S.T.Smain
Accordant une priorité absolue à l’achèvement du programme de logements au niveau national, le ministre du secteur conscient de son importance dans la prise en charge des préoccupations des citoyens en matière de logements où de nombreuses familles vivent dans des conditions lamentables opte progressivement à répondre aux attentes de nombreuses familles une situation vérifiée par les attributions qui se font depuis l’année en cours.
Ainsi, après les récentes distribution, samedi dernier, le siège de L’APW deTlemcen, a connu une ambiance conviviale suite à une cérémonie de remise d’arretés et de pré affectation au profit de 1820 logements tous types confondus dont 600 logements AADL et 870 aides à l’habitat rural. Par ailleurs le ministre de l’Habitat a procédé à la pose de la première pierre de réalisation de 300 logements dans la région de ouled mimoun et 150 autres dans la localité de Nedroma avant de superviser l’opération de réhabilitation de l’ancienne médina de Nedroma pour laquelle un montant de l’ordre de 19 milliards de centimes a été dégagé. Il est à noter que le ministre en question a instruit le directeur de l’agence AADL de Tlemcen , pour procéder au choix de terrain destiné à la réalisation de 1000 logements AADL dont a bénéficié la wilaya.
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Abderrahmane Mebtoul
Les batailles futures certes difficiles mais pas impossibles ayant d’importantes potentialités, pour le développement en Algérie face aux bouleversements géostratégiques mondiaux entre 2018/2030 irréversibles tant dans le domaine politique, militaire, économique qu’énergétique, seront conditionnées par la bonne gouvernance et la valorisation du savoir.Dans le cadre des nouvelles mutations, l’Algérie doit utiliser à bon escient ses réserves de change et a des potentialités afin de surmonter cette conjoncture difficile du fait du faible niveau d’endettement. Evitons donc le tout satisfaction et le tout sinistrose facteur de démobilisation en proposant des solutions concrètes loin des théories abstraite, de déclarations irresponsables et l’activisme stérile. D’une manière générale il s’agit de replacer l’économie algérienne par rapport aux mutations énergétiques mondiales. Rappelons que l’OPEP représente moins de 33% de la production commercialisée, le quota Algérie étant de 1,2 millions baril/jour sur plus de 30 millions. L’Arabie saoudite a des réserves de pétrole de 297 milliards de barils avec des réserves de change de près de 800 milliards de dollars, et inclus les pays du golfe totalisent plus de 60%, et 67% se faisant hors OPEP, étant impossible à l’heure actuelle de parler d’un OPEP gaz du fait que les canalisations représentent plus de 70% de la production commercialisée mais seulement d’une entente entre les producteurs.
Face aux mutations énergétiques mondiales dont l’efficacité énergétique prévue d’environ 30% de l’entrée en force de nouveaux producteurs, l’Algérie perd de plus en plus de part de marché arrivant à peine à exporter 50/55 milliards de mètres cubes gazeux, perte de 32% de part du marché européen en 10 ans assistant à une décroissance en volume physique depuis 2008. Le gaz algérien qui, dans les années 90, représentait 16% des besoins européens a reculé à 7 ou 8 %, loin proche du Qatar 8%, et loin derrière la Norvège 19% et la Russie (24 %) ambitionnant d’atteindre 30% malgré les tensions en Ukraine. Il y a lieu de tenir compte
– de la crise vénézuélienne première réserve mondiale de pétrole en semi-faillite,
– d’un éventuel accroissement des exportations éventuel de la Libye tant pour le pétrole léger comme celui de l’Algérie, réserves 48 milliards de barils , que le gaz ( 1500 milliards de mètres cubes gazeux non encore utilisées contre environ 3000 pour l’Algérie),
– de la stratégie russe ayant environ de 45.000 milliards de mètres cubes de gaz traditionnel de gaz, de la stratégie gazière du Qatar (15.000 milliards de mètres cubes de réserves en gaz),
– des exportations de l’Iran vers la Chine et l’Inde à cause des sanctions US mais à un prix inférieur à celui du marché pour contourner l’embargo ayant plus de 35.000 milliards de mètres cubes traditionnel de gaz
– dans un proche avenir avec la stabilisation au Moyen orient qui s ‘annonce de l’Irak 140 milliards de barils de réserve à un coût inférieur à 20% par rapport à ses concurrents, de l’entrée du Mozambique 3ème réservoir d’Afrique,
– de la découverte en méditerranée orientale de plus de 20.000 milliards de mètres cubes gazeux expliquant les tensions géostratégiques dans cette région et la réunion récente pour la résolution du confit en Syrie,
– la révolution du pétrole/gaz de schiste américain qui en 2016/2017 après l’aval du congrès ont commercialisé en Europe,
– une croissance mondiale timide notamment des pays émergents dont la Chine.
Ainsi, l’Algérie risque de se trouver confrontée à une forte concurrence expliquant également les sous utilisation des canalisations notamment celui du Transmed et où bon nombre de fournisseurs poussant actuellement l’Algérie à réduire ses prix. Quelles réponses pour éviter les impacts de la chute des cours du pétrole de 1986, sur la société algérienne : crise financière, crise économique, crise sociale et crise politique, cessation de paiement fin 1993 et rééchelonnement en 1994. Sonatrach, autant que Sonelgaz, a besoin d’un nouveau management stratégique afin de réduire ses coûts devant se concentrer sur ses métiers de base évitant la dispersion dans diverses activités. L’Algérie doit d’ores et déjà repenser son modèle de consommation énergétique devant s’orienter vers la transition énergétique et donc vers un Mix énergétique.
