Si la situation actuelle venait à perdurer au Yémen, environ 14 millions de personnes pourraient se trouver en situation de pré-famine dans les mois à venir, s’est inquiété le Secrétaire adjoint de l’ONU pour les Affaires humanitaires, Mark Lowcock.
« La situation humanitaire au Yémen est la pire au monde. 75% de la population, soit 22 millions de personnes, ont besoin d’une aide et de protection, dont 8,4 millions sont en situation d’insécurité alimentaire grave et dépendent d’un apport en nourriture urgent », a fait savoir celui-ci à l’intention des quinze membres du Conseil de sécurité.
« Dans le pire cas, a-t-il ajouté, ce chiffre de 8,4 millions pourrait augmenter de 5,6 millions, mettant le nombre total de personnes au Yémen en conditions de pré-famine à 14 millions ».
Le 16 octobre, le Programme alimentaire mondial (PAM) avait annoncé craindre que jusqu’à douze millions de personnes pourraient être touchées par la famine dans les mois à venir.
« La crise alimentaire au Yémen est directement liée au conflit » qui sévit dans le pays, a encore rappelé M. Mark Lowcock.
Pour faire face à la crise, la poursuite de dons généreux est capitale, tout comme le maintien et même le développement des importations via tous les ports, a-t-il souligné.
Depuis 2015, le Yémen est soumis à une guerre opposant les rebelles Houthis, qui contrôlent le port d’Hodeida et la capitale Sanaa, à une coalition de pays Arabes sous commandement Saoudien.
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ALGER- L’Assemblée populaire nationale (APN) tiendra mercredi une séance plénière qui sera consacrée à l’adoption du rapport de la Commission des Affaires juridiques, administratives et des libertés relatif à la constatation de la vacance du poste de président de l’APN et l’élection d’un nouveau président de l’Assemeblée en remplacement à Said Bouhadja qui a fait l’objet d’un retrait de confiance de la part de la majorité des députés.
Le Bureau de l’APN a décidé, lundi, de tenir une plénière, ce mercredi, qui sera consacrée à l’adoption du rapport de la Commission des affaires juridiques, administratives et des libertés relatif à la constatation de la vacance du poste de président de l’Assemblée et sera procédé, par la suite, à l’élection d’un nouveau président de l’APN, dont le poste avait été déclaré, la semaine dernière, vacant après la signature par la majorité des députés (351) d’une motion de retrait de confiance au président de l’APN dans laquelle il ont exigé sa démission.
Le Bureau de l’APN avait décidé également de saisir la Commission des affaires juridiques, administratives et des libertés afin de soumettre le rapport relatif à la constatation de la vacance du poste de président de l’Assemblée dans un délai n’excédant pas une semaine.
L’élection du président de l’APN est régie par la Constitution, la Loi organique fixant l’organisation et le fonctionnement de l’APN et du Conseil de la Nation ainsi que les relations fonctionnelles entre les chambres du Parlement et le gouvernement, et le règlement intérieur de l’Assemblée.
Selon cette loi organique, le président de l’APN est élu conformément aux dispositions de l’article 131 de la Constitution. Le règlement intérieur précise les modalités de cette élection.
En effet, selon l’article 10 du règlement intérieur de l’APN, en cas de vacance de la présidence de l’APN par suite de démission, d’incapacité, d’incompatibilité ou de décès, il est procédé à l’élection du président de l’Assemblée suivant les mêmes modalités prévues par le règlement intérieur dans un délai maximum de 15 jours à compter de la déclaration de la vacance.
Le Bureau de l’APN se réunit obligatoirement pour constater la vacance et saisir la Commission chargée des affaires juridiques.
La Commission élabore un rapport constatant la vacance et le soumet en séance plénière à l’adoption de la majorité des membres de l’Assemblée.
Dans ce cas, l’opération de l’élection est dirigée par le doyen des vice-présidents non candidat assisté des deux plus jeunes membres de l’APN.
Selon l’article 3 du règlement intérieur de l’APN et conformément à l’article 114 de la Constitution et l’article 11 de la loi organique fixant l’organisation et le fonctionnement de l’APN et du Conseil de la Nation ainsi que les relations fonctionnelles entre les chambres du Parlement et le Gouvernement, le président de l’APN est élu au scrutin secret en cas de pluralité de candidats.
Le candidat ayant obtenu la majorité absolue des députés est déclaré élu.
En cas d’absence de majorité absolue, un deuxième tour est organisé entre les deux premiers candidats ayant obtenu le plus grand nombre de voix.
