Emploitic, leader du recrutement sur internet en Algérie organise la première édition du « Talent Day », le 23 octobre prochain à l’hôtel Mercure d’Alger.
Le « Talent Day » est un rendez-vous annuel unique qui permettra aux professionnels des ressources humaines et du recrutement de se rencontrer, de débattre et d’imaginer les pratiques RH de demain.
Il réunira les principaux acteurs de l’emploi et du recrutement en Algérie, responsables des ressources humaines, recruteurs, experts et spécialistes, en tout, ce sont plus d’une centaine d’entreprises qui prendront part à cette rencontre.
Plus d’une dizaine d’experts locaux et étrangers venus d’Afrique, d’Europe et du Maghreb viendront animer une série de conférences et de panels sur des thématiques centrées sur le capital humain (Attraction des talents en Afrique et dans le monde, fidélisation et développement des compétences, nouvelle méthode de management, intelligence artificielle, e-learning, e-testing…etc).
Pour les participants, ce sera l’occasion, de découvrir des speakers inspirants, de nouvelles approches pointues et innovantes, d’élargir leurs réseaux, de partager leurs expériences et de réfléchir ensemble sur des questions liées à la fonction de la Ressource Humaine et de son évolution.
De grandes entreprises présentes en Algérie, créatrices d’emplois, apportent leur soutien à cet évènement en le sponsorisant, à l’instar d’Air Algérie, de Macir Vie, de Société Générale Algérie ou de Renault Algérie.
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Le coup d’envoi pour l’organisation des présidentielles est donné. La liste des candidats s’est allongée, d’autres laissent supposer une prochaine annonce officielle de leur participation à l’échéance, au moment où l’administration se prépare activement à l’organisation technique de l’évènement.
Abla Chérif – Alger (Le Soir) – La traditionnelle révision des listes électorales s’ouvre, donc, aujourd’hui, et se déroulera tout au long du mois d’octobre, a fait savoir ce week-end le ministère de l’Intérieur en fournissant tous les détails nécessaires au bon déroulement de l’opération. Et c’est durant cette même période que Abdelaziz Belaïd, président du Front El-Moustakbal, a publiquement dévoilé son intention de se porter candidat aux présidentielles tout comme l’avaient fait avant Nacer Boudiaf et le coordinateur du MDS (Mouvement démocratique et social).
Ces annonces interviennent dans un contexte marqué par l’intensification des appels à un cinquième mandat. Ils émanent de toutes parts, drainés par le discours du Secrétaire général du Front de libération nationale auquel semble officiellement incomber le rôle de locomotive dans le processus en cours. Il y a plusieurs semaines que Ould-Abbès a posé les jalons de la démarche à suivre, celle qui consiste essentiellement à continuer à s’unir autour du président Bouteflika appelé avec insistance à briguer un nouveau mandat. Pour les besoins de la cause, une paix a été décrétée avec Ahmed Ouyahia, SG du RND, et les deux hommes sont apparus échangeant une poignée de main symbolique. Les organisations gravitant autour de ce cercle ont bien capté le message et réagissent en marquant publiquement leur adhésion à l’appel lancé pour un cinquième mandat.
Certains le font cependant à travers des déclarations qui feront date. C’est le cas du président Mohamed Benhamou, président du parti El Karama, lequel insinuait la nécessité d’obtenir une contre partie à son soutien au président de la République. El-Karama fait en tous les cas partie d’un groupe de petites organisations politiques dénommé stabilité et réformes également uni autour du projet présidentiel. Ce dernier a officiellement proclamé son soutien à une nouvelle candidature de Bouteflika tout comme l’a annoncé vendredi l’ANR (Alliance nationale républicaine) de feu Rédha Malek. Quelques jours auparavant, Moussa Touati président du Front national algérien (ANR) annonçait de son côté sa volonté «d’organiser une marche pour soutenir le cinquième mandat». Amara Benyounès, président du MPA (Mouvement populaire algérien) se démarque du lot et préfère la prudence.