1.-Au préalable, je fais trois constats
– Premièrement, la politique socio-économique depuis l’indépendance politique rentrant dans le cadre du programme de Tripoli a été menée exclusivement par l’Etat avec plusieurs variantes De 1965 à 1979, avec une orientation exclusive vers l’investissement productif. Celle-ci s’est effectuée autour de l’Etat omniprésent sur l’ensemble du cycle: planification, financement, réalisation de l’investissement et production. De 1980 à 1990 orientée essentiellement vers les infrastructures BTPH et les activités commerciales. De 1991 à 2000, du fait de la situation particulière qu’a connu l’Algérie avec l’avènement du terrorisme et la cessation de paiement on ne peut à proprement parler de politique de développement mais avec la cessation de paiement des ajustements macro-économiques et macro sociaux extrêmement douloureux du fait des exigences du FMI. Et de 2000 à 2017 du fait que la demande sociale a été compressée et des destructions massives entre 1990-2000, une politique orientée essentiellement vers les infrastructures.
– Deuxièmement, paradoxalement, les paramètres macro-économiques de l’Algérie apparaissent comme positifs mais éphémère sans réformes structurelles Car, les tendances relatives aux grands agrégats révèlent une macro-économie sous contrôle relatif fonction des aléas de la rente des hydrocarbures qui représente 97/98% des exportations totales. C’est que l’Algérie tente difficilement sa transition d’une économie publique vers une économie plus libérale. Et le comportement actuel est de type «semi-rentier» et ne recherche pas la réforme en profondeur de l’économie. Aussi, en dépit de certaines réformes timides –paradoxe plus le cours des hydrocarbures est faible plus on ressent le besoin de réformes, et ralentit lorsque le cours est élevé qui fait que le salaire au sein certaines branches est déconnecté de la productivité du travail avec la dominance des emplois rentes et des fonctionnaires. La rente pétrolière génère plusieurs effets pervers de l’économie à son seul profit, ce qui renforce encore davantage la monoculture énergétique du pays.
L’économie algérienne reste donc encore une économie essentiellement publique devant dédiaboliser le secteur privé local et international supposant une mutation culturelle. Car l’héritage socialiste est fortement présent dans la philosophie et les pratiques de la vie économique et sociale et dans celui de la pérennité de l’entreprise publique, qui a pourtant des cadres de valeur, dans la majorité des cas, n’est pas soumise à l’efficacité économique pour des considérations politiques. Par ailleurs une partie de l’industrie publique est largement obsolète et concentre des pertes totales malgré des assainissements répétés, nécessitant sa restructuration et sa modernisation. Globalement le secteur industriel représente moins de 5% du PIB malgré de nombreux codes d’investissements et de nombreuses organisations de l’indépendance politique à nos jours, faute de vision stratégique devant investir au sein de sous segments de filières internationalisées.
Si les ressources du pays sont significatives, elles sont basées sur des rentes qui contribuent à anesthésier les volontés de changement et les entreprises privées sont présentes surtout dans le secteur des services avec prédominance du commerce de détail, dans les petites entreprises de BTPH et du secteur manufacturier traditionnel. Excepté les hydrocarbures, de certains segments des télécommunications, de quelques sociétés mixtes, le secteur étranger productif est marginal. Paradoxalement, l’Algérie fait alors massivement appel à l’assistance technique et aux firmes étrangères( entre 10/11 de dollars de services par an entre 2010/2017) en même temps qu’elle les encadre dans le cadre de la règle des 49/51% instauré par la loi de fiances 2009, généralisée aux banques en 2010.
– Troisièmement, la gestion actuelle du commerce extérieur, héritée du système passé entrave le fonctionnement de l’industrie, y compris à l’exportation. On décèle plusieurs facteurs bloquants. Le poids historique de la lourdeur bureaucratique caractérise l’ensemble des organismes qui interviennent dans le cycle de la vie de l’entreprise est une entrave constante au fonctionnement efficient de celle-ci.
Ceci est probablement aggravé par un système judiciaire lent, peu transparent et non adapté à une économie moderne. Le modèle à dominance étatique à taux d’intégration verticale élevé va à l’opposé des nouvelles mutations mondiales. Les lourdeurs bureaucratiques (délais de négociation et de mise en place) et l’incertitude juridique (taux douaniers, fiscalité, réglementations) ont encore renforcé l’image d’un marché difficile et fermé, isolant l’Algérie des nouvelles mutations mondiales. L’objectif de protection de l’industrie naissante a généré une gestion bureaucratique des procédures d’importation qui est devenu un terreau pour de nombreuses pratiques non conformes. L’OMC représente 97% du commerce mondial et plus e 85% de la population mondiale après l’adhésion de la Russie et de l’Arabie Saoudite- l’Algérie pouvant profiter des accords de Doha qui prévoit une période de transition pour mettre à niveau son potentiel économique.
L’adhésion de l’Algérie à l’OMC serait un signal fort pour simplifier ce système obsolète mais les habitudes prises ont généré des monopoles lucratifs et puissants qui seront lents à disparaître ou à contourner. Les formalités de contrôle des changes restent encore largement interprétées par le personnel des banques qui garde la nostalgie de la puissance de son rôle de contrôleur. Concernant l’investissement étranger, les multinationales recherchent classiquement des avantages comparatifs pour produire de façon compétitive pour un marché local solvable mais aussi vers un marché régional et/ou mondial, en intégrant leurs capacités commerciales et productives, d’où l’importance de l’intégration du Maghreb pont entre l’Europe et l’Afrique où l’Algérie pourrait trouver des avantages comparatifs.
Or la majorité des rapports internationaux 2010/2017 notent un climat des affaires bloquant les initiatives créatrices, que l’économie algérienne demeure dominée par l’État, notamment avec la règle 49/51% qui contrairement à certaines affirmations démagogiques n’a pas permis de renforcer l’indépendance économique ( doublement de la valeur des importations depuis 2009), protège des intérêts de rente, cette règle étant déficiente en matière d’efficacité économique, devant imaginer d’autres critères, balance devises, technologique et managériale positive pour l’Algérie et pour les PMI/PME instaurer la minorité de blocage(pour plus de détail sur ces rapports -voir notre contribution sur www.algerie1.com). Dès lors que faire ?
