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Union européenne

Merkel empêtrée dans une crise politique en Allemagne

Euractiv.fr - Mon, 07/02/2018 - 10:14
Angela Merkel et l’aile la plus à droite de sa coalition gouvernementale se réunissent lundi pour une ultime tentative de résoudre un conflit sur les migrants qui menace de faire tomber le gouvernement allemand.
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La Thaïlande, nouvelle poubelle de l’électronique occidentale

Euractiv.fr - Mon, 07/02/2018 - 09:50
Depuis que la Chine a interdit l’importation des déchets plastiques en janvier, la Thaïlande est devenue l’un des plus importants dépotoirs de déchets électroniques issus des pays développés. Un article de notre partenaire, le Journal de l'environnement
Categories: Union européenne

La commission des affaires européennes voudrait profiter de la réforme constitutionnelle

Euractiv.fr - Mon, 07/02/2018 - 09:02
À l’occasion de l’examen du projet de réforme constitutionnelle, les députés français ont rejeté un amendement visant à rendre la commission des affaires européennes permanente. Une occasion manquée pour renforcer son influence.  
Categories: Union européenne

Les 28 repoussent la finalisation de l’union bancaire

Euractiv.fr - Mon, 07/02/2018 - 08:56
Ils avaient promis de faire bouger les réformes de la zone euro en juin, pourtant les dirigeants de l’UE ont reporté jusqu’en décembre un accord à ce sujet.
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La démocratie européenne est en manque de ses citoyens

Euractiv.fr - Mon, 07/02/2018 - 08:25
Le recul dramatique des valeurs fondatrices de l'UE, comme la solidarité, la tolérance, le respect de la diversité est une menace. La révision de l'initiative citoyenne européenne cette semaine au Parlement doit donner plus de voix aux citoyens, et non pas moins.
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Langue de béton à la Commission

Coulisses de Bruxelles - Sat, 06/30/2018 - 14:04

Margaritis Schinas, le porte-parole de la Commission

Le torchon brûle depuis plusieurs mois entre les médias et la Commission européenne. Les incidents en salle de presse, lors du point de presse quotidien organisé à midi par la Commission, sont de plus en plus fréquents au point qu’on peut parler de guerre ouverte.

Le dernier en date remonte au 15 juin. Interrogé sur la volonté du ministre allemand de l’Intérieur, Horst Seehofer, de renvoyer dans le pays de première entrée dans l’Union les demandeurs d’asile se présentant aux frontières allemandes, le porte-parole en titre de la Commission, le Grec Margaritis Schinas, s’est contenté de lire l’article 13 du Règlement de Dublin : « s’il est établi que le demandeur a franchi irrégulièrement, par voie terrestre, maritime ou aérienne, la frontière d’un État membre dans lequel il est entré en venant d’un État tiers, cet État membre est responsable de l’examen de la demande de protection internationale. Cette responsabilité prend fin douze mois après la date du franchissement irrégulier de la frontière ». Ce qui n’est évidemment qu’une réponse très partielle. Pressé de questions, Schinas s’est contenté de répondre qu’il avait déjà répondu...

Un journaliste italien, Lorenzo Consoli, a alors laissé éclater sa colère avant de quitter la salle de presse : « on vous paie pour quoi ? Vous n’apportez aucune réponse. Vous devez nous répondre, vous êtes la Commission. Nous vous demandons ce que signifie l’article 13, bon sang ! (…) Si vous avez peur de répondre parce que vous avez peur de l’Allemagne, vous ne pouvez pas être le porte-parole de la Commission. Qu’est-ce vous foutez ici ! » Réponse agacée de Schinas : « nous apprécions que vous partagiez votre état d’esprit avec nous. J’ai lu l’article 13, vous êtes libre de l’interpréter dans le contexte qui vous convient le mieux, mais je ne le ferais pas ici ». Un comble pour une institution qui est justement chargée de veiller au respect du droit européen. L’affaire ne s’est pas arrêtée là, d’autres journalistes prenant alors le relais contre ce refus de répondre « à des questions légitimes ». C’était tellement spectaculaire que Brut en a fait une vidéo...