Pour ce dernier, les cartes ne sont pas encore jouées et s’interdit de faire du suivisme ou de se laisser «dicter» une quelconque position. Une allusion directe aux partis de la majorité, et au SG du FLN en particulier, accusé de vouloir imposer sa politique. La machine électorale se met en place alors que se poursuit le silence officiel sur l’intention du président de la République ouvrant la voie à toutes sortes d’analyses et de projections sur la manière dont se déroulera l’évènement. Le fait ne constitue cependant pas un précédent, durant les quatre mandats écoulés, l’officialisation de la candidature de Bouteflika n’a a été rendue publique que tardivement.
A. C.
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Le général Gbèssèmehlan et Medard Sèssinou, respectivement président et secrétaire général de la session Prd d'Avrankou, ont animé une séance de restitution des conclusions issues des négociations entre les blocs présidentiels. Suivant le point présenté par ces leaders aux militants, l'accord intervenu entre le Prd et les différentes formations politiques en vue des regroupements en bloc portent essentiellement sur 3 points à savoir : le logo du parti en création comportera le logo du Prd dans son intégralité et sans mutilation aucune ; les positionnements géopolitiques des formations membres du regroupement seront largement respectés et la question du leadership, qui ne constitue pas pour le Prd une préoccupation majeure, sera examinée en son temps.
Le communiqué de presse du Prd qui a sanctionné sa rencontre, du dimanche 23 septembre, à Porto-Novo, a servi de tremplin pour cette séance de restitution. Ce communiqué de presse a été traduit en langue locale Tori aux militants du parti à la base après les propos liminaires du président de la session, le général Gbèssèmèhlan.
Le secrétaire général, Médard Sessinou, a rappelé la vision du chef de l'Etat Patrice Talon, qui souhaite fédérer les partis et personnalités qui le soutiennent en deux blocs politiques. selon cette vision, les partis politiques sont appelés à évoluer, se fusionner pour se transformer en grands partis conformément aux dispositions de la nouvelle charte des formations politiques et du nouveau code électoral.
F. A. A.
La ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique dans un communiqué en date du mardi 25 septembre 2018, annonce la sélection d'une deuxième vague de 100 assistants. Ces derniers sont répartis dans 04 Universités du Bénin.
100 assistants seront sélectionnés et répartis dans les universités du Bénin. Ceci dans le cadre du renforcement des capacités des Universités nationales du Bénin en enseignants de qualité et conformément à la nouvelle procédure de sélection pour le recrutement du personnel enseignent.
Ces 100 assistants sont répartis comme suit : 40 au profit de l'Université d'Abomey-Calavi, 35 pour le compte de l'Université de Parakou, 10 et 15 respectivement pour l'Université Nationale d'Agriculture et l'Université Nationale des Sciences, Technologies, Ingénierie et Mathématiques.
Du lundi 1er au vendredi 19 octobre au plus tard, le dossier de candidature doit être déposé tous les jours ouvrables au Secrétariat du Comité Scientifique Sectoriel de l'Institut, de la Faculté ou de l'Ecole concernés.
Pour tous autres renseignements complémentaires informe le communiqué, les Béninois intéressés peuvent s'adresser aux universités nationales du Bénin ou se connecter au site du ministère : www.mesrs-bj.org/recrut-assist-unb .
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
Mohammed Menani
Une enquête, aussi discrète qu’efficace, des éléments de la Brigade territoriale de la gendarmerie nationale de Hammam Debagh, dans la wilaya de Guelma, a conduit, cette semaine, au démantèlement d’un gang de faux-monnayeurs composé de 10 membres dont 5 femmes et une jeune fille mineure. Après la phase primaire de l’information, l’identification, la filature et le repérage des différents lieux, l’action d’interpellation a été entamée dans un site thermal de la ville de Hammam Debagh par l’interception de 5 passagers d’un véhicule de marque Chevrolet-Captiva’ et l’interpellation d’un 6ème suspect complice, résidant dans cette localité. La perquisition du domicile de ce dernier avait permis de récupérer une liasse de 72 faux billets de banque de coupure de 2.000 DA. Il s’avéra que les 6 suspects arrêtés appartiennent au groupe chargé d’écouler la fausse monnaie. Il fallait donc, remonter aux sources de la contrefaçon.Les enquêteurs avaient, aussitôt organisé, leur opération « coup de poing » à la cité Emir Abdelkader’ à Guelma, en perquisitionnant un logement et interpellant 4 nouveaux suspects dont la propriétaire qui servait d’atelier d’impression eu égard aux équipements et matériels informatiques installés. L’arrestation des suspects fut suivie de la saisie d’équipements informatiques et des téléphones portables.