2.- J’émets huit propositions
Proposition 1: réorganiser les corps d’Etat. Les transferts de compétences de l’État vers les collectivités territoriales doivent être accompagnés d’un abandon effectif de la mission correspondante par les services de l’État et du redéploiement de l’intégralité des agents de l’État concernés, pour éviter les doublons entre les actions de l’État et des collectivités territoriales. Dans le cadre de la réforme des grands corps de l’Etat, les grands corps d’inspection – économique, financier et technique doivent être regroupés selon des lignes de métiers correspondant aux exigences de l’économie moderne : finances, énergie, infrastructures numériques, santé,. La réforme des partenariats public-privé pourra offrir un cadre juridique complémentaire aux formes classiques (concessions de service public, bail emphytéotique).
L’État devra ainsi concentrer au niveau régional l’essentiel de ses cadres décentralisés. A terme, une loi organique devra fixer le nombre de ministres au nombre d’une douzaine au minimum et d’une vingtaine au maximum. Un gouvernement pourra ensuite compter autant de ministres délégués et de secrétaires d’État que souhaité. Il est essentiel de limiter le nombre de ministères et le nombre de compétences partagées entre ministres afin de réduire les procédures interministérielles inutiles. le développement futur de l’Algérie, devra reposer sur l’initiative locale pour protéger à la fois l’environnement et initier des activités productives notamment non polluantes, car toute action centralisatrice est vouée à l’échec sans implication des acteurs locaux.
Je propose de créer un Institut national d’études du territoire littoral. Cela doit entrer dans le cadre d’une réelle volonté politique de décentralisation, à ne pas confondre avec la déconcentration, qui induit une bureaucratie locale plus néfaste que la bureaucratie centrale. L’on pourrait imaginer une véritable régionalisation économique, à ne pas confondre avec l’avatar négatif du régionalisme.
Dr Abderrahmane Mebtoul, professeur des universités, expert international
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La quatrième défaite de suite contre le MC Oran, comptantpour la 8e journée de Ligue 1,enfonce davantage le CRBelouizdad dans sa crise et lui complique sérieusement lavie.
Une autre contre-performance qui mettra le club phare de Laâquiba dans une situation plus délicate.Lanterne rouge au classement du championnatde Ligue 1 avec 2 points seulement,le CR Belouizdad se dirige tout droitvers le purgatoire. Rien n’indique que cette formation algéroise va améliorer sa situation.
Après cette défaite à domicile face au MC Oran, cinquième du genre depuis l’entamede la saison, l’entraîneur Si Tahar CherifEl Ouazani quitte ou plutôt « abandonne » lenavire. Cet entraîneur n’a rien pu fairedans de telles conditions catastrophiques. »Je ne peux plus continuer dans de telles conditions », a-t-il lâché.Avec un staff technique et des joueurs sans domicile fixe, cette formation algéroise fondée en 1962 ne peut pas faire mieux.
Les joueurs, qui ne se présentent que le jour du match, ne peuvent pas espérer mieux. Avec cinq défaites, deux matchs nuls et une seule victoire, lescoéquipiers de Balagh voient rouge., Le club, qui a pourtant paraphé un contratde partenariat avec le groupe Madar, n’arrivepas à sortir la tête de l’eau. La réalité du terrain n’augure rien de bon. Les oueurs n’ont plus le moral sur le terrain. Les responsables du Slub sportifamateur,à leur tête le président Karim Chettouf, nepeuvent plus supporter la situation. »Nous sommes livrés à nous-mêmes. Outre les difficultés financières, le club est visé par les arbitres. On ne peut pluscontinuer comme ça.
Le club est abandonnépar les siens’ », a indiqué le président du CSA, Karim Chettouf. Si le club se trouve dans une situation aussi catastrophique, c’est à cause du président Mohamed Bouhafs, aux abonnés absent. Il faut dire que les effets de la crise financière,dans laquelle se bat le club, et qui a été la cause de la défalcation de troispoints dè le premier match pour cause de forfait,sont encore apparents. Le Chabab risque encore de s’enfoncer davantage si jamais les dirigeants ne paient pas le dû du joueurAoudou exigé par la Fifa et qui s’élève à plus de 400 millions. Dans le cas où les dirigeants ne s’activentpas pour régler le joueur, une autre défalcation sera imposée au club, lequel seretrouvera une autre fois avec moins d’un point, ce qui compliquera encore plusla situation du club surtout que les clubs du haut du tableau ont pris déjà le large.
Lors de la prochaine journée, prévue le week-end prochain, le Chabab sedéplacera à Constantine pour défier lechampion d’Algérie sortant, à savoir le CS,Constantine. Une autre mission qui s’annonceplus compliquée pour le Chabab ducôté de la ville des Ponts suspendus.
Par Mourad Salhi.
