La Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) a mis en garde contre les fausses informations qui circulent sur les réseaux sociaux, et a menacé de sévir à l’encontre de toute personne qui porte atteinte au personnel de sécurité.
«La DGSN appelle les utilisateurs des réseaux sociaux à réagir avec vigilance et conscience face aux fausses informations diffusées sur Facebook au sujet de la vie professionnelle et familiale de personnes appartenant à l’institution», lit-on dans un communiqué laconique diffusé sur son site officiel.
La DGSN, ajoute la même source, « se réserve le droit d’engager des poursuites en justice contre les personnes qui diffusent ces fausses information ».
Depuis quelques mois, le phénomène des fake news a pris des proportions alarmantes en Algérie, avec l’apparition de dizaines de sites internet spécialisés dans ce type de fausses informations.
Issam Ben Mnia / version française: Rachel Hamdi
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Une séance d'échanges a eu lieu, ce jeudi 16 août 2018, à l'Agence territoriale de développement agricole (Atda) de Parakou pour réfléchir sur les stratégies à mettre en place dans le cadre de l'installation prochaine des usines de transformation du noix de cajou. Présidée par le ministre de l'Agriculture, de l'Elevage et de la Pêche (Maep), Gaston Dossouhoui, la séance a connu la présence des cadres des structures décentralisées et des directeurs départementaux du secteur.
L'un des défis du gouvernement béninois est de faire de l'anacarde la deuxième filière porteuse après le coton en vue de booster l'économie nationale.
Le Bénin vise une production de 300 000 tonnes de noix d'anacarde en 2021 contre une production actuelle qui est d'au moins 120 000 tonnes.
Dans l'optique de relever ce défi et trouver des solutions fiables au profit de la filière anacarde « (...) l'Etat vient de trouver un partenaire crédible prêt à l'accompagner dans la transformation », s'est réjoui le ministre Gaston Dossouhoui. Pour ce dernier, c'est une opportunité qui doit être aussi soutenue par les acteurs locaux. « Avec les efforts de l'industrie locale, nous rentrerons dans l'histoire comme le premier pays africain à transformer la totalité de sa production locale des noix d'anacarde », a-t-il souligné.
Pour atteindre cet objectif, il faut au préalable choisir des sites potentiels adéquats pour pouvoir convaincre les investisseurs. « Il nous faut avoir une idée claire des zones de fortes et de faibles densités de production locale », a-t-il relevé.
Le ministre de l'Agriculture a insisté sur les indicateurs à considérer pour faciliter l'installation des usines.
« (...) Il nous faut examiner les facilités de collecte de dispositif humain ou commercial existantes qui favorisent les grands regroupements de stocks », a-martelé Gaston Dossouhoui.
Les facteurs déterminants dans le choix des sites
Le Bénin dispose d'une forte production du cajou dans les grandes zones.
Selon Antoine Houngbédji, assistant chargé du programme anacarde du ministère de l'agriculture, on note dans le Zou-Collines 75 .640.554 tonnes ; dans la zone centrale Est Borgou-Sud et extension Alibori 87 .482.104 tonnes ; la zone centrale Ouest-Donga avec extension Atacora, 42 .827.474 tonnes et le Borgou Nord-Alibori, 14. 898 tonnes.
Il urge alors de procéder à l'installation des usines de transformation. Quant aux zones de production éligibles, le ministre affirme que « Le choix des sites ne doit pas être un casse-tête. Nous identifions les zones potentiellement éligibles pour abriter ces usines compte tenu de la disponibilité de la matière première ».
Aussi, la matière première ne doit-elle pas être le seul facteur à considérer. « Il faut aborder la question en termes de capacité à gérer la matière première de base et amener les éléments techniques capables de peser dans la balance », a-t-il ajouté.
Le taux actuel de transformation de l'anacarde au Bénin est à 10%. Le défi est d'atteindre au moins 50 % d'ici 2021.
Pour y arriver, il faut de l'anticipation et le dynamisme car, selon Gaston Dossouhoui, « On ne se lève pas un matin pour grandir ». « C'est une question d'engagement. Si nous nous y mettons réellement, en un an, nous pourrons inverser la tendance », a déclaré le ministre.
Au terme des échanges, les acteurs des structures décentralisées se sont mis en groupes pour mener des réflexions sur l'élaboration des documents stratégiques dans le but de faciliter le choix des sites aux investisseurs étrangers.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
Le ministre de l’Intérieur italien est furieux après l’intervention d’un navire transalpin pour sauver des migrants en mer, et accuse Malte.