Après leur audition, les 10 suspects ont été déférés devant la justice, à Guelma, qui a retenu l’inculpation pour constitution d’association de malfaiteurs, faux et usage de faux, contrefaçon et écoulement de faux billets de banque, détournement de mineure et port d’arme blanche prohibé. Le magistrat instructeur ayant notifié l’inculpation, a aussi prononcé la mise en détention provisoire de 7 accusés et la mise en liberté provisoire, sous contrôle judiciaire, des 3 autres, en attendant leur comparution ultérieure devant le tribunal criminel, pour répondre de ces actes.
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K. Assia
Une quantité globale de 1.084 bouteilles de boissons alcoolisées vient d’être saisie dans deux opérations distinctes menées par les gendarmes de Sidi El Bachir et Boutlélis.La première affaire a été menée à la suite d’informations parvenues aux gendarmes indiquant que deux individus habitant Haï Bendadoud à Sidi El Bachir s’adonnaient à la vente de vin. Ces derniers avaient transformé leurs domiciles en un dépôt de boissons alcoolisées.
Sur ce, les gendarmes de Sidi El Bachir se sont déplacés sur les lieux et ont découvert, suite à une perquisition ordonnée par le procureur de la république, 426 bouteilles de différentes marques. Une enquête a été ouverte. La deuxième saisie de 658 bouteilles a été opérée par les gendarmes de Boutlélis à la suite d’informations faisant état de la commercialisation illicite de vin dans une maison.
Cette quantité a été découverte dans la cour d’une habitation et était composée de 429 unités de bière, de vin rouge, entre autres.
La valeur globale des saisies s’élève à 89.220,00 dinars. Les gendarmes de Boutlélis ont ouvert une enquête pour déterminer les tenants et les aboutissants de cette affaire de vente illicite de boissons alcoolisées.
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Moncef Wafi
L’organisation des Nations unies mise devant ses responsabilités, le droit à l’autodétermination et soutien à Antonio Guterres et à Horst Kohler, tels sont les principaux points du discours du ministre des Affaires étrangères, samedi à New York, concernant le dossier du Sahara occidental. Abdelkader Messahel a affirmé, lors du débat général de la 73ème session de l’Assemblée générale de l’ONU, que la question de décolonisation du Sahara occidental relève de « la responsabilité première des Nations unies», rappelant la position de l’Algérie, en faveur du droit « inaliénable » du peuple sahraoui à l’autodétermination. Le chef de la diplomatie algérienne a réitéré, à cette occasion, le soutien « ferme » de l’Algérie aux efforts du Secrétaire général des Nations unies et de son envoyé personnel pour le Sahara occidental. Il a exprimé, à ce propos, le vœu que leur action puisse « contribuer, avec l’apport de l’Union africaine, à la reprise des négociations sans pré-conditions et de bonne foi entre les deux parties, le Royaume du Maroc et le Front Polisario », des négociations directes, à l’arrêt depuis 2012, pour parvenir à « une solution politique, mutuellement, acceptable, assurant l’autodétermination du peuple du Sahara occidental». A cet effet, il convient de rappeler que l’émissaire onusien pour le Sahara occidental, Horst Kohler, s’active pour lancer un cinquième round de négociations directes, entre le Front Polisario et le Maroc, fin octobre ou début novembre prochain. L’envoyé personnel du SG de l’ONU avait informé le Conseil de sécurité, lors d’un briefing, tenu à New York, de sa démarche d’envoyer, dans les prochaines semaines, des invitations au Front Polisario et au Maroc, pour reprendre les négociations directes. Lors de son premier briefing au Conseil de sécurité, tenu en mars dernier, Horst Kohler avait précisé que son objectif était de relancer les négociations directes entre les deux parties en conflit, dans le courant de l’année 2018. En avril dernier, le Conseil de sécurité s’est fixé rendez-vous, en octobre prochain, pour évaluer l’avancée du processus, mettant le cap sur une nouvelle démarche visant à ramener les partis en