Les incidents ont été nombreux ces derniers mois. Ainsi pendant toute la durée de l’affaire Selmayr, la nomination contestée du chef de cabinet de Jean-Claude Juncker, le président de la Commission, au poste de secrétaire général, les porte-paroles ont soit refusé de répondre, soit ont sciemment menti. Pour ma part, je me suis fait traiter de « Robespierre » pour avoir osé insister (les vidéos de mes affrontements avec la Commission ont circulé sur Twitter). Au quotidien, la politique de communication est devenue un enfer pour les journalistes, celle-ci ayant à cœur de rendre le plus difficile possible leur travail. Parmi ses méthodes favorites : multiplier les annonces le même jour ou la même semaine pour empêcher les médias de toutes les traiter, distribuer les documents au dernier moment, et de préférence uniquement en anglais, pour que les journalistes ne puissent pas poser les bonnes questions. Le but ? Les contraindre à reprendre le « storytelling » de la Commission.

Le grand ordonnateur de cette politique de « communication » n’est autre que Martin Selmayr, l’âme damnée de Juncker et ci-devant secrétaire-général-chef de cabinet-sherpa. Car tout ce qui se dit en salle de presse doit recevoir l’aval de l’omnipotent Allemand. Il n’hésite pas à envoyer des SMS aux porte-paroles durant le point de presse pour leur dire que répondre aux questions embarrassantes… Et comme c’est un adepte de la langue de béton et du mensonge, le résultat est un exercice digne d’une conférence de presse de Brejnev. L’Association de la presse internationale (API) a rencontré Schinas cette semaine pour se plaindre de ces mauvaise méthodes. La réponse en substance: «nous sommes le meilleur service du porte-parole de l’univers connu, Lorenzo Consoli veut juste faire du Buzz et Quatremer règle des comptes personnels» (lesquels? Mystère). Bref, circuler, il n’y a rien à voir, rien à entendre, rien à dire.

Mais les mauvaises méthodes n’ont qu’un temps : la dernière année du mandat de Juncker s’annonce comme une lente, mais méthodique, descente aux enfers avec plus de 1000 journalistes accrédités lassés d’être ainsi maltraités.

N.B.: sur le même sujet, lisez le papier de mon confrère de Contexte, Jean-Sébastien Lefebvre.

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Le rêve européen de Macron vire au tour de vis sécuritaire

Euractiv.fr - Fri, 06/29/2018 - 17:34
Le rêve européen d’Emmanuel Macron s’est heurté à un mur d'enjeux politiques nationaux lors du Conseil européen. La droitisation de l'agenda européen contrarie les réformes de fond.
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Des «centres contrôlés» pour migrants pour ne pas dire hotspots

Euractiv.fr - Fri, 06/29/2018 - 15:20
L’idée de centres contrôlés pour migrants proposée dans les conclusions du Conseil européen rappelle singulièrement les hotspots de 2015.    
Categories: Union européenne

Video : un café avec Ska Keller

Euractiv.fr - Fri, 06/29/2018 - 15:12
Ska Keller, co-présidente des Verts au Parlement européen a rencontré Brian Maguire, journaliste pour Euractiv autour d'un café pour parler du chômage des jeunes, de la crise migratoire et de la situation catalane.
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Les chefs d’État s’accordent sur un projet de réforme de l’OMC

Euractiv.fr - Fri, 06/29/2018 - 11:42
Les dirigeants européens se sont accordés « en substance » sur une série de propositions pour améliorer l’Organisation mondiale du commerce. Objectif : apaiser les tensions commerciales avec Donald Trump.
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96/2018 : 29 juin 2018 - Informations

Cour de Justice de l'UE (Nouvelles) - Fri, 06/29/2018 - 11:22
À partir du 1er juillet 2018, les affaires préjudicielles impliquant des personnes physiques seront anonymisées

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Sánchez et Conte, deux nouveaux venus très différents au Conseil européen