Le candidat ayant obtenu la majorité est déclaré élu. En cas d’égalité des voix, le candidat le plus âgé est déclaré élu. En cas de candidat unique, l’élection est effectuée à main levée et il est déclaré élu s’il obtient la majorité des voix.
Neuf personnalités se sont succédées à la tête de l’APN depuis 1977 : Rabah Bitat, Abdelaziz Belkhadem, Abdelkader Bensalah (président de Conseil national de transition) de mai 1994 à mai1997 puis président de l’APN de mai 1997 à juin 2002, Karim Younes, Amar Saâdani, Abdelaziz Ziari, Mohamed Larbi Ould Khelifa et Saïd Bouhadja.
Ferhat Abbes a été président de l’Assemblée constituante de septembre 1962 au mois d’août 1963, Hadj Benala a été président de l’Assemblée nationale d’août 1963 à juin 1965 et Reda Malek a assuré la présidence du Conseil consultatif de 1992 à 1994.
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ALGER – Le ministre de la Communication, Djamel Kaouane a soutenu lundi à Alger que l’Etat oeuvrait « continuellement » pour garantir un climat de pluralité médiatique pour assurer un exercice professionnel du métier.
« L’Etat oeuvrait continuellement pour garantir un climat de pluralité médiatique pour assurer un exercice professionnel du métier, notamment à la lumière de la révolution de l’information », a-t-il indiqué lors de la cérémonie de remise du prix du président de la République du journaliste professionnel attribué à l’occasion de la Journée nationale de la presse en présence des membres du gouvernement.
La 4ème édition du prix du président de la République du journaliste professionnel, organisée sous le thème « »Vivre ensemble en paix », a été marquée par le recueil de 286 dossiers dans différentes catégories de la presse .
M.Kaouane a ajouté que l’Algérie avait assuré des garanties juridiques « conséquentes » et de « grandes » facilitations à même de permettre au journaliste d’accomplir correctement son travail d’information du citoyen.
M.Kaouane a rappelé que le président de la République avait indiqué dans son message adressé à l’occasion de la célébration de la Journée nationale de la presse que « le souci de l’Algérie de développer une presse nationale professionnelle et indépendante s’est manifesté aussi à travers les nombreuses réformes introduites dans la Constitution de notre pays.
Des réformes visant à consolider la liberté de presse et le droit des médias à l’accès à l’information en plaçant cette profession sous le couvert de la loi, qui protège toutes les libertés et impose le respect de tous les devoirs ».
Le ministre de la Communication a indiqué que les médias nationaux avaient contribué à la défense des peuples dans leur combat pour l’indépendance et leur dignité humaine, bâtissant ainsi une atmosphère de paix pour un vivre ensemble dans la concorde, le pardon et la solidarité.
M.Kaouane a également indiqué que le président Bouteflika avait soutenu que « souligner les insuffisances existant à travers notre vaste pays ou les dérives enregistrées ici et là, est une contribution précieuse de nos médias au redressement de la situation et au renforcement de l’Etat de droit ».
« Partant, je vous exhorte, vous journalistes, de jouer votre rôle dans ce sens et de contribuer à l’orientation de la société vers le droit chemin, en vous assurant de la protection de lEtat et de la Loi », a ajouté le chef de l’Etat.
« Notre patrie attend de nous de la servir avec dévouement et abnégation, d’agir pour la manifestation de la vérité au service du pays et de son peuple et de veiller à la préservation de son intégrité, et à la sensibilisation à l’importance de sa sauvegarde », a encore souligné le président de la République.
M.Kaouane a relevé que le peuple algérien était à la tête des peuples qui mesurent totalement la valeur de la paix, car a-t-il indiqué, il avait payé le prix fort avec le sacrifice de ses meilleurs martyrs et moudjahidines à travers l’histoire.
Il a indiqué que le traitement des sujets relatifs à la paix permettait aux journalistes de s’insérer par anticipation dans les programmes de développement humain durable, notamment en messager de la paix, ajoutant que le courage et le libre exercice du métier sont des éléments essentiels ayant permis de faire face aux discours de la violence, de division et de la haine pour ainsi mobiliser l’opinion à la défense des valeurs de paix et de la solidarité.
Il a relevé que les valeurs qui sont le dénominateur commun entre les algériens avaient besoin d’effort collectif pour les inculquer aux générations futures, puisque ces valeurs sont l’héritier naturel de ceux qui se sont sacrifiés pour ce pays.
M.Kaouane a indiqué que les professionnels des médias ont pour tâche de faire prévaloir le langage du dialogue et de la solidarité au sein de la société, ainsi que de propager l’idée selon laquelle les Algériens ont la puissance pour tisser la paix, la réconciliation et la concorde.