conflit, à la table des négociations dans un délai de six mois. Washington a déclaré, pour sa part, qu’elle s’attendait à une reprise des pourparlers, d’ici à octobre. Rabat avait tenté d’impliquer l’Algérie dans les négociations, autour de la question sahraouie. Dans un entretien accordé au journal électronique marocain Hespress’, le représentant permanent du Maroc aux Nations unies, Omar Hilale, a déclaré que les négociations autour du Sahara occidental ne peuvent se tenir, sans l’Algérie, sinon ça serait une perte de temps. Il a, en outre, affirmé que s’il y a des discussions, elles seront avec l’Algérie « sinon rien ». Ce n’est pas la première fois que l’Algérie est, ouvertement, accusée d’alimenter le conflit par son retrait. En avril dernier, et réagissant aux dernières déclarations du ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, concernant le soutien de l’Algérie au Front Polisario ainsi que sur son implication dans le processus de règlement du conflit, une source autorisée, au ministère algérien des Affaires étrangères, indiquait que « la question du Sahara occidental est une question de décolonisation », reconnue comme telle par les Nations unies. Alger a, cependant, clairement fait comprendre que son soutien ne signifie pas forcément « qu’elle devrait être impliquée dans ces négociations ». Au cours de son intervention, devant l’Assemblée générale de l’ONU, Messahel a indiqué que l’Algérie suit avec « un intérêt particulier » les conflits et les crises qui secouent la région, soutenant que les solutions politiques restent la « meilleure approche », dans la quête de règlement durable des conflits. Il a, également, rappelé que l’Algérie a été « la toute première cible du terrorisme », un phénomène devenu, aujourd’hui, l’un des fléaux planétaires les plus destructeurs.The post Devant l’Assemblée générale de l’ONU: Les mises au point de Messahel sur le Sahara occidental appeared first on .
J. Boukraa
Des dizaines de mal-logés, de plusieurs quartiers de la ville d’Oran, attendent depuis plus de deux décennies un logement social, notamment dans le cadre de la formule des «points». La wilaya d’Oran a recensé plus de 80.000 demandes de logements sociaux, a indiqué le wali. « Pour évaluer la situation et connaître les vrais besoins, pour une éventuelle prise en charge de ces demandeurs, plusieurs mesures ont été prises », a-t-il souligné. Dans ce sens, une commission de wilaya a été installée pour évaluer et étudier les dossiers. Dans le même cadre « des commission composées des chefs de daïra et des présidents des APC et autres services concernés ont lancé des opérations de contrôle et de mise à jour de dossiers », a affirmé M. Mouloud Cherifi. Les postulants seront convoqués au fur et à mesure pour actualiser leurs dossiers. D’autre part et au grand bonheur des ces milliers de postulants, le wali d’Oran Mouloud Chérifi a annoncé il y a quelques semaines qu’un nouveau quota de LPL sera inscrit en début d’année prochaine. Selon le premier responsable de l’exécutif, ce quota de 6.800 logements sociaux sera destiné à la formule des «points ». Des promesses ont été faites il y a quelques années par un ex-wali d’Oran, pour consacrer un quota spécial de logements socio-locatifs, pour les demandeurs de la formule des «points», mais à ce jour, ils n’ont toujours pas été intégrés dans les nombreuses opérations de relogement qu’a connues la wilaya. Certains affirment qu’ils occupent une pièce chez des parents depuis dix ans et ont déposé une demande de logement social depuis plusieurs années et à ce jour ils n’ont rien vu venir. Ces familles précisent également que la commission d’attribution chargée d’étudier les dossiers des postulants ne s’est jamais penchée sur leur cas, puisque jusqu’à présent, aucun demandeur ayant déposé son dossier dans les années 90 et bien avant n’a obtenu un logement. Certains affirment avoir déposé leurs dossiers dans les années 80 et depuis, aucune suite favorable ne leur a été donnée. D’autres expliquent avoir déposé leurs dossiers en 2009, auprès de l’OPGI de