Euractiv.fr - Fri, 06/29/2018 - 11:15
L'Espagnol Pedro Sánchez et l'Italien Giuseppe Conte, fraichement nommés sont les petits nouveaux du Conseil européen. Si Sánchez joue la carte de l'Europe, son homologue italien donne des migraines à Bruxelles.  
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Le psychodrame européen sur la migration se termine par un accord

Euractiv.fr - Fri, 06/29/2018 - 10:09
Après de longues tractations nocturnes, perturbées par la détermination du président du Conseil italien, les dirigeants européens ont fini par conclure un accord sur l’immigration vendredi à Bruxelles.
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Un opposant hongrois demande à l’UE de ne pas financer Orbán

Euractiv.fr - Fri, 06/29/2018 - 10:00
Un des leaders les plus visibles de l’opposition hongroise, Gergely Karácsony, demande à l’UE de cesser de financer les politiques eurosceptiques et populistes du Premier ministre Viktor Orbán avec des fonds européens. Un article de notre partenaire, Euroefe.  
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Les Pays-Bas se dotent d’une loi de décarbonation

Euractiv.fr - Fri, 06/29/2018 - 09:58
Massivement dépendant des énergies fossiles, le secteur électrique devra être neutre en carbone en trois décennies. Un article de notre partenaire, le Journal de l'environnement
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Coupe du monde en Russie : des retombées économiques limitées

Euractiv.fr - Fri, 06/29/2018 - 09:58
La Russie va accueillir pas moins de 600.000 visiteurs étrangers pendant la Coupe du Monde, selon les organisateurs, voire jusqu’à un million selon l’agence fédérale du Tourisme. Un nombre  bien en deçà des 1,6 million de visiteurs venus pour les JO de Sotchi en 2014. Un article de notre partenaire, La Tribune
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L'Union à 27 entre fragmentation et différenciation

Coulisses de Bruxelles - Fri, 06/29/2018 - 00:30

C’est un pugilat annoncé : les 28 chefs d’État et de gouvernement de l’Union qui se retrouvent aujourd’hui et demain à Bruxelles pour leur sommet d’été ne sont en effet d’accord sur aucun des sujets inscrits à l’agenda : la gestion des migrations, bien sûr, champs de bataille imposés par l’extrême-droite italienne et la droite radicale allemande, mais aussi le cadre financier pluriannuel 2021-2027, l’approfondissement de la zone euro ou la défense européenne. Une nouvelle fois, l’Europe apparaît profondément divisée et partant instable et faible alors que l’isolationnisme américain la laisse orpheline sur la scène mondiale. Au fond, les chefs d’État et de gouvernement sont confrontés à une question simple à laquelle ils vont devoir répondre dans les prochains mois : veulent-ils poursuivre l’aventure communautaire et bâtir une « Europe puissance » et « souveraine » comme le souhaite Emmanuel Macron ? Ou le temps du repli national est-il venu ?

Ordralfabétix

L’état des lieux n’est guère encourageant, l’Union donnant un spectacle qui évoque le village d’Asterix après une remarque malencontreuse sur l’odeur dégagée par le poisson d’Ordralfabétix… C’est le dossier des migrants qui a fait exploser la marmite, alors même que la crise migratoire de 2015 est terminée, le nombre d’entrées illégales dans l’Union ne dépassant 50 000 personnes au premier semestre 2018, avec une chute de près de 80 % en Italie. Mais qu’importe : Matteo Salvini, le ministre de l’Intérieur italien de la Ligue, a saisi l’occasion que lui offrait l’Aquarius et ses 630 rescapés pour donner un coup de menton que son opinion publique a fortement apprécié. La crise s’est envenimée lorsque Horst Seehofer, le ministre de l’intérieur membre de la CSU, l’aile bavaroise très à droite de la CDU, a menacé de renvoyer unilatéralement vers l’Italie tous les étrangers passés par ses ports… « L’Union se retrouve otage de deux débats de politique intérieure », analyse-t-on à l’Élysée. Certes, comme on le reconnaît à Paris, il y a « un sujet migratoire, puisque la pression continuera, que les opinions publiques ont l’impression que les arrivées sont massives et qu’il y a des « mouvements secondaires », c’est-à-dire des étrangers qui passent d’un pays à l’autre pour y chercher un statut ».