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ALGER- Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui a appelé, lundi à Alger, les journalistes à poursuivre leurs efforts pour préserver la paix et la stabilité dont jouit l’Algérie, dans le but de réaliser le développement global.
Intervenant lors d’une cérémonie organisé en l’honneur des journalistes, à l’occasion de la journée nationale de la presse, M. Bedoui a exhorté les journalistes et les médias à « poursuivre leurs efforts pour préserver la paix et la stabilité dont jouit l’Algérie aujourd’hui grâce à la vision éclairée du président de la République, Abdelaziz Bouteflika afin de concrétiser un développement national global au service du citoyen en premier lieu ».
Il a appelé également les journalistes de la nouvelle génération à « s’ériger en rempart contre toute tentative visant à menacer l’identité nationale et la cohésion sociale », soulignant qu' »en dépit des complots ourdis, ça et là, je demeure convaincu que vous ne ménagerez aucun effort pour le maintien de la sécurité culturelle, morale et religieuse de votre pays ».
M.Bedoui a mis en avant l’importance de « publier des informations crédibles à même de renforcer l’unité nationale et préserver les constances de la nation ».
Il a ajouté que la presse constituait « un partenaire » de son département, un accompagnateur dans le suivi des ateliers relevant de son secteur, de par « son rôle primordial d’intermédiaire qui transmet les préoccupations et les aspirations du citoyen ».
M.Bedoui s’est félicité des « grands pas franchis par les médias qui jouissent d’une large marge de liberté d’expression », mettant en avant « les nouveaux acquis réalisés par l’Algérie dans ce domaine grâce à la décision du président de la République, Abdelaziz Bouteflika oeuvrant à la constitutionnalisation de la liberté de la presse ».
Au terme de la cérémonie, M. Bedoui a rappelé que « cet événement est placé sous le thème +vivre ensemble en paix+, au vu du rôle que jouent les médias dans la consécration de la culture de réconciliation, de tolérance, de coexistence, et l’esprit du travail en équipe dans le processus de construction du pays ».
Ces médias doivent « oeuvrer à écarter tout ce qui pourrait porter atteinte aux valeurs nationales et semer la Fitna entre les enfants de l’Algérie, tout en veillant à préserver la paix », a-t-il conclu.
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EL OUED- La ministre de l’Education nationale, Nouria Benghebrit a mis en avant ,lundi à El Oued, l’importance de la formation pédagogique et la qualité de la performance d’orientation des inspecteurs dans l’amélioration du rendement pédagogique à l’école.
S’exprimant lors d’une rencontre avec les cadres du secteur de l’éducation à la grande salle des réunions au siège de la wilaya, Mme Benghabrit a affirmé que son département ministériel accordait un intérêt particulier au mécanisme de la formation notamment au profit des inspecteurs et directeurs des établissements scolaires, partant de leur rôle important dans la réalisation des objectifs visant à concrétiser le projet de « l’école de qualité ».
La ministre de l’Education nationale a souligné, à ce propos, l’intérêt accordé par ses services à la concrétisation de cette stratégie de formation en faveur de cette catégorie en vue d’améliorer les pratiques pédagogiques à l’intérieur des classes, renforcer les compétences de médiation et de règlement des conflits, et ce eu égard du rôle important de ces catégories dans « la résolution des conflits entre les élèves, les enseignants, les parents d’élèves et l’administration ».
Dans le cadre du programme de formation élaboré, Mme Benghabrit a indiqué qu’il a été procédé durant la précédente année scolaire à la formation de 181 directeurs d’établissement en matière de direction des projets, ajoutant que 1215 inspecteurs d’administration et de gestion financière ont suivi une formation sur la médiation et le règlement des conflits.
Il s’agit également de la formation de 586 inspecteurs en matière de lutte contre la corruption, en sus de 1965 sessions de formation en faveur des directeurs et directeurs adjoints ainsi que 641 formations pour les inspecteurs.
Elle a ajouté, à ce propos, que son département misait sur le rôle primordial des inspecteurs et directeurs d’établissements scolaire, notamment en matière d’orientation, de conseil et de consultation, des axes, a-t-elle dit, aussi bien important que celui du contrôle pour la performance des enseignants.
Mme Benghabrit a plaidé, dans le même cadre, pour l’obligation de former l’identité professionnelle des travailleurs du secteur de l’Education, à travers le mécanisme de formation, car,a-t-elle ajouté, cette identité professionnelle n’est ni accordée ou acquise, elle est développée dans les instituts de formation et se nourrit de la pratique quotidienne de l’enseignant professeur en milieu professionnel.