Gambetta, mais en vain. Rappelons d’autre part que le programme élaboré par les services de la wilaya de l’année en cours porte sur la distribution de 11.500 logements publics locatifs. Ainsi et depuis le début de l’année, près de 4.000 LPL ont été distribués. Le relogement de 1.600 familles résidant au niveau du bidonville de Sidi El Bcahir se fera dans les prochains jours, après l’achèvement des travaux d’aménagement externe. Dans le cadre de la résorption de l’habitat précaire dans la wilaya, il est prévu, la fin de l’année en cours, le relogement de plus de 4.000 familles vers de nouveaux logements dans le cadre de l’opération de relogement de la deuxième tranche de haï Sanawbar (ex-Planteurs), selon les services de la wilaya.The post Plus de 80.000 demandes de logements pour la formule dite «à points»: Une commission pour l’étude de tous les dossiers appeared first on .
K. Assia
Le marché informel érigé sur le CW 75 reliant le rond-point de Canastel à Belgaid a été éradiqué, a-t-on appris auprès de M. Guenfoud, maire de Bir El Djir. L’opération supervisée par le chef de daïra a vu la présence des services de la police et de l’APC et a permis d’évacuer 100 commerçants ambulants qui squattaient depuis près de six ans cet axe routier, a noté le responsable. Dans ce registre et conformément aux directives du wali d’Oran visant à libérer les espaces publics, une vaste opération a été lancée sur ce chemin de wilaya et plusieurs tables ont été enlevées au grand soulagement des automobilistes et des habitants de Belgaid. Le wali d’Oran avait donné il y a quelques mois des directives aux P/APC et chefs de daïra, ainsi qu’aux brigades de la DCP pour libérer les espaces publics. De même qu’un arrêté de wilaya n° 15-13 a été adressé à tous les maires et les services de la sûreté de wilaya d’Oran pour son application. L’opération cible désormais tous les commerçants, dont les restaurants, les cafétérias, les vulcanisateurs, les crémeries et autres prestataires de services. L’arrêté interdit tout squat d’espaces publics, exposition de marchandises sur la voie publique et exercice d’activité contraire au registre de commerce. Les commerçants sont contraints de respecter les nouvelles dispositions, faute de quoi ils seront mis en demeure. Ils doivent, également, présenter leurs documents pour attester leur activité. Lancée en 2012 l’opération d’assainissement initiée par les pouvoirs publics a permis d’éradiquer cent quatre (104) sites de commerce informel. Quelque 1800 intervenants devaient être insérés dans le circuit légal notamment dans des marchés de proximité sachant que les autorités locales ont prévu de réaliser des enceintes commerciales dans les cités et les quartiers de la ville et ce afin de lutter efficacement contre le fléau. Le ministère du Commerce avait lancé en mars 2017 une étude sur l’économie informelle en Algérie en partenariat avec le Centre de recherche en économie appliquée pour le développement (Cread) avec lappui du Programme des Nations Unies pour le développement (Pnud). Intitulée «Economie informelle: concepts, modes opératoires et impacts», cette étude permet de mieux connaître l’économie informelle dans ses différentes dimensions (financement, production, commercialisation, emploi), de cerner et de quantifier son impact sur l’économie nationale afin d’élaborer une stratégie adéquate pour lutter contre ce phénomène. La mise en œuvre de cette étude seffectue en deux phases: la première consiste à lélaboration dune enquête dans la wilaya de Tlemcen en 2017, choisie comme wilaya pilote, dont la réalisation et le financement seront assurés par le Cread. La seconde phase est, quant à elle, consacrée à lélaboration dune enquête nationale en 2018 dont les aspects liés au financement et à lexpertise seront à la charge du Pnud. Léconomie informelle en Algérie représenterait 45% du Produit national brut (PNB), selon une enquête réalisée par lONS en 2012.The post Des commerçants ambulants squattaient le site depuis plus de 6 ans: Le marché informel érigé sur le CW 75 éradiqué appeared first on .
