Balkans Occidentaux

mai 15 à 17h - vernissage Ces voix qui m'assiègent... sous le commissariat d'Émilie Goudal et Nataša Petrešin-Bachelez, Galerie - Cité Internationale des arts
mai 16 à 19h - Live documentary performance - Cycle La recherche et ses récits, Le Bal
mai 18-21 - Projections des Non-Alignés et Ciné-Guerrillas, et presentation Faire Parler des archives, Festival Etonnants Voyageurs, St Malo
mai 22 à 18h - rencontre dialogue avec Elaine Mohktefi, MEP
mai 23 à 19h - projection des Non-Alignés, (…)

Plus aucune transaction en dinars n'est autorisée au Kosovo. Lundi, la police a donc fermé six banques dans le nord à majorité serbe, accusées d'« activités illégales ». L'Union européenne et les États-Unis dénoncent de nouveau le manque de dialogue du gouvernement d'Albin Kurti.

Plus aucune transaction en dinars n'est autorisée au Kosovo. Lundi, la police a donc fermé six banques dans le nord à majorité serbe, accusées d'« activités illégales ». L'Union européenne et les États-Unis dénoncent de nouveau le manque de dialogue du gouvernement d'Albin Kurti.

Plus aucune transaction en dinars n'est autorisée au Kosovo. Lundi, la police a donc fermé six banques dans le nord à majorité serbe, accusées d'« activités illégales ». L'Union européenne et les États-Unis dénoncent de nouveau le manque de dialogue du gouvernement d'Albin Kurti.

Le Pacte sur l'immigration et l'asile, voté en avril par le Parlement européen, s'inspire largement des politiques mises en place en Grèce face à l'arrivée massive d'exilés. Et tant pis si elles sont problématiques : l'objectif est de montrer que le problème est réglé, pour freiner l'extrême-droite.

Lourdement détruite pendant la guerre de Bosnie-Herzégovine dans les années 90, l'université Džemal Bijedić, située dans la partie à majorité bosniaque de Mostar, est toujours délabrée. Les rénovations peinent à être mises en place. Les étudiants espèrent des changements.

Lourdement détruite pendant la guerre de Bosnie-Herzégovine dans les années 90, l'université Džemal Bijedić, située dans la partie à majorité bosniaque de Mostar, est toujours délabrée. Les rénovations peinent à être mises en place. Les étudiants espèrent des changements.

Le 22 mai, à 19h, l'invitée de l'Institut culturel bulgare sera l'une des écrivaines bulgares contemporaines les plus intéressantes et atypiques – Zdravka Evtimova. Elle est autrice de plusieurs nouvelles et quatre romans. On détermine son style comme du réalisme mythique, ses personnages sont riches ainsi que ses sujets qui projettent des avant-goûts du futur. Son recueil « Les récits de la lune » qui a été publié à la fin de 2023 comprend vingt histoires, écrites dans les dernières années, (…)

Alors que l'Albanie ne reconnaît toujours pas les unions homosexuelles, deux femmes de la communauté LGBTQI+ ont décidé de faire bouger les lignes en célébrant symboliquement leur mariage sur le parvis de la mairie de Tirana, dimanche 19 mai. Un geste qui a fait grincer des dents parmi les responsables religieux, chrétiens et musulmans.

Alors que l'Albanie ne reconnaît toujours pas les unions homosexuelles, deux femmes de la communauté LGBTQI+ ont décidé de faire bouger les lignes en célébrant symboliquement leur mariage sur le parvis de la mairie de Tirana, dimanche 19 mai. Un geste qui a fait grincer des dents parmi les responsables religieux, chrétiens et musulmans.

La Bulgarie est à nouveau sans gouvernement dans l'attente d'élections anticipées, les sixièmes en trois ans, qui auront lieu le 9 juin, en même temps que les européennes. Mais rien ne devrait changer : le pays reste bloqué par un système judiciaire incapable de s'attaquer à la corruption et une influence russe qui affecte en profondeur l'État.

Alors que l'on célèbre le centenaire de la mort d'Aleksa Šantić, l'importance du message de tolérance du poète n'a rien perdu de son actualité dans une société bosnienne parfois divisée. À Mostar, sa ville natale, sa figure ne laisse personne indifférent et imprègne toujours la vie culturelle locale. Chacun se réclame de son héritage au risque parfois de trahir son message.

Alors que l'on célèbre le centenaire de la mort d'Aleksa Šantić, l'importance du message de tolérance du poète n'a rien perdu de son actualité dans une société bosnienne parfois divisée. À Mostar, sa ville natale, sa figure ne laisse personne indifférent et imprègne toujours la vie culturelle locale. Chacun se réclame de son héritage au risque parfois de trahir son message.

Six ans après la signature de l'accord de Prespa, les gouvernements ont changé à Athènes et Skopje et le dossier du nom constitutionnel de Macédoine du Nord revient sur la table des querelles entre les deux pays, ravivant un conflit qui avait duré près de 30 ans.

Six ans après la signature de l'accord de Prespa, les gouvernements ont changé à Athènes et Skopje et le dossier du nom constitutionnel de Macédoine du Nord revient sur la table des querelles entre les deux pays, ravivant un conflit qui avait duré près de 30 ans.

À Mostar en Bosnie-Herzégovine, il y a deux villes : celle qui attire un million de visiteurs par an et celle qui voit ses jeunes partir. Pour cette dernière, ce n'est pas le nombre démesuré de touristes qui est la cause du départ, c'est souvent le désespoir.

À Mostar en Bosnie-Herzégovine, il y a deux villes : celle qui attire un million de visiteurs par an et celle qui voit ses jeunes partir. Pour cette dernière, ce n'est pas le nombre démesuré de touristes qui est la cause du départ, c'est souvent le désespoir.

La Slovénie s'apprête à reconnaître la souveraineté de la Palestine au nom du droit international. D'où vient cet activisme diplomatique slovène ? Quels seront les effets concrets de cette reconnaissance, alors que l'UE rechigne toujours à faire pression sur Israël ? Primož Šterbenc répond à nos questions.

Cette année, Le Courrier des Balkans est partenaire du Festival Etonnants voyageurs de Saint-Malo. À cette occasion, nous vous proposons une offre exceptionnelle d'abonnement à 45 euros pour un an (au lieu de 70). Profitez-en dès maintenant !

Le Courrier des Balkans est partenaire de l'édition 2024 du Festival Étonnants voyageurs, et organise trois rencontres :
« Ostalgie »
Rencontre avec : Géorgui GOSPODINOV, Velibor ČOLIĆ, Sladjana Nina PERKOVIČ, Mila TURAJLIĆ
Animé par Jean-Arnault DERENS
Samedi 18 mai 15h45, La Grande Passerelle - Salle 3
Précédé du film : « L'envers d'une histoire »
de Mila TURAJLIC (Survivance/2017/104')
Samedi 14h, La Grande Passerelle - Salle 3
De quoi les Balkans sont-ils le nom ?
Avec : (…)