Concernant la circulaire-cadre relative aux « séances de remédiation pédagogique » qui a suscité la consternation chez les partenaires sociaux, Mme Benghabrit a affirmé dans une conférence de presse en marge de sa visite de travail et d’inspection dans la wilaya d’El Oued, que cette circulaire est la résultante d’un travail mené par des experts, durant plus de quatre (04) années, et qui a prouvé son impérieuse nécessité en vue de remédier au déficit relevé dans l’instruction éducative et pédagogique chez les élèves.
Cette circulaire n’est pas obligatoire, mais le choix de son application revient au professeur,a-t-elle soutenu, relevant que ses services avaient relevé que plusieurs enseignants avaient effectué des séances de remédiation pédagogique, en vue d’améliorer l’instruction scientifique de leurs élèves, car,poursuit la ministre, ces séances ont eu lieu, d’ailleurs, en réponse aux revendications d’une grande catégorie des enseignants.
La ministre de lEducation nationale, Nouria Benghabrit a effectué, lundi matin, une visite d’inspection dans l’école primaire Larbi Benni 02 dans le commune de Guemar, et procédé à l’inauguration du groupement scolaire baptisé au nom de cheikh Sidi Hmida Yanboui dans la commune de Taghezout,
en sus d’un lycée de 800 places, baptisé au nom du défunt Sandid Mohamed Mounib réalisé dans la commune de Kouinine.
La ministre a inspecté aussi, au quartier Taksebt au centre-ville à El-Oued, le collège denseignement moyen Tyr Hocine et a inauguré, par ailleurs, une école primaire baptisé du nom du Chahid Ferhat Hmida Bachir.
Mme Benghabrit s’est rendue, ensuite, au siège de la radio d’El Oued où elle était invitée à une émission spéciale diffusée en direct.
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ALGER – L’Algérie a joué des « rôles historiques très importants » pour le rétablissement de la paix et de la sécurité dans le monde, a soutenu lundi soir à Alger le diplomate et ancien ministre des Affaires étrangères, Lakhdar Brahimi.
« L’Algérie a joué effectivement des rôles historiques très importants pour le rétablissement de la paix et de la sécurité », dans le monde a-t-il indiqué, en marge de la cérémonie de remise du prix du président de la République du journaliste professionnel attribué à l’occasion de la Journée nationale de la presse en présence des membres du gouvernement.
m.Brahimi a ajouté, dans ce sens que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika a accompli beaucoup d’exploits et s’est illustré lorsqu’il était ministre des Affaires étrangères durant les années 70, alors qu’il présidait l’Assemblée générale des Nations unies, permettant l’entrée du leader charismatique palestinien Yasser Arafat dans les travées de l’ONU et de chasser les représentants sud-africains qui incarnaient le régime de l’Apartheid.
« Ses postions (Bouteflika) et les positions de l’Algérie sont innombrables et très honorables », a-t-il affirmé.
S’adressant aux journalistes, M. Brahimi a indiqué qu’ils devaient être à la hauteur de la responsabilité qu’il leur incombait, en fonction de l’intérêt du pays et du monde aujourd’hui et demain, rendant au passage hommage au président Bouteflika pour avoir institué cette journée nationale de la presse.
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Un séminaire de valorisation des résultats de recherche et le développement des compétences réuni depuis lundi 22 octobre, une trentaine de chercheurs du Réseau Think-Tank de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (Rtt-Uemoa). Cette rencontre entre dans le cadre du renforcement des capacités des doctorants et chercheurs membres dudit réseau.
La valorisation de la recherche scientifique est devenue de plus en plus la préoccupation des acteurs du monde universitaire. Il s'agit entre autres de l'une des préoccupations des membres du Réseau Think-Tank de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (Rtt-Uemoa) qui sont en séminaire à Cotonou. Le Directeur scientifique du Laboratoire d'analyse régionale et d'expertise sociale (Lares), Prof John Igué a expliqué que cette rencontre réunit de jeunes chercheurs des sciences exactes et sociales en provenance des huit pays de l'Uemoa. Il sera question selon lui, de faire une auto évaluation de leurs publications et travaux de recherches sur des thématiques d'intérêt communautaire.
Le Directeur de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de la Formation professionnelle de l'Uemoa, Amadou Tchambou, tout en informant que 86 équipes de recherche ont été appuyées pour le compte du Rtt-Uemoa, souligne que cette rencontre entre dans le cadre de la promotion de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique au sein de l'espace communautaire.