M. Nadir
S. Houari, jeune homme de 29 ans, a-t-il réellement sexuellement abusé de Zohra, sa demi-sœur de 17 ans, ou celle-ci l’a-t-elle injustement accusé pour se venger de ce demi-frère qui surveillait son comportement et n’hésitait pas à la battre lorsqu’elle parlait aux garçons ? C’est ce que le tribunal criminel de première instance a eu à déterminer, hier matin, en l’absence de la présumée victime et plaignante.Plainte pour attentat à la pudeur
Les faits de cette triste affaire remontent à janvier 2017 lorsque S. Zohra, lycéenne de 17 ans habitant dans le quartier de Nedjma, s’est présentés à la police pour porter plainte contre Houari. Dans sa déposition, elle affirme que son demi-frère et principal soutien de la famille depuis le décès du père en 2010, abusait d’elle de manière régulière et la contraignait à des rapports intimes contre-nature. Un examen médical mettra en lumière une ancienne fissure et des lésions qui établissent que l’adolescente a effectivement subi des rapports sexuels violents. Interpellé et interrogé, le suspect s’offusque et jure n’avoir jamais approché sa demi-sœur de manière aussi abjecte. Il affirmera qu’au contraire, il subvenait à ses besoins ainsi qu’à ceux des autres membres de sa famille, qu’il considérait Zohra et ses sœurs comme ses propres sœurs et que jamais l’idée de les approcher de manière inappropriée ne lui avait traversé l’esprit. Il reconnaîtra qu’il lui arrivait de les battre lorsque l’honneur de la famille était en jeu. Et justement, quelques jours avant le dépôt de plainte pour attentat à la pudeur, il avait surpris Zohra en train de discuter avec un inconnu devant le domicile familial. «Je rentrais du travail et quand le garçon m’a aperçu, il a pris la fuite. J’ai demandé des explications à ma sœur et je l’ai frappée», racontera-t-il en suggérant que la surveillance des mœurs de ses sœurs était peut-être la raison qui a poussé Zohra à porter plainte.
«Mœurs légères»
Après enquête et instruction du dossier, le magistrat instructeur décidera de disposer de suffisamment d’éléments à charge pour inculper Houari d’attentat à la pudeur avec violences, selon l’article 335, alinéa 1 du code pénal, qui prévoit une peine comprise entre cinq et dix ans de réclusion à temps.
A la barre, S. Houari maintient ses déclarations. «Je n’ai jamais abusé de ma sœur», dira-t-il d’entrée en rappelant, à la demande de la présidente du tribunal, les faits qui se sont produits ce dimanche 8 janvier 2017. «C’est vrai que je l’ai frappée ce jour-là à cause de son comportement ( ), elle avait une attitude qui ne me plaisait pas et, d’ailleurs, elle a quitté la maison depuis quelque temps et elle est tombée enceinte ( ). C’est tout ce qu’elle cherchait», ajoutera-t-il comme pour souligner la justesse de son jugement. Appelée à témoigner, la petite sœur de Zohra a confirmé les propos de son demi-frère en déclarant que sa sœur avait fait exprès de l’incriminer pour pouvoir partir vivre sa vie. Interrogée par la présidente sur les habitudes de la famille et la disposition des pièces de la maison, l’adolescente a répondu que les filles dormaient dans la chambre de leur belle-mère tandis que Houari couchait dans la leur. «Il n’est jamais arrivé à Houari de venir chercher ta sœur Zohra de nuit ?» demande la présidente. «Non, jamais, la chambre était toujours fermée à clé», répond-elle.