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Chergui Abdelghani
Même si le WAT conserve son invincibilité après huit journées de championnat de Ligue 2, les camarades de Belhamri ont, devant une affluence record, enregistré vendredi leur premier faux pas à domicile en concédant le nul face au RC Relizane. Si la défense a su préserver sa cage, l’attaque n’a pu percer la muraille défensive du Rapid où le gardien Zaidi s’est distingué par ses arrêts, et ce en dépit des occasions de buts, dont un penalty raté par Bouguèche. Même en évoluant à dix suite à l’expulsion de Bencherifa à la 52′, il n’en demeure pas moins que les protégés de Bouali Fouad ont fourni une prestation de premier ordre en seconde mi-temps, mais la réussite leur a tourné le dos. En dépit de ce semi-échec, le coach tlemcenien n’a pas caché sa satisfaction en déclarant que son équipe a gagné un point. «Certes, nous avons perdu deux points sur notre terrain, mais vu les conditions dans lesquelles nous avons abordé ce match, à commencer par les absences qui ont pesé sur le groupe, ainsi que l’expulsion de Bencherifa qui nous a obligés de jouer toute la seconde mi-temps en infériorité numérique, je peux dire que nous avons arraché un point. Il est certain que dans des telles conditions il est difficile d’engranger les trois points, même si nous avons raté un penalty qui pouvait être le tournant du match. En conclusion, ce match est à mettre aux oubliettes et penser au prochain», dira Bouali. Espérons que ce semi-échec à domicile n’est qu’un accident de parcours. Les gars des Zianides doivent retenir la leçon et préparer avec beaucoup de sérieux les deux prochaines sorties, car le WAT se déplacera successivement à Magra vendredi prochain et à Oran pour affronter l’ASMO, pour le compte de la 10e journée. A noter que l’équipe réserve du WAT réalise un sans-faute jusque-là en obtenant huit victoires en autant de matches joués et conforte sa position de leader du groupe avec 8 points d’avance sur son poursuivant immédiat. Coup de chapeau aux jeunes capés de Houti Noureddine !The post WA Tlemcen: Premier faux pas à domicile appeared first on .
Le président d'honneur du réseau Irédé s'est rendu ce week-end à Parakou. Il était dans la matinée du samedi 29 septembre au contact des électeurs de la 9ème circonscription électorale résidant dans la cité des Kobourou. L'objectif de cette visite étant d'expliquer aux frères et sœurs, les vrais mobiles de sa candidature et les raisons pour lesquelles les populations de la 9ème doivent soutenir le Programme d'actions du gouvernement du chef de l'État Patrice Talon.
Le réseau Irédé continue ses actions. Comme pour un homme averti, le réseau prend déjà ses attaches pour verrouiller le terrain. C'est avec quelques membres de son équipe que le président d'honneur du réseau Irédé est allé à la rencontre de ses frères et sœurs de la 9ème circonscription électorale. Cette fois-ci, c'est Parakou qui a accueilli la délégation. Adam Dendé Affo est allé faire part de ses ambitions futures et des raisons de son combat aux côtés du chef de l'État. Il a notamment été question pour lui de sensibiliser les siens sur le bien-fondé du soutien à la mouvance d'une part, les solliciter pour qu'ils convainquent la base de la vision du réseau Irédé et qu'ils la partagent et enfin permettent aux électeurs aussi de s'apprêter pour qu'au moment venu, ils descendent à la base pour le combat de terrain. Avant le démarrage des campagnes électorales, « je vous invite chers frères à œuvrer davantage en appelant nos frères au village pour les entretenir sur le bienfait de la chose », a exhorté le président d'honneur Adam Dendé Affo, après les prières à l'endroit de ses invités. Conscient de l'enjeu, il souhaite que chacun y mette du sien pour qu'ensemble le réseau Irédé soit vraiment porté haut et que la 9ème en sorte gagnante. « Je vous exhorte à mettre les petits plats dans les grands pour que le développement de notre zone soit une réalité››, à exhorté Affo Dendé.
« Si j'ai décidé de me présenter aux prochaines élections, c'est parce que je sais que je suis capable de faire ce qui est faisable », a-t-il déclaré.
Le président d'honneur du réseau demande à ce que ses frères et sœurs lui donnent cette possibilité de les représenter. C'est donc un acquis puisque cette rencontre a été plus que réconfortante au regard de l'apport de chacun. Présent à cette rencontre d'échanges, le député Chabi Moussa a énoncé les grandes œuvres cachées de M. Adam Dendé Affo. Un homme à part entière, véridique, sincère et très honnête vu le témoigne épatant de l'He Chabi envers le digne fils des Collines. L'équipe conduite par l'ex Dg de la Caisse autonome d'amortissement Dendé Affo n'entend donc pas laisser une fois de plus le terrain pour d'autres. Elle s'emploie pour faire valoir son droit de conquête de la cité pour promouvoir la politique de développement du chef de l'Etat.
Giscard AMOUSSOU
Le mouvement Amèhouga s'est réuni en congrès extraordinaire ce samedi 29 septembre 2018 à Comè. Occasion pour les militants de prendre de nouvelles décisions pour les combats futurs tout en recommandant au président d'œuvrer pour l'intégration de leur mouvement à l'un des blocs de la majorité présidentielle.
« Ensemble, nous avons fait du chemin et proclamé, dans les hameaux de notre circonscription électorale, l'idéal pour contribuer au bien-être des populations qui n'ont cessé de nous renouveler toute leur confiance et leur sympathie », a affirmé le président du mouvement Amèhouga, Achille Kangni, au cours du congrès extraordinaire du mouvement.
Ce congrès découle d'un long parcours de celui qui porte le flambeau de la jeunesse au nom du mouvement Amèhouga.
« L'événement qui nous rassemble ce jour découle de la conjoncture politique, et se veut être un moment épique de la vie de notre groupe. Porteur d'espoir à sa genèse, notre formation s'est incrustée dans le paysage politique en prenant part à de successives élections afin de conduire une philosophie qui recentre toutes les considérations autour de l'homme conformément à sa dénomination », a expliqué Achille Kangni. Ce parcours est donc décisif et incite à un grand bond. « Nous avons donc réussi à faire naître dans le cœur de nos populations qui, pour beaucoup, entretenaient encore une méfiance vis-à-vis du discours politique, l'espoir d'une nouvelle épopée de l'engagement citoyen », souligne le président du mouvement. Il ajoute que « si nos actions ont été essentiellement conduites dans la 17e circonscription électorale, nos idées, quant à elles, sont suivies sur l'ensemble du territoire national avec ravissement ».