Mais, la réalité de la crise qu’affronte l’Union est ailleurs, poursuit-on dans l’entourage du chef de l’État, la question migratoire n’étant que l’acmé d’une « crise politique » plus profonde opposant « démocraties illibérales » ou « démocrature » et démocraties libérales, comme le reconnaît désormais le chef de l’État français. La chute du communisme, en 1989-1990, n’a pas marqué la conversion miracle des anciennes « démocraties populaires » aux vertus de la démocratie et de l’économie de marché contrairement à ce que l’on prévoyait. La plupart des pays de l’Est (hormis les Baltes) ont choisi un autre modèle, celui d’un pouvoir autoritaire fort, mais élu, qui n’hésite pas à remettre en cause les valeurs fondatrices de l’Union, que ce soit l’État de droit, le respect des droits de l’homme et des minorités, l’égalité, la tolérance, la non-discrimination, la solidarité… On le voit sur le plan intérieur, mais aussi sur le plan européen, ces pays rechignant à respecter la norme de droit et revendiquant une solidarité à sens unique, c’est-à-dire à leur profit exclusif. Ainsi la Pologne, la Hongrie, la Slovaquie ou encore la Tchéquie (le groupe de Visegrad) ont refusé d’accueillir le moindre demandeur d’asile sur leur sol, au nom de la défense de leur pureté ethnique et religieuse, alors que le règlement communautaire de 2016 prévoyant la relocalisation de 160.000 d’entres eux les y obligeait.

La lèpre gagne

Le problème, pour l’Union, est que la « lèpre » populiste, pour reprendre le mot du chef de l’État français, a gagné l’Europe de l’Ouest, l’Autriche et l’Italie ayant même intégré l’extrême-droite dans leur gouvernement en n’hésitant pas à lui confier les clefs de leur ministère de l’intérieur respectif. Pire : en Allemagne, jusque-là bastion réputé imprenable de la démocratie libérale, la CSU a entamé une rapide dérive vers l’extrême-droite de peur de se faire tailler des croupières par l’extrême droite de l’AfD qui a percé aux élections législatives de 2017 sur une thématique xénophobe. Et vu la situation intérieure en France, en Belgique, aux Pays-Bas et dans les pays nordiques, personne ne peut exclure que la « lèpre » gagne une majorité de pays européens. Autant dire que l’Union est confrontée à un défi existentiel, ces forces illibérales étant par essence nationaliste et donc allergique à tout partage de souveraineté.

Mais cette fracture en recouvre bien d’autres, ce qui ne facilite pas la lisibilité des affrontements en cours. Ainsi, les nationalistes sont loin d’être unis. Entre la Ligue qui réclame la solidarité de ses partenaires pour se répartir le fardeau des migrants et les partis frères, au pouvoir ou non, qui ne veulent pas en entendre parler, il n’y a aucune entente possible. Si Horst Seehofer obtient le renvoi des irréguliers en Italie, il va plaire à l’AdfD ou au Fidesz hongrois, pas à la Ligue. De même, la question de la solidarité financière oppose les contributeurs nets au budget européen qui se trouvent tous à l’Ouest aux bénéficiaires nets. Les premiers, parmi lesquels l’Autriche ou la droite de la droite allemande, veulent que le budget diminue pour ne pas avoir à supporter l’impact du Brexit, alors que ceux qui en bénéficient, pour l’essentiel les démocratures d’Europe de l’Est, refusent que les riches mégotent leur soutien, soutien qu’ils refusent pourtant sur le plan migratoire…