Matteo Salvini enrage. Dans la nuit du mercredi 15 août, 170 migrants ont été secourus par des garde-côtes transalpins, rapporte le site internet de BFM TV.
Mais la colère du ministre italien de l’Intérieur, qui ne cesse d’affirmer qu’aucun bateau de migrants n’accostera sur les côtes du pays, vient surtout du fait que les réfugiés sont passés auparavant par la zone de recherche maltaise.
Pire, il accuse Malte de ne pas être intervenu délibérément pour laisser l’Italie se charger de cette embarcation. Dans un communiqué furieux, il déclare que « Les Maltais ont ‘’accompagné’’ le navire vers les eaux (de recherches et secours) italiennes et un bateau des garde-côtes italiens, sans informer le ministère de l’Intérieur, a pris les migrants à bord. J’ai demandé au navire italien de contacter les autorités maltaises (…) pour qu’elles mettent à disposition un port pour débarquer. Après avoir accueilli par mer 700.000 immigrés en quelques années, je pense que l’Italie a déjà fait son devoir et aussi celui des autres ».
Le navire était dans son bon droit selon Malte
Le gouvernement maltais rétorque lui que les migrants avaient refusé l’aide d’une vedette maltaise parce qu’ils souhaitaient se rendre sur l’île italienne de Lampedusa. De plus, toujours selon le gouvernement de La Valette, l’embarcation ne présentait pas de « signes de détresse ». Si tel était bien le cas, rien n’autorisait Malte à stopper le navire, qui était dans son bon droit de libre navigation en haute mer.
«Si les autorités italiennes considèrent leur intervention comme une opération de secours, le port sûr le plus proche est Lampedusa », a ironisé Malte, assurant que dans la mesure où les Italiens ne s’étaient « pas préoccupés de la sécurité des migrants quand le bateau était dans la zone de secours libyenne », ils ne pouvaient rien exiger de l’île.
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Un haut responsable de la Fédération béninoise de football (Fbf) pourrait être épinglé par la justice dans les prochains jours pour l'affaire de vol de matériels sportifs des Ecureuils, constitués notamment de maillots, de shirts et autres outils.
Un agent de sécurité de la Fédération jeté en prison, le jeudi 16 août 2018, après quelques jours de garde à vue à la police, aurait fait des déclarations accablantes à l'encontre de ce responsable de la Fbf.
De sources proches de la fédération, une convocation lui aurait été adressée par le Parquet pour une comparution devant le tribunal le 10 septembre prochain. Il devra clarifier certaines accusations faites à son encontre par cet agent de sécurité en détention préventive.
Cette affaire éclate au moment où le président de la Fbf, Anjorin Moucharafou, est en train de terminer son mandat et que l'élection du nouveau bureau du comité exécutif de la Fédération est prévue pour le samedi 25 août prochain.
La passation de charges entre les bureaux sortant et entrant est prévue le lundi 27 août 2018.
F. A. A.
Le braquage qui s'est produit jeudi dernier au quartier Ouando, à Porto-Novo a causé un mort et une importante somme d'argent emportée. La victime serait la caissière de l'antenne Born Fonden d'Adjohoun. La dame qui venait d'effectuer une opération à la banque a été attaquée, non loin de l'agence Sbee de Ouando. Elle a été gravement atteinte par une balle tirée par les braqueurs. La victime a succombé à ses blessures à l'hôpital. Les bandits ont réussi à s'enfuir avec une somme importante. Aux dernières nouvelles, trois suspects avec des pistolets ont été arrêtés par la police. L'enquête se poursuit.
D. M.
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Une secousse tellurique d’une magnitude 3.0 degrés sur l’échelle ouverte de Richter a été enregistrée mercredi soir dans la région de Cap Carbon à Bejaïa, indique le Centre de recherche en astrophysique et géophysique (Craag).
La même source affirme que la secousse est enregistrée à 21h22 à 11 km nord de Cap Carbon .
Rachel Hamdi
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Pour cet été 2018, pas moins de cinq colonies de vacances ont été organisées au profit de plus de 1 800 enfants de la wilaya de Ghardaïa, issus de milieux défavorisés.
Ces colonies de vacances, qui viennent à peine de prendre fin, s’inscrivent dans le cadre des actions citoyennes et sociales placées au cœur des activités menées par les responsables de la wilaya et ceux de la direction de la jeunesse et des sports, du secteur de l’action sociale et des œuvres sociales de la fonction publique.
