble des directeurs régionaux, le ministre du Commerce M. Djellab a mis en avant la nécessité de désigner des équipes de contrôle qui doivent s’assurer que les commerçants affichent les vrais prix et suivre la traçabilité des produits agricoles, des marchés de gros aux marchés de détail, pour mettre un terme aux intermédiaires. Il a chargé ses services de déterminer les causes qui sont à l’origine de la hausse des prix, abstraction faite des explications liées à cette période de l’année appelée « période de soudure », étant en dehors de la phase plateau de production. Les prix connaîtront une baisse sensible après la récolte de la nouvelle production des serres. Le département ministériel œuvre, actuellement, sur trois fronts pour rééquilibrer les marchés, contribuer à la rationalisation des prix et éviter la spéculation (marchés de gros, marchés de détail et système de régulation).The post Pour identifier les facteurs à l’origine de la hausse des prix: Une étude des marchés de fruits et légumes lancée appeared first on .