Le Directeur de cabinet du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Bienvenu Koudjo, quant à lui, souligne que les participants bénéficierons de beaucoup de choses notamment sur la méthodologie d'élaboration d'un projet de recherche, les outils et techniques d'analyse qualitative. Il indique que cette rencontre entre dans la droite ligne des visions du chef de l'État qui met l'accent sur la valorisation des recherches scientifiques. M. Koudjo rappelle que « Le projet de création de ‘'Sèmè City'', la ‘'Cité internationale de l'innovation'' illustrent bien sa stratégie en la matière ». C'est la raison pour laquelle, souligne-t-il, que le ministre Marie Odile Attanasso a mis en place l'Agence béninoise de la recherche et de l'innovation (Abri), qui est en réalité la fusion de tous les centres de recherche.
La recherche scientifique est devenue aujourd'hui le centre d'attraction de tout développement. C'est la raison fondamentale qui fonde l'intérêt des Etats à promouvoir la recherche qui semble être reléguée au dernier plan en Afrique. La nouvelle dynamique des acteurs permet donc de mettre la recherche au cœur des actions prioritaires pour le développement.
G.A.
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Ghania Oukazi
Ould Kaddour a mis hier en avant « l’implication de Sonatrach dans la vie sociale dans toute région dans laquelle elle travaille » et appelle les travailleurs à «plus d’engagement et plus de participation dans l’entreprise».Dans son point de presse habituel qu’il accorde dans le salon de l’aéroport, le PDG a précisé aux journalistes que «Sonatrach construira le complexe intégré (social, culturel, médical, sportif ) dans la nouvelle ville de Ouargla. Sa rencontre avec les représentants syndicaux, il la voulait, a-t-il dit, «pour préparer un programme de travail commun en vue de définir ce qu’on peut faire ensemble pour prendre en charge des travailleurs parce que la qualité de vie est un élément essentiel pour l’entreprise». Il insistera encore sur «les travailleurs qui doivent eux aussi s’occuper de l’entreprise». Il les appelle à «plus d’engagement, plus de participation». Il a fait savoir, par ailleurs, qu’il a rencontré le recteur de l’université de Ouargla «pour signer ensemble une convention pour la prise en charge des 20 meilleurs étudiants de chaque filière, les recruter à notre niveau et si besoin, perfectionner leur formation». C’est pour, dit-il, «préparer les futurs employés de Sonatrach». Il affirme que «toutes les entreprises doivent prendre des étudiants pour des stages de formation». Au titre de la «responsabilité sociétale» de Sonatrach, Ould Kaddour a fait savoir qu’à chacune de ses sorties sur le terrain, «je veux rencontrer les représentants de la population, il faut qu’on développe la proximité avec les gens, là où on va, on tient à rencontrer les locaux». A propos du sponsoring des clubs sportifs de Ouargla, il notera que «ce ne sont pas des sommes énormes qu’ils demandent, juste un peu d’organisation».
Le 1er responsable de Sonatrach a affirmé hier que «Hassi Messaoud est un très grand champ de plus de 1.000 puits, mais des centaines d’unités ne fonctionnent pas». Actuellement, l’unité de traitement du brut sud (UTBS) produit, selon lui, 240.000 barils/jour, on peut raccorder d’autres puits à cette installation». Pour cela, il indique avoir «demandé un bilan sur les capacités des puits, des champs de Hassi Messaoud». Il rappelle que l’un des objectifs de la SH 2030, c’est «améliorer le fonctionnement de tous nos champs, on a des tests en cours, on utilise plusieurs techniques, on va voir les résultats bientôt». Il est persuadé que «si on ajoute 1% à Hassi Messaoud, ce sont des millions de tonnes que nous récupérerons». L’UTBS est conçue «pour traiter la totalité du pétrole brut du champ sud de Hassi Messaoud». Elle a été réalisée par SAIPEM et mise en service en septembre 2010. Ses techniciens sur le site affirment que «nous avons atteint 98% de nos prévisions en matière de production». Mais ils précisent que « les 240.000 ou même 300.000 barils/jour, ce sont des chiffres qui changent en fonction des pannes, des arrêts des équipements et autres ». Pour eux, «il faut parler de production actuelle et non réelle». L’USTB possède «3 trains de traitement identiques de capacité de 100.000 barils/jour, 4 moto-compresseurs pour la prise en charge des gaz associés et leur expédition vers les unités GPL, une unité de traitement des eaux huileuses d’une capacité de 120 m³/h, 4 bacs de stockage d’une capacité de 50.000 m³ chacun et un bac pour les produits off spec d’une capacité de 20.000 m³, et une pomperie d’expédition de brut vers Haoud El Hamra». L’USTB est initialement «destinée pour le traitement du brut séparé provenant de 6 unités satellites sud».
