Le Comité bilatéral frontalier, présidé par les ministres de l’Intérieur des deux pays, a été créé conformément au protocole d’accord du 30 octobre 1997 à Alger, en vue de renforcer la coopération au niveau des villes frontalières et ce, à travers la promotion des échanges notamment dans le domaine de la coopération sécuritaire au niveau des frontières, la mobilité des personnes et l’immigration clandestine, la coopération économique dans toutes ses dimensions particulièrement en matière de développement durable et la coopération socioculturelle.
Les travaux de la 5ème session du Comité, tenus fin juillet 2015 à Niamey, ont abouti à la mise en place de mécanismes de mise en œuvre des recommandations issues des différentes sessions, dont un organe de « veille et de suivi ».
Il s’agissait notamment de renforcer des actions communes en vue de juguler le phénomène de l’immigration illégale, l’inspection et l’entretien de la bande frontalière, le renforcement des moyens de lutte contre la contrebande et l’insécurité ainsi que l’occupation rationnelle de l’espace et l’organisation de patrouilles simultanées, coordonnées au niveau des frontières communes avec des points de jonction pour l’échange d’informations.
Il était question également de l’intensification des échanges de personnels entre les responsables des régions et les wilayas frontalières et la dynamisation de la coopération décentralisée entre les collectivités des régions frontalières notamment par des visites des différents responsables.
Pour les autorités algériennes, la zone frontalière entre les deux pays constitue « un pont pour la promotion de l’amitié, de la fraternité, de la coopération et de la complémentarité, mais elle fait face à des contraintes sécuritaires multiples, dues essentiellement à la présence de groupes terroristes qui s’alimentent des fléaux connexes dont en particulier le narcotrafic ».
L’Algérie accorde un « intérêt particulier » à la sécurisation de ces zones pour les mettre à l’abri des réseaux terroristes et criminels notamment à travers le renforcement de la coopération bilatérale dans le domaine militaire et sécuritaire afin de d’instaurer un climat propice pour leur développement socio-économique durable.
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ALGER – Une quantité de plus de 32 kg de kif traité a été saisie vendredi à Bechar par un détachement de l’Armée nationale populaire (ANP), indique samedi le ministère de la Défense nationale (MDN) dans un communiqué.
« Dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, un détachement de l’Armée nationale populaire a saisi le 13 juillet 2018 à Bechar (3e Région militaire), 32,2 kilogrammes du kif traité », précise la même source.
D’autres détachements, lors d’opérations distinctes à Tamanrasset, Bordj Badji Mokhtar et Ain Guezzam (6e RM), « ont arrêté (27) individus de différentes nationalités et saisi, six (6) groupes électrogènes, cinq (5) détecteurs de métaux, neuf (9) marteaux piqueurs, cinq (5) véhicules tous terrains, cinq (5) tonnes de denrées alimentaires et trois (3) téléphones satellitaires », ajoute-t-on.
Dans le même contexte des éléments de la Gendarmerie nationale « ont saisi à Tiaret et Tlemcen (2e RM) (10.509) unités de boisson alcoolisées ».
Par ailleurs, et dans le cadre de la lutte contre l’immigration clandestine, des éléments des Gardes-frontières « ont intercepté (21) immigrants clandestins de différentes nationalités à Tlemcen et Naama (2e RM) », rapporte également le communiqué.
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Le gouvernement a donné son aval au Fonds national d’investissement (FNI) en vue de l’octroi d’un prêt de 2 milliards de dollars à la compagnie nationale aérienne Air Algérie pour la sauver du spectre de la faillite.
En effet, 60% de ce montant seront destinés au renouvellement de la flotte de la compagnie qui compte 30 appareils dont la moyenne d’âge dépasse les 25 ans dans les trois prochaines années.
Du coup, ces avions seront mis hors service en 2021. C’est ce qu’a déclaré le ministre des Transports et des Travaux publics, Abdelghani Zaalane.
A ce propos, une source responsable de la compagnie a révélé à Echorouk le lancement d’un plan d’urgence pour l’amélioration du rendement d’Air Algérie, à travers la mise en place d’une stratégie à moyen et long terme qui s’articule sur le renouvellement de la flotte, le renforcement des capacités de la maintenance et d’entretien ainsi que l’entrée en service du la nouvelle aérogare d’Alger.