Des défis louables
Aujourd'hui, comme toujours, M. Kangni nourrit des ambitions qui visent le bien être de sa communauté. « Notre engagement continue à réfléchir sur des questions communautaires, notre engagement au profit de la masse, notre foi inébranlable nous ont permis de gagner l'estime de milliers de partisans qui veulent nous voir à la commande de l'action publique », précise le président. Confiant qu'il porte une lourde charge, il souligne que « Posséder une part du pouvoir pour actionner les leviers de développement, voilà l'une des nobles aspirations attachées à la vie de tout mouvement politique inscrit dans une démarche sérieuse. Le mouvement Amèhouga que nous portons, ne saurait rester en marge de cette caractéristique capitale du système partisan ».
Le président appelle donc à de nouvelles stratégies visant à se conformer aux dispositions actuelles notamment celles exigées par les réformes politiques enclenchées par le chef de l'Etat.
« Pour y parvenir, nous devons notamment révolutionner nos stratégies, nos modes de pensées et nous adapter aux conditions que définissent les réformes politiques actuellement en cours dans notre pays », explique-t-il. Il met l'accent sur cette exigence qui contraint chaque mouvement ou parti à s'aligner pour la meilleure danse. Ainsi, dira-t-il que « Le vote de la loi portant code électoral intervenu, le 3 septembre 2018, au Palais des gouverneurs contraint les formations politiques ayant les mêmes idéaux à se constituer en de grands blocs dans le dessein de l'assainissement du paysage politique ».
Tout en saluant ce qu'il appelle l'approche intelligente portée par la majorité des élus logés à l'Assemblée nationale, il pense que « le nouveau code électoral, si la haute juridiction en matière constitutionnelle le déclarait conforme à la Loi fondamentale, constituerait l'une des réformes majeures du quinquennat du président Patrice Talon, car elle a le mérite d'amener les acteurs de l'arène politique à travailler de concert pour enrichir l'offre politique ». Achille Kangni dira alors que « Notre mouvement est ainsi appelé à se fondre, sans renoncer à ses idées, dans un grand bloc afin de participer à l'animation de la vie politique que nous voulons enrichissante. Cette fusion, qui s'annonce inévitable, ouvrira pour notre mouvement une nouvelle ère qui nous contraint à intensifier notre militantisme dans la dynamique de constituer un pôle majeur dans l'environnement politique ». Il fait donc appel à la réflexion approfondie et minutieuses de ses partisans. Une réflexion qu'il estime honnête et rationnelle afin de propulser le mouvement Amèhouga vers une formation d'envergure nationale. Ceci dans le but d'actionner chez les populations de la 17ème les visions et les actions nobles du chef de l'Etat Patrice Talon. Ce dernier qui dans son programme d'actions n'a pas oublié d'en faire bénéficier les populations de ladite circonscription électorale.
Giscard AMOUSSOU
Encadré : Les grandes décisions du congrès
Le mouvement Amèhouga s'est réuni en congrès extraordinaire ce jour 29 septembre 2018 à Comè
Les décisions ci-après ont été adoptées à l'unanimité des participants venus de tous les arrondissements de la 17e circonscription électorale.
Considérant que le Mouvement Amèhouga a activement soutenu au second tour des élections présidentielles le président Patrice Talon
Considérant les grandes ambitions déclinées dans le programme d'actions du gouvernement,
Considérant les projets que porte le programme ARCH dont sont bénéficiaires les communes de la 17e circonscription électorale,
Vu la lutte contre la corruption pour l'assainissement de la gestion publique ;
Considérant les avancées sur le plan sécuritaire depuis l'avènement du président Patrice Talon,
Considérant la portée heureuse de la réforme du système partisan qui a le mérite de sonner le glas des partis et mouvements à relents régionalistes et ethniques,
Espérant que les programmes sociaux économiques enclenchés par le président Patrice Talon impacteront le quotidien de nos population,
Le mouvement Amèhouga s'engage résolument à accompagner les actions du gouvernement conduit par le président Patrice Talon.
Le congrès donne plein droit à Achille Kangni de conduire des discussions avec les blocs en gestation se réclamant de la mouvance présidentielle.
Par la suite, les congressistes ont formulé une recommandation à l'endroit du président Achille Kangni et une résolution.
Recommandation :
Le congrès recommande à notre président de mener les négociations nécessaires afin d'obtenir un bon positionnement sur une liste dans la perspective des prochaines élections législatives.
Résolution :
Les participants s'engagent à s'investir pleinement pour la victoire de notre président aux prochaines législatives.
Fait à Comé, le 29 septembre 2018
Le ministre des Affaires religieuses et des wakfs, Mohamed Aissa, a indiqué que l’Algérie vit aujourd’hui dans la stabilité et la sécurité après des années difficiles grâce à la réconciliation nationale. Il a souligné le rôle des imams qui ont sacrifié leur vie à l’époque, pour lutter contre le terrorisme et combattre les idéologies de division, et la radicalisation.
A l’occasion de la célébration du 13e anniversaire de l’adoption de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, Mohamed Aissa a affirmé que grâce à la réconciliation nationale, « il n’y a plus de radicalisation en Algérie. L’Algérie a pu éliminer toutes les formes de terrorisme ». Il ajoute : « Encore mieux, aujourd’hui, elle exporte son expérience en matière de lutte contre ces phénomènes périlleux aux autres pays du monde frappés par l’insécurité ». M. Aissa a affirmé, en outre, que les efforts sont, à l’heure actuelle, porté sur l’immunisation des jeunes n’ayant pas vécu les années 1990 et qui sont la cible de certaines parties cherchant à semer le sectarisme parmi eux. « La réconciliation nationale, qui a été instauré par la Constitution, n’a pas seulement fait revenir la paix en Algérie, elle permettra aussi aux Algériens de ne pas oublier ce qui s’est passé et de rester très vigilants pour éviter de déstabiliser le pays », a-t-il souligné.