Ould Kaddour fera savoir que «les 29 et 30 octobre prochains, Sonatrach organisera au CIC d’Alger une rencontre sur les énergies qui réunira les plus grandes compagnies du monde (Total, BP, Statoil, ENI ) ainsi que des personnalités du monde du pétrole et du gaz». La rencontre est, selon lui, «pour échanger des informations sur ce qui se développe dans le domaine des énergies (offshore, solaire ). Le mois prochain, Ould Kaddour inaugurera la station solaire de Bir Aanour de Hassi Rmel de 10 MW.
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R. N.
La Compagnie algérienne d’assurance et de garantie des exportations (CAGEX) et NATIXIS Algérie, banque privée, ont annoncé la signature d’une convention cadre portant sur la sécurisation des exportations.Cette convention, lit-on dans un communiqué conjoint, «permettra à NATIXIS Algérie de sécuriser les exportations assurées, en mettant à la disposition des exportateurs toute la compétence et l’expertise de la CAGEX en matière de renseignements commerciaux sur les acheteurs étrangers, de protection et d’assurance des créances nées sur l’étranger, et du recouvrement de celles-ci en cas de défaillance de paiement».
Cette convention, signée en présence du Directeur général de NATIXIS Algérie, Boris Joseph, et du Président-directeur général de la CAGEX, Djillali Tariket, «contribuera également à faciliter l’accès aux crédits bancaires à court terme, par l’octroi de garanties d’assurances suffisantes et de premier ordre au profit des banques», ajoute la même source.
L’accord permettra aussi à NATIXIS Algérie «la protection, l’assurance et la sauvegarde des créances nées des ventes à crédit, tant sur le marché national que sur le marché international, domiciliées auprès du réseau de cette dernière».
«Nous souhaitons engager, avec la CAGEX, un partenariat qui nous permettra de développer le tissu économique algérien, développer des emplois, et contribuer à la ré-internalisation de la valeur ajoutée au sein de l’économie nationale, pour pouvoir engager et accompagner la mutation économique», a déclaré Boris Joseph, Directeur général de NATIXIS Algérie, estimant que «la CAGEX va nous aider, significativement, à développer des opérations, tant domestiques qu’internationales, dans un pays où s’opèrent de grandes mutations économiques que nous essayons d’accompagner, notamment sur toute la partie producteurs». Le Président-directeur général de la CAGEX, Djilali Tariket, a affirmé que son institution ne ménagera «aucun effort pour être à la hauteur des ambitions et des projets de développement de NATIXIS Algérie». «Nous souhaitons faire de NATIXIS Algérie un partenaire de premier ordre au niveau de la coopération, et satisfaire nos ambitions communes», a-t-il ajouté.
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J. Boukraa
Le secteur de l’hydraulique de la wilaya d’Oran a bénéficié d’une enveloppe budgétaire de 3 milliards de dinars pour la concrétisation de 12 opérations. Il s’agit des projets de protection des communes contre les inondations, l’installation de réseaux d’assainissement et l’éradication des fosses septiques ainsi que des opérations qui entrent dans le cadre des préparatifs des Jeux méditerranéens 2021.Pour ce qui est du programme visant l’éradication des fosses septiques et le raccordement de l’ensemble des foyers au réseau d’assainissement, 5 opérations ont été retenues. Une enveloppe d’un milliard de dinars a été consacrée à ce volet. Ces projets seront concrétisés dans les daïras d’Oran, Arzew, Es-Senia, Béthioua et Aïn El-Turck. Les études ont été achevées. L’opération consiste au raccordement des foyers concernés au réseau d’assainissement et aux stations d’épuration des eaux usées. Des mesures ont été prises pour l’éradication totale des fosses septiques. Pour atteindre ces objectifs, la direction des Ressources en eau de la wilaya d’Oran a établi une stratégie de développement globale pour l’amélioration des systèmes d’assainissement qui s’appuient sur un programme à court et moyen terme. En plus de la station de traitement et d’épuration d’El-Kerma, Oran a bénéficie d’un projet de système de refoulement des eaux de la partie basse d’Oran, destiné à prendre en charge la collecte et l’acheminement des eaux usées vers la station d’épuration d’El-Kerma via la station de relevage de haï Dhaya (ex- Petit-Lac). Les opérations, déjà lancées dans de nombreuses communes, ont permis l’éradication de plus de 28.000 fosses, sur un total de 30.000 fosses recensées à Tafraoui, Oued Tlelat, Gdyel, Bouamama Les fosses septiques, procédé théoriquement fiable pour régler le problème du rejet des eaux usées temporairement, prend une tournure inquiétante chez nous où le problème d’absence de réseau d’assainissement touche plusieurs localités. La stratégie du ministère des Ressources en eau dans le domaine de l’épuration est basée sur la protection de la ressource hydrique, l’éradication des fosses septiques et des MTH, conformément à la Convention de Barcelone.