Le crime impossible
Alors que le représentant du ministère public requiert dix ans de réclusion criminelle en se basant sur les conclusions du certificat médical confirmant des relations sexuelles violentes et en mettant en doute le témoignage à décharge de la sœur de Zohra, la défense plaidera l’acquittement pur et simple de son client. Dans leur argumentaire, les avocates déploreront «une enquête et une instruction qui n’ont pas été à la hauteur de la complexité du dossier», et affirmeront qu’il n’était pas possible que Houari eût commis le crime dont il est accusé par Zohra en raison de la présence de la belle-mère et des sœurs dans une chambre fermée à clef et du fait qu’il partageait une pièce avec son frère. Elles évoqueront également la situation actuelle de Zohra qui a profité de la détention de Houari pour quitter le domicile familial et tomber enceinte. «Quant à ses antécédents judiciaires (Houari a été impliqué dans des bagarres), ils sont imputables à l’environnement social et la nature de Haï Nedjma, un des quartiers les plus chauds de la wilaya», a expliqué l’une des avocates, en précisant qu’un antécédent ne peut constituer une preuve de culpabilité. «L’accusation n’a pas réussi à apporter des éléments de preuve matériels incriminant l’accusé. Notre client ne peut, donc, logiquement pas être déclaré coupable», terminera la défense en réclamant l’acquittement. Au terme des délibérations, le tribunal criminel de première instance déclarera S. Houari innocent des faits qui lui étaient reprochés.
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D. B.
Les responsables du secteur urbain Bouamama n’ont pas attendu longtemps pour s’attaquer au phénomène des constructions illicites. En effet, trois jours après le recensement d’une quarantaine de constructions illicites inhabitées érigées sur le domaine forestier, au niveau du site d’El Hassi, les agents de la commune ont procédé hier à la démolition de 22 constructions complètes et une douzaine en cours de construction, a-t-on appris de sources proches de l’APC d’Oran. Nos sources indiquent que tous les moyens ont été mobilisés pour la réussite de cette opération qui s’est déroulée sans incidents. Nos sources ajoutent que les services du secteur urbain poursuivent les opérations de démolition de toute construction illicite nouvelle. Ces constructions, soulignent nos interlocuteurs, étaient inoccupées et prêtes à être vendues. En effet, une quarantaine de constructions illicites sont programmées à la démolition à El Hassi. Il y a trois jours, une commission composée de plusieurs services a effectué une opération de contrôle au niveau du bidonville d’El Hassi et a pu recenser quarante nouvelles constructions illicites qui sont prêtes à être revendues à des personnes sans logements, avec l’espoir d’obtenir plus tard un logement dans le cadre des opérations d’éradication de l’habitat précaire. A ce titre, une correspondance a été adressée au wali d’Oran pour l’obtention d’une autorisation de démolition dans les plus brefs délais. Alors que des instructions fermes ont été adressées par le wali à l’ensemble des services concernés pour éradiquer toute nouvelle construction illicite sur le domaine public, de nouvelles constructions ont été érigées depuis cet été au niveau du site dit Coca, notamment à la sortie du bidonville en allant vers la corniche supérieure. Ce bidonville, qui ne cesse de s’étirer au fil des ans, happe chaque année des parcelles de la forêt. Au moins une dizaine de constructions illicites ont été construites depuis le début de l’année au niveau de ce site ainsi que de celui situé près du terminus des bus. Erigé sur le domaine forestier, le bidonville en perpétuelle extension n’a pas épargné des arbres plantés le long de l’axe routier et qui ont été tout simplement arrachés pour permettre la construction d’habitations précaires et l’extension du bidonville au lieudit Coca. Une zone connue depuis longtemps pour son phénomène de «bidonvilisation» qui semble devenir irréductible. Ce phénomène des constructions illicites est devenu aussi un business. Les constructions sont vendues et revendues, d’autres en location, une vraie mafia s’y est érigée. Il est à noter que depuis le début de l’année, la campagne de lutte contre les constructions illicites dans les zones forestières, lancée par la conservation des forêts, a permis de récupérer 240 points forestiers et l’éradication de 2.620 constructions illicites. Toutefois, le phénomène persiste et des individus véreux s’adonnent toujours à des pratiques astucieuses, en érigeant des constructions illicites et les revendant dans un délai très court avant que les services concernés n’entament les procédures de démolition.The post El Hassi: Démolition d’une trentaine de constructions illicites appeared first on .