Il a rappelé, dans ce cadre, que l’Algérie a vaincu le terrorisme et contrecarré toute tentative de déstabilisation grâce à « un sursaut spirituel et religieux et grâce au référent national et aux lois de la République qui interdisent la fomentation de la haine, du racisme, des doctrines et de l’atteinte à l’ordre public ». L’Algérie, après avoir lutté contre le terrorisme et tari ses sources, « fait face à certaines parties qui veulent introduire certaines sectes en Algérie afin de répandre les idées de l’idéologie takfiriste », a assuré le ministre. Rappelant que « l’Algérie a initié la Journée internationale du vivre-ensemble en paix », M. Aissa a soutenu que « cette initiative a vu le jour au sein des mosquées et des zaouïas et qu’aucun Etat n’a hésité à l’approuver ». Le ministre a tenu à évoquer le rôle des imams des mosquées durant la tragédie nationale. « 114 imams chouhada ont refusé de s’incliner devant les terroristes.
Ils ont sacrifié leur vie en raison de leur refus de laisser leurs mihrabs et d’émettre des fetwas pour approuver les actions terroristes criminelles. Ils ont refusé de vendre l’Algérie et de trahir nos martyrs algériens », a soutenu le ministre. Le ministre a mis en exergue le rôle des centres culturels qui, selon lui, « doit être complémentaire avec le rôle des mosquées et les programmes de ce centre doivent être en harmonie avec ceux des institutions nationales et de l’Etat ». Par ailleurs, le ministre a fait savoir que le cahier des charges spécifique au hadj et à la omra a été révisé conformément aux lois en vigueur et sera publié au cours de cette semaine.
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Environ 3 000 travailleurs du complexe sidérurgique d’El-Hadjar ont tenu un sit-in de protestation conte le député de la wilaya d’Annaba, Baha Eddine Tliba, pour son intrusion dans les affaires dudit complexe.
Les sidérurgistes en colère ont exigé la levée de l’immunité parlementaire du député Tliba et l’ouverture d’une enquête concernant les différents marchés qu’il a obtenus illégalement il y a peu de temps. Les protestataires, réunis devant le siège du syndicat d’entreprise, parlent de plusieurs gros marchés accordés sans respecter la réglementation en vigueur.
On parle aussi de trafic d’influence dans la vente des produits sidérurgiques. Pour rappel, cette protestation intervient après l’assemblée des travailleurs, il y a presque deux semaines, exigeant la suspension du syndicat d’entreprise et son renouvellement immédiat. Plusieurs siderurgistes rencontrés ne cachent pas que « si le complexe sidérurgique n’arrive toujours pas à se relever, c’est à cause des affairistes de tous bords (…) On vole l’Etat et la sueur des travailleurs. Aujourd’hui, nous avons tenu notre protestation et nous n’avons pas arrêté la production ; toutes les installations industrielles fonctionnent ». A noter que l’imposante protestation des travailleurs du complexe sidérurgique d’El-Hadjar est la seconde, après celle de la semaine dernière à Ain-Berda (wilaya d’Annaba) où les habitants de cette localité avaient crié leur ras- le- bol contre le sulfureux député Baha Eddine Tliba.
A Annaba, des dizaines de citoyens, et même des militants du parti politique FLN de Tliba, se sont constitués en comité pour organiser, selon leurs dires, une grande marche pour chasser le député milliardaire. Enfin, sur les réseaux sociaux, une ancienne photo montrant Tliba avec le nouveau wali d’Annaba a provoqué l’ire des internautes et les annabis ne se « voient pas encore sortis de l’auberge », lit-on sur un des commentaires.
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Volkswagen et Microsoft collaboreront étroitement pour accélérer la transformation digitale de Volkswagen, le constructeur allemand optant pour la plateforme Microsoft Azure comme base de son « Automotive Cloud » et pour les services automobiles connectés de sa flotte.
En concluant un partenariat stratégique, Volkswagen et Microsoft Corp. collaboreront au développement de « Volkswagen Automotive Cloud », un des plus grands clouds dédiés à l’industrie de l’automobile pour tous les services numériques et offres de mobilité futurs de Volkswagen. Le Conseil de surveillance de Volkswagen AG a approuvé, aujourd’hui, la conclusion d’un accord à cet effet entre Volkswagen et Microsoft.
À compter de 2020, chaque année plus de 5 millions de nouveaux véhicules de la marque Volkswagen seront entièrement connectés et feront partie de l’Internet des objets (IdO) dans le cloud. Le partenariat poussé entre les deux sociétés posera les bases pour combiner l’expertise de Microsoft concernant le cloud mondial à l’expérience de Volkswagen en tant que constructeur automobile ayant une présence sur le marché mondial. Ensemble, les deux sociétés développeront la base technologique pour un cloud automobile industriel complet. Dans le futur, tous les services embarqués pour les véhicules de la marque principale de Volkswagen ainsi que la plateforme basée sur le cloud à l’échelle du Groupe (aussi appelée One Digital Platform, ODP) seront créés sur la plateforme et les services cloud Azure de Microsoft ainsi que sur Azure IoT Edge. Cela simplifiera sensiblement le paysage technique.
Grâce au « Volkswagen Automotive Cloud », Volkswagen optimisera considérablement l’interconnexion entre les services à bord du véhicule, ceux de la plateforme basée sur le cloud et les services orientés client pour toutes les marques, comme l’écosystème « Volkswagen We ». En créant le « Volkswagen Automotive Cloud », Volkswagen sera en mesure d’optimiser les services de mobilité cohérents et de fournir de nouveaux services et solutions, comme les expériences clients, la télématique et de connecter en toute sécurité les données entre la voiture et le cloud.
Dans le cadre de la nouvelle entité, Volkswagen créera un nouveau bureau de développement du cloud automobile en Amérique du Nord, à proximité du siège de Microsoft. Pour aider à entrer dans une nouvelle vague de transformation automobile, Microsoft apportera un soutien pratique à Volkswagen pendant le lancement de son nouveau bureau de développement du cloud automobile, dont des ressources pour aider à mener le recrutement, la gestion des ressources humaines et des services de conseil. Les effectifs devraient se développer pour atteindre environ 300 ingénieurs dans un avenir proche.