Par ailleurs, notre source a insisté sur la nécessité de réduire les frais d’exploitation, l’intensification des accords de coopérations avec les organismes et les institutions partenaires ainsi que l’amélioration de la communication avec la clientèle.
Cela intervient dans un contexte marqué par une série de contestation que vit la compagnie, dont la grève déclenchée par les travailleurs de la maintenance aérienne et les cris de colère des clients qui ne protestent pas uniquement contre de la hausse des tarifs des billets d’avion, mais menacent de boycotter la destination Algérie.
Nouara Bachouche / Traduit par: Moussa. K.
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Après avoir quitté la barre technique du club qatari Al-Duhail, le technicien algérien, Djamel Belmadi est présenté comme éventuel successeur de Rabah Madjer à la tête du staff technique des Verts.
Toutefois, certaines sources de presse ont rapporté que Djamel Belmadi n’a pas reçu d’offre de la part de la Fédération algérienne de football (FAF) qui est en quête d’un coach.
Dans le même sillage, le président de la FAF, Kheireddine Zetchi a affirmé être en train d’étudier les différents CV en vue d’engager un entraîneur en remplacement de Madjer, démis de ses fonctions fin de juin dernier.
Dans une déclaration à la Télévision publique, Kheireddine Zetchi a indiqué que le nom du nouvel entraîneur sera dévoilé dans les prochains jours, ajoutant qu’il choisira entre trois noms, en optant pour le meilleur.
“Nous avons deux ou trois noms avec qui nous sommes en train de discuter, et l’un d’entre eux sera certainement le futur sélectionneur national. On attendra la fin de la Coupe du monde 2018 en Russie pour annoncer le nom du prochain sélectionneur de notre équipe nationale”, a indiqué le premier responsable du football national.
Par ailleurs, il a demandé au public algérien d’être patient et lui donner du temps pour pouvoir construire une équipe coriace, estimant que “les négociations peuvent prendre un peu de temps”.
Force est de noter que certaines sources ont rapporté que Djamel Belmadi a nié être contacté par la FAF pour prendre en main les destinées de l’équipe nationale.
Soulignons que le nom de Belmadi est sur les lèvres de tout le monde, et ce lors de chaque limogeage que connaît l’équipe nationale, dont six entraîneurs se sont succédé à la tête de la barre technique des Verts au cours de ces quatre dernières années.
A savoir Vahid Halilhodzic, Christian Gourcuff, Milovan Rajevac, Georges Leekens, Lucas Alcaraz et Rabah Madjer.
Bilal Ouahab / Traduit par: Moussa. K.
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ALGER – Les services de la Protection civile de la wilaya d’Alger ont recensé l’affluence de quelque 752.000 estivants ayant fréquenté les plages d’Alger, depuis le début du mois de janvier écoulé jusqu’à la 2e semaine du mois de juillet en cours, tandis que trois (03) décès par noyade ont été enregistrés au niveau des plages de Sablettes, de Reghaia et de la Plage d’Or de Chéraga, a indiqué le lieutenant Khalad Benkhelfallah, chargé de la Communication à la Protection civile.
Les services de la Protection civile de la wilaya d’Alger ont enregistré, du 1e juin écoulé jusqu’au 11 juillet en cours, l’affluence de quelque 751.900 estivants ayant fréquenté les différentes plages autorisées à la baignade qui sont au nombre de 66, et la mort par noyade de trois victimes qui étaient âgées de 13 à 31 ans, au niveau des plages de Sablettes (Hussein Dey), de Reghaia et de la Plage d’Or (Chéraga), a indiqué à l’APS, le lieutenant Benkhelfallah.
Le 1e cas de noyade durant la saison estivale 2018, a été enregistré, le 13 juin dernier, au niveau de la plage des Sablettes (Hussein Dey) où la victime qui était âgée de 13 ans a trouvé la mort, a déploré M. Benkhelfallah qui précise que cette plage est interdite à la baignade.