K. Assia
Une importante quantité, soit 537 kg de viande rouge avariée, a été saisie en fin de semaine par les éléments de l’escadron de la sécurité routière du groupement de la gendarmerie d’Oran lors d’un contrôle à hauteur de la route nationale n°2 reliant Oran à Ain Témouchent. Les gendarmes ont intercepté un véhicule de marque Master et lors de la fouille, ils ont découvert la quantité sus citée de viande rouge bovine et ovine et qui était selon les enquêteurs impropre à la consommation. Le conducteur du véhicule répondant aux initiales de G.A a été conduit au siège de la gendarmerie pour le complément de l’enquête. En effet, le contrôle de la qualité des produits alimentaires s’est intensifié depuis plusieurs jours à travers toutes les localités de la wilaya. Le wali d’Oran a mis en place une commission pluridisciplinaires composée de tous les services dont le commerce, l’environnement, les services agricoles, les vétérinaires, l’APC, la wilaya afin de garantir la conformité des produits mis sur le marché. Au courant du mois d’août, une autre quantité de 700 kg de viande rouge impropre à la consommation a été saisie lors d’une opération de contrôle menée par les unités du groupement de la gendarmerie d’Oran dans la localité de Misserghine. Cette viande provenait de l’abattage clandestin et était avariée. A Akid Lotfi, pas moins de 472 kg de viande dont 387 kg de viande rouge congelée, 85 kg de viande rouge, 180 kg de kabab et 2 kg de poisson congelé avaient été saisis en juillet dernier. Les enquêteurs avaient arrêté 2 individus.The post Axe Oran-Aïn Temouchent: 537 kg de viande rouge avariée saisis par les gendarmes appeared first on .
Khaled Boumediene
La plage de Terga de la commune d’Aïn Temouchent, a été le théâtre d’une opération de saisie de drogue. En effet, agissant sur renseignement faisant état d’un réseau de criminels activant dans le domaine du trafic de drogue, les éléments de la Brigade de renseignements et d’intervention (BRI) du service de la police judiciaire de la Sûreté de la wilaya de Tlemcen, ont réussi à saisir 42 kg de kif traité, a-t-on appris auprès de ce corps de sécurité. Le 26 septembre dernier, peu avant midi, les policiers repèrent un véhicule de marque Peugeot 206 stationné dans un parking de la plage de Terga. A la vue du contrôle, le conducteur effectue une marche arrière puis un demi-tour. Pris en chasse par la brigade de la Police, le véhicule, dont les pneus ont été perforés, se retrouve immobilisé. Le conducteur a été aussitôt arrêté grâce au dispositif sécuritaire fixe et mobile, mis en place. Il s’agit d’un individu répondant aux initiales B. K., âgé de 36 ans. La fouille minutieuse du véhicule, menée par les policiers, a permis de découvrir 30 kg de kif traité. La quantité de drogue saisie, qui devait être écoulée sur le territoire national, se trouvait, soigneusement, dissimulée sous forme de 63 plaquettes dans des sacs enfouis dans la malle et sous les sièges arrière de la 206. Poursuivant leurs investigations, les éléments de la BRI de Tlemcen ont saisi 12 kg de kif traité parfaitement, dissimulés sous forme de 25 plaquettes, lors de perquisitions menées au domicile de cet individu. Un véhicule de marque Toyota Hilux a été saisi au cours de cette opération. Les policiers ont, par ailleurs, réussi, grâce une vaste opération de recherche et d’investigation, menée sur la base des informations soutirées au narcotrafiquant, à arrêter deux autres individus de ce réseau criminel, en fuite à bord d’une voiture de marque Citroën Berlingo, circulant sur la route reliant Remchi à Tlemcen. Il s’agit de NM et BM, âgés de 27 et 25 ans, a-t-on ajouté. L’enquête se poursuit pour arrêter tous les membres du réseau.The post Aïn Témouchent: Plus de 40 kg de kif saisis appeared first on .