Au-delà des raisons technologiques du partenariat, Microsoft fournit l’accès à l’expertise cloud au sein de son organisation afin que les développeurs et les ingénieurs de Volkswagen puissent bénéficier et apprendre de la forte culture de collaboration et de flexibilité de Microsoft et transférer ces expériences dans l’organisation centrale de Volkswagen.
À long terme, les solutions développées dans le cadre du partenariat stratégique seront déployées au niveau des autres marques du Groupe Volkswagen dans toutes les régions du monde, posant ainsi les bases de tous les services orientés client des marques. Cela comprend la gamme électrique ID. de Volkswagen, ainsi que les modèles à propulsion conventionnelle. Dans le futur, la flotte de voitures de Volkswagen se transformera en hubs mobiles de l’ « Internet des objets » reliés par Microsoft Azure.
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Mercedes a choisi Lewis Hamilton quitte à créer la polémique : le Britannique s’est vu offrir la victoire au Grand Prix de Russie par son équipe, qui a demandé à Valtteri Bottas de lui céder la première place dimanche.
Avec cinq manches encore à disputer, le Britannique compte désormais 50 points d’avance sur son dauphin au classement des pilotes, l’Allemand Sebastian Vettel (Ferrari), 3e sur le circuit de Sotchi.
L’écurie allemande avait prévenu qu’elle ne s’interdirait pas de donner des consignes à ses pilotes quand les titres seraient en jeu, une manoeuvre controversée mais autorisée.
Cette victoire d’Hamilton devant son coéquipier fait doublement ses affaires, chez les pilotes et chez les constructeurs, car la marque à l’étoile compte désormais 53 points d’avance sur Ferrari.
« C’est décevant pour un pilote et une équipe, a immédiatement reconnu Toto Wolff, le patron des Flèches d’argent. Mais la dure réalité a voulu que l’on puisse augmenter notre avance dans un Championnat qui a été très compliqué par moments. Parfois, il faut faire ce genre de choix et c’est ce qu’on a fait aujourd’hui. »
Bottas, parti en pole position devant son leader, s’est effacé au 25e tour après en avoir reçu l’ordre par radio. « Lewis était en danger face à Vettel. Il avait une petite cloque (sur son pneu arrière gauche) », lui a-t-on ensuite expliqué.
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Les auteurs ayant commis des délits par le biais d'un système informatique sont punis par la loi. Le code du numérique en République du Bénin définit clairement les peines encourues pour entres autres l'injure, l'incitation à la haine, à la violence, à la rébellion, la provocation de crime ou de délit en utilisant un système informatique.
Selon le code du numérique, l'injure avec une motivation raciste et xénophobe commise par le biais d'un système informatique est puni par la loi. L'article 551 le mentionne comme suit « Quiconque profère, intentionnellement, une insulte publique par le biais d'un système informatique envers une personne en raison de son appartenance à un groupe qui se caractérise par la race, la couleur, l'ascendance ou l'origine nationale ou ethnique, ou la religion ou l'opinion politique dans la mesure où cette appartenance sert de prétexte à l'un ou l'autre de ces éléments, ou un groupe de personnes qui se distingue par une de ces caractéristiques est puni d'un emprisonnement de six (06) mois à sept (07) ans et d'une amende de un million (1 000 000) à dix millions (10 000 000) de francs CFA.
L'incitation à la haine et à la violence constituent aussi des délits qui sont punis par le code du numérique respectivement en son article 552 et 553. « Quiconque aura provoqué à la discrimination, à la haine ou à la violence à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de l'appartenance à une race, à une couleur, à une origine nationale ou ethnique, à la religion, à l'appartenance sexuelle, ou à un handicap au moyen d'un ou sur un réseau de communication électronique ou un système informatique, est puni de un (01) an d'emprisonnement et de cinq millions (5 000 000) de francs CFA d'amende ou de l'une de ces deux peines seulement », indique l'article 552. Quant à l'article 553, il signale que « La provocation directe à la rébellion au moyen d'un ou sur un réseau de communication électronique ou un système informatique est punie de six (06) mois d'emprisonnement et de deux millions (2 000 000) à dix millions (10 0000 000) de francs CFA d'amende ».
Les complices ayant provoqués un crime ou un délit sont aussi punis conformément à l'article 554 du code qui stipule que « Seront punis comme complices d'une action qualifiée de crime ou de délit, ceux qui au moyen d'un ou sur un réseau de communication électronique ou un système informatique auront directement provoqué l'auteur ou les auteurs à commettre ladite action, si la provocation a été suivie d'effet ».
Sont également punis par l'article 555 du code « ceux qui, par l'un des moyens énoncés à l'article précédent, auront directement provoqué, dans le cas où cette provocation n'aurait pas été suivie d'effet, à commettre l'une des infractions suivantes au moyen d'un ou sur un réseau de communication électronique ou un système informatique : les atteintes à la vie de la personne, les atteintes à l'intégrité physique de la personne et les agressions sexuelles, définies par le code pénal ; les vols, les extorsions dangereuses pour les personnes, définis par le code pénal ». Ils encourent une peine de un (01) an d'emprisonnement et de cinq millions (5 000 000) de francs CFA d'amende.
La négation, minimisation grossière, approbation ou justification d'un génocide ou de crimes contre l'humanité mentionnée à l'article 556 est punissable par la loi. Est punie d'un emprisonnement de 06 mois à sept 07 ans et d'une amende de un million à dix millions de francs CFA « une personne qui diffuse ou met à disposition par le biais d'un système informatique des données qui nient, minimisent de manière grossière, approuvent ou justifient des actes constitutifs de génocide ou de crimes contre l'humanité tels que définis par le droit international et reconnus comme tels par une décision finale et définitive d'un tribunal national ou d'un tribunal international établi par des instruments internationaux pertinents et dont la juridiction est reconnue ».