Ces derniers déterminés à appuyer les initiatives visant à favoriser l’intégration sociale des enfants issus des localités démunies et à assurer l’épanouissement de cette frange de la société.
Sous le haut patronage du wali de Ghardaïa, Azzeddine Mecheri, la direction de la jeunesse et des sports, ayant placé l’enfant au cœur de ses préoccupations et visant à améliorer les conditions de vie des enfants de centaines de familles, a, pour cette saison estivale, procédé à elle seule à l’envoi de près de 1 200 enfants des différentes communes de la wilaya en colonie de vacances pour faire trempette dans les belles plages de notre pays, et ce à Boumerdès, Sidi Fredj, Figuier, (région d’Alger), El-Tarf (région de l’Est) et Mostaganem (région de l’Ouest).
Quelques parents d’enfants rencontrés sur la place du marché de Ghardaïa ont affirmé que cette belle initiative traduit l’intérêt particulier accordé par l’Etat à nos enfants, notamment ceux issus de familles démunies.
Pour sa part, Si Mohamed, père d’un enfant bénéficiaire de ce programme, a confié que son enfant avait vu la mer pour la première fois de sa vie. Il a ajouté « Outre les promenades et les activités culturelles, artistiques et sportives proposées, ces centres de vacances ont permis à nos enfants du sud du pays d’acquérir de nouvelles expériences et des compétences qui leur seront utiles. »
Des, rencontrés à l’occasion, ont fait part de leur joie de passer leurs vacances sur de belles plages, faisant observer que cette première expérience leur a surtout permis d’entretenir de nouvelles relations d’amitié avec les enfants du Nord et de démontrer leurs talents dans les domaines du sport et à travers les différentes activités culturelles.
Dans ce contexte, plusieurs autres organisations telles que les scouts, les associations sportives, voire des associations de quartiers, ont, à leur tour, et dans un cadre privé, pris part à cette édition estivale et ont permis à des enfants de séjourner sur plusieurs plages algériennes telles que : Aïn Témouchent, Mostaganem et Béjaïa. Ils ont exprimé leur fierté d’être en Algérie et leur admiration pour leur pays et son peuple. Ils ont participé à de nombreuses activités, à l’occasion de cet événement, à travers notamment des activités sportives, folkloriques, des pièces théâtrales, et des expositions de photos découvrant la belle Vallée du M’zab. Suite à cela, de très nombreux jeunes du nord du Pays auraient exprimé leur désir de visiter un jour Ghardaïa, ses belles palmeraies et son architecture millénaire.
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L’unité de l’Algérienne des eaux de Mila est en ébullition.
Soutenus par la représentation syndicale de la wilaya, les travailleurs de la succursale sont récemment montés au créneau pour fustiger leur directeur.
Dans une lettre portant l’en-tête de l’Union générale des travailleurs algériens, adressée au ministre des Ressources en eau et dont des copies ont été envoyées aux différents organes de presse, les travailleurs exhortent le chef de département à intervenir « au vu de la situation dangereuse dans laquelle se trouve l’unité de la société à Mila » .
Les contestataires souhaitent voir intervenir leur tutelle pour disent-ils mettre fin aux pratiques du responsable locale N. Abderrahmane, accusé de semer la zizanie et la discorde au sein de l’unité.
Il lui est aussi reproché des pratiques régionalistes et des manquements à la réglementation faisant fi des clauses mentionnées dans la convention collective en vigueur, en n’accordant des promotions « qu’aux travailleurs issus de sa région ou encore ceux militant au sein d’un parti politique (sans le citer) avec lequel il a des accointances ». Ceci en plus du manque de respect et même des violences verbales et physiques à l’encontre des travailleurs.
Plus grave, il lui reproché de conclure des transactions douteuses avec certains fournisseurs de l’entreprise. A titre d’exemple, est-il mentionné dans la missive portant le seau du coordinateur de l’UGTA de la wilaya de Mila, Amar Herrat, il fait en sorte que les cahiers des charges distribués lors des avis d’appel pour des achats, ne soient livrés qu’à un seul commerçant. Ce dernier, est-il expliqué, en fait plusieurs copies avant de les faire signer au nom d’autres prétendants fictifs, tout en prenant soin de mentionner sur le sien le montant souhaité.
Les travailleurs souhaiteraient voir le ministre agir en dépêchant une commission afin, lit-on, de constater de visu l’état psychologique et mental de ce responsable.
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