Le 2e cas de noyade est survenu le 19 juin au niveau de plage de Réghaia ( autorisée à la baignade), où un jeune homme âgé de 19 ans a trouvé la mort, tandis le 3e cas ( un jeune âgé de 31 ans), s’est produit, le 5 juillet courant, au niveau de la Plage d’Or (Chéraga), précise encore M. Benkhelfallah.
Le nombre d’interventions des agents de la Protection civile au niveau des plages de la capitale, depuis le mois de juin jusqu’au 11 juillet courant, pour secourir les estivants, a atteint 921 interventions qui ont permis de sauver 223 personnes de noyade, parmi eux 161 enfants (117 de sexe masculin et 46 de sexe féminin), ce qui représente plus de 50% des personnes secourues, outre 62 individus, alors que le nombre des secourus sur place a atteint 135 individus et 136 personnes transférées aux centres de santé, selon la même source.
La direction de la Protection civile de la wilaya d’Alger a mobilisé, au titre de la saison estivale 2018, « tous les moyens humains et matériels nécessaires », à savoir 685 agents, surveillants et plongeurs au niveau des plages, ainsi que des bateaux de sauvetage et des ambulances, pour assurer la sécurité des estivants « , a rappelé M. Benkhelfallah .
A noter que les services de la wilaya d’Alger ont consacré, au titre de la saison estivale en cours, 66 plages autorisées à la baignade et interdit la baignade au niveau de 21 autres pour des raisons relatives à « l’insuffisance d’aménagement, à la difficulté d’accéder aux plages, à la pollution, ainsi qu’à la qualité des eaux qui ne sont pas conformes aux normes de la santé publique et de l’hygiène ».
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L’historien français, Roland Lombardi a fait des révélations sur l’alliance franco-israélienne lors de la guerre de Libération nationale ayant pour but d’isoler le Front de libération nationale (FLN) et torpiller son projet d’indépendance.
L’historien français a dit que la coordination entre Paris et Tel Aviv a atteint son apogée en 1956. L’année à laquelle la Révolution a également ait atteint son paroxysme, et ce parallèlement aux velléités affichées tant par les Juifs que par le colonisateur français en vue de la création d’un Etat qui réunit la communauté juive sur le sol algérien.
D’après l’historien, les services secrets français étaient quasiment en contact permanent avec ceux du Mossad en vue d’étouffer la Révolution.
D’ailleurs, l’implication de l’Etat sioniste dans la guerre d’Algérie est allée jusqu’à armer des groupes de juifs à Constantine contre la Révolution.
En effet, un des proches du chanteur franco-juif, Enrico Macias, en l’occurrence Raymond avait été exécuté par les moudjahidine, lui qui avait été à l’origine de la fuite des Juifs de Constantine, y compris Enrico Macias.
Roland Lombardi a tenu à expliquer les raisons de ce rapprochement franco-israélien motivé, à ses yeux, par l’esprit de vengeance de Paris et de Tel Aviv contre leur ennemi commun, à savoir l’ancien président égyptien, Gamal Abdenasser, qui soutenait la question palestinienne et la guerre d’Algérie contre respectivement l’Etat sioniste et les forces d’occupation française.
En réaction, le trio France, Grande-Bretagne et Israël a lancé une agression contre l’Égypte.
A ce propos, l’historien a révélé que la France avait approvisionné les Sionistes en armes ultradéveloppées, comme elle a aidé Tel Aviv à développer l’arme nucléaire, sachant que le premier ministre israélien, David Ben Gourion avait alors rendu visite au président français, le général Charles de Gaulle.
Mohamed Meslem / Traduit par: Moussa. K.
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Aujourd’hui, l’Algérie ne fait aucun reproche aux harkis pour ce choix, mais ne s’attend également pas à ce qu’ils viennent revendiquer des droits qu’ils ont perdus, de facto, à leur départ. Et il ne s’agit pas là pour la mère patrie de renier ses enfants car le pays a toujours su reconnaître les siens.
