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Le nouveau Programme indicatif nucléaire, mis à jour pour la première fois en huit ans, est également l'occasion d'évaluer les défis auxquels est confronté le secteur nucléaire européen.

Maroš Šefčovič a réitéré l'engagement de l'UE à supprimer les droits de douane sur les produits industriels et a suggéré que Bruxelles pourrait également abolir les « barrières non tarifaires » au commerce transatlantique.

Une réserve stratégique d'uranium sera créée pour soutenir les centrales nucléaires, en tirant parti de la position mondiale du Kazakhstan en tant que plus grand producteur d'uranium, qui détient 14 % des réserves mondiales d'uranium.

Selon le Financial Times, les nouvelles directives à l'intention du personnel de la Commission européenne se rendant aux États-Unis reprennent celles qui s'appliquent à la Chine ou à l'Ukraine.

« Avant de rouvrir la législation, nous avons besoin de garanties de la part du PPE sur la manière dont ils envisagent d'aborder la question », a déclaré un eurodéputé du Renew à Euractiv.

« Si nous étions en guerre, ces sujets n'auraient plus lieu d'être », a-t-il déclaré le PDG d'Eurenco.

Pour les eurodéputés de différents groupes politiques, la Commission a le devoir d'agir, car la vague d'abattage d'ours annoncée par la Slovaquie est considérée comme une violation de la directive européenne  « Habitats ».

Les ministres des Affaires étrangères de l'UE devraient discuter à nouveau du plan actualisé de Kaja Kallas lundi, en mettant l'accent sur les munitions.

Le Royaume-Uni et la France entendent accélérer la planification opérationnelle de la « force de réassurance » européenne qui pourrait être déployée en Ukraine après un éventuel cessez-le-feu, mais l'absence de soutien des États-Unis ne plaide pas pour la viabilité du projet.

Les asperges blanches sont certainement le légume préféré des Allemands, mais ce petit plaisir du printemps pourrait bientôt ne plus être réservé qu'à une élite, face aux augmentations des coûts de la main-d'oeuvre et à la multiplication des importations.

L'Union européenne (UE) continue de former les soldats de sa « force de réaction aux crises », pour de possibles interventions au-delà des frontières européennes, mais tout action de ce contingent demandra un consensus politique difficile à trouver.

À la suite d'une attaque mortelle survenue il y a quelques jours, le gouvernement envisage d'abattre un tiers des ours de Slovaquie, une décision critiquée par les associations de défense de l'environnement.

Il est également peu probable que la Commission publie des lignes directrices sur l'accès au territoire en 2025.

Bruxelles « reste déterminée à mener des négociations constructives » avec Washington pour réduire les barrières commerciales, a déclaré Ursula von der Leyen.

« Nous voulons aider les gens à rentrer chez eux, mais nous voulons nous assurer qu'ils le font en toute sécurité », a déclaré le chef de l'Organisation internationale pour les migrations de l'ONU dans une interview accordée à Euractiv.

Friedrich Merz, qui pourrait devenir chancelier en mai, avait déclaré que les droits de douane américains et le bouleversement des marchés rendaient un accord de coalition encore plus urgent.

Bruxelles envisage également d'autres contre-mesures en réponse au protectionnisme américain.

Les ONG du continent européen ont reçu 7 milliards d'euros de subventions de l'Union entre 2021 et 2023, mais ces financements manquent de transparence, conclut un nouveau rapport des auditeurs de Bruxelles.

Les droits de douane imposés par Donald Trump aux partenaires commerciaux des États-Unis ont mis l'Union européenne (UE) dans une « situation délicate », a déclaré mardi la Commission européenne, qui a souligne que ses relations avec Washington se détérioraient.

Plus de deux ans après la destruction des gazoducs de Nord Stream, ces derniers pourraient-ils être remis en service pour de nouveau inonder l'Europe de gaz russe ? C'est en tout cas une hypothèse qui commence à circuler, en cas d'accord de paix entre Kyiv et Moscou.