D’autre part, une enveloppe de plus de 1,6 milliard DA a été débloquée dans la wilaya d’Oran pour la protection de Tafraoui, El Ançor et Gdyel contre des inondations. Les projets financés par cette enveloppe, dont les travaux ont été lancés dernièrement aux quartiers des trois communes contribueront à atténuer le risque d’inondation et d’infiltration des eaux pluviales aux habitations, édifices publics et biens privés partant des expériences des années dernières. La saison des grandes pluies approche et avec elle le risque des inondations. Dans le même contexte, 1.25 milliard de dinars a été débloqué pour des opérations dans le cadre des préparatifs des Jeux méditerranéens 2021, notamment pour le système d’assainissement dans le village olympique en cours de réalisation à Bir El-Djir.
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Rachid Boutlelis
Un nouveau rebondissement vient de se produire à l’APC d’Aïn El Turck, et ce, avec la suspension de son secrétaire général par le wali d’Oran, apprend-on d’une source proche de ce dossier. L’intérim a été confié à un administrateur qui a déjà occupé ce poste quelques années auparavant. Notons qu’une certaine agitation a caractérisé la scène politique d’Aïn El Turck au lendemain de l’annonce de la décision du wali de geler cette APC et ce, pour mettre un terme définitif au bras de fer entre le maire et ses pairs, qui n’a que trop perduré au détriment de toute une population.Ce regrettable état de fait est cependant exploité sournoisement par des candidats malheureux du dernier scrutin pour les élections communales, parmi lesquels figurent d’anciens maires, dont certains ont été suspendus de leur poste, suite à des poursuites judiciaires engagées à leur encontre pour des suspicions de malversations commises durant leur mandat. Ces derniers qui briguent en toute vraisemblance la vacance temporaire du poste de président de l’APC d’Aïn El Turck sont sortis, comme par enchantement, de leur retraite, dorée pour quelques-uns d’entres eux, et ce, dans le but de mener en sourdine une campagne électorale pour tenter d’accéder au leadership.
Certains lieux publics dans les localités dépendantes administrativement de cette commune se sont aussitôt reconvertis en tribune pour ces pseudo-postulants à la tête de la mairie et ce, pour faire entendre à qui veut les entendre qu’ils disposent de la clé magique leur permettant de redresser la barre qu’ils ont eux-mêmes rabaissée. Parallèlement à cette frénésie, qui anime faussement l’ambiance au sein des lieux cités, cautionnée par leurs gérants, les spéculations les plus inimaginables et les plus déstabilisantes, orchestrées apparemment par ces pseudo- candidats au poste de maire, sont véhiculées de bouche à oreille et par le biais des réseaux sociaux sur la place d’Aïn El Turck. L’annonce de la suspension du SG de cette APC a eu l’effet d’une douche écossaise sur cette agitation loufoque qui ne semble pas encore près de s’estomper. Le rideau risque de tomber sous peu.
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J.Boukraa
Ils sont des dizaines de foyers dans la commune d’Oued Tlelat à souffrir à cause du non-raccordement au réseau du gaz de ville. Ils sont près de 4.000 habitants des localités de Chekalil, Chemalil, Fouatih et El Malek, qui souffrent de ce problème. Ces familles sont tenues de débourser des frais supplémentaires afin d’acquérir la fameuse bouteille de gaz. «Comment ce fait-il que les habitations situées à quelques kilomètres de notre village sont raccordées au gaz de ville et nous pas encore ; on attend mais jusqu’à quand ?», se plaint à juste titre l’un des habitants qui a pratiquement perdu tout espoir de voir s’améliorer ses conditions de vie. L’hiver la bouteille de gaz devient une denrée rare, surtout dans les localités reculées. Elle atteint même 500 Da dans certains cas. Cependant, il s’avère que, très souvent, notamment en saison hivernale, vu la large utilisation de la fameuse bonbonne, que la demande dépasse l’offre car même ceux qui sont raccordés au gaz naturel, pour une bonne partie d’entre eux, continuent d’utiliser leurs anciens réchauds, qui fonctionnent au gaz butane.Les habitants sollicitent les autorités locales pour trouver une solution à leurs préoccupations. La politique nationale en matière d’énergie pour se défaire de dépendance de la bonbonne de gaz est de plus en plus visible sur le terrain, cette action initiée au niveau national évitera au citoyen la rude quête de la bouteille de butane et tous les dangers qu’elle véhicule.