Un faux débat fait à nouveau surface et crée la polémique entre Alger et Paris. Il s’agit d’un éventuel retour des harkis et pieds-noirs en Algérie et d’une supposée possibilité de restitution des prétendus biens des colons et des pieds-noirs. En Algérie, la question n’avait pas encore fini de faire le tour des réseaux publics que l’Organisation nationale des Moudjahidine avait déjà réagi pour dénoncer ce qu’elle a qualifié de «moyens de pression et de chantage» exercés par la France contre l’Etat algérien. Une réplique tranchante qui n’a pas manqué de provoquer, à son tour, un éclaircissement de la part de l’ambassade de France à Alger.
La représentation diplomatique a commencé par démentir l’existence de pressions visant à imposer un retour des harkis «Il n’a jamais été question, contrairement à ce qui a été écrit dans la presse, d’exercer quelque «pression» ou «chantage» que ce soit sur les autorités algériennes». Elle a ensuite fait un rappel des déclarations de Jean-Yves Le Drian, le ministre français des Affaires étrangères, à l’origine de cette polémique. Pour l’ambassade, le chef de la diplomatie française «s’est exprimé le 29 mai dernier sur la situation des anciens harkis et leur libre circulation entre la France et l’Algérie, en réponse à une question écrite de M. Damien Adam, député de La République En Marche». «Pour autant, le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères n’a pas dit que la question du retour des anciens harkis en Algérie était au «centre des discussions» avec les autorités algériennes, pas plus qu’il n’a déclaré que la France «fera tout pour préserver le droit des harkis à retourner dans leur pays», a précisé la légation. Et d’ajouter qu’«il s’agit simplement de proposer un dialogue sur une question très sensible.
Le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères a d’ailleurs rappelé dans sa réponse «qu’il convenait de ne pas sous-estimer la sensibilité de ces questions dans l’opinion et pour les autorités» tant en France qu’en Algérie». Pour l’Algérie, le dossier des pieds-noirs et des harkis «a été clos définitivement et, par conséquent, il ne fera en aucun cas l’objet de chantage. C’est une question qui concerne la France seule et n’a aucune relation avec notre État», comme l’a clairement rappelé le communiqué de l’ONM. Mais il semble bien que ce n’est pas le cas pour l’Etat français qui évoque une proposition de dialogue sur ce qu’il qualifie de «question très sensible». Or, pour l’Algérie, il s’agit là d’un problème franco-français où le pays n’a ni à débattre ni à intervenir. Les harkis ont fait un choix. Ils se sont engagés, en 1962, pour défendre leur «Algérie-française». Une fois la guerre perdue, il était tout à fait normal que ces derniers rejoignent leur «patrie de coeur». Et ce n’est pas 56 ans après qu’il y a lieu de remettre en cause ce choix ou d’évoquer une quelconque nostalgie pour l’Algérie car, l’Algérie indépendante est loin d’être le département français tant souhaité par les harkis. Ce département, faut-il le dire explicitement, n’existe pas.
Si aujourd’hui les harkis se sentent mal dans leur peau ce n’est sûrement pas parce qu’ils ont été «abandonnés à leur sort» par l’Algérie. Parce qu’ils avaient eux-mêmes abandonné ce pays, optant pour un nouveau pays d’accueil: la France.
Aujourd’hui, l’Algérie ne leur fait aucun reproche pour ce choix, mais ne s’attend également pas à ce qu’ils viennent revendiquer des droits qu’ils ont perdus, de facto, à leur départ. Et il ne s’agit pas là pour la mère patrie de renier ses enfants car le pays a toujours su reconnaître les siens.
Le pays n’a-t-il pas reconnu fièrement l’algériennité de tous ceux qui ont porté la patrie dans le coeur quelles que soient leurs origines? En fait, l’équation est très simple: lorsque vous aimez l’Algérie, l’Algérie vous le rend bien.
Par Hasna YACOUB
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L’Entreprise de transport urbain et suburbain, Etusa, (ex-RSTA) est à la recherche de tenues d’hiver pour son personnel. Un appel d’offres vient d’être lancé dans ce sens. Toutefois, on ignore si cette entreprise va garder le même modèle. Il faut dire que ce dernier ne se distingue par aucune originalité.
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Selon des indiscrétions, une guerre souterraine est en cours pour l’acquisition de la boutique Duty Free de la nouvelle aérogare Ouest d’Alger.