Aussi, est-il puni par la loi l'incitation ou provocation à la commission d'actes terroristes et apologie des actes terroristes. Cela est indiqué à l'article 557 comme suit « Quiconque aura, au moyen d'un ou sur un réseau de communication électronique ou un système informatique, incité ou provoqué directement des actes de terrorisme est puni de dix (10) ans d'emprisonnement et de vingt cinq millions (25 000 000) de francs CFA d'amende »
Les auteurs des infractions de presse (diffamation, injure publique, apologie de crime) par le biais d'une communication électronique sont punis des mêmes peines que celles prévues par la loi n° 2015-07 du 20 mars 2015 portant code de l'information et de la communication en vigueur, quel qu'en soit le support conformément à l'article 558.
Selon l'article 559 relatif au droit de réponse « Toute personne nommée ou désignée au moyen d'un ou sur un réseau de communication électronique ou un système informatique, dispose d'un droit de réponse, sans préjudice des demandes de correction ou de suppression du message qu'elle peut adresser au service ». Cette personne renseigne l'article est présentée au plus tard dans un délai de trois 3 mois à compter de la mise à disposition du public du message justifiant cette demande. Le directeur de la publication est tenu d'insérer dans les 03 jours de leur réception, les réponses de toute personne nommée ou désignée dans le service de communication au public en ligne sous peine d'une amende 500 000 francs CFA.
Les peines encourues par un fournisseur de services lorsqu'il divulgue des détails d'une enquête sont évoquées à l'article 60. Il est puni d'un emprisonnement de un (01) mois à deux (02) ans, ou d'une amende maximale de cinq millions (5 000 000) de francs CFA ou de l'une de ces peines seulement lorsque dans le cadre d'une enquête pénale, le fournisseur « reçoit une injonction stipulant explicitement que la confidentialité doit être maintenue, ou lorsqu'une telle obligation est énoncée par la loi, et qui, sans motif ou justification légitime, ou en se prévalant à tort d'un motif ou d'une justification légitime, divulgue de manière intentionnelle : le fait qu'une injonction ait été émise ; toute action réalisée aux termes de l'injonction ; ou toute donnée collectée ou enregistrée aux termes de l'injonction ». Cet article signale que « L'obligation de confidentialité prévue à l'alinéa 1 ne s'applique pas en cas de consentement exprès de l'auteur ou du destinataire de la communication et d'interception d'une communication privée sur mandat de justice ».
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
L’alimentation est devenue le poste budgétaire le plus important des familles algériennes. Selon le président de la Fédération algérienne des consommateurs, Zaki Hariz , les Algériens dépensent 60% de leurs salaires dans l’alimentation. Mr Zaki Hariz a souligné que la planche à billet serait la principale cause de ce fléau qui touche le citoyen algérien.
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Le bracelet électronique est une réalité, selon certains témoignages cette expérience représente une réussite dans le système judiciaire algérien.
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Sauvetage héroïque d’un enfant coincé à Oued Chetma, wilaya de Biskra.
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L’Algérie serait dans la liste noire américaine parce qu’elle achète des armes russes. Ce qui risque de lui valoir des sanctions en vertu de la loi dite CAATSA (Countering America’s Adversaries Through Sanctions Act) de 2017, qui impose des sanctions contre toute personne ou entité ayant eu des liens avec les secteurs de la Défense ou du renseignement russes.
C’est ce que rapporte le magazine Geopolis. Les sanctions ne visent pas directement l’Algérie mais à affaiblir la Russie. Officiellement, il n’y a aucune réaction d’Alger.
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Donald Trump a fait rire les dirigeants de la planète réunis à l’ONU en vantant, à la tribune de l’Assemblée générale, son propre bilan, le meilleur à ses yeux dans l’Histoire des Etats-Unis.
Rappelant avoir évoqué il y a un an, lors de cette même grand-messe annuelle des Nations unies, “les menaces auxquelles est confronté notre monde”, le président américain a expliqué vouloir “partager les progrès extraordinaires qui ont été faits”.
“En moins de deux ans, mon administration a accompli plus que quasiment toute autre administration dans l’Histoire de notre pays”, a-t-il lancé.
Probablement moins habitués que les Américains aux satisfecits et superlatifs que s’octroie à longueur d’interventions publiques le milliardaire républicain, plusieurs membres de l’assistance-chefs d’Etat et de gouvernement, ministres, ambassadeurs des 193 pays membres de l’organisation mondiale-ont alors souri.
“C’est tellement vrai”, a-t-il insisté, provoquant à ce moment-là des rires plus francs. “Je ne m’attendais pas à cette réaction, mais ça va”, a-t-il ajouté en souriant lui-même.
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Les préfabriqués envoyés, en septembre 2017 par l’Algérie après le passage de l’ouragan Irma à Saint-Martin, sur l’île des Antilles françaises, n’ont jamais servi. C’est ce qu’a rapporté le quotidien Le Monde qui révèle que, malgré la difficile convalescence et un retour à la normale qui risque de s’inscrire dans la durée, des dizaines de préfabriqués envoyés par l’Algérie, en guise de solidarité, sont encore tassés dans le quartier de Concordia, à Marigot, où le président français Emmanuel Macron s’était rendu hier pour constater que la reconstruction de certaines zones était souvent anarchique
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“Les mémoires blessées de la guerre d’Algérie”, tel est l’intitulé d’une conférence qui sera animée, mardi, au Collège Sévigné, à Paris. Durant cette conférence qui sera donnée par Benjamin Stora, professeur en histoire à l’université Paris XIII et président du Conseil d’orientation du Musée national de l’histoire de l’immigration, les participants débattront notamment de la torture, des disparus, de la mémoire encore confisquée, des archives, de la reconnaissance officielle de Paris de l’assassinat de Maurice Audin et de la promotion des harkis au rang d’auxiliaires de l’armée française.
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