Plusieurs opérations sont en cours pour optimiser la couverture en gaz de ville. La Société nationale de l’électricité et du gaz œuvre pour élever le taux de raccordement au réseau du gaz de ville dans la wilaya d’Oran à 85%. Dans ce cadre des centaines de foyers seront raccordés au réseau du gaz de ville dans plusieurs communes de la wilaya avant la fin de l’année.
Il est ainsi prévu de raccorder 1.880 foyers répartis sur les localité de Boufser, Benfréha, Boufatis et Mers el-Hadjajd. Le but de ces actions est d’améliorer le quotidien des citoyens, en commençant par leur épargner la corvée de la bouteille de gaz butane, si introuvable et chère en hiver, et les risques d’explosion qu’elle peut engendrer à tout moment, de jour comme de nuit.
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Kamel Lezoul
L’objectivité nous oblige à dire que la JSMT a gagné le match face MCBOS difficilement. Les coéquipiers de Dahou ont vraiment sué pour remporter les trois points de la victoire face à cet adversaire sur le score de 2 à 1, le but victorieux n’ayant été inscrit qu’à la 90 mn par le meilleur joueur sur le terrain Hasker, auteur d’ailleurs d’un doublé.Ainsi, la belle série continue pour la SMT qui conserve donc sa position de leader. Le premier responsable du club, Feghouli Hadj Ahmed, estime que c’est une victoire tirée par les cheveux, mais qui a tout de même une saveur spéciale. «Je me souviens de la finale de la Coupe d’Europe des clubs champions (actuellement Ligue des champions) qui s’est jouée entre deux grands clubs à l’époque, le Bayern de Munich face à Manchester United. L’équipe anglaise était menée au score et n’a égalisé qu’à la 89e minute avant d’inscrire un second but dans le temps additionnel. Même s’il n’y a pas de comparaison à faire, je dirai que les victoires arrachées dans les ultimes secondes de la partie ont une saveur exceptionnelle. Je remercie les joueurs qui ont puisé dans leurs réserves pour arracher la victoire.
Ceci prouve qu’ils sont toujours animés par la rage de vaincre, sans oublier bien sûr les supporters qui n’ont jamais cessé de soutenir leur équipe. Toutefois, je tiens à dénoncer encore une fois le comportement d’une minorité de fans à l’encontre de l’entraîneur Khelledi. C’est en même temps totalement injustifié et anormal, étant donné les excellents résultats de notre équipe», dira le président en conclusion.
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Chergui Abdelghani
Depuis quatre journées, les Maghnaouis de l’Ittihad n’arrivent plus à gagner, se contentant vendredi d’un nul à l’occasion de la réception de la formation algéroise, le CRB Dar Beïda, pour le compte de la 7ème journée du championnat de DNA groupe Ouest. En effet, voulant empocher les trois points et renouer avec la victoire, surtout après le nul flatteur ramené de Mascara le week-end écoulé face au Ghali, les camarades de Redouane Bachiri ont buté sur une bonne équipe de Dar Beïda volontaire à souhait, et surtout face au gardien de but Boumenad qui fut un rempart infranchissable. A l’issue de ce résultat, il faut dire que rien ne va plus au sein du club de la ville frontalière, qui réalise un parcours de relégable car même l’objectif tracé avant le début de saison, qui était d’effectuer un parcours honorable, est tombé à l’eau suite à la mauvaise entame de saison de l’équipe qui ne goûte plus aux joies de la victoire depuis quatre journées.Cette faible série commence à affecter le moral du groupe. Les résultats enregistrés depuis le début de l’exercice, soit sept matches, prouvent que cette équipe de l’IRBM voyage mal et, en outre, elle a perdu déjà sept points sur son terrain. Il y a lieu aussi de signaler le déficit au niveau du milieu de terrain et l’absence d’un meneur de jeu. Il faut ajouter le compartiment offensif qui ne brille guère puisque, en sept matches, l’attaque n’a inscrit que trois buts. Une situation qui devient de plus en plus inquiétante, et c’est à l’entraîneur Kamel Zemani de trouver la solution afin que le secteur offensif retrouve son efficacité et permettre à l’équipe de renouer avec le succès. Ce troisième faux pas à domicile n’a pas laissé indifférents les supporters qui ne veulent plus revivre le scénario de la saison écoulée où le club a failli rétrograder. Aussi, ces fans interpellent les dirigeants afin de réagir au plus vite, car la situation devient très inquiétante. L’IRBM est en train de perdre de précieux points qui lui seront fatals lors du décompte final. La sonnette d’alarme est donc tirée.
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