Quelle entreprise va remporter ce marché très juteux ? Les paris sont ouverts
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La Banque extérieure d’Algérie (BEA) vient de réunir en assemblée générale les actionnaires. Il en ressort, selon les bilans présentés à ces actionnaires, un bénéfice net de 57 365 644 936,72 dinars.
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Le ministre des ressources en eau, Hocine Necib, a affirmé jeudi à Jijel que 592 communes souffrant d’un déficit en eau potable seront prises en charge dans le cadre d’un programme initié par son département et le ministre de l’intérieur, des collectivités locales et de l’aménagement du territoire pour un montant de 31 milliards de dinars pour rattraper ce déficit et les approvisionner en eau.
L’hôte de Jijel a souligné que lors du lancement de la campagne de sensibilisation et de prévention contre les risques de la baignade dans les barrages et les retenues collinaires au niveau du barrage de Kissir ses services font état du décès de 40 personnes suite aux baignades dans les barrages et les retenues collinaires chaque année, plaidant pour des alternatives à travers l’encouragement de l’investissement dans ces espaces dans les secteurs de loisirs et des sports nautiques en vertu des cahiers des charges en coordination avec les départements du tourisme, des sports et de l’environnement.
Le ministre des ressources en eau n’a pas manqué de critiquer lors de sa visite la non-maturation de certaines études élaborées par des bureaux d’études étrangers avec les avenants récurrents qui sont à l’origine de surcoûts de certains projets.
Interrogé sur le retard constaté dans la réalisation du transfert du barrage de Tabelout vers la plaine d’el Eulma, Hocine Necib a révélé que ce projet d’une importance capitale pour la région des hauts-plateaux sera achevé vers la fin de l’année en cours précisant que 15 communes de la wilaya entre autres Texenna, Sidi Maârouf,
el Milia, Ouled Rabah, Djimla, Beniyadjis, sont confrontées à un déficit en eau potable dont 10 seront prises en charge dans les raccordements à partir des barrages de Tabelout et Boussiaba prochainement.
Il a écarté une éventuelle augmentation du prix de l’eau potable en temps actuel mettant en avant les efforts consentis par les pouvoirs publics en matière d’hydraulique depuis ces dernières années à travers la réalisation d’importantes infrastructures hydrauliques, surtout les barrages.
Hocine Necib a également abordé le programme d’urgence destiné à 25 wilayas pour rattraper le déficit en eau dont souffrent ces régions.
Lors de sa visite, le ministre des ressources en eau a donné des instructions pour que le raccordement des communes d’el Milia, Sidi Maârouf, Ouled Yahia Khedrouche, Settera, Ghebella, Ouled Rabah à partir du barrage de Boussiaba soit fin prêt en février 2019 en vue de mettre fin au calvaire des populations de ces communes estimées à 200 000 habitants.
A noter que lors des sa virée jijelienne, l’hôte de la wilaya a procédé également à l’inspection de certains projets relevant de son département dont l’inauguration du réseau de l’alimentation en eau potable de la commune de Ouled-Yahia-Khedrouche portant la fourniture et pose de 4 000 ML de conduite en PEHD DN 200 mm et la réalisation de deux stations de pompage et leur équipement et la réalisation d’un réservoir de 500 m3 pour un montant de 220 millions de dinars, l’inspection du projet portant la réhabilitation de l’AEP de la commune de Taher qui sera achevé en septembre prochain, selon le premier responsable du secteur des ressources en eau.
Bouhali Mohammed Cherif
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Des programmes de formation en langue anglaise seront dispensés à l’Ecole supérieure de la sécurité sociale à partir de 2019. Selon le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, cette première expérience permettra aux pays africains anglophones de bénéficier des services de cette école.
L’Ecole supérieure de la sécurité sociale s’ouvre sur le continent. Elle proposera à partir de 2019 des programmes de formation en langue anglaise destinés spécialement aux pays africains anglophones. Cette démarche, précise Mourad Zemali, cité par l’APS, vise à «consolider le rôle de cette institution scientifique au plan régional et continental dans les domaines de la formation et l’échange d’expériences et d’expertises en matière de protection sociale».
Il précise, à cet effet, que plusieurs accords bilatéraux ont été signés entre l’école et des organismes de sécurité sociale de Mauritanie, du Mali, du Niger, du Cameroun, de la Tunisie et du Sénégal.