Uni dans l’adversité

À vrai dire, les contributeurs nets sont eux-mêmes divisés : la France, mais aussi les pays d’Europe du sud, sont prêts à verser davantage au budget pour financer de nouvelles politiques européennes sans couper dans les politiques classiques, une perspective que refusent les Pays-Bas, l’Autriche et les pays nordiques. Cette coalition des égoïstes se retrouve aussi dans l’approfondissement de la zone euro, 10 pays (Pays-Bas, Belgique, Luxembourg, Autriche, Finlande, Malte, Irlande et les Baltes) sur 19 refusant l’idée franco-allemande d’un budget d’investissement qu’en revanche la Slovaquie ou la Slovénie acceptent…

En dépit de ses lignes de fractures qui balafrent l’Union, tel le village d’Astérix face aux Romains, les Européens savent s’unir pour affronter les périls extérieurs. On l’a vu lors de la crise de la zone euro, celle-ci étant sortie singulièrement renforcée, dans des proportions que personne ne croyait possible avant 2010. On l’a vu avec le Brexit : l’Union, non seulement ne s’est pas délitée comme l’espéraient les Brexiteurs, mais elle a présenté un front uni face aux exigences délirantes de Londres. On le voit depuis l’arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche : sur le climat, le commerce, les relations avec l’Iran ou même la défense, les 28 ont non seulement résisté aux États-Unis, mais contre-attaqué à la grande surprise de Washington. « Même sur les migrants, alors que l’Union n’a pas été créée pour s’occuper de ce type de problème, nous avons géré le problème sur le plan extérieur comme le montre le tarissement des arrivées. Notre problème, c’est sur le plan intérieur », note-t-on à l’Élysée. Dans leur relation au monde, tout se passe comme si les Etats avaient conscience qu’ils étaient plus forts unis.

Différenciation

Bref, aux forces centrifuges intérieures répondent des forces centripètes extérieures. « À 27, l’Union est clairement devenue trop hétérogène et dix ans de crise financière ont accru la méfiance entre les États membres », constate un diplomate européen. « Malgré tout, on continue à avancer, mais en formations différenciées, façon puzzle ». L’idée d’une Europe avançant d’un même pas n’est plus défendue que par la Commission qui n’arrive pas à faire son deuil de l’Europe des six… Même l’idée d’un « noyau dur » où un petit groupe de pays, par exemple la zone euro, appliqueraient toutes les politiques européennes n’est plus crédible comme en témoigne l’évolution des Pays-Bas ou de la Belgique qui se classent désormais parmi les eurosceptiques.

« On va vers une forte différenciation, des accords entre les États qui veulent aller plus loin, comme on le fait dans le domaine de la défense », affirme un proche du chef de l’État français : « mais les 27 continueront à évoluer dans un cadre commun afin d’éviter la fragmentation. Ce cadre, ce sont les valeurs européennes, d’où notre action contre la Pologne, et le marché intérieur, d’où notre refus de faire la moindre concession à la Grande-Bretagne ». Une différenciation qui n’est certes pas nouvelle, comme l’ont montré l’espace Schengen, l’euro ou la défense, mais qui va devenir la règle.

N.B.: version longue de l’article paru dans Libération du 28 juin

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Les pays de l’Est pourraient payer pour éviter d’accueillir des réfugiés

Euractiv.fr - Thu, 06/28/2018 - 18:02
Longuement débattue mais autrefois taboue, l'idée de faire payer les pays refusant d'accueillir les réfugiés semble la seule porte de sortie face au blocage de la répartition des migrants.  
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La gaffe d’Oettinger sur l’Italie passée à la loupe

Euractiv.fr - Thu, 06/28/2018 - 12:03
Le commissaire européen au budget, Günther Oettinger, a déclenché une vague d'indignation le mois dernier après avoir suggéré dans une interview que les marchés « apprendraient » aux Italiens comment voter. Euractiv revient sur cette polémique dans le cadre de l’émission « Contre-Faits », en partenariat avec France 24.
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Ska Keller appelle les États membres à suivre le Parlement sur la migration

Euractiv.fr - Thu, 06/28/2018 - 10:35
Avant un sommet crucial de l’UE dédié à la migration, Ska Keller, co-présidente des Verts au Parlement européen, a appelé les États membres à avancer sur les questions de migrations et à s’inspirer de ce qui a déjà été accordé par les eurodéputés.
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