Le ministre a appelé, ainsi, les personnes en charge de l’école à «s’ouvrir davantage sur les différentes expériences et méthodes d’enseignement internationales, à travers la signature de conventions avec les écoles spécialisées dans ce domaine à travers le monde».
Pour ce faire, il a assuré que son secteur «ne ménagera aucun effort pour soutenir cette institution en moyens humains et matériels». Assistant à la cérémonie de sortie de la 3e promotion de l’Ecole supérieure de la sécurité sociale jeudi dernier à Alger, en présence du ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Tahar Hadjar, et du ministre de la Formation et de l’enseignement professionnels, Mohamed Mebarki, le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale a annoncé le recrutement direct des diplômés de cette promotion.
Titulaires d’un master II professionnel dans les spécialités relatives à la protection sociale, la gestion stratégique des organismes de sécurité sociale et les systèmes informatiques de la protection sociale, ces diplômés seront ainsi recrutés directement dans différentes Caisses de sécurité sociale relevant du secteur. Ayant pour principale mission d’assurer des formations supérieures dans le domaine de la protection sociale, de garantir des formations continues au profit des cadres des secteurs privé et public, et d’accomplir des études et des recherches liées au domaine de la sécurité sociale, l’Ecole supérieure de la sécurité sociale a enregistré, cette année, la sortie de 53 diplômés dont 5 étrangers.
Synthèse Ry. N.
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Samira Azzegag – Alger (Le Soir) – Le ministre qui présidait jeudi, la journée d’information sur le bilan énergétique national de l’année 2018, organisé au département ministériel, a expliqué que la baisse de la production estimée entre 30 et 35 000 barils/jour est liée particulièrement aux travaux de maintenance des raffineries. La production maintient, par contre, une stabilité depuis 2016, selon le même responsable. Quant aux réserves nationales en matière de pétrole et de gaz, elles sont en nette évolution particulièrement après que le groupe pétrolier national Sonatrach a exploré durant le 1er trimestre 2018 de nouveaux gisements pétroliers, dans la région transfrontalière située entre Tamanrassat et le Niger. Une information annoncée, d’ores et déjà, au mois de février par le P-dg de Sonatrach, Abdelmoumen Ould Kaddour, qui précisait que son entreprise avait obtenu en 2005 le permis de recherche à travers notamment sa filiale internationale Sipex. Outre les 14 puits pétroliers découverts en 2017, ces gisements vont, donc, renforcer les réserves nationales.
Les chiffres annoncés par le ministre montrent, en effet, que la production commerciale d’énergie primaire avec 165,9 millions de tonnes est presque stable (-2%) par rapport aux chiffres enregistrés en 2016. La hausse de production du gaz naturel a compensé partiellement la baisse de production des liquides (pétrole et GPL) en raison notamment de l’application de l’accord de réduction de production de l’Opep.
Quant aux exportations de l’Algérie en matière d’énergie, M. Guitouni a indiqué que la Sonatrach a réalisé, durant les 5 premiers mois de l’année en cours, un chiffre d’affaires égal à 16 milliards de dollars, contre 14 milliards de dollars durant la même période de l’année d’avant, soit plus de 14,3%. Le ministre estime, par ailleurs, qu’actuellement le marché observe un équilibre entre l’offre et la demande et le plus important est que notre pays «joue un rôle important, soit l’intermédiaire entre les producteurs de l’Opep et non-Opep».
Croissance de la consommation des produits pétroliers
Et tandis que la production nationale se stabilise, la consommation par contre augmente. Selon le bilan annuel de 2017 réalisé par le ministère de l’Energie, il apparaît clairement que les besoins locaux en énergie sont en nette augmentation (4,1%) par rapport à l’année précédente, avec une prédominance de la consommation des ménages qui est évaluée à 19 808 tonnes, soit une hausse de 6,6%. L’énergie électrique représente plus de 60% de la totalité utilisée par les ménages, alors que 98% de l’électricité est produite à partir du gaz naturel. La tendance haussière en matière de consommation est également enregistrée dans le secteur des industries et BTP avec une augmentation estimée à 7,6% passant de 9 242 tonnes en 2016 à 9 943 tonnes en 2017.
La demande du secteur du transport en énergie a baissé de 1,1%, mais l’énergie utilisée par ce secteur est toujours importante avec 15 057 tonnes en 2016 contre 14 895 tonnes en 2017. Ainsi, la consommation finale d’énergie a enregistré une hausse de 4,1 % en 2017, atteignant 44,6 millions de tonnes de produits pétroliers, tirée notamment par le gaz naturel (+7,9%), et l’électricité (+6,4%). En revanche, la consommation des produits pétroliers a connu une réduction de 1,2%.
S. A.
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Jeudi, suite à la confirmation du premier cas de fièvre aphteuse signalé la semaine dernière à Aïn Bessem, à 20 kilomètres à l’ouest de Bouira, le wali de Bouira a fini par signer l’arrêté déclarant officiellement la wilaya de Bouira comme étant une wilaya infectée, rejoignant ainsi les deux autres wilayas, Sétif et Béjaïa, où l’épidémie a été déjà déclarée.
Selon les services de l’inspection vétérinaire, l’état d’alerte est officiellement déclaré et, en plus de l’opération de vaccination en cours et suivie par les vétérinaires de la wilaya pour vacciner les quelque 40 000 têtes de bovins existants au niveau de la wilaya – le chiffre est approximatif, selon l’inspectrice vétérinaire qui rappelle que les chiffres exacts sont au niveau des statistiques – des échantillons sont pris au niveau de deux autres foyers où les signes de la maladie de la fièvre aphteuse sont signalés.
En effet, jeudi et toujours selon l’inspection vétérinaire, un troisième foyer s’est déclaré à Aïn Bessem, après celui de la semaine dernière apparu dans la même ville, et qui a vu les services vétérinaires procéder à l’abatage de 5 têtes de bovins dont quatre génisses suite à l’infection d’une génisse qui venait de présenter tous les signes de cette maladie, à savoir une fièvre excessive ainsi qu’une salive abondante et écumeuse. Suite à ces signes avérés de cette maladie, les services vétérinaires, qui ont envoyé aussitôt des échantillons au laboratoire de Draâ-Ben-Khedda, ont décidé de mettre en isolation l’étable en délimitant une zone de mise en quarantaine avec interdiction de circulation du cheptel au niveau de cette zone. Outre ces mesures, une décision d’abattage de tous les sujets existants au niveau de cette étable a été signée, à savoir les 5 têtes bovines.
Moins de quatre jours après ce premier cas, un deuxième foyer a été signalé à Aghbalou, à 70 kilomètres à l’est de Bouira, dans la daïra de M’chédallah. Cette fois-ci, il s’agit d’un éleveur qui aurait acheté une vache depuis le marché à bestiaux d’Akbou dans la wilaya de Béjaïa ; la commune d’Aghbalou étant une commune frontalière plus proche de Béjaïa que de Bouira.
L’animal acheté ayant présenté des signes similaires à cette maladie, le vétérinaire qui a constaté ces symptômes, a, en plus de la prise d’échantillon et son envoi au laboratoire de Draâ-Ben-Khedda, procédé à la mise en quarantaine de cette étable avec abattage de tous les sujets qui ont été en contact avec la vache contaminée, à savoir 5 têtes bovines. Trois jours plus tard, soit jeudi, et tandis que les premiers résultats envoyés au laboratoire et qui concernaient le premier cas de Aïn Bessem se sont avérés positifs, c’est-à-dire qu’il s’agissait bel et bien de la fièvre aphteuse, un troisième foyer a été signalé par un autre vétérinaire. Il s’agit d’un éleveur situé à Aïn Bessem, frère du premier éleveur dont l’étable est suitée non loin de celle de son frère. Là aussi et toujours selon l’inspection vétérinaire de Bouira, l’abattage des 8 têtes bovines existantes à l’intérieur de cette étable a été effectué avec incinération des carcasses au niveau du Centre d’enfouissement technique ou CET.
Parallèlement à toutes ces mesures, le wali de Bouira, instruit de ces trois foyers et les résultats officiels du laboratoire de Draâ-Ben-Khedda de Tizi-Ouzou, a fini par signer le fameux arrêté déclarant Bouira wilaya infectieuse de la fièvre aphteuse, avec tout ce que cela suppose comme mesures, à savoir en premier lieu, la fermeture de tous les marchés à bestiaux au niveau de la wilaya, interdiction de circulation du cheptel bovin, ovin et caprin sur le territoire de la wilaya, même en transit, sauf pour les situations spéciales pour les bouchers, création de zones de mise en quarantaine au niveau des foyers déclarés, désinfection de ces zones et nettoyage du périmètre, etc.
Enfin, signalons que, outre la campagne de vaccination qui suit son cours au niveau de toutes les communes de la wilaya, des campagnes de sensibilisation aux mesures draconiennes d’hygiène à prendre sont organisées au profit des éleveurs par la Direction des services agricoles de la wilaya.
Y. Y.
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La Tunisie appréhende vivement les retombées du dernier attentat de Jendouba. Depuis quelques jours, une campagne médiatique a été déclenchée pour rassurer les touristes algériens ayant fait de ce pays une destination privilégiée pour leurs vacances.
Abla Chérif – Alger (Le Soir) – 8 juillet 2018. Une attaque sanglante frappe le nord-ouest de Jendouba, non loin des frontières algériennes. Un véhicule transportant des éléments de la Garde nationale saute sur une mine dans la province de Aïn Soltane faisant six morts et trois blessés. Quelques heures plus tard, Aqmi, la branche armée d’El-Qaïda au Maghreb, revendique l’attentat. L’évènement fait grand écho dans la presse internationale. Des articles de presse font état que dans cette région sont implantés Aqmi et Jound El Khilafa, deux groupes terroristes affiliés à Daesh. Des médias régionaux évoquent eux des répercussions inéluctables sur le tourisme et vont jusqu’à avancer une baisse sensible de touristes algériens.
Déjà secouée par une série d’évènements internes, la Tunisie y perçoit un grave dérapage pouvant influer sur la principale source de revenue de son économie fragile. Sur le qui-vive, les autorités chargées de la gestion du tourisme réagissent à toute information pouvant compromettre la saison touristique. Les réactions s’enchaînent. Elles s’adressent principalement aux Algériens.
La presse tunisienne rappelle qu’une hausse de 18% a été enregistrée durant le premier semestre de l’année, une évaluation sur laquelle les responsables tunisiens se basent pour avancer l’arrivée de près de trois millions d’Algériens au cours des semaines à venir.
Le responsable régional au tourisme, Hichem Mehouachi, déclare publiquement : «Nous suivons de près le trafic au niveau des passages frontaliers de Babouche et surtout Melloula à travers lequel de nombreux Algériens se rendent en Tunisie. Il n’y a eu aucune conséquence négative après l’attentat», tient-il à préciser. Chiffres à l’appui, il révèle que 3 256 Algériens sont entrés en Tunisie le lundi 10 juillet», soit deux jours après l’attaque de Jendouba. Ce chiffre, précise-t-il, est «supérieur à celui enregistré ce même jour de l’an dernier où le nombre d’arrivées était de 31 806».
Prudent, le commissaire tient cependant à déclarer : «Nous avons besoin d’une semaine pour pouvoir évaluer la situation et dire si l’attentat terroriste a eu un impact sur l’activité touristique.»
Le chargé de la communication auprès du ministère tunisien de l’Intérieur, Zoubeir Djebami, s’est voulu lui aussi rassurant en niant toute répercussion négative. Ce week-end, le président de la Fédération tunisienne de l’hôtellerie est, à son tour, intervenu pour affirmer qu’aucune annulation de réservation n’avait été enregistrée. Celui-ci a tenu également à démentir des informations circulant avec persistance sur les réseaux sociaux et faisant état d’actes de discrimination envers les Algériens.
Il faut savoir enfin que l’inquiétude des Tunisiens a poussé ces derniers à se renseigner en bonne et due forme afin de cerner les raisons pour lesquelles une affluence massive n’avait pas encore été enregistrée. La presse tunisienne évoquait cette semaine «le retard dans la proclamation des résultats du